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    2 Days In New York
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    382 critiques spectateurs

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    Julien D
    Julien D

    1 109 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    Il semblerait que Julie Delpy s’en sorte finalement mieux aux Etats-Unis qu’en France… ou qu’elle a acquis un peu de maturité depuis ses précédentes réalisations! Quoiqu’il en soit ici, ben plus que dans "2 jours à Paris" dont ce film se dit être la suite, l’actrice-réalisatrice semble avoir su manier de manière très astucieuse la verve comique liée aux situations rocambolesques qu’elle se créé pour en tirer d’excellents dialogues et une réflexion satirique sur l’écart entre les cultures américaine et française. Chris Rock est meilleur que jamais et est, pour une fois, le seul à ne pas être enfermé dans un personnage tristement caricatural. La mise en scène permet de donner une jolie image de New York mais, dans l'ensemble, reste assez fade, ne ressemblant qu’à une banale comédie de théâtre filmée. Le résultat est inégal mais drôle et plein de vie.
    Christoblog
    Christoblog

    744 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2012
    Je me souviens à peine du premier film de Julie Delpy, 2 days in Paris, et il y a fort à parier que 2 days in New York suive le même chemin vers mes neurones oubliettes.



    Ce n'est pas que l'expérience soit désagréable. Elle est même au début assez plaisante, bien que jouant sur l'éternelle image des Français indisciplinés, bouffeurs de cochonailles et querelleurs. Les Gaulois, quoi ! Ici le petit plus est apporté par un Chris Rock ahuri et civilisé, qui entretient de long dialogues avec une effigie d'Obama. Le père de Julie Delpy himself est très bien en vieil anar victime d'un récent veuvage.



    Pour le reste pas grand-chose à signaler. D'un point de vue formel, le film essaye plein de trucs assez moyens et très hétéroclites : voix off, théâtre de marionnettes, photos de famille, montage hyper-rapide. Le scénario s'épuise vite, tourne un peu à vide vers le milieu du film, esquisse quelques pistes non exploitées pour finir en happy end consensuel. Le meilleur moment du film est probablement l'apparition de Vincent Gallo en acheteur d'âme anonyme.



    A voir à la limite. D'autres critiques sur Christoblog : http://www.christoblog.net/
    alain-92
    alain-92

    305 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2012
    Ce nouveau film de Julie Delpy est un bon moment de cinéma. Impertinents, les dialogues sont souvent savoureux, en revanche les situations décalées tombent un peu dans l’excès. À l’exception de ce léger bémol, j’ai beaucoup apprécié le jeu des comédiens. Chris Rock en particulier, perdu entre sa vie américaine mise à mal avec les traditions françaises, toutefois trop exagérées. Albert Delpy en vieux libertaire et grand-père gâteau, à la fois. Et Julie Delpy, qui joue, réalise, compose, écrit, qui fait tout, ou presque, mais avec une réelle énergie et belle bonne humeur. http://cinealain.over-blog.com/article-2-days-in-new-york-101177650.html
    Laurent C.
    Laurent C.

    238 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2012
    Voilà un joli film qui, à lui seul, réunit tous les ingrédients pour sa réussite : le ton est léger et profond à la fois, l'ambiance est joyeuse et tourmentée, les personnages sont attendrissants. Et New York est belle ! La véritable réussite de ce film c'est qu'il ne succombe à aucun stéréotype !
    Gonnard
    Gonnard

    217 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 août 2012
    Une suite placée sous le signe du graveleux. La qualité des dialogues qui caractérisait le premier épisode disparaît au profit d'une ribambelle de blagues grasses version Grosses Têtes au mieux, Jean-Marie Bigard au pire. Si dans "2 days in Paris" Julie Delpy restait border line quant à la grivoiserie, ici elle desserre complètement le frein à main pour atteindre un humour d'une beaufitude affligeante. Quelques passages restent toutefois remarquables, tel ce monologue de Chris Rock devant une pancarte d'Obama, mais ces moments de bonheur intellectuel se font trop rares.
    pitch22
    pitch22

    147 abonnés 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 avril 2012
    Julie Delpy signe un script de délire foldingue qui comporte une dose de dérision... malheureusement surchargé d'un humour particulièrement gras et d'un esprit lourdingue. C'est parfois rigolo, certes, mais aussi consternant à la fois de vulgarité et d'exagération: on se prend les clichés à la pelle, on avale des conneries sans baisse de rythme, ce qui permet de remplir le vide de sens du film... spoiler: Même le concept de vendre son âme dans une galerie d'art, issu d'une négation (du moins d'une sérieuse mise en doute, vu le regret in fine) de cette notion, appuyée par l'idée que sa défunte mère ne lui aurait «pas fait de signe», sonne de manière triste et désolante: il y a de quoi s'interroger sur l'intelligence culturelle de la cinéaste (puisqu'elle en a réitéré la position sur une radio). En tous cas, il est dommage de ne pas voir Vincent Gallo, en caméo plusé, dévorer son contrat d'achat d'«âme».
    Malgré une mise en bouche pseudo-allenienne, on se rend vite compte qu'on évolue très loin de Woody Allen, d'autant que la mise en scène ne délivre aucun charme, à l'image de l'affiche. Le comique reste ou très porté sur le sexe, façon culcul, ou grossier, généré à partir de situations et d'échanges impropables, entre boulettes et prises de tête. On s'étonne, entre incrédulité et consternation, de certaines réparties, tellement c'est du grand n'importe quoi. Le passage grotesque dans l'ascenseur en constitue un des points d'orgue... spoiler: Face à la prude voisine qui menace de la faire expulser -ridicule- en raison de la brève agitation la veille de ses deux invités délurés, parmi lesquels sa timbrée de sœur, Julie alias Marion invente un échappatoire et lui répond, en anglais, «tu veux me foutre dehors sur mon lit de mort (avec ma tumeur au cerveau), salope?!».
    C'est énorme donc drôle mais aussi lamentable et atterrant. Si ça n'est pas une enfilade de blagues déjà vues (confrontées à la réalité ricaine) sur le côté exubérant façon joyeux bordel de l'esprit gaulois, comme la bouffe qui pue, le manque de retenue et les familiarités, la promiscuité, la fumette, une tendance exhib, les bonnes intentions maladroites ou la politesse balourde, c'est l'esprit provocateur, chamailleur, cyclothymique, qui prend le relais. On retrouve une partie des acteurs de 2 Days in Paris mais ça diffère pas mal. La disparition de Marie Pillet (la mère de Julie) donne lieu à un hommage appuyé, mais il se trouve gâché par une allégorie d'envoi qui tombe à plat spoiler: (la libération d'un pigeon à Central Parc)
    et par une absence quasi fantomatique lors du retour sur images concernant la jeunesse du père, Albert alias Jeannot. Le gros Albert Delpy offre en passant quelques séquences hautes en couleur en incarnant génialement ce papy vulgaire au possible, visage rougeot et verre de rouge à la main; un personnage bien évidemment caricatural, irritant, mais très rigolo. Quant à Chris Rock, qui ne semble pas vraiment amoureux de Marion, ses sempiternels monologues, en particulier ceux adressés à Barack Obama, finissent par éreinter (interventions peu ou pas drôles). D'ailleurs, les références plus ou moins sympathiques à l'égard d'Obama sont d'une insistance indigeste. On tente de saisir la logique de tout ça or il n'y en a pas, si ce n'est faire du remplissage pendant deux jours (un peu plus, en fait) en agitant une galerie de caricatures moqueuses et en alignant une série de situations cocasses et loufoques. Seulement, le soufflé finit par retomber et l'on patauge dans une bouillie de plats quiproquos. Desservie par une absence de profondeur et de finesse, l'histoire glisse clairement dans une fuite en avant chahutée associée à un ramassis de blagues faciles, qui compilent les divers genres et effets (comique de situation, de caractère, de mœurs, de gestes, provocateur gentiment trash limite pipi-caca, sous-entendu complice...) mais sans originalité ni ressort. Une comédie marrante pour son esprit immature mais navrante pour sa pesanteur comique, qui entrave son envol.
    Parkko
    Parkko

    137 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2012
    2 Days in Paris m'avait fatigué à la longue. J'ai mieux tenu la distance avec 2 Days in New York. Et pourtant Julie Delpy n'y va pas avec le dos de la cuiller. Loin de là. Bon, commençons par dire que Julie Delpy et Woody Allen n'ont rien en commun à part se la jouer intellectuel ayant réalisé un film à New York. Voilà. C'est dit. Car autant j'aime Julie Delpy, autant elle n'a pas du tout le talent d'un Woody Allen, ni dans la mise en scène, ni dans l'écriture du scénario, ni dans celui des dialogues. Donc ça m'énerve un peu de voir que certains les compare à tout va comme ça.

    Bon, sinon j'ai bien aimé le film, il a une sorte de fougue assumée, de côté complètement décalé, sauf que ça ne marche pas toujours. Y a des moments c'est trop appuyé, parfois c'est vraiment pénible, et le film fait l'effet ainsi d'agacer et de réjouir d'une scène à l'autre. Un fourre tout déjanté qui a le mérite de se vouloir absolument barge.
    Thierry M
    Thierry M

    133 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2012
    J' ai mis un certain temps avant d'entrer dans l'univers de Julie Delpy, j'avoue que je le regrette. Cette femme n'est pas une realisatrice comedienne comme les autres. La contesse il y a 2 ans , le skylab l'année derniere, etait fanstastique. Alors la , j'avoue que ce 2 days in new york est totalement delirant , et nous fait oublier tout nos soucis pendant 1h30. Je n' ai pas vu la version a Paris, mais je vait m' empresser de remedier a cela. Continuez comme ca madame Delpy.
    BeatJunky
    BeatJunky

    124 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2016
    Tout aussi réussi que le premier essai voire plus ! On retrouve avec un grand plaisir la jeune femme quelques années après son séjour à Paris avec son ex-copain (Adam Goldberg dans "2 days in Paris") avec qui elle a eu un enfant mais elle n'a pas changé de caractère !!! Toujours aussi originale avec sa mise en scène façon documentaire et ses dialogues poilants, on la voit cette fois-ci accueillir son père, sa soeur et son lourdeau de mec à N.Y à qui elle va présenter son nouveau chéri: l'excellent Chris Rock! Nouveau choc des cultures! C'est peut être un poil trop exagéré et plus poussif que dans le premier épisode, certaines situations et blagues sentent aussi un peu le réchauffé mais ça reste une excellente comédie dynamique(pas une seconde d'ennui!) et originale à laquelle beaucoup comme moi, pourront s'identifier ... Merci encore à Julie Delpy pour cet agréable moment divertissant !
    orlandolove
    orlandolove

    115 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mai 2012
    Étrangement surcoté par la quasi totalité de la presse, "2 Day in New York" est une comédie juste honnête, parfois amusante mais bavard et poussant surtout la caricature un peu loin. Si vous voulez rigoler un bon coup, préférez "Radiostars".
    NammJones
    NammJones

    97 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    Très bonne surprise, surtout venant de Chris Rock, qu'on avait oublié depuis quelque temps.
    Le mélange de langue est assez surprenant mais mets une touche de réalisme à ce film plutôt atypique. Certaines scènes sont tellement bien jouées qu'on a vraiment l'impression de vivre un événement normal dans une famille.. normale.
    Une petite comédie très sympa à voir sans hésiter.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 mars 2020
    J’avais plutôt un assez bon souvenir de 2 Days in Paris, mais il faudrait peut-être que je le revoie parce que cette suite m’a paru insupportable. Petite voix off donneuse de leçons pour encadrer une comédie poussive qui tente maladroitement de jouer du choc des cultures (quelle originalité !). On a droit à une caricature de Français complètement débiles, que le scénario voudrait regarder avec tendresse, mais que j’ai détestés au bout de trois minutes. C’est assez mal filmé, pas toujours bien écrit, fade, parfois mal joué (l’actrice qui joue la soeur est une calamité) et imprégné d’une autosatisfaction récurrente chez Delpy, qui regarde toujours ses propres défauts avec complaisance, comme si c’était de charmantes petites excentricités.
    Cluny
    Cluny

    66 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2012
    Je n'ai pas vu "Two Days in Paris", ni à sa sortie, ni depuis ; je n'ai d'ailleurs vu aucun des films réalisés par Julie Delpy, et s'ils présentent l'intérêt d'un regard neuf, mes commentaires enfonceront peut-être des portes ouvertes pour ceux qui ont vu la première comédie sentimentale (plus comédie que sentimentale) de la réalisatrice franco-américaine. "Two Days in New York" se présente comme la suite de l'opus parisien, même si les aléas de la vie (décès de Marie Pillet, la mère de Julie Delpy qui jouait la mère de Marion) ou de la production (Adam Sandler laisse sa place à Chris Rock, Julie Delpy voulant éviter que cela rappelle trop l'autre dyptique au scénario duquel elle a participé, "Before Sunrise"/"Before Sunset") conduisent à des changements importants dans la vie de Marion, expliqués dans une scène introductive où elle présente sa famille recomposée à l'aide de marionnettes (les créatures de Marion ?).
    Ce match retour se joue donc à New York, et le mécanisme déclencheur du décalage culturel ne sera plus celui de la jalousie d'un américain phobique confronté aux ex de sa compagne française, mais l'irruption de ce que Julie Delpy elle-même qualifie d'anarchistes gaulois au pays du politiquement correct. Mingus, son nouveau compagnon, fait partie de la nouvelle bourgeoisie noire, et ce n'est pas un hasard s'il a un portrait en carton d'Obama grandeur nature avec qui il converse dans son bureau. Journaliste à The Voice, il anime aussi une émission de radio, et espère pouvoir interviewer le président quand celui-ci viendra à New York. Loin de la caricature du black amateur de rap, il manifeste son adhésion à l'american way of life par son rejet des joints, des éclats de voix et de l'impudeur, autant de caractéristiques qui définissent sa belle-famille.
    Le père de Marion et le copain de sa soeur, et accessoirement son ex non prévu au voyage, restent bloqués quatre heures à la douane pour avoir essayé d'introduire en fraude 15 kg de saucisses et de figatelli. Voilà qui nous donne une idée de la subtilité du scénario, particulièrement quand il s'agit de la famille de Marion, puisqu'au père qui raye les limousines et au petit copain qui fait venir un dealer dans l'appartement de Marion, il faut ajouter la soeur exhibitionniste et hystérique qui exerce le beau métier de psychologue scolaire. On ne choisit pas sa famille, dit le proverbe ; Julie Delpy avait cette liberté, le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle ne l'a pas gâtée.
    A l'époque de "Two days in Paris", Julie Delpy disait : "Croyez-moi si vous voulez, mais les seuls qui en aient un peu pris ombrage, ce sont les Français : il y a une vieille tradition en France qui fait qu'on ne critique pas les défauts des Français. Les Français sont parfaits, c'est bien connu !" Facile de reprocher aux spectateurs français leur chauvinisme et leur manque d'humour, surtout quand cela évite de s'interroger sur la lourdeur de certaines scènes basées uniquement sur des clichés (le père qui ne se lave pas, le beauf sans-gêne, la soeur donneuse de leçons) et sur le jeu catastrophique d'Albert Delpy. Les travers des Américains sont présentés avec plus de finesse, comme le revirement apitoyé de la voisine qui s'apprêtait à demander l'expulsion de Marion lorsque celle-ci lui apprend qu'elle a une tumeur de la même nature que la mort de la mère d'Antoine Doinel, ou l'inquiétude de Mingus devant la morbidité du déguisement d'Halloween de sa fille.
    Débarassée de la famille d'envahisseurs insupportables, l'histoire comporte un certain nombre de bonnes idées, comme la vente aux enchères conceptuelle de l'âme de Marion, ce qui nous vaut une apparition de Vincent Gallo, ou une scène assez savoureuse basée sur la traduction approximative par Manu de la conversation entre Jeannot et Mingus, même si certaines de ces idées ne sont pas exploitées jusqu'au bout, comme celle du personnage de Lukas (Daniel Brühl) qui apparait à la télévision comme la Fée des chênes, un activiste écologiste qui grimpe dans un arbre de Central Park pour en empêcher l'abatttage (idée déjà vue dans " Little New York").
    La principale qualité du film, certes importante, réside dans l'indéniable sens du rythme dans l'écriture et le montage, symbolisé par la bonne idée de résumer la visite touristique de New York par un diaporama accéléré. Les scènes s'enchainent, les répliques fusent, et on oscille entre la référence à Woody Allen (pour la diarhée verbale des personnagse et la place du décor New Yorkais) et les sitcoms (pour la platitude frontale de la réalisation et le jeu de certains acteurs). Mais cette énergie et la drôlerie de certaines situations ne suffisent pas à faire oublier le sentiment de gêne que l'on éprouve trop souvent devant tant de balourdise.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    63 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2014
    Pour son deuxième film sur le choc des cultures française et américaine, Julie Delpy déplace cette fois-ci l'action aux Etats-Unis. Et le moins que l'on puisse dire c'est que c'est réussi. Entre des français crades, pervers et déjantés et un new-yorkais sympathique et compatissant la rencontre fait des feux d'artifices. Le résultat est frais, vigoureux et décalé, l'humour n'est jamais trop facile, et les acteurs sont tous aussi bons les uns que les autres. La seule chose que l'on pourra regretter, c'est le scénario, qui n'est guère original et que l'on a déjà vu et revu. Mais on ne boude pas son plaisir. Un bon moment à passer en famille.
    belo28
    belo28

    62 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2012
    Après une première partie d'une inventivité fulgurante et qui fait preuve d'une maîtrise d'écriture digne des plus grands Woody Allen, le tour de force s'estompe. Et ce n'est pas la Faute de Chris Rock qui se donne du mal pour ça, peut être Julie Deply qui cabotine... Non c'est surtout la faute à un scénario qui devient prévisible et qui n'arrive même plus à arracher les sourires escompter. SI bien qu'une heure et demi ça peut paraitre long à force...
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