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    The We and The I
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    3,2
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    181 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 décembre 2012
    Ici, le talent de Gondry se manifeste clairement par le fait qu'il n'utilise qu'un simple bus en guise de décor avec pour arrière plan les rues "charmantes" du Bronx. C'est admirable de voir que l'on peut se débrouiller à faire un bon film avec du fond, un aspect vraiment réaliste (notamment en remarquant les personnages qui sont "vrais", sans maquillage, sans artifices, sans les mensurations qu'on nous impose à longueur de temps dans les magazines, juste naturels) sans sortir un budget faramineux de sa poche. John Carter, lui qui fut produit par les studios Disney, avec 300 millions de budget s'est annoncé comme un flop, comme un véritable échec commercial.

    Chez Gondry, le décor, similaire du début à la fin, n'empêche en rien une évolution remarquable de l'histoire ; les "vrais" acteurs, on peut le dire, ce sont les acteurs, "physiques", j'entend bien. Cette affirmation a l'air évidente dite comme cela mais il s'agit de tout l'inverse dans beaucoup de films qui ont beaucoup de succès auprès de la population "cinéfile", notamment auprès des jeunes, il s'agit de la plupart des blockbusters, ce qui est bien dommage (non pas pour le fait qu'ils soient quasiment nourris uniquement d'effets spéciaux mais pour les conséquences hypercommerciales engendrées par ce type de film). Les gens ont tendance à être attirés par des films interprétés pas des stars mondiales, souvent américaines, dans lequel sexe et baston font bon ménage, et si possible dans un cadre spatio-temporel irréaliste, voire merveilleux. Cela les distrait, les font voyager le temps d'une heure et demi. Et après ils retombent cruellement dans la réalité.

    Chez Gondry, les acteurs ne sont pas connus, cela se voit qu'ils ont tous un âge "normal" pour être au lycée (15-17 ans) ce qui est parfois inconcevable dans certains films où les lycéens sont mis en scène dans des ébats sexuels souvent mal considérés pour leur âge. Pour cela, on demande à des personnages plus âgés (d'une vingtaine d'années), qui ont du coup dit depuis longtemps "bye-bye" à l'acné et qui ne savent même plus quand ils ont copuler pour la première fois, d'incarner ce type de rôle. Et pourtant, les personnages aussi jeunes que ceux qu'ils représentent sont tout simplement "vrais", je le répète, ils sont même parfois plus talentueux de par ce naturel probant que certaines stars télévisuelles qui n'ont qu'un seul but, celui de déployer leur narcissisme derrière un personnage manichéen. Les personnages de "The We and The I" ne sont pas soit "gentils" soit"méchants", ils sont tous différents les uns des autres et chaque personnage a lui même un caractère, une sensibilité qui évolue, change tout au long du film. Plus le nombre de passagers diminue, plus l'on se porte sur la personnalité réelle des derniers. Ils sont comme révélés lorsqu'ils ont quitté leur bande derrière laquelle ils se cachaient, une bande qui s'unit pour construire une carapace superficiellement violente et méprisante à l'égard des autres. Le film se divise d'ailleurs en ces trois parties volontairement mises en avant par le réalisateur qui réussit humblement à les dissimuler dans l'étroit décor du film : "les tyrans", "le chaos", "le je".

    Même si on peut trouver incroyablement long le trajet entreprit par le bus, on ne se lasse pas une seconde. On se laisse porter par la camera de Gondry qui réussit à passer de tête en tête, de groupe en groupe avec une facilité, un naturel déconcertant, puisque même s'ils sont disposés en groupes, ces individus intéragissent directement ou indirectement ensemble. Les courts et fréquents passages qui mettent en scène des vidéos amateurs soulignant le discours des adolescents, des vidéos montrant ces personnages dans des situations déconcertantes voires navrantes, servent même de transition, entre les parties de ce film.

    Un défaut? Parfois la vraie vie peut être ennuyeuse à vivre mais surtout à regarder quand on se place au niveau de sa continuité. C'est peut-être ce qu'on peut reprocher à ce film, le fait d'être "trop" réel, comme si que l'on était un fantôme, un être invisible et que l'on regardait cette longue scène d'une heure et quarante trois minutes sans jamais fermer les yeux. La plupart des films, il faut le dire, sont inscrits dans un cadre temporel très long, parfois pouvant atteindre des dizaines d'années, comme si que leurs réalisateurs voulaient axer le film sur un seul sujet et balayer tous les autres, sur l'action la plus commerciale, et supprimer tous les autres actions qui auraient pu figurer dans le film. Donc, est-ce vraiment un défaut?
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 avril 2013
    Ce film dépasse la moyenne grâce au côté déjanté de Gondry, mais c'est tout.
    Je n'ai pas trouvé grand intérêt à ce film, tout simplement parce que je pense que la France n'est pas ciblée par celui-ci ; on ne comprend pas forcément les tenants et aboutissant de cette "fenêtre" sur la jeunesse américaine qui rentre chez elle par le bus scolaire, arrêt après arrêt.
    Qu'est ce qu'il a voulu montrer ce cher Michel ? Qu'est ce qu'il veut nous dire ? Je n'ose croire que c'est un film de commande (auquel cas il n'a rien de spécial à dire), donc quoi ? Pourquoi ?
    Bref, c'est tout de même bien joué, bien filmé, on s'attache un minimum aux personnages. Mais clairement il faut garder à l'esprit ce côté "fenêtre" en tête, tout simplement parce que nous ne sommes que purement spectateurs, on n'est pas dans une position omnisciente à qui on explique tout, comme d'habitude.
    Donc 3 étoiles bien méritées, mais je ne saurais pas trop conseiller ce film. Peut-être ne l'ai-je pas compris correctement, mais il ne m'a pas vraiment touché ni vraiment plu.
    Si vous êtes un minimum curieux, allez-y, c'est toujours mieux que la majorité des bobines qu'on nous sort habituellement !
    A bon entendeur !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 octobre 2012
    J'ai longuement hésité avant d'aller voir ce film,et bien j'aurai mieux fait de m'abstenir. Ce n'est même pas du niveau d'un documentaire pour la télé! c'est vulgaire, hyper bruyant, vraiment sans aucun intérêt.
    Comment peut on dépenser de l'argent pour faire ce genre de film?
    J'ai abandonné au bout de 3/4 d'heure, en espérant qu'il se passerait autre chose de "constructif" et bien non!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Economisez votre entrée.
    traversay1
    traversay1

    3 114 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 septembre 2012
    Michel Gondry n'en est pas à une expérimentation près. The We and the I part d'un concept amusant. Il se déroule quasiment intégralement dans un bus qui ramène des lycéens du Bronx chez eux, après la dernière journée de classe. Inutile de dire que c'est bavard, cahoteux, à travers des conversations de cul, des petites humiliations et des tranches de rigolade. Gondry insère des vidéos, des textos et des scènes fantasmées dans un bric à brac dont la logorrhée s'avère lassante. On a l'impression d'assister à une version cinéma d'un long morceau de hip hop avec ses changements de rhytme, ses trouvailles visuelles et ses contre-champs des immeubles du Bronx. Foncièrement, c'est un nouvel exercice de style du cinéaste, que certains devraient trouver formidable. Ou prodigieusement agaçant, au point de vouloir quitter la salle au bout de trente minutes.
    cylon86
    cylon86

    2 263 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    Pourquoi ? C'est la question que l'on a envie de poser à Michel Gondry après avoir vu ce film où son style semble s'être évaporé devant un sujet aussi peu intéressant. Le principe est une bonne idée : filmer en durée continue les passagers d'un bus du Bronx de son départ jusqu'à son arrivée, juste après la fin des cours. Le bus étant évidemment peuplé d'une multitude de jeunes lycéens tous différents qui forment un archétype à eux tous. Mais qu'y a-t-il à filmer dans ce bus ? On sent que Gondry s'attache à certains thèmes, certaines relations mais qu'il ne parvient pas à les faire aboutir. Il faut dire que sa galerie de personnages est désastreuse : ce sont tous des clichés auxquels on ne s'attache pas et dont les préoccupations nous sont lointaines. On se fout complètement de ce que ressent la petite pétasse du lycée aussi bien qu'on se fout des sentiments de la racaille pas vraiment comme les autres. Alors passée la fascination du début on s'ennuie et la dernière demi-heure peine à se finir. Quand vient la fin du film, on est soulagés de quitter ce bus et on n'est pas prêt d'y remonter !
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    253 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juin 2012
    Sacré concept que celui du dernier film de Michel Gondry, déjà entrevu dans Get on the Bus de Spike Lee. En effet, c’est un huis-clos dans un bus scolaire, avec les personnages qui descendent au fur et à mesure, parfois en pleine storyline, comme de vrais passagers.

    Interprété intégralement par des acteurs non professionnels, gardant très souvent leurs vrais prénoms, The We and the I dégage une telle énergie digne d’un premier film qu’on ne peut qu’être passionné par une telle œuvre, honnête, pas parfaite, drôle, émouvante et sacrément réaliste. Michel Gondry y utilise son talent visuel pour mettre en image un film sans histoire, certes, mais un film passionnant, très peu écrit et pourtant recelant de quelques bons mots vraiment bien sentis. Certaines storylines sont plus intéressantes que d’autres, certes, mais le mélange de toutes celles-ci donne un mélange détonnant où on découvre de futurs bons acteurs, comme Michael Brodie, Raymond Delgado ou Meghan Murphy. La bande-son est d’une perfection sans nom, hip-hop old school clairement adapté à la situation. On passe sans cesse de la caméra normale à des vidéos de portables, preuve d’un montage très rythmé.

    Plus intelligent qu’il n’y paraît, The We and the I est un film fabuleusement inventif, étonnant, profond et surprenant. Il faudra lui faire un triomphe à sa sortie.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    235 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2015
    Gondry arrive à nous tenir éveillé pendant 1h40, avec des gamins dans un bus. Ce huis clos en dit long sur la jeunesse populaire américaine, bien plus que tous ceux qui se passent entre les quatre murs d'une classe. On a là les réactions brutes et spontanées de jeunes, à la limite entre fiction et réalité. On passe donc par toutes les phases et tous les sentiments. Le plus intéressant réside dans les multiples interactions entre les divers personnages. Et les jeunes sont épatants de justesse et sincérité. Une expérience cinématographique qui vaut le coup d'œil, assurément.
    Nyns
    Nyns

    189 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2016
    Le The We and the I de Michel Gondry est clairement un projet atypique qui a la faculté qu'ont certains films d'en faire oublier la fiction à tel point que le spectateur fini par se croire en plein documentaire. A la question : est-ce réaliste ? Je réponds évidemment oui sans hésitation. Filmer le trajet after school d'une bande de jeune le dernier jour de cours avant les grandes vacances dans leur bus peut sembler étrange mais il en ressort tellement de constats réels que l'on avait oublié qu'à vrai dire ce film fait du bien. Et même si l'on a une classe sociale défavorisée (originaire du Bronx) dans le viseur ça reste assez universel : les jeunes sont cruels entre eux, chacun essaye d'exister aux yeux des autres à sa manière, et l'intolérance est de paire avec l'adolescence, souvent. Alors je reste un peu sur ma faim, j'attendais sûrement plus de changement concernant certains personnages, mais globalement c'est suffisamment culotté pour que j'apprécie. Parfois choquant, parfois drôle et même parfois triste, on passe par toutes les étapes d'une classe d'âge ou les changements et les évolutions sont exponentiels. Ça a déjà été dis mais la VO est à privilégier, c'est souvent le cas de toutes façons. En coupant les plans "road movie" par des vidéos ou des souvenirs, Michel Gondry a eu la bonne idée de rendre son récit plus dynamique (même si déjà avec les dialogues c'est quelque chose). Le seul problème est qu'il y a trop de personnage, c'est dur au début de faire les liens entre eux, certaines histoires sont moins passionnantes que d'autres, du coup l'émotionnel ne se présente jamais de façon scotchante même si globalement c'est un film bien foutu que l'on garde en tête. Un bilan générationnel original et mené avec brio.
    Sebmagic
    Sebmagic

    158 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    Un film très humain qui s'intéresse ici à une bande d'adolescents dans un bus scolaire. Gondry regorge d'idées pour ce film où chacun des personnages est passionnant, la panoplie des caractères et des émotions est large et il en faut peu pour nous faire passer du rire au drame. Le personnage d'Elijah m'a apporté un sacré nombre de fous rires grâce à un comique de répétition très efficace.
    Sébastien D
    Sébastien D

    94 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2014
    Un huit clos intéressant dans un lieu insolite. On s'attache aux personnages, certains se révèlent intéressants et profonds quand d'autres nous énervent par leur comportement. C'est souvent drôle et l'évolution est plutôt bien. A voir.
    NammJones
    NammJones

    97 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2013
    N'ALLEZ PAS LE VOIR EN VF !
    C'est d'ailleurs une honte de faire des doublures de cette façon ! La société en question mérite le bagne !! Quelle honte !! Une chose est sure, elle manque de respect envers tous les spectateurs !!

    En dehors de ce détail d'importance capitale, c'est un film qu'on pourrait appeler reportage, tant il est réaliste et joué de façon simple par ces jeunes acteurs.
    Rien de nouveau cependant et l'adolescence ne change pas, on n'apprendra donc rien.
    Néanmoins, pour la mise en scène, c'est à voir.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2013
    Enfin un film juste et sensible sur les jeunes des banlieues. Loin de tous les poncifs,Gondry filme avec énergie ces jeunes dans un autocar. Ce road movie livre une vision épatante sur ces jeunes et offre une réflexion intéressante sur le comportement au sein d'un groupe face au comportement individuel. Des jeunes plus que crédibles, une bande son d'enfer, des apartés où Gondry développe son gout pour l'image, un chouette film.
    MadAngelus
    MadAngelus

    47 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 septembre 2012
    Michel Gondry parvient une fois encore à surprendre, en faisant de ce film qui aurait pu etre une oeuvre technique prétentieuse intellectualisée, un grand moment d'émotions entremêlées dans la trame narrative chapitrée, finalement assez classique, du "We" exubérant, drôle et parfois stupide au "I" beaucoup plus sincère, et finalement assez triste, dont un personnage est finalement le personnage principal, un personnage tellement réaliste.. Je ne sais pas à l'heure actuelle si c'est juste un grand film ou alors un Chef d'Oeuvre, mais ce que je sais, c'est que c'est un grand moment de cinéma à vivre, alors vivez le.
    Thomas P
    Thomas P

    25 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2012
    Un huit clos mobile très intéressant. Michel Gondry nous offre une expérience qu’il est difficile de percevoir autour de nous. Comment nous nous comportons selon notre entourage, nos relations mais également une fois seul à seul ? En gardant un fil conducteur qui explosera à la fin, toutes les petites discussions entre amis prennent de nombreux sens et de nombreuses apparences parfois étonnantes. Michel Gondry montre qu’avec une vingtaine de jeunes et un bus, on peut parvenir à un beau résultat loin d’être ennuyant.
    Auto
    Auto

    23 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2013
    Pour nous faire patienter avant la sortie de L’écume des jours, Michel Gondry nous propose un projet de moindre envergure. Sorte de Speed dans lequel la sociologie aurait remplacé les explosions, The We and the I est un huit clos se déroulant dans un bus du Bronx la veille des vacances scolaires. Comme le titre le laisse présager, du groupe, le film va progressivement s’intéresser à l’individu et souligner l’écart de comportement du jeune lorsqu’il est en tribu et lorsqu’il est seul.

    On sent bien ici la volonté de traduire sur pellicule la vitalité de cette jeunesse des quartiers (Montage dynamique, musique omniprésente, cellulaire traité comme un personnage à part entière…) mais comme pour Polisse, cette enthousiasme pour un monde auquel le réalisateur est étranger et ce désir de capter le prisme des émotions propres à l’adolescence abouti même si les acteurs sont censés jouer leur propre rôle à une galerie de personnages stéréotypés pour la plupart et à des maladresses comme l’insupportable et pas subtil du tout chantage à l’émotion qui a leu à la fin du film (Je ne vais pas spoiler). Mais bon, on me répondra sans doute que je ne peu pas reprocher à Gondry d’être bien né et pour contrebalancer ma critique, on évoquera la sincérité de sa démarche.

    Arrêtons-nous sur la démarche Gondry justement. Grossièrement on peut distinguer deux Michel. Le Mc Gyver bricoleur adepte du système D et l’autre plus académique qui s’illustre dans des documentaires ou des œuvres de commande. Si The We and the I appartient plus à la deuxième catégorie, les attributs qui font la première ne cessent d’essayer des s’y immiscer lorsque l’occasion se présente notamment dans les scènes où sont reconstitués les récits des élèves. Après le personnage de Joel Barish qui tiens un journal intime illustré, de Stephane Miroux qui s’invente une émission de télé ou du réalisateur excentrique d’Intérieur design , ce sont les deux dessinateurs qui occupent ici le rôle des artistes autodidactes présent dans tout les films de Gondry. Alter égo du réalisateur ces personnages à l’apparence banale auxquels il est facile de s’identifier servent aussi je pense au real de messagers pour inciter le spectateur à faire éclore le créateur qui sommeil en lui et ça c’est une belle chose.
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