Derniers Avis : 300 : La naissance d'un Empire - Page 7

pas de rupture avec le précédent opus donc on a ce qu'on attend : des batailles spectaculaires et sanglantes. L'histoire générale passe un peu au second plan mais il ne faut pas s'attendre à un documentaire.

Suite un poil tardive au mega-succès "300" et qui essaietant bien que mal de tenir la comparaison avec son modèle. Si d'un point de vue formel on retrouve à peu près tout ce qui faisait la patte du 1er film, N. Murro signe une mise en scène beaucoup plus décomplexée, qui empile les ralentis et les effets gore à un gros rythme, débouchant ainsi sur une succession de morceaux de bravoure souvent euphorisants, avec quelques mouvements de caméra et certains plans tout simplement majestueux. Par contre, le scénario est clairement un gros raté, s'enfermant dans une histoire peu intéressante de rivalité entre 2 êtres à la marge, leur combat culminant dans une scène à la fois sauvage et étrangement tétanisante. Les acteurs sont également assez moyens, notamment S. Templeton quand E. Green s'en sort remarquablement bien. Et puis que dire de Xerxès, mythifié au cours d'une séquence bluffante et complètement laissé de coté par la suite. spoiler: De plus, les Spartiates arrivent bien trop tard dans le film tentant par là même de déboucher sur un 3ème film qui ne verra jamais le jour
. Triste. Une bonne BO, quelques jolis plans et des idées parfois pertinentes mais le tout est mal exploité et tient difficilement la route. D'autres critiques sur

Certaines suites feraient mieux de ne pas arriver trop longtemps après le premier volet. C'était déjà un peu le cas pour Sin City, ça l'est encore plus avec 300. Tout ce qui faisait l'intérêt du premier film (déséquilibre des forces, violence stylisée...) est ici récupéré et passé à la broyeuse pour un résultat décevant à plus d'un titre. Les abus de ralentis dès les premières minutes, les dialogues vides, les acteurs monolithiques, le faux sang (franchement faux pour le coup) qui traverse l'écran à la moindre occasion, les méchants caricaturaux... Tout y passe. On se croirait devant un épisode boursouflé de la série Spartacus. Heureusement, quelques scènes spectaculaires et un sens certain du rythme évitent au spectateur une purge complète, mais il y a vraiment une marge en comparaison du premier film.

300 premier du nom, était violent, impressionnant et.. solide. Mais la manie de la surenchère a un effet dévastateur sur la crédibilité. Ici, il ne s'agit que d'un immense vidéo-clip dédié à la boucherie, ou les mille et une manières, décapiter, empaler, éviscérer, trancher, écraser...son prochain, quand bien même c'est un ennemi. Alors, à grand coups d'effets et d'une photo léchèe, on s'entretue souvent au ralenti, et surtout sans oublier une profusion de giclées de sang qui feront passer la Mer Egée pour la nouvelle Mer Rouge...car ici il y a une grand part du film qui se tient lors d'une bataille navale entre grecs et perses. Les Grecs unisfiés sont certes courageux, mais leur coté excessivement héroïque ne saurait excuser l'incapacité totale des perses à faire autre chose qu'à se laisser charcuter sans pratiquement réagir. Les Perses partent surpuissants, mais ce rapport de force, totalement inversés par ces grecs qui gesticulent contre des "momies en armures", n'est absolument pas vraisemblable.

En voyant la sortie d'un second film faisant suite à l'univers "300" on aurait pu se dire que le nanar était en vue mais non. Comme quoi il faut vraiment voir pour critiquer. La force de ce film est à la fois de vous faire oublier l'envie de partir en Grèce pour les vacances tant l'ambiance est sombre et pesante. De plus les personnages sont intéressant notamment dans leur relation. spoiler: En effet ces deux tacticiens Artémise et Thémistocle se livre un combat sans merci ponctué par des dialogues fins et une scène de sexe sauvage qui rend la relation encore plus trouble
. Bref ce n'est pas un chef d'oeuvre mais on le regarde avec du plaisir. (ne me faîte pas dire ce que je n'ai pas dit)

Après le très stylisé 300, cette suite se parodie un peu elle-même, forçant trop sur les ralentis, jets de sang et autres membres découpés. "La naissance d'un Empire" n'est qu'une pâle copie du précédent en moins bon : personnages et acteurs moins charismatiques, scénario manquant d'inspiration ou encore réalisation trop appuyée. Seule Eva Green en guerrière vengeresse donne un peu d'intérêt à cette suite sans âme.

La suite de l'unique 300, péplum entre film d'aventures et comic book, reste dans la lignée du premier. Bataille vaste et hémoglobine coulant sont encore présents flirtant parfois avec la comédie. Les combats sont bien stylisés malgré un scénario pas bien épais.

Il aura fallut attendre huit ans pour voir naitre une suite à 300 qui était vraiment excellent et j'attendais donc beaucoup de 300 La Naissance D'Un Empire et la déception est d'autant plus grande. Pour un préquel, j'attendais une bonne histoire mais au final on se retrouve avec un film chiant à mourir qui ne nous apprend rien d’intéressant ce qui est vraiment dommage tant il y avait de possibilités. Dès les premières minutes j'ai su que je n'accrocherais pas, tout le contraire du premier opus. Ça fait que de parler pour ne rien dire de constructif avec des dialogues minables indigne de guerriers et de l'époque interprété par des acteurs sans aucun charisme dont on se fout de leur sort. Et puis bon vu qu'on a aucune idée on remet une petite histoire entre un père et son fils dont on sait qu'un des deux ne verra pas le générique de fin. Même visuellement c'est moins beau, d'accord l'effet de surprise n'est plus la mais même sans ça les couleurs sont moins belles et trop sombres surtout lors des batailles navales peut intéressante et répétitive. Et que dire de la surenchère que ce soit dans les combats ou dans les marres de sang. Alors oui certaines scènes sont quand même pas mal mais c'est largement moins mémorable que dans le film d'origine même si j'ai repris espoir dans les 20 dernières minutes durant lesquels esthétiquement on renoue avec les origines de 300 mais le soufflet retombe vite devant une fin complètement nul et pas fini. Seul Eva Green relève le niveau et interprète bien son personnage d'Artemise qui est intéressant mais on ne peut pas en dire autant de Sullivan Stapleton qui n'a aucun charisme et de ses soldats qui ne ressemblent à rien et qui sont sans bravoure et sans classe. Quand on voit les Spartiates à côté c'est un autre monde. Même la b.o. est banal c'est dire. Enfaite si ce film était sorti avant 300 il aurait été cool mais le problème c'est qu'il fait tout moins bien que son prédécesseur et est une véritable déception. Une suite loin d'être indispensable que je ne peut vous conseillez tant elle salit le premier volet.

Œuvre d'intérêt purement esthétique, "300 : la naissance d'un empire" fera retourner dans sa tombe plus d'un historien antiquisant. Thémistocle et les autres protagonistes de Salamine sont transformés en sortes de demi-dieux à la faveur d'un gloubi-boulga stupéfiant. Du coup, si on n'apprécie que moyennement les ralentis sanguinolents et le graphisme tape-à-l’œil du film, on a vite fait de vomir son quatre-heures voire même son midi.

Difficile de me dire si ce second film est aussi bon que le premier. La claque visuelle est toujours présente, même si on perd l'effet de surprise. Dans tous les cas, de bonnes scènes de combats (ou le sang gicle un peu trop à mon goût), de superbes scènes navales et de la bravoure à n'en plus finir. Outre la naissance du Dieu Roi, l'attrait principal de ce film est Eva Green. Une méchante aussi cruelle que tacticienne, féroce et terriblement attirante. La scène de sexe est un résumé de tout cela... spoiler: Dommage qu'elle ne l'emporte pas sur Thémistocle...

En tout cas l'idée d'insérer ce film avant, pendant et après le premier 300, en reprenant des images, est une bonne chose.

On retrouve les mêmes ingrédients qui faisaient déjà défaut au premier volet : esthétique de jeu vidéo qui annhile toute forme de dimension épique, acteurs à la ramasse, scenario aux abonnés absents, même les jolies nichons d'Eva Green n'y peuvent rien pour sauver le film de la débâcle. Game over.

300: Rise of an Empire (300 : La Naissance d'un empire

Durant la bataille de Marathon, Thémistocle tue le roi perse Darius 1er. 10 ans plus tard, son fils Xerxes décide d’envahir toute la Grèce.

L’histoire de Rise of an Empire se passe en réalité un peu avant les éléments de 300, lorsque Thémistocle prépare le blocage maritime à Artémision ; pendant, alors qu’on apprend la mort de Léonidas ; et après, avec la bataille navale de Salamis.
L’histoire en soit reprend plus ou moins les faits historique, contant les combats célèbres et les tactiques connues. Par contre il est régulièrement fait allusion aux querelles et aux discours politiques, éléments très intéressant, mais malheureusement le film les expédiées très vite. Il en va de même des conséquences et de la continuité qui relie les différentes batailles. Il y a des sauts temporels (p.ex. Thémistocle qui parle de se revoir dans quelques jours, et au plan suivant, il est comme téléporté à Athènes.) Ce n’est pas clair, et cela amenuise fortement l’intrigue.
Par ailleurs, tous les faits et informations sont présentés grossièrement durant le premier tiers du film, ce qui a pour conséquence de rendre cette première partie noyée par l’exposition, tandis que le reste du film n’est qu’un enchainement de scène d’action, donnant une sensation de déséquilibre et induisant pas mal de moments monotones.

La même qualité et attention est appliquée aux personnages. J’étais intéressé par la personnalité de chacun des protagonistes, Thémistocle cherchant à rallier les peuples grecs, la reine Gorgo ne souhaitant plus sacrifier ses spartiates, tandis que l’origine de Xerxes et d’Artemisia donne une force antagoniste aux héros ; mais la mise en pratique est molle et pas assez approfondie.

Sullivan Stapleton est fade n’ayant, en comparaison à Gerard Butler en Léonidas, pas assez de prestance, de charisme ou encore d’un panel d’expression assez large.
Heureusement nous avons la charmante Eva Green, point fort de ce film. Elle nous convainc par son interprétation d’Artemisia, commandante de la flotte Perse. Ses motivations sont fortes et Eva transmettra autant de force qu’il sera nécessaire, de personnalité à son personnage résolu, déterminé et courageux. Un plaisir de la voir diriger son contingent et se battre.

Un autre point de fort de 300 était son aspect visuel. Transposition personnalisé des comics, il avait su instaurer un nouveau style exagéré mais assumé aux images. Rise of an Empire ne réitère malheureusement pas le niveau de créativité et l’originalité de son prédécesseur. Les plans ne sont pas forcément recherchés ou n’ont pas d’attrait visuel particulier, tandis que les combats sont quelconques. La caméra se balance et suit bêtement l’action. Le montage utilise le même ordre et d’enchainement de plan que n’importe quel film d’action.
On se retrouve donc avec une qualité proche des séries télé américaine ou production hollywoodienne.
Ajouté à cela une utilisation aléatoire des effets de ralenti, de durée et de qualité hasardeuses.
Quant à l’étalage de sang, se déversant par gallon, jaillissant par litre d’une petite coupure, c’est amusant et donne un style, tournant par moment au ridicule, mais je pense que l’adage « Quand moins, c'est mieux » aurait été plus judicieux.

La musique de son côté est sympa, avec des chants à la Gladiator (trop ?) accompagnant les athéniens, tandis que de chouettes riffs de guitares électrique colorent les troupes spartiates.

Des bonnes idées, mais une réalisation très moyenne.

5,5/10

Après avoir vu le "300" de Zack Snyder, je savais que la suite devrait pour me séduire, me montrer de l'originalité. C'était donc avec impatience que je commançais á regarder le second film. Et je dois avouer être déçus. "300: Naissance d'un Empire" écrase tout l'intérêt du premier film. Malgré un esthétisme soigné et une réalisation fluide, le scénario du film est catastrophique. Quant on y pense "300", c'est l'un des seuls films quí arrive à mélanger l'épic le plus fou au pessimisme le plus sombre, faire un film retraçant des faits historiques en installant une ambiance poisseuse et morbide, je ne peux que dire oui. Oui mais alors faire une fausse suite d'un film quí se suffisait à lui même n'est la solution la plus intelligente quí soit, mieux vaut faire un remake dans ce cas. Les acteurs ne sont pas très charismatiques et n'ont en aucun cas un jeux d'acteur à la hauteur du premier, la mise en scène s'avère décevante et sans aucune originalité, et le changement de couleur, cet fois tourné vers des teintes bleus et grises n'est pas non plus indispensable. Là on essaye de faire un film ultra violent dont le seul but est d'attiré le spectateur voulant voir du sang numérique en quantité, car oui, on aura tout entendue au sujet de la violence du film, les scènes sanglantes malgré tous les efforts du réalisateur ne sont pas marquantes. Cependant, les combats sont parfaitement chorégraphiés et peuvent s'avérer être très saisissants. Les ralentis, marque de fabrique du premier film, sont moins présents ici se quí n'est pas dans tous les cas une mauvaise chose, c'est fun rien du plus. Le scénario est inachevé et au fur à mesure que le film avance, on éprouve de moins en moins d'attachement pour les protagonistes principaux quí ne sont pas forcément très futés... Je dirai que "300: La Naissance d'un Empire" est un film avec beaucoup de défauts quí ne passent pas inaperçus mais aussi quelques qualités et scènes sympathique quí font de luí un film divertissent entraîné pas une musique majestueuse.

Très bonne suite, même si le rôle d'Eva Green est un trop cliché à mon goût.

Le scénario est pas très recherché, mais les qualités des combats et du style graphique sont toujours aussi présents !

La bande son est toujours aussi bonne et intense que lors du premier opus.

Film à conseiller pour ceux ayant appréciés le premier.

Par rapport à 300 premier du nom, visuellement ça reste beau et impressionnant mais le scénario laisse à désirer ; trop de blabas inutiles, les scènes de combats de bateaux sont pas mal mais cela manque de vrais combats corps à corps, les rares présents présentant un chouilla trop de ralentis et d'hémoglobine. Reste une Eva Green magistrale qui porte à elle seule une grande partie du film.