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    Putty Hill
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    26 critiques spectateurs

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    Lucille T.
    Lucille T.

    34 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2011
    Overdose, anglicisme : absorption excessive (d'une drogue) pouvant entraîner la mort.

    Un peu de toi au compte goutte qui m'entraîne un état de manque permanent.
    No Spoiler
    No Spoiler

    17 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2013
    Étude de mœurs esthétisante très proche de Gus van Sant, sur les ados d' un microcosme pavillonnaire de la middle class de Baltimore. Les techniques documentaires de l'interview au service d'une fiction. On s'ennuie, il faut bien le dire...
    César D.
    César D.

    33 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 septembre 2011
    les comédiens (ce sont des comédiens?) sont très naturels, mais le film (c'est un film?) est très très très ennuyeux. il faut vraiment racler les fonds de tiroir pour trouver une quelconque qualité à ce truc.
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    298 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2013
    Un étrange film dont le deuil est un prétexte à dépeindre un portrait réaliste de "l’Amérique d'en bas", le tout avec de faux témoignages face caméra. C'est intéressant, mais un peu chiant. On a parfois l'impression de regarder un ersatz de Gus Van Sant...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 septembre 2011
    Un film mélancholique qui sert d'introspection à une population défavorisée. Si le tout est très maitrisé et crédible, on ne peut pas pour autant se défaire d'une sensation de longueur qui finit par devenir un profond ennui...
    Vareche
    Vareche

    35 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2011
    Film superbe, vraie révèlation, Putty Hill est ce que le cinéma américain a produit de plus interessant et original depuis Story Of A Junky du génial Lech Kowalski. Pas d'ultra marginaux dans ce portrait altmannien de jeunes paumés, douloureusement paumés. Pas d'ironie ou de regard humaniste, mais une tranche de désespoir et de violences brutales. L'incroyable scène de cérèmonie, le banquet de fin du film, révèle un sens nouveau à la multiplicité des interprétations que recèlent le film. Les morts relient les vivants entre eux. Putty Hills c'est Voyage au bout de l'enfer à l'envers. On commence par la guerre, et on termine par une cérémonie, entre les deux ce qui s'est accomplit est immense, le temps a passé, les jeunes ont vieillis. Potterfield filme quelque chose d'unique, le jeunesse n'est pas éternelle, elle ne représente ni rédemption ni espoir ni un surplus de beauté, elle est toute entière une part d'un immense gâchis. De cette evidence enfin transmise, modestement mise en image et respectueuse, le travaille enfin d ela fiction et du documentaire s floute, et on regarde la fiction se libérée enfin des carcans, on regarde enfin le documentaire s'élever un peu d'un réalisme irréprochable. Putty Hill dans un autre genre rappel La Chambre de Wanda de Costa, c'est le règne du flou et de la distance sans cesse remaniée, c'est enfin un processus qui n'en finit pas de déchoir, celui de la mort du cinéma, enfin contredit, enfin vérifiée, pour le meilleur.
    Cathedrale
    Cathedrale

    74 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 février 2012
    Quelques noms taggés à la va-vite sur un mur transparent, invisibles pour l'humain lambda car mangés par le béton, une piscine, un plan d'eau, des cigarettes, un skatepark, de l'héroïne et des filles nu(lles), passives, paumées, WHAT ARE YOU DOING TOGETHER? YOU KNOW, JUST HANGING. oui. ça traîne, du camé au skateur pro, du tatoué à la grand mère toxico, peu ont finalement quelque chose d'intéressant à dire, même si ça grommelle de plan en plan. Baltimore, la ville fantôme, infestée de Looser et d'âmes en peine, c'est cela, Matthew Portefield, que tu voulais nous montrer? L'une est blonde et l'autre brune, elles ne sont plus d'ici mais pourtant, l'enterrement les ramène dans le 'trou'. Tandis que brunette prendra du bon temps, au milieu d'un petit troupeau sympathique, la blonde vivra un enfer, clairement flippée à l'idée de se retrouver coincée pour toujours, dans cette foutue ville où rien n'avance. Figée. Un poil trop maniéré dans son déroulement, le film peine à se détacher de la morne surface, se contentant de barboter bien loin d'un fond pourtant plein de ressources. A l'instar de la frangine blonde en crise, on veut se barrer, les laisser dans leur bordel, donc ouais, Putty Hill est une errance trop 'cheap', et, malgré cette ouverture grandiose, ce fucked up world ne plantera pas son aiguille pleine d'encre dans mon bras.
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 328 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 septembre 2011
    Un gars dénué de talent a pris une caméra pourrie et a filmé des moments de vie sans intérêt. Quel ennui!
    dejihem
    dejihem

    117 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 septembre 2011
    Au secours ! trop lent, trop peu de sujet(s), trop peu d'action, trop déprimant....
    nikolazh
    nikolazh

    52 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 septembre 2011
    Le réalisateur choisi de faire un faux documentaire, pensant apporter un plus à son scénario transparent, vignettes démoralisantes d'une certaine jeunesse américaine sans repères. Mauvais calcul, car il supprime du coup tout ce qui fait l’intérêt de ces séquences, à savoir leur caractère émotionnel. D'autant plus dommage que les acteurs étaient bien dirigés.
    -Vinz-
    -Vinz-

    33 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2011
    Un documentaire intéressant mais à mon goût bien trop mis en scène!
    Le propos est difficile, mais plus tellement crédible lorsqu'on se rend compte que c'est joué.
    cristal
    cristal

    165 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2011
    C'est avec beaucoup d'enthousiasme - trop? - que "Putty Hill" arrive sur les écrans français, louangé comme un véritable renouveau du cinéma indépendant américain par moult plumes et festivals. Sauf erreur de ma part et, il faut le dire, je ne vois pas dans le futur, cette oeuvre-croquis d'un jeune cinéaste débrouillard ne marquera pas l'histoire du cinéma en ce début de siècle. L'auteur y affiche une belle idée, toute simple : faire parler autour d'un jeune homme décédé une mosaïque de personnages liés de près ou de loin, jusqu'à devenir une évocation portraitiste de la population de Baltimore, dépeinte par le verbe fictif de comédiens simulant l'interview. Le disparu en question, qu'on ne verra jamais car le film substitue le hors-champ à la reconstitution, prend vie peu à peu, la narration aléatoire nourrissant le personnage fantôme de quelques indices finalement sans grande importance. Le but du film (dont on ne sait jamais s'il est plus un film qu'un exercice) n'est donc pas d'expliquer pourquoi, où, comment, ni même de chercher à constituer une émotion factice autour du deuil. Un peu comme chez Larry Clark mais sans brutalité ni dramaturgie fondée, Matthew Porterfield ne filme que le désenchantement de jeunes et d'adultes souvent prolos, évacuant le plus possible la notion de moralité pour ne rendre à l'écran, sans réelle fulgurances, qu'une addition objective de données sociales et familiales. Si la mise en scène se révèle étonamment juste contrairement à ce que pouvait laisser craindre le dispositif narratif et filmique, Matthew Porterfield peine en revanche à donner à "Putty Hill" une véritable raison d'être. La substance du film nous échappe parfois tant il ne fait que scruter tout en se refusant à l'enquête ou au documentaire, comme si la radiographie était vouée à l'échec d'un sens quelconque. La mixité entre fiction et réalité n'aboutit qu'à une étude desservant chaque personnage au-delà du temps de parole qui lui est accordé. Les comédiens sont étonnants de naturel mais ne parviennent pas à faire oublier le prétexte du film, la mort d'un être qui devient l'anecdote d'un cinéaste plus intéressé à décrypter qu'à réellement comprendre les faits en mettant en scène des situations. Le final, perdu dans la nuit, a beau être d'une véritable force picturale, on ne sait pas vraiment ce qu'on y fait tant le fantôme, malgré l'abondance de paroles qui lui sont destinées tout du long, n'a jamais existé à nos yeux, n'a jamais été incarné dans notre esprit par les autres personnages gravitant tout autour. Le film reste toutefois un exemple d'économie de moyens tout en optant pour une approche inventive qui n'est pas si courante dans le fameux dialogue du docu-fiction où la facilité est de mise, et la juxtaposition des deux modes souvent un prétexte censé masquer une totale incapacité à raconter une histoire.
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2011
    Faire un film sur Baltimore, ses habitants, sa dépression chronique, son horizon bouché, pourquoi pas ? mais pas en faisant du sous Larry Clark. Le fil conducteur du film pourrait être intéressant (la famille et les amis d'un jeune mort d'OD) mais tout est anecdotique, riquiqui. Seule la séquence finale dans la maison du jeune défunt apporte un regard neuf, mais anyway c'est vraiment un tout petit film.
    traversay1
    traversay1

    3 081 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 septembre 2011
    Construit sur le principe du vrai faux documentaire (soupir blasé) et tourné pour quelque chose comme 20 000 euros, Putty Hill dresse le portrait d'un quartier de Baltimore à travers les témoignages de ses habitants et d'une fiction, les funérailles d'un garçon de 24 ans, mort d'overdose. Deuxième long-métrage de Matthew Porterfield, Putty Hill est un film de plus du versant indépendant du cinéma américain, loin des artifices d'Hollywood, avec de "vrais" gens, des comédiens amateurs, dans une veine qui rappelle Larry Clark, en plus soft, ou Gus van Sant, en moins doué. Ce n'est pas que le sujet soit inintéressant, il est simplement déjà vu et tourne à l'exercice de style, le QI entre deux chaises, avec un entêtement agaçant à vouloir faire authentique à tout prix. Pénible !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 septembre 2011
    « Putty Hill » a été étrangement acclamé par toute la presse. Je crois bien que le spectateur moyen est un peu moins enchanté par ce film audacieux, mais malheureusement un peu trop ennuyeux. Néanmoins, l’atmosphère mélancolique, un peu résignée, que le réalisateur parvient à capter à Baltimore, est intéressante. Les personnages se suivent et se ressemblent, mais certains attirent plus l’attention que d’autres. C’est bien une fiction, qui prend parfois une allure de faux-documentaire lorsque certains personnages sont interviewés : j’avoue ne pas bien saisir l’intérêt d’une telle démarche alors que le reste du film se veut au contraire réaliste. Fausse bonne idée, donc. Malgré l’ennui, il est vrai qu’il y a néanmoins quelque chose d’un peu captivant et fascinant dans « Putty Hill ». Certaines scènes sont trop longues et inutiles (la dispute du tatoueur et sa fille), d’autres sont tellement réussies (la séquence finale avec les deux filles, la nuit) qu’on regrette que tout le film ne soit pas ainsi. Une bonne intention à moitié ratée.
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