Avis : Virus cannibale - Page 2

En regardant la note moyenne des spectateurs pour ce film (3/4), je me suis inquiété, mais une fois les critiques lues, je comprends. Les 4/4 ou 3/4 sont données pour se moquer du film, tant il est mauvais !

Incroyable, j'ai rarement vu un film d'horreur aussi lamentable ! On se fait chi** pendant 1h30, les acteurs sont minables, les trucages pitoyables, la musique empruntée à Romero, les doublages mal fait, bref tout est réuni pour assister au nanar parfait !

Il y a eu beaucoup de bons films d'horreur à cette époque, mais là, c'est probablement le pire qui soit !

Là encore un film Fondamental! On ne peux pas dire qu'on aime le cinéma si un a pas vu au moins un film de Bruno Matei. Celui est un pur chef d'oeuvre! Le scripte a du probablement être rédigé sur un bout de papier toilette aprés une cuite à la limonade. Les effets spéciaux sont saisissant de réalisme, c'est mieux que Planéte Terreur de Rodriguez, sauf que là c'est pas fait exprés!!!

A la fois film de zombie et de cannibale, "Virus Cannibale" est surtout un nanar que l'on a bien du mal à visionner jusqu'au bout. Certes, la mise en scène propose quelques passages bien gore, mais l'ensemble est quand même super mal filmer. De plus, l'interprétation du casting est catastrophique, le scénario se résume a bien peu de chose, les maquillages sont ratés et la photographie est très laide. Bref, Bruno Mattei nous aura concocté avec "Virus Cannibale" un film d'horreur bien naze et sans aucun intérêt.

Je ne peux pas aller jusqu'à 4 pour ce nanars complètement idiot, drôle, idiot, très idiot et gore… et très très idiot.

Pur film d'exploitation fauché, "Virus cannibale" (ou "L'enfer des morts-vivants" sic) est un nanar qui vaut son pesant d'or. La tâcheron Bruno Matei se cache derrière le pseudo Vincent Dawn, histoire de faire américain. Comment être dupe ? On est submergé par le ridicule de toutes les scènes. Pas d'histoire, pas d'acteurs, pas d'effets, des stock-shots grossiers, une seule voiture (immatriculée à Paris, franchement les mecs...), et des zombies à mourir de rire. Pourquoi déguiser un soldat en tutu et le laisser batifoler au milieu des zombies ?! Pourquoi laisser cette actrice hystérique hurler et faire semblant d'être une grande anthropologue ? Une grande scène pour elle, où, grimée en indigène elle "s'intègre" au groupe qui n'y voit que du feu... une blonde permanentée ??! Incroyable, et pourtant ils l'on fait. Triple nullité.

Virus Cannibale est, d'après les dires, le meilleur film de Bruno Mattei. C'est dire le niveau que doivent atteindre ses autres films... Réalisation grotesque, direction d'acteurs inexistante, scénario complètement débile, "héros" du genre "plus cons tu meurs", effets spéciaux pitoyables (On voit souvent que les zombies croquent dans des morceaux de viande),... Bref, le tout est pitoyable et ce ne sont pas les transitions en stock-shots animaliers (Le film ressemble parfois à un documentaire animalier) et la musique des Goblins, dont la plupart des morceaux ont été utilisé dans Zombie de Roméro, qui nous feront dire le contraire.
Si je mets une étoile, c'est parce que le film se regarde malgrès tout... et que l'on prend un malin plaisir à le lapider ensuite !!!

Assurément LE plus gros nanard que j'ai jamais vu!
C'est à se tordre de rire!

Aussi connu sous le titre « L’enfer des morts vivants », ce « Virus Cannibale » est un classique, mieux encore, un produit incontournable de cinoche nanardesque. Tout, je dis bien tout est d’un ridicule sans nom. Que ce soit l’histoire, la réalisation merdique accumulant les cadrages foireux, les montages faits au ciment et à la truelle et les faux raccords. Des acteurs recrutés dans la file d’attente à la boucherie du coin et qui sont hilarants de ridicule. Et des dialogues d’une indigence sans nom. Celles et ceux qui aiment le gore, vous êtes servis, au menu: sang, tripaille et hémoglobine, tout ce qu’il faut quoi. Vincent Dawn? Qui c’est celui là? Ah bon sang, suis-je bête, c’est Bruno Mattei, l’un des plus illustres tâcherons que le cinéma ait connu. L’un des plus grands maîtres du nanar. Car oui, là c’est un nanar de compétition auquel nous avons droit. Une vraie bouillie de cinoche. Un condensé de tout ce qu’il ne faut pas faire au cinoche qui arrive à faire encore mieux (ou pire) que « Le lac des morts-vivants » de Jean Rollin, c‘est pour dire. Pour ceux qui aiment, c’est le pied. Sur l’échelle du nanar, ce « Virus Cannibale », qui pompe ouvertement sur le « Zombie » de George A. Romero mérite la note maximale. D’ailleurs la chronique sur Nanarland est sacrément bien rédigée. Mais sur AlloCiné, on peut qu’attribuer la note minimale. Vous avez envie de vous marrer? Vous avez trois grammes de picrate dans chaque battoir? Alors n’hésitez, courez, que dis-je, foncez sur ce « Virus Cannibale » qui me semble être l’objet tout indiqué pour une poilade alcoolisée qui sera mémorable. Régalez vous !

Comment pénétrer une dangereuse jungle papoue ? Une seule solution, nous enseigne la courageuse Lia : montrer ses nichons. Et la voilà qui joint le geste à la parole. Serait-ce le plus mauvais film d’horreur de l’histoire ? Derrière le pseudo anglo-mystérieux Vincent Dawn se cache Bruno Mattei, pape du zéro cinématographique et filou hors-pair. Un rapide tour sur Wikipedia nous apprend que Virus Cannibale est truffé de scènes volées à La vallée (Barbet Schroeder, 1972) : probablement ces multiples interludes animaliers, aussi pertinents qu’un tutu dans un péplum. Les zombies ? Des figurants maquillés au talc, qui mâchouillent des bouts de bidoche faisandée en retenant un fou rire. Tellement amorphes qu’ils n’inquiéteraient pas un koala au réveil. Les héros ? Outre l’enthousiaste bimbo de service, un caméraman charismatique comme un poulpe doublé d’un quatuor de charlots en uniforme, qui roulent dans un Land Rover immatriculé à Paris. Le vrai maître à bord visiblement est l’analyste comptable : scènes d’action (ou ce qui s’en approche) repassées en boucles, acteurs multi-rôles, aspect global cheapissime. A ce niveau de totale nullité, on pose le crayon et on applaudit. -4,5/5.

Entre une scène où on peut voir un mercenaire en tutu chanter "Singin' in the rain" avant de clamser, et une autre montrant une attaque de zombies mal fagottés sur une musique risible, "Virus Cannibale" se pose là dans le registre du navet intersidéral (et intersidérant). Affligeant, à voir au 134ème degré, éventuellement.

Interessant film. Merci les Goblins. Après le scénario et la vraisemblance s'efface a l'égare d'un réalisme gore et de seins très chatoyants...

LE film qui a marqué à jamais l'histoire du cinéma en général et les films de zombies en particulier. Il suffit de voir une personne se faire dévorer par un de ses congénères, et dès le plan suivant d'apercevoir un singe qui saute dans les arbres pour prendre conscience de la portée métaphysique et de l'exploration du subconscient que le réalisateur a su trouver malgré une approche qui peut paraitre assez anodine. Le message final qui est délivré ne cessera de vous hanter, et pourra même vous faire comprendre que le monde dans lequel nous vivons n'est fait que de oui et de non.

C'est beau... Surtout ne me pincez pas, ne me laissez pas sortir de ce rêve allègrement zombiesque.

Mise en boîte par Bruno Mattei, se cachant ici sous le pseudonyme de Vincent Dawn, une incommensurable série Z « à l’italienne », dans laquelle il ne se passe pas grand chose, si ce n'est qu'une bande de bidasses stupides et une journaliste effectuant des aller-retour avec leurs vieilles jeep pourries dans un petit bois espagnol censé représenter un endroit en Nouvelle-Guinée, et déblatérant des dialogues intergalactiques jusqu'à plus soif. Mattei pratique par ailleurs à tire-larigot le stock-shot animalier et musical, afin d'éviter que le spectateur gagne le sommeil profond. Quant aux amateurs de joyeusetés « Gore », ces derniers passeront leur chemin: excepté deux petits effets spéciaux minables, mais au demeurant sympathique (un chat qui sort du bide d'une vieille zombie, puis la journaliste qui se fait arracher la langue par les macchabées avant de se faire doublement énucléer par voie interne; c'est tout et c'est bien maigre), l'on est bien loin, à titre d'exemple, de l'hallucinante boucherie du ZOMBIE du Romero. Un sinistre torchon pelliculaire, d'un rare ennui.

Involonterement très drole voire plus que certaines comédies...
L'interprétation, la musique, le montage (aah... la merveilleuse jungle du film), les effets spéciaux (le film est bien gore), les dialogues et aussi le fameux doublage (!!!) tout est risible pour notre plus grand plaisir. Même si pour un nanard c'est un petit peu long...
Quelques effets de mise en scène s'avèrent tout de même interessents.