Avis : La Planète des singes : les origines - Page 4

Je m'attendais à quelque chose de pas terrible, du style le remake signé Tim Burton. Et bien il n'en n'est rien. J'ai tout simplement été soufflé, c'est un excellent film : l'histoire est intelligente, bien ficelée et tient la distance. L'ensemble de l'interprétation est concluante et la performance d'Andy Serkis en "motion picture" pour rendre César touchant est incroyable. Les effets spéciaux sont juste impressionnants de réalisme. Une vraie et bonne surprise pour une remarquable réussite.

Je ne comprends pas l'engouement autour de ce navet. Tirs nourris dès l'ouverture du film. Des singes singeant l'humain. C'est pathétique tout en frisant parfois l'extrême ridicule.

10 ans après le flop de la version Tim Burton, et près de 40 ans après la série qui a bercé une partie de mon enfance, ce reboot constitue une véritable petite réussite. Tant au niveau visuel qu'au niveau scénaristique, le film est une petite perle qui ne laisse pas indifférent, même si on s'écarte franchement de l'histoire originelle.
Les aventures de César ne faisant que commencer, j'ose espérer que la future franchise ne lorgnera pas trop du côté bourrin, et conservera son côté subtil.

Fan de la première série avec Charlton Heston et sa version télévisée (de moins bonne qualité il faut reconnaitre), la planete des singes renait de fort belle manière avec ce premier opus. Loin du film de Tim Burton, "La planete des singes les orgines" garde la même trame que les films des années 70's. On n'est plus dans un voyage inter temporelle mais dans l'avancée de la science pour donner de l'intelligence aux singes. L'humanité se montre sous ses mauvais cotés et ses bons cotés. La série des années 70's était plus philosophique alors que celle des années 2010 est plus dans l'action. Mais les singes paraissent réels et bougent remarquablement bien.
Une vraie renaissance de l'histoire de Pierre Boulle dans le monde des années 2010. Un pur bonheur de cinéma. Vivement la suite.

Gros blockbuster, La Planète des singes : les origines n'est pourtant pas plus profond que le film de Tim Burton qui s'était fait lapider en place publique à sa sortie en 2001. Bon, bien sûr, on a bien une critique de la science, des scientifiques jouant aux apprentis-sorciers, aux actionnaires toujours plus avides de fric. Mais ce n'est pas aussi poussé que chez Nolan, quoi. Ce qui n'empêche pas les singes, numériques, d'être plus vrais que nature. On suit bien l'évolution de César. Au départ bébé, nourri au biberon, puis petit à petit qui va prendre conscience de son intelligence. Qu'il peut commander à d'autres singes et mener la bataille de leur affranchissement de leur condition de sujet d'expérimentation. Les singes allient à la fois l'humanité des humains (ils ne sont pas là pour les tuer) et l'agilité propre à leur espèce. Les scènes spectaculaires sont bien de la partie notamment la scène d'action finale qui se clôture sur le pont du Golden Gate assez impressionnante. Les mouvements de caméras sont fluides comme chez Raimi. On ne perd pas l'action de vue. Bref, moi j'ai aimé ce reboot. A voir si les humains et les singes sauront cohabiter à l'avenir. Le film s'arrêtant là, une suite est plus que souhaitable pour répondre à cette question.

Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire. On aurait pu craindre le pire (c'était la première fois que je voyais cité comme accroche dans une bande-annonce "par Weta, le studio créateur des effets spéciaux d'Avatar) finalement, ce prequel de La Planète des Singes fut une des bonnes surprises de l'année. Le film développe une réflexion intelligente sur la science et s'interroge sur les limites que peut poser la recherche : jusqu'où peut-on aller pour améliorer la vie des hommes et doit-on aller jusqu'à modifier la Nature au point de se prendre pour Dieu ? Les Origines est donc un film de SF avec du fond qui soulève d'intéressantes questions philosophiques et éthiques. Il n'oublie cependant pas de divertir le spectateur avec un récit efficacement mené et un final spectaculaire. Les acteurs sont excellents que ce soit James Franco ou Freida Pinto mais l'on retiendra surtout l'incroyable performance d'Andy Serkis (Gollum dans Le Seigneur des Anneaux, King Kong dans le film de 2005) dans le rôle du chimpanzé César. La Planète des Singes : les origines rappelle le film original en étant à la fois un divertissement de grande qualité tout en traitant d'un thème autant intéressant que passionnant.

Un film intelligent qui remplit sans aucun soucis sa mission : Nous offrir un très bon divertissement tout en respectant le matériel original. Pourtant le pari de proposer un prequel à cette saga culte était osé. Encore plus quand on sait que la réalisation avait été confiée à un quasi inconnu. Et bien le dénommé Rupert Wyatt a vraiment fait du bon boulot. À défaut d'être vraiment marquante la réalisation tient largement la route et permet au métrage d'être limpide et agréable à suivre. Nous ne sentons pas le temps passé ! Côté acteur, même si James Franco est impeccable, c'est bien Andy Serkis alias "César" qui réussit la grosse performance du film. Il est tout simplement touchant (et un brin terrifiant dans la seconde partie du film). Bref une œuvre très réussie qui, au finale, aura été le fer de lance d'une trilogie de qualité. Je l'avais découvert en salle à l'époque et j'en suis très fier.

Ressusciter une franchise n'est jamais facile,la dernière tentative de faire revenir"la planète des singes" date de 2001(la version de Tim Burton),mais n' a pas réussi a attirer les foules.Un deuxième essai étai ce nécessaire???faut croire que oui,mais cette fois ci sous la forme d'un reboot(tendance oblige),et pourtant c'est un petit miracle que nous avons la,tant le film réussit a dépoussiérer le sujet.

Ici on parle des émotions,que ça soit Will(James Franco très convaincant),qui fera tout pour trouver un remède contre la maladie d’Alzheimer,dont soufre son père(John Lithgow bouleversant).Mais la on j'ai était stupéfait(il faut rendre a...),c'est définitivement par César(Serkis encore une fois remarquable,dans un rôle en CGI),on s'attache très vite a ce dernier,tant il nous montre en lui tout c'est doutes et c'est peur.

Le film prend bien le temps de nous montré le basculement de César pour la révolution,et c'est la que le film est une réussite.On prend bien le temps de connaitre César qui cherche juste sa place dans ce monde.Tout ce qu'il fait n'est jamais gratuit,il fait ça pour lui et c'est semblables.D’ailleurs César ne cède pas pour autant a un carnage,il est bien plus compatissant et malin que les hommes.

L'autre réussite du film,fait que tout les autres Singes on chacun leur histoire
Spoiler:
(que ça soit l’orang outang,ou un des primates qui a connu bon nombre de test,avec toutes c’est cicatrices)
,il mettent assez de temps pour nous montré les futur allié de César.
Mais tout ça,ne serait rien sans les formidables CGI de la compagnie de Peter Jackson(WETA),qui servent le film avant tout,bien que bluffant,c'est surtout des donnée émotionnel qui nous achève(il n'utilise pas des CGI comme des gimmick).
Est puis que dire de certain passage qui sont incroyable,malgré la situation de la chose qui aurait pue être ridicule
Spoiler:
(les singes qui parlent,sa va 5 minutes)
,c'est tellement bien amener et surtout dans la continuité de l'évolution de César,que certaine scéne sont vraiment des plus réussite
Spoiler:
(a la fin notamment,quand Will essaye de convaincre César de rentré avec lui)
Évidement quel que ptites chose m'ont un peux gêner
Spoiler:
(a la fin du film,il y a pas beaucoup de flic,de même que certain passage un peux trop abrupt)
,mais rien qui m'aurait gâcher mon plaisir.
Est pour les fan de la saga il peuvent compter sur certain clin d’œil très bien amener
Spoiler:
(le vaisseau Icarus,César qui monte un cheval).
Bref très très impatient pour la suite,est bravo a toute l'équipe de ce film pour un Reboot des plus réussi.

Après deux heures de déferlement simiesque, une question se pose : pourquoi faire un tel film ? Sans écarter les réponses à la sous-jacente évidence, comme l’appât d’un gain assuré, étudions plutôt celles données par les producteurs du projet. La première raison avancée est de donner une explication à l’origine de la domination des singes. On se situe ainsi dans le prequel, genre popularisé par la seconde trilogie de « La Guerre des Etoiles », voire dans le reboot, nouveau concept signifiant la réinitialisation d'un univers... Ce n’est pas vraiment nouveau, puisque le quatrième film de la première série, « La Conquête de la planète des singes » de J. Lee Thompson, avait déjà en 1972 cette même intention.
Il s’agissait d’une extrapolation par rapport à l’œuvre initiale de Pierre Boule, et ce qui était valable en 1974 l’est tout autant aujourd’hui : ce qui fait la magie de « La Planète des Singes », c’est le choc brutale de la découverte de cette civilisation par les trois astronautes d’Icare, et expliquer didactiquement comment les singes en sont arrivés à ce degré de supériorité sur les humains n’ajoute rien ; bien plus, cela ôte le mystère consubstantiel au roman et au(x) premiers films (celui de Franklin J. Schaffner, mais aussi celui de Tim Burton).
La deuxième justification, présentée comme un argument de vente, se situe dans la maîtrise annoncée de la technique de la capture de mouvement : comme dans « Avatar » ou « Le Seigneur des Anneaux », des acteurs ont joué les mouvements et les expressions, pour servir de base à la création numérique des singes. En tête de distribution, Andy Serkis, qui ne doit plus être reconnu que par sa mère, vu qu’il a déjà incarné Gollum et King Kong, avant de s’attaquer au Capitaine Haddock de Spielberg.
Disons-le tout net : ça ne marche pas. On ne voit pas des singes, mais bien des images de synthèse créées à partir d’hommes jouant les singes. Il y a quelque chose de faux dans la texture du pelage des singes qui jure, et l’artifice de signaler l’humanisation des singes par la coloration verte de leur iris joue contre l’intention des auteurs en enlevant un des traits principaux de l’animalité de leurs créatures.
Alors, y-a-t-il un message, un propos signifiant ? Si message il y a, il se résume à deux ou trois idées vues et revues : quand l’argent prend le pas sur l’éthique, ça finit toujours mal ; quand on veut modifier l’ordre naturel des choses, ça finit toujours mal ; quand on veut combler le vide du scénario par du grand spectacle, ça finit toujours mal. Résultat, un film qui s’étire durant les deux premiers tiers, et qui s’emballe dans le dernier, avec comme constante l’ennui.
Et puis, comme les scénaristes mettent deux heures à raconter comment une molécule-virus ( ???) destinée à guérir la maladie d’Alzheimer va donner à César le Q.I. de Sharon Stone, et qu’il faut quand même expliquer pourquoi quelques dizaines de singes réfugiés en haut de séquoias vont finir par dominer la planète, on fait appel dans le générique de fin au coup du virus destructeur dans un aéroport. Erreur tragique que cette citation : elle convoque à notre mémoire « L’Armée des 12 singes », et la comparaison est bien cruelle…
http://www.critiquesclunysiennes.com/

Monumental!! Ce film est déjà culte!!! Réalisation exemplaire, acteurs excellents, scénario d'anticipation génial... C'est simple, ce préquel se hisse au niveau de l'original (voir le surclasse...)!!

ce film est une tuerie. Tout est maitrisé , du scénario brillant jusqu'aux effets spéciaux. Vivement la suite.

La Planète des singes : les origines et pour moi le meilleur opus de la saga la Planète des singes. Rarement un Block Buster ne m'aura autant marqué. Ce film est juste incroyable, les personnages sont assez attachants que se soit chez les singes ou les humains. Le film retrace avec brio et intelligence les origines et le pourquoi du comment de la planète des singes. Andy Serkis le roi de la motion capture est génial dans le rôle principale et on retrouve également quelque petit clin d'oeil amusant. Seul petit point négatif (qui n'en est pas vraiment un en fait), on perd le côté science fiction du romans et des autres film la Planète des singes.

J'ai été pour le moins partagé par ce film. D'un côté trop de science, de l'autre beaucoup d'émotion entre la "trahison" du fils (le choix du nom César aurait-il un rôle ?) et la maladie d’Alzheimer du père ; une bonne histoire, avec des longueurs toutefois, servie par des images excellentes mais une réalisation trop molle par moments et des loupés...
Néanmoins ce film reste très bon, les acteurs, de James Franco au singe, jouent tous très bien, beaucoup devraient prendre exemple car bientôt les ordinateurs remplaceront nos acteurs, et ça sera pas forcément moins bien. La musique est sympa, les décors époustouflants. Par contre la réalisation peine un peu, entre longueurs, incompréhensions parfois (on ne sait guère pourquoi les singes sont pas attaqués par le virus, sa transmission n'est pas expliquée, les autres singes normalement idiots sont pas si nuls...), et le fait que la fin ne colle pas directement avec le film originel. Du coup, on se rend vite compte qu'on a affaire au blockbuster de l'été déguisé sous forme de préquel de bon film, avec un message pour les animaux. La scène du pont n'est pas des plus admirable comme je peux le lire partout.
Le fait que tout soit inégal c'est qu'on retrouve de l'émotion comme dans peu de films ces dernières années, surtout que là ça s'adresse à 2 personnes : son père et son "fils" qui plus est un singe. A ce propos les FX d'Avatar sont dépassés pour le coup, les singes sont peut être trop parfaits, mais au moins ils sont superbes.
Pour finir, justement la fin, la est la grande déception, je ne sais pas comment finir un tel film mais là c'était pas bon, trop abrupt, nul aussi un peu. Alors certes on a un héros plus du côté des animaux que des hommes, et un singe intelligent à mi chemin entre l'homme et l'animal, mais ia bien mieux à faire qu'un simple au revoir après avoir couru après eux en risquant sa vie. Là aussi donc, partagé, comme le monde des humains : capitaliste à souhait sans penser aux autres, chiant, scientifique, et le monde animal, beau, libre, mais un peu désordonné. Dans tous les cas bravo à Serkis pour son interprétation, bravo aux clins d’œil avec King Kong (ien a plein), et allez voir ce film, il vaut le détour, même s'il n'est pas à revoir à mon sens.

Pierre Boulle doit se retourner dans sa tombe. Son œuvre a été absorbée et entièrement dénaturalisée par l'industrie de spectacle hollywoodien. Le film est un ramassis de clichés et une mauvaise blague de film "révolutionnaire". Destiné à un public familial et certainement ignorant de l’œuvre de Boulle, Wyatt réussi le coup de maître de porter définitivement atteinte au cinéma. Tout est grotesque: la recherche scientifique motivée par l'argent et la gloire; un fils qui veut surtout soigner son père (volonté d'individualisation de la société); les scènes "émotives" à coup de violons, cymbales et trompettes. La cruauté des hommes envers les animaux sert finalement de prétexte enfantin pour que des singes génétiquement modifiés se "rebellent". Le scénario aussi ne déroge pas à la règle du classique: une intro de 30 min, dénouement et fin. La fin, justement, qu'on attend avec impatience tout en ce demandant comment elle va être justifiée. Dommage, car elle ne l'est pas. Pour ne pas heurter le gentillet spectacle familiale, les producteurs ont opté ne pas la montrer, mais la suggérer lors de la générique de fin, en schématisant un virus se propageant sur la terre, via les couloirs aériens.
En vidant l’œuvre de Boulle de toute sa portée philosophique, Hollywood rabaisse le divertissement à un niveau indigne: le spectacle vide de sens, qui parle pour ne rien dire. Et, fatalement, la révolte des singes n'est pas l'aspiration des êtres intelligents à leur liberté; mais uniquement la vision manichéenne typiquement américain: le combat simple et abruti entre les gentils et les méchants.

La planète des Singes : Les Origines est un très bon film. Le seul problème de ce film : c'est convenu. A aucun moment je n'ai eu de surprise devant la progression dramatique de l'ensemble ce qui fait qu'avec ce film j'ai le même ressenti qu'avec le Avatar de James Cameron. C'est divertissant, bien tourné, techniquement même si les effets spéciaux ne sont pas toujours au top ça reste impressionnant au niveau de l'animation des singes et de leur visage. Les acteurs sont bons avec une mention spéciale pour James Franco qui aurait pu verser facilement dans le ridicule. Mais voilà c'est un bon film seulement... mais c'est déjà beaucoup et en soi il est très agréable à regarder.