Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Plus qu’un summer movie déconnant, plus qu’une diatribe amusante sur le patriarcat, Barbie est un film aux émotions complexes, à la fois une chose et une autre, pas tout à fait sûr de lui mais qui fait semblant de l’être, tour à tour drôle, triste, frondeur, inquiet… Un film humain, tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Public
par Marie-Pierre Galinon
Bourré d'humour et de références, le film rappelle le meilleur des comédies girly comme Clueless et La Revanche d'une blonde.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film Barbie, ce sont des décors et des costumes sublimes qui donnent l’impression de voir l’univers de la poupée mannequin en grandeur nature. Ce sont aussi des numéros musicaux spectaculaires dignes des grosses productions des années 1950 dont la réalisatrice se revendique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une méta-comédie féministe folle et fun.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Derrière la fable féministe et l’auto-critique bien huilée de la marque, Greta Gerwig parvient à faire gripper la machine, et embrasse les contradictions de cet étrange projet. Barbie interroge un progressisme parasité par sa récupération libérale et consumériste, sans pour autant baisser les bras. Un objet pop plus complexe qu’il n’y paraît, sublimé par ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
On voit donc un spectacle efficace, drôle, plein de second degré, à la hauteur des enjeux.
GQ
par Adam Sanchez
C'est un soulagement de voir que Greta Gerwig, passée de coqueluche du cinéma indépendant américain [...] à réalisatrice adoubée à Hollywood, a réussi à garder ce qui fait l'excentricité de son cinéma au milieu d'une redoutable machine commerciale. Sa Barbie est un peu tout ce que l'on attendait qu'elle soit : résolument pop, évidemment ironique et étonnamment angoissée.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Un film peut-il être à la fois une publicité à peine déguisée pour vendre des jouets et une comédie féministe inspirante ? Oui, répond le dernier long-métrage de Greta Gerwig, œuvre bariolée à la fois sincère et cynique, comme un condensé de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Delphine De Freitas
(...) Un film délicieusement barré où les répliques cinglantes cohabitent avec des réflexions plus sérieuses sur le féminisme, le patriarcat et l’estime de soi.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par La rédaction
Une renversante déflagration pop qui fera date.
Le Figaro
par É.S.
Mais cela n'enlève rien au talent de la cinéaste, qui va sans doute au-delà de la commande de Mattel (dépoussiérer sa poupée) et en profite pour régler des comptes avec le patriarcat avec un humour jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Moins acide qu’espéré, le bonbon coloré de Greta Gerwig n’en est pas moins savoureux. Barbie ne mise pas que sur son physique, le film repose aussi sur une narration diablement efficace qui oscille entre purs moments de comédie et élans plus tendres.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
La première réussite du film est à mettre au crédit de la magnifique reconstitution du monde de Barbie. Tout ce que l’on a pu voir dans les jouets Mattel s’y anime grandeur nature et on en prend plein les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Julie Malaure
Ce n’est pas parce que c’est rose que c’est idiot. La preuve avec le film de Greta Gerwig, qui est aussi l’histoire du « cogito ergo sum » de Descartes.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Sandra Onana
Greta Gerwig avait la mission quasi impossible de dépoussiérer le jouet ringard de Mattel. Malgré un marketing franchement tyrannique, pari réussi pour cette satire de charme qui ne se laisse pas dévorer par ses paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Garance Fragne
Captivant et drôle, "Barbie" est déjà culte.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
aVoir-aLire.com
par Julien Roche
La surdouée Greta Gerwig déconstruit pièce par pièce la figure de Barbie et orchestre avec une aisance et une liberté salvatrices un manifeste féministe surpuissant autant qu’un cri du cœur contre l’absolutisme hétéronormatif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Problème d’écriture sans doute : l’onéreuse et rutilante direction artistique écrase toute initiative de jeu, si bien que l’on se surprend à s’émouvoir d’un accessoire (les liens blancs qui rattachent la poupée au fond de sa boîte quand les executives de Mattel la rattrapent) plutôt qu’à ce qui arrive aux personnages.
L'Obs
par Amandine Schmitt
Le film est malin, parfois trop, avec plusieurs niveaux de lecture qui le situent du côté de la comédie intello (on n’aurait pas imaginé par exemple que Barbie fasse allusion à la madeleine de Proust).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Eva Lelièvre
Produit de l’association entre Greta Gerwig, figure du cinéma indépendant, et de géants du cinéma et de la production des jouets, le film Barbie suscite des interrogations même s’il parvient à séduire grâce à un propos malicieusement féministe et autoréférentiel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Le bonbon est un peu trop sucré mais on ne culpabilise pas. C’est aussi là tout le talent de Greta Gerwig.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Greta Gerwig met en scène la mythique poupée dans une production hollywoodienne qui est aussi une campagne publicitaire. La cinéaste se tire avec adresse de cette situation délicate pour signer un amusant divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Edouard Orozco
Quatre ans plus tard, Barbie arrive au cinéma et on comprend vite que Greta Gerwig s’est amusée comme une folle à l'écrire et le tourner. Ce même plaisir qu'on prend en le visionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Conclusion de ce divertissement malin, volontairement démonstratif, et allègrement bien ficelé : la poupée blonde de votre enfance n’est pas la cruche que vous croyez, bien au contraire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
Sous couvert de déconstruire un imaginaire, Barbie relève en vérité d'un rebranding mobilisant une forme tout aussi publicitaire que celle qu'il tourne en dérision.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Jo
Mais ici, tout n’est qu’affaire de détails scénaristiques, de clins d’œil que le film accumule à un rythme abrutissant. Le tableau général appartient au studio et à Mattel, qui parvient à sauver sa camelote des assauts d’une critique trop acerbe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Séduisant visuellement, Barbie tient malgré tout de la pub Mattel déguisée en film féministe destinée à un public adulescent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Bérénice Hourçourigaray
Ainsi, si ce film se fait fort de porter à l'écran des vérités générales sur la condition de vie des femmes, chaussé de ses gros sabots idéologiques, il n’a rien compris au féminisme. Il met plutôt le spectateur en face d'un amas de théories mal digérées qui caricature l’homme aussi bien que la femme.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Plutôt que d’enfoncer le clou du burlesque, la seconde partie du film perd d’un coup sa vitalité, s’enlisant peu à peu dans un propos beaucoup plus attendu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
Plus qu’un summer movie déconnant, plus qu’une diatribe amusante sur le patriarcat, Barbie est un film aux émotions complexes, à la fois une chose et une autre, pas tout à fait sûr de lui mais qui fait semblant de l’être, tour à tour drôle, triste, frondeur, inquiet… Un film humain, tout simplement.
Public
Bourré d'humour et de références, le film rappelle le meilleur des comédies girly comme Clueless et La Revanche d'une blonde.
20 Minutes
Le film Barbie, ce sont des décors et des costumes sublimes qui donnent l’impression de voir l’univers de la poupée mannequin en grandeur nature. Ce sont aussi des numéros musicaux spectaculaires dignes des grosses productions des années 1950 dont la réalisatrice se revendique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une méta-comédie féministe folle et fun.
Ecran Large
Derrière la fable féministe et l’auto-critique bien huilée de la marque, Greta Gerwig parvient à faire gripper la machine, et embrasse les contradictions de cet étrange projet. Barbie interroge un progressisme parasité par sa récupération libérale et consumériste, sans pour autant baisser les bras. Un objet pop plus complexe qu’il n’y paraît, sublimé par ses acteurs.
Femme Actuelle
On voit donc un spectacle efficace, drôle, plein de second degré, à la hauteur des enjeux.
GQ
C'est un soulagement de voir que Greta Gerwig, passée de coqueluche du cinéma indépendant américain [...] à réalisatrice adoubée à Hollywood, a réussi à garder ce qui fait l'excentricité de son cinéma au milieu d'une redoutable machine commerciale. Sa Barbie est un peu tout ce que l'on attendait qu'elle soit : résolument pop, évidemment ironique et étonnamment angoissée.
L'Humanité
Un film peut-il être à la fois une publicité à peine déguisée pour vendre des jouets et une comédie féministe inspirante ? Oui, répond le dernier long-métrage de Greta Gerwig, œuvre bariolée à la fois sincère et cynique, comme un condensé de l’époque.
LCI
(...) Un film délicieusement barré où les répliques cinglantes cohabitent avec des réflexions plus sérieuses sur le féminisme, le patriarcat et l’estime de soi.
La Septième Obsession
Une renversante déflagration pop qui fera date.
Le Figaro
Mais cela n'enlève rien au talent de la cinéaste, qui va sans doute au-delà de la commande de Mattel (dépoussiérer sa poupée) et en profite pour régler des comptes avec le patriarcat avec un humour jubilatoire.
Le Journal du Geek
Moins acide qu’espéré, le bonbon coloré de Greta Gerwig n’en est pas moins savoureux. Barbie ne mise pas que sur son physique, le film repose aussi sur une narration diablement efficace qui oscille entre purs moments de comédie et élans plus tendres.
Le Parisien
La première réussite du film est à mettre au crédit de la magnifique reconstitution du monde de Barbie. Tout ce que l’on a pu voir dans les jouets Mattel s’y anime grandeur nature et on en prend plein les yeux.
Le Point
Ce n’est pas parce que c’est rose que c’est idiot. La preuve avec le film de Greta Gerwig, qui est aussi l’histoire du « cogito ergo sum » de Descartes.
Libération
Greta Gerwig avait la mission quasi impossible de dépoussiérer le jouet ringard de Mattel. Malgré un marketing franchement tyrannique, pari réussi pour cette satire de charme qui ne se laisse pas dévorer par ses paradoxes.
Marie Claire
Captivant et drôle, "Barbie" est déjà culte.
aVoir-aLire.com
La surdouée Greta Gerwig déconstruit pièce par pièce la figure de Barbie et orchestre avec une aisance et une liberté salvatrices un manifeste féministe surpuissant autant qu’un cri du cœur contre l’absolutisme hétéronormatif.
Cahiers du Cinéma
Problème d’écriture sans doute : l’onéreuse et rutilante direction artistique écrase toute initiative de jeu, si bien que l’on se surprend à s’émouvoir d’un accessoire (les liens blancs qui rattachent la poupée au fond de sa boîte quand les executives de Mattel la rattrapent) plutôt qu’à ce qui arrive aux personnages.
L'Obs
Le film est malin, parfois trop, avec plusieurs niveaux de lecture qui le situent du côté de la comédie intello (on n’aurait pas imaginé par exemple que Barbie fasse allusion à la madeleine de Proust).
La Croix
Produit de l’association entre Greta Gerwig, figure du cinéma indépendant, et de géants du cinéma et de la production des jouets, le film Barbie suscite des interrogations même s’il parvient à séduire grâce à un propos malicieusement féministe et autoréférentiel.
La Voix du Nord
Le bonbon est un peu trop sucré mais on ne culpabilise pas. C’est aussi là tout le talent de Greta Gerwig.
Les Echos
Greta Gerwig met en scène la mythique poupée dans une production hollywoodienne qui est aussi une campagne publicitaire. La cinéaste se tire avec adresse de cette situation délicate pour signer un amusant divertissement.
Première
Quatre ans plus tard, Barbie arrive au cinéma et on comprend vite que Greta Gerwig s’est amusée comme une folle à l'écrire et le tourner. Ce même plaisir qu'on prend en le visionnant.
Télérama
Conclusion de ce divertissement malin, volontairement démonstratif, et allègrement bien ficelé : la poupée blonde de votre enfance n’est pas la cruche que vous croyez, bien au contraire.
Critikat.com
Sous couvert de déconstruire un imaginaire, Barbie relève en vérité d'un rebranding mobilisant une forme tout aussi publicitaire que celle qu'il tourne en dérision.
Le Monde
Mais ici, tout n’est qu’affaire de détails scénaristiques, de clins d’œil que le film accumule à un rythme abrutissant. Le tableau général appartient au studio et à Mattel, qui parvient à sauver sa camelote des assauts d’une critique trop acerbe.
Les Inrockuptibles
Séduisant visuellement, Barbie tient malgré tout de la pub Mattel déguisée en film féministe destinée à un public adulescent.
Marianne
Ainsi, si ce film se fait fort de porter à l'écran des vérités générales sur la condition de vie des femmes, chaussé de ses gros sabots idéologiques, il n’a rien compris au féminisme. Il met plutôt le spectateur en face d'un amas de théories mal digérées qui caricature l’homme aussi bien que la femme.
Paris Match
Plutôt que d’enfoncer le clou du burlesque, la seconde partie du film perd d’un coup sa vitalité, s’enlisant peu à peu dans un propos beaucoup plus attendu.