Avis : The Divide - Page 5

Le film est pas mal même si il n'y a rien d'original ça se laisse regarder, les 20/25 dernières minutes sont vraiment excellentes et relève un peu l'intensité du film.

Une série B assez prenante qui affiche d'emblée son esthétique crasse et ses penchants grotesques. Si le canevas du huis-clos est plus que jamais éculé dans le genre The Divide témoigne au passage d'une ( petite ) originalité : à mi-chemin entre le survival et le torture-porn le film de Xavier Gens transmet efficacement la perte de notion du temps de sa poignée de personnages. Décérébré au possible, peuplé de pantins irrécupérables et concupiscents The Divide démontre les limites de l'acceptation morale en milieu hostile ( survival ) tout en rythmant le quotidien des personnages de sévices gratuits ( torture-porn ). L'ensemble s'avère intriguant quoique lourd et assez débile, bien qu'il n'ennuie pratiquement jamais. Par ailleurs le traitement du groupe et son hystérie croissante ne fonctionne pas, déjà vu des dizaines de fois par le passé dans des oeuvres bien plus impressionnantes que ce The Divide ( citons au hasard Battle Royale, L'expérience ou même Saw premier du nom...). A noter un dénouement qui tombe carrément à plat, preuve improbable de l'innocence factice de son héroïne...

Une sorte de relecture de "Lord of the Flies" avec pètages de plombs gènèralisès en plus! Xavier Gens a voulu montrer que si on enfermait des êtres humains ensemble dans un microcosme qu'ils pouvaient finalement retomber dans une sociètè fascisante! Difficile de croire qu'il y ait eu dans le passè des expèriences de ce genre pour contrôler les esprits et ce que l'être humain pouvait faire dans un milieu clos! Dans ce Direct to DVD, Gens dèveloppe cette thèmatique et montre à quel point des individus peuvent devenir des loups entre eux pour finalement se faire du mal! L'ambiance du dèbut se fait pesante et tient en haleine le spectateur pour finir malheureusement dans un calvaire cinèmatographique où l'on peut y voir une apologie du nazisme, l'exaltation de la violence... "The Divide" n'èpargne rien au spectateur et c'est bien là le problème avec une interprètation qui tombe souvent dans la caricature (Milo Ventimiglia et Michael Eklund sont de cela). Voir la pauvre Rosanna Arquette se faire brutaliser sexuellement par deux nazillons montre les limites du film! La prèsence de Michael Biehn (impeccable comme toujours) que l'on apprècie par ailleurs n'y peut rien! Peut-être parce que cette plongèe au coeur de la folie en fait des tonnes dans l'ultra violence quasi gratuite et instantanèe! Dommage car la première partie ètait pas mal au niveau de l'ambiance...

Grosse déception pour ce huis clos vraiment pas captivant. C'est long et sans intérêt. Quel objectif? Montrer les effets de l'enfermement sur les différents personnages et leurs réactions? Si c'était ça l'objectif, il n'est apas atteint ou du moins d'une façon pas convaincante. Sans intérêt.

L'ambiance malsaine est très réaliste, les acteurs convaincants, mais le film s'essouffle vite, ça devient ennuyeux au bout de 30mn, on tourne en rond. Et la fin je trouve est bâclé. Vraiment dommage car il ne manque pas grand chose.

The Divide parvient à combiner l'ennuyeux au désagréable.Proche du téléfilm dans sa réalisation, ce huis clos souffre d'incohérences, de nombreuses scènes nauséabondes, d'autres humiliantes (surtout pour Rosanna Arquette),d'un jeu d'acteur pathétique, et d'une fin plus que décevante.A ne pas recommander!

Une bonne idée de base, un film qui commence plutôt bien avec un huis clos après une catastrophe nucléaire. puis après de la violence et encore de la violence gratuite....
Aucun intérêt !!!

je ne m'attendais pas a ça du tout ! je suis vraiment deçue ! moi qui m'attendai a voir l'heroine seule au monde dans les rues de new york et essayer de survivre apres que ses camarades soi tous mort et ben ! que de deception ! et les gars masqué il font quoi dans le film ????? lol trop violent a mon gout , trop de scene hard bref jai pas aimé !

05 / 20, Un thriller vulgaire qui ne vole pas haut, même si l'idée de départ pouvait être intéressante. Commençant banalement mais en aucun cas agaçant, "The Divide" possédait toutes les qualités pour plaire aux fans du genre. Cependant, débordant d'un scénario ennuyant pour la première partie, et d'un déroulement totalement absurde pour la deuxième partie, celui ci se révèle finalement sans intérêt et énervant (presque humiliant). Le seul avantage est la bande son qui tient facilement en haleine, mais cela ne suffit pas pour capté le spectateur. Je finis par le casting, qui n'arrive pas un seul instant à impressionner malgré la jolie Lauren German, et la tension qui n'est justement pas présente, aucun stress, aucune adrénaline. C'est à oublier.

Intéressant mais trés rémuant.. Dommage que la SF passe rapidement à la trappe. Une ambiance qui monte désagréablement en pression. De trés bonnes interprétations. J'en voulais plus sur l'histoire et beaucoup moins sur le huis clos.

Nullissime. Un début prometteur: on croit être embarqué dans un survival avec un huis-clos qui promet en tension. Bah, n'attendez rien de plus car il n'y a que ça, de la tension. Scénario inexistant. On se retrouve assommé par des scènes glauques, sado-maso, sans nécessité narrative, juste pour meubler. C'est traumatisant, bête et malsain. Abrutissant. Aucune tentative de justification quant à cette apocalypse où à la présence soudaine de quelques soldats enlevant les enfants. Des personnages qui perdent la tête et deviennent des bêtes de sexe sanguinaires...et c'est tout. En plus d'être immonde, ce film ennuie. A fuir.

Une espèce de huit-clos qui n'apporte pas grand chose avec son manque d'originalité (notamment au niveau des acteurs dans certaines situations). Je le vois plus comme un film à sensations pour adolescents. Pour les connaisseurs du style, tout est prévisible dès le départ. On sait qui meurt, qui change de comportement, qui survit, bref aucune surprise sur le scénario à l'écriture plutôt amatrice. La nature humaine évoluant dans certaines situations oppressantes a déjà été incarnée de nombreuses fois à l'écran et de bien meilleure qualité. Lorsque je vois que nous avons affaire au réalisateur du catastrophique "Frontière(s)", le résultat de m'étonne pas. Un essai de cinéma glauque et choquant, qui n'atteindra pas le but espéré du réalisateur, tant les défauts sont présents. A laisser de côté.

Un film quelques peu français classé sur fond apocalyptique a l'extérieur, dans le genre science fiction. Ou sur le début on est plus ou moins dedans. Une fois l arrivée des Robocops qui ont l air bien préparé mais là dessus et sans spoiler, laisse pas mal de question en suspens et amène le film dans un huit clos survivaliste surfant sur l horreur ou le groupe sombre peu a peu dans la folie avec des prestations correct et une évolution des personnages durant les 2h (un peu de tornmovies😉). Son déroulement une fois la base on va dire. Posé. Garde le rythme avec divers péripéties (même si certaines sont un "grosse") et tient jusqu'à la fin. A cela une petite musique "classique" (et par moment un peu plus "rythmé" mais discrète allant pourtant avec l atmosphère assez oppressant, "mystérieux"; même presque étouffant. L originalité et une quelconque logique ne sont pas les maîtres mot, mais pour ceux appréciant ce genre, c est un divertissement qui se laisse voir mais qui pourra marqué peut être quelques jours les esprits. Malgré une certaine frustation. Pour ma part, je trouve plutôt fin l'idée de faire un film avec "des creux et des bosses" pour que chacun puisse le "niveler à sa guise". La fin laissera peut être dubitatif, mais si le film c e serait concentré sur l extérieure et d autres réponses. La durée aurait sans doute aisément dépasser les 2h30.

Comme dans les jeux vidéo Fallout, une guerre atomique force un groupe de résidents à se confiner. Une cave sordide remplaçant les abris. On ne verra que subrepticement ce qui se passe à l'extérieur. Faute de moyens certainement. A un moment, on voit même des supers soldats armés jusqu'aux dents faire irruption dans ce cloaque. Il ne faut pas voir The Divide comme un gros film d'action avec plein d'effets spéciaux, des flingues et de la baston à gogo. Xavier Gens privilégie le huis-clos. Ce groupe de personnes devant cohabiter avec un leader auto-proclamé...pour un temps. C'est ça qui est fascinant. Plutôt que de se serrer les coudes, ils vont préférer se tirer dans les pattes. Il y a un peu trop d'orgueil dans tout ça. "Pourquoi c'est lui qui commande et pas moi ?" De la peur. De la paranoïa. De l'impuissance. Alors, ce qui les guette, on le voit peu à peu, c'est la folie. Ils vont devenir de vraies bêtes féroces. La survie passe au second plan. Gens va aligner les scènes gores alors que les prisonniers deviennent de plus en plus incontrôlables. Bien malin saura alors qui va s'en tirer même si j'ai eu dès le début une vague idée. D'un autre côté, s'en tirer pour quoi faire ? Vu l'état du monde dehors...

Groggy comme après une partie de jambes en l'air arrosée de coups de poing furieux, la blatte aux allures de cafard drogué s'avance dans l'Antre des mourants, la tanière où l'on vient dépérir. La fin du monde vu par Xavier Gens aurait pu s'appeler la guerre des Sexes. La pute, la Vierge et le Soumis se lancent des regards maladifs, sous le nez du Chasseur sanglant, les lèvres mollement fermées sur son cigare puant, ricane mon vieux, ricane, la porte a été violée, utopie désuète que la votre, il est dès à présent trop tard. Le mal les ronge, la folie les étouffe, l'objectif halluciné de la caméra se faufile entre les genres, défie les cris, percute les corps -en charpies. Petit à petit les chaires se putréfient, les cheveux tombent et s'émiettent dans l'atmosphère, les globes oculaires tourbillonnent en rougissant. Sur un matelas gorgé de sang, où s'amoncellent stupre et gouttes de luxure, la fin des temps, doucement s'allonge, gamine brutale, illogique et immature, prête à tout pour faire de ces instants de trêve , un cauchemar qui dure, qui dure...