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    Dracula
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    98 critiques spectateurs

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    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 décembre 2012
    Alors oui, le coup de la chauve-souris en plastique ça ne passe plus de nos jours, mais sinon quel film! Bela Lugosi livre une excellente prestation du plus célèbre suceur de sang. Les décors sont vraiment magnifiques et le travail sur la lumière m'a ébloui.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 807 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2007
    Un peu déçu, seul Bela Lugosi marque les esprits, le film de coppola est infiniment meilleurs, mais ce film en noir et blanc se laisse regarder.
    seblecaribou
    seblecaribou

    30 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2008
    Le légendaire Dracula. Me voila bien heureux d'avoir vu la premeiere version du vampire le plus célèbre. Autant dire que je fut surpris de constater que le film n'a pas tant vieilli et pour cause, si quelques artifices sont présent, le film repose presque entièrement sur l'interprétation remarquable de chaque acteur, Bella Lugosi en tête. Bref une perle des début du cinéma d'horreur à voir sans apréhension.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    36 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2015
    On avait le droit d'en attendre un peu plus du réalisateur de Freaks pour cette première adaptation anglo-saxonne de Dracula. Parce que le film a beau durer 1H10, on a quand même le temps de s'ennuyer un peu. L'introduction est majestueuse : Tod Browning a de très beaux décors et sait les mettre en valeur. Le voyage inquiétant en calèche, le château qui apparait à demi-caché dans la brume, l'arrivée de Renfield qui est écrasé par l'immensité des lieux, tout est magnifique. A cela s'ajoute des violons, qui sont tantôt stridents, tantôt doux, tantôt haletant. Ils accompagnent parfaitement l'action tout le long du film. L'intrigue se poursuit par le départ du comte pour l'Angleterre, et c'est à partir de là que long-métrage commence à multiplier les erreurs. A la manière de Karl Freund dans La Momie, le réalisateur multiplie les plans sur le visage sérieux de Bela Lugosi. Si au départ l'idée fonctionne, au bout d'un moment l'effet "tro mystik tavu" finit par devenir lourd. Il en va de même pour le coup de la chauve-souris, qui fait trop souvent du sur-place et qui n'est donc pas crédible. Le rythme de l'intrigue prend également un coup. On ne se concentre plus sur Dracula mais sur une jeune femme, Mina, et son entourage. Face à la menace du vampire, le professeur Van Helsing tente de les convaincre du danger qu'ils courent. Et on a le droit à du blabla pour savoir si oui ou non le compte veut s'en prendre à Mina. Ça aurait pu être intéressant si on avait pas établit au départ que Dracula est bel et bien un vampire, mais là ça ne fonctionne pas. Globalement je trouve que le film est trop bavard pour ce qu'il essaye de raconter, il aurait dû faire la part belle au silence et laisser l'ambiance faire le travail. C'est assez maladroit au final, et ça aurait pu être beaucoup plus, c'est dommage. Privilégiez la version de Coppola.
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2017
    T. Browning qui adapte Dracula, on signe tout de suite. Hélas, son choix de faire son film dénué de musique en fait un spectacle un peu mou, long à regarder en dépit d'une image sublime. Reste que B. Lugosi campe évidemment un Dracula culte, lui donnant son look et une incarnation qui fera date. Toutefois, la direction d'acteurs est fluctuante, entre un perso complètement habité et un autre dont on a l'impression qu'il joue dans une screwball comedy. Le film se laisse regarder tout de même, conserve son aura culte grâce à quelques acteurs et un réalisateur prestigieux mais c'et mou, parfois plan-plan, le final est bien raté et un brin trop confus. Une déception. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Acidus
    Acidus

    618 abonnés 3 648 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2022
    Presque une décennie après le "Nosferatu" de Murnau, Tod Browning signe sa version du roman de Bram Stoker. Une version avec l'emblématique Béla Lugosi dans le rôle éponyme. L'acteur et sa prestance naturelle porte une bonne partie du long métrage et contribue fortement à son succès. Pas de surprise au niveau du scénario qui suit globalement l'intrigue du roman en monde rapide. Browning réussit à poser l'ambiance adéquate bien que le film accuse quelques longueurs, des défauts de rythme et des effets spéciaux pas toujours au top.


    "Dracula" accuse évidemment les années mais conserve un certain charme.
    Oeuvre phare aujourd'hui, il mérite le coup d'oeil ne serait-ce que pour sa culture cinématographique ou pour le terrifiant regard de Lugosi.
    Alasky
    Alasky

    284 abonnés 3 081 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Comment ai-je pu passer à côté de ce film toutes ces années ? Dracula par Tod Browning est un petit bijou. Une délicieuse ambiance fantastique, mystique, de beaux décors gothiques, un noir et blanc impeccable, une musique magnifique (Le Lac des Cygnes Tchaïkovski) et un casting formidable (le charismatique Béla Lugosi en tête). Un gros classique du Cinéma, une oeuvre d'une grande qualité.
    mistermyster
    mistermyster

    34 abonnés 1 166 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 août 2023
    Tod Browning est notre James Wan de l'époque des années 30, avec son film très dérangeant et aujourd'hui culte FREAKS, il a su laissé son nom dans l'industrie du cinéma.
    Mais ici, il se confronte à la légende Dracula, lui aussi devenu culte, le personnage, pas le film, bien que l'image que l'on retient est très certainement Bela Lugosi, qui se drape d'une cape, et dont les yeux sont le seul moyen d'expression pour intimer le mal, et nous faire frissonner; bon n'exagérons rien, il n'y a pas le moindre frisson.
    Le film est une curiosité de cinéphiles, qui retrouveront déjà l'atmosphère des Carpathes, le vieux château, les chandeliers et autres toiles d'araignées, on suit la trame du roman de Bram Stoker, Coppola reprendra les mêmes codes, avec les impératifs narratifs de son époque pour son Dracula sorti 60 ans plus tard.
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mars 2011
    Avec "Nosferatu" (1922) de Murnau cette adaptation reste un film culte. D'abord grâce au casting qui offre de vraies gueules et des interprétations aussi juste qu'impressionnante (notamment Dwight Frye). Les décors sont particulièrement réussis qui relient parfaitement nos peurs à nos fantasmes. Chef d 'oeuvre à surtout voir en VO.
    Eselce
    Eselce

    1 201 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2015
    C'était terriblement naïf à l'époque. De nombreux gros plans statiques sur le visage de Dracula. Un final assez brutal et très… simple ! Le film est assez surprenant. J'ai pensé à sa parodie "Dracula, mort et heureux de l'être" qui est clairement repris de cette version de 1931. Je n'ai pas vraiment aimé la version avec Bela Lugosi dans le rôle titre. Mais l'acteur jouant "Renfield" est bien. Autrement, je n'ai pas su apprécier cette version d'un autre âge.
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2014
    10 après le "Nosferatu" de Murnau, Tod Browning réalise la première adaptation officielle du roman de Stoker. On y retrouve donc le comte Dracula, redoutable vampire transylvanien, qui débarque à Londres pour s'attaquer à des jeunes femmes. Le souci du film est qu'il manque de personnalité. D'une part l'intrigue, parfois maladroite, a été reprise des dizaines de fois par la suite, vu d'aujourd'hui elle apparait un peu superficielle. D'autre part, la mise en scène demeure conventionnelle. Mise à part quelques maquillages, et les décors de l'introduction, qui sont de petites touches expressionnistes sympathiques, l'ensemble est bien mené mais pas visuellement marquant. Quant aux acteurs, leur interprétation très théâtrale a pas mal vieilli. Heureusement, Bela Lugosi se révèle imposant, avec une présence magnétique qui influencera de nombreuses versions du personnage. Au final, "Dracula" est certes un classique, mais pas un chef-d’œuvre.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2017
    Je dois bien avouer que je m'attendais à beaucoup mieux, disons à une adaptation plus subtile et romanesque, la première partie en Transylvanie est pourtant assez excellente, avec une ambiance absolument imparable où le visuel gothique et le mystère autour du comte rendent le film captivant à souhait, Lugosi est méga inquiétant, le film promet énormément. Cependant je trouve que rendre le personnage de Renfield aussi central fait qu'on perd un temps considérable pour arriver au plan de Dracula, celui de s'éprendre de Mina, s'en suivent des séquences à rallonge très dialogués où la réalisation de Browning reste étonnamment sans audace, l'ennui prend place trop souvent.
    Demeurent quelques fulgurances esthétiques en clair-obscur saisissantes et ce mysticisme protéiforme du vampire, mais de toute évidence l'oeuvre manque cruellement de charme, hormis la présence spectrale de Dracula qui hante le domaine où Van Helsing découvre la terrifiante vérité, l'intérêt du récit semble être minimisé. D'ailleurs le dénouement tombe quelque peu à plat, encore une fois l'atmosphère ne rend pas justice à la prestation de Lugosi, bien seul pour faire exister ce mythe, le dernier plan sur les notes majestueuses du Lac des Cygnes parait tellement abrupte qu'on reste sur un sentiment d'inachevé.
    Un classique respectable mais néanmoins décevant.
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    Il est difficile de passer derrière le « Nosferatu » qui marque encore des générations pour sa poésie et ses émotions qui savent malmener les spectateurs. Mais le cinéma connaît une révolution en inaugurant les premières œuvres parlantes. Bien que ce ne soit pas à la hauteur du film précédemment cité, ce nouvel essai marque un point intéressant dans sa démarche qui vise à porter une saga en devenir. Le réalisateur Tod Browning a proposé de bons divertissements, dont « L’Inconnu », « Le Talion » et « Iron Man » qui méritent le détour pour leur écriture. Il adapte ensuite le roman de Bram Stoker, où il perce par la qualité de l’image et de l’interprète du personnage principal.

    Le Comte Dracula est campé par un Béla Lugosi très charismatique et très convaincant. Il inspire la peur grâce à son jeu de regard légendaire et parvient essentiellement à rendre crédibles les scènes les plus sombres, s’apprêtant au thème de l’épouvante. Il s’agit d’un cauchemar visuel que le chef opérateur Karl Freund nous propose et il nous convie à cette longue soirée, arrosée d’une énergie vitale à l’attachement sentimental. Au-delà de la frayeur qu’induit le vampire, l’état d’esprit se prête davantage au romantisme et le récit le souligne par un conflit singulier pour une femme. Mina Seward (Helen Chandler) illustre le parti que les hommes de la haute bourgeoisie chercher à conquérir à leur manière. Son fiancé, qui lui est fatalement destiné, n’est pourtant pas à l’abri de l’envoûtement qu’à Dracula sur sa bien-aimée. De l’autre côté de la barrière, Abraham Van Helsing (Edward Van Sloan) cherche à l’arracher de son emprise. Mina constitue un désir interdit qui en fait un tabou dans une époque qui préférera s’attarder sur ce détail plutôt que ses défauts premiers.

    Ce qui pêche, c’est notamment la mise en scène, trop rigide et trop théâtrale. On se concentre sur des effets qui frôlent les fresques les plus kitchs mais qui auront leur lot d’émotions derrière. Il faudra aller déterrer la poésie qu’il y a derrière cette fausse brume, qui s’avère plus artificielle que complémentaire à une esthétique gothique. Il n’y a pas besoin de sang pour affirmer un personnage qui dégage une aura démoniaque, mais ce ressenti nous effleurera à peine. La célèbre partition de Tchaikovski nous place d’entrée dans un ballet, rempli de symbolismes et d’ambitions. Le réalisateur a peut-être failli dans son rôle et dans la justesse de ses choix techniques, mais il ne reste pas moins conscient de l’hommage qu’il rend au monstre.

    Ce sera dans l’ambiguïté que l’on redécouvre le mythe du vampire, en la personne de « Dracula ». L’absence ou l’oubli du contexte pourra en perturber plus d’un, car le public a fini par évoluer avec des œuvres se servant de ce que Browning a posé comme base. Cependant, le rythme épuisant et passif de l’intrigue, alors que le comte est sujet à un thème romantique, dont on discute en permanence. Loin dans le temps, mais si proche dans les mémoires, l’œuvre réussit malgré tout son coup en iconisant l’image populaire d’une créature qui possède des sentiments derrière ses dents pointues et sa soif de conquête.
    romano31
    romano31

    243 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2017
    Première adaptation parlante du célèbre vampire, le Dracula de Tod Browning est un incontournable du cinéma d'horreur. Un classique qui a encore beaucoup de charme aujourd'hui. Porté par l'inoubliable Bela Lugosi, le film n'a pas si mal vieilli que ça et propose des plans et des jeux de lumières assez travaillés pour l'époque. Même si mon adaptation préférée reste la version de 1992 de Francis Ford Coppola, il faut reconnaître que la version de 1931 a popularisé et ancré durablement le personnage de Dracula dans l'histoire du cinéma. Un incontournable tout simplement.
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2014
    Première adaptation officielle du roman de Bram Stocker (après le "Nosferatu" de Murnau qui ne s’était pas encombré des règles du copyright), le "Dracula" de Tod Browning restera comme le film fondateur de la mythologie du vampire sur grand écran. On retrouve ainsi le château lugubre perdu dans les Carpates, les chauves-souris, les nuits brumeuses et autres loups hurlant au clair de lune ainsi que l’un des monstres les plus célèbres du 7e art, vêtu de sa longue cape noire et armé de son charme hypnotique (les longues canines viendront bien des années après). On ne peut qu’être épaté que, plus de 80 ans après la sortie du film, la représentation du Comte Dracula vu par Browning (et, à travers lui, par les Studios Universal) reste celle communément admise par l’imaginaire collectif (style aristocrate, crainte de l'aconit et des crucifix, absence de reflet dans les miroirs, arrivée par les fenêtres ouvertes…). Il faut dire que l’interprétation de Bela Lugosi a su rendre le personnage inoubliable. Ayant déjà joué le vampire sur scène, Lugosi lui apporte toute sa théâtralité (aujourd’hui désuète), à coups de déplacements ralentis, de regards fixe (les plans sur ses yeux, accentués par un effet de lumière, font sourire aujourd’hui) et de diction très accentuée (les origines hongroises de l’acteur servent parfaitement le personnage)… sans pour autant négliger une animalité intéressante tant lorsqu’il approche ses victimes que lorsqu’il fuit un crucifix ou un miroir. L’interprétation statique de Lugosi donne incontestablement le la du film, surtout aujourd’hui. Car, "Dracula" date de 1931 et cette ancienneté suppose un bon nombre de défauts qui en rebuteront plus d’un. Il ne faut donc pas craindre les montages peu subtils, les personnages caricaturaux, les interprétations cabotines et les effets spéciaux d’un autre âge (ah les chauves-souris en plastique !) pour apprécier ce "Dracula" à sa juste valeur. Il ne faut pas non plus chercher une intrigue trop dense, les scénaristes ayant fait le choix de simplifier au maximum le roman d’origine, quitte à faire l’impasse sur certains points pourtant intéressants (dont le sort de la pauvre Lucy, simplement évoqué ou encore les raisons de l’arrivée de Dracula à Londres). Plus dommageable, la quasi-absence de musique (on a simplement droit à un extrait du "Lac des Cygnes" en ouverture) alors que le film se prêtait parfaitement à une BO gothique dont Universal ou la Hammer ont su nous abreuver par la suite. Tod Browning était une légende du cinéma muet, ce qui explique sans doute ce problème ainsi que le manque d’audace de sa mise en scène, très académique même pour l’époque. Heureusement, il ressort du film un charme indéniable, renforcé par les décors peints à la main (les paysages de la Transylvanie ou les ruines du château de Dracula sont une merveille). Le casting, aussi cabotin soit-il, remplit parfaitement son rôle, de Edward Van Sloan en Van Helsing à la superbe Helen Chandler en Mina en passant par l’extraordinaire Dwight Frye en Reinfeld rongé par la folie (seul le fade David Manners en dans le rôle du non moins fade Jonathan Harker fait tâche). On se surprend même à être impressionné par certaines scènes, que ce soit pour leur majesté (les descentes d’escaliers de Dracula), leur intensité (les délires de Reinfeld) ou encore pour leur originalité (la découverte du bateau fantôme sur les quais de Londres par des dockers qu’on ne voit jamais). Et les fans se délecteront toujours les légendaires répliques telles que "Je ne bois jamais... de vin" ou encore "Ecoutez-les. Les enfants de la nuit. En font-ils une musique !". "Dracula" a donc clairement très mal vieilli et ne s’adresse aujourd’hui qu’aux amateurs avertis mais n’en reste pas moins un témoignage émouvant d’une époque où on faisait du cinéma avec peu de moyens.
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