Avis : Universal Soldier - Le Jour du jugement - Page 3

Je suis étonnée de ne voir aucun avertissement sur la page d'allociné tant ce film est violent ! Je n'ai pas aimé du tout pour cette raison là, c'est vraiment violent à outrance, même choquant. Surement appréciable par les amateurs du genre, mais j'ai vu ce film "par accident" et j'ai arrêté au bout de 15 minutes. J'ai eu du mal à m'en remettre !

Pour un public averti !

Universal Soldier - Le Jour du jugement est un film très mauvais avec un scénario qui tient pas la route.

une série B sympathique et bien réalisée, au petit scénario malin sans être transcendant, dommage que l'acteur principal n'ait pas plus de charisme, quant à Jean-Claude Van Damme et Dolph Lundgren leur apparition est limitée mais pourquoi pas...

Jamais je n'aurais pensé regarder un nouveau volet de la franchise débile UNIVERSAL SOLDIER, mais ce DAY OF RECKONING jouit bizzarement d'une assez bonne réputation sur le net. Avec à l'affiche l'inoxydable Van Damme et l'impressionnant Scott Adkins, je me suis dit qu'au pire, il y aurait des bastons plus qu'acceptables. Miracle, UNISOL 4 est bien plus qu'un vulgaire film de tape. Vautré sur mon fauteuil, clopes à disposition, sandwich au thon à portée de main, je suis opérationnel pour la projo du film de John Hyams sur mon PC. Je laisse la télévision branchée sur BFM TV car je pense à tort que ce long métrage ne sera jamais capable de m'embarquer dans ses délires. Les premières minutes défilent. Surprise, la réal est au top et l'ambiance carrément démente. J'arrête immédiatement la chaîne d'info en continue et je commence sérieusement à regarder ce film d'un autre oeil. John Hyams a la très bonne idée de pomper sans vergogne le style de Gaspard Noé d' ENTER THE VOID. Les dix premières minutes d'UNISOL sont tout simplement bluffantes pour un film de ce genre. Gaspard Noé avait proposé un nouveau style de cinoche en 2009, et l'idée de copier la technique d'ENTER THE VOID pour un film de série B bas du front m'apparaît finalement comme une excellente idée. L'atmosphère poisseuse et cauchemardesque fonctionne, et on s'aperçoit très vite que ce film ne va pas faire dans la dentelle. La violence est on ne peut plus hardboiled, sèche comme un coup de trique et carrément bien shootée. Puis, vient une scène démente dans laquelle un barbu bodybuildé défonce tous les clients d'un bordel. En bleu de travail et armé d'un fusil à pompe, le gars fait un véritable carnage. Une séquence choc qui fait décoller UNISOL 4 vers une destination cinématographique plus que rare aujourd'hui: le film trip ultra violent. On redescend assez vite de notre nuage au milieu du film. Le métrage se perd dans un scénario con comme la lune et peine à garder l'énergie du début. UNISOL 4 reprend du Redbull dans les dernières vingt minutes en nous gratifiant d'un gunfight jubilatoire en plan séquence parfaitement exécuté. UNISOL 4 est un film inégal qui démontre parfois un savoir faire épatant dans sa représentation de la violence à l'écran. C'est quand même étrange de trouver autant de qualité à un truc comme UNIVERSAL SOLDIER. Je ne m'en remet toujours pas.

Hé bé, un bon gros navet bien perché. On a beau attendre de l'action, hélas c'est long et ennuyeux, et surtout ça pique les yeux ! Bref film inutile, dommage car il y a de bons acteurs.

Un récit pas très captivant à force de contemplations manquantes entre autres de beauté plastique. Reste une série B libre et désinhibée comme on n'en voit peu, qui brille à certains moments par son ambition. Mais passer ses quelques vingts premières minutes qui envoies tout (!), le reste et d'un ennuis mortel.

A la limite du navet mais se laisse pourtant voir , effet spéciaux bien foutu , gore et acteur crédible ( même vandamme et oui ) , le gros point noir est l'histoire qui part dans tout les sens et qui devient du gros n'importe quoi a voir une fois pas deux.

Alors que la franchise était ruinée depuis le deuxième volet, ce "jour du jugement" repart de zéro pour nous offrir un spectacle intelligent et surprenant. Un Adkins affuté comme jamais en lutte contre un JCVD méconnaissable et charismatique à souhait. Une scène d'ouverture scotchante et flippante donne le ton d'un actionner pur et dur où les scènes de combats sont légions mais non gonflantes. Outre le combat final prenant, l'affrontement qvec ce plombier dans ce magasin de sport est d'une violence admirablement retranscrite. Quelques raccourcis scénaristiques empêchera de profiter du tout pour celui qui ne connait pas tous les autres volets mais l'essentiel est là : un volet réussi, innovant, qui peut relancer une franchise.

Universal Soldier 4 ou Le Jour du jugement ne ressemblera à aucun autre films de la même saga. Le long métrage de John Hyams s'inspire clairement du style "Gaspard Noé" et plus particulièrement dans l'ambiance d'Enter the Void. Heureusement, le dernier Van Damme reste beaucoup plus rythmé que ce dernier. Scott Adkins sera pour cette fois le héros principal, amnésique et complètement paumé, prêt à tout pour retrouvé sa mémoire et son identité. Même si le film ne raconte pas grand chose, il parvient à s'en dégager une ambiance particulièrement prenante et sombre. Une réalisation gagnante pour l'épisode le plus ambitieux et le plus réussi de la série ....

Que l'on aime ou non, il faudra reconnaitre au moins un mérite à John Hyams, réalisateur du quatrième volet de la saga "Universal Soldier" : son film ne va pas du tout là où l'on attend. Les noms de Van Damme ou Lundgren pourraient faire penser à une énième variation des Expendables, mais au final il n'en est rien. Hyams propose de l'action, certes, et même de l'action bien gore et bien bourrine, mais il ne s'en contente pas. Ce qui l'intéresse aussi, c'est le thriller psychologique identitaire que traverse son héros. Une intrigue qui questionne l'humain dans son ensemble, en rapport avec le clonage et les fameux UniSol de la saga. Le film présente assez bien ce mélange entre l'action pure et une partie plus cérébrale, même si on a déjà fait bien mieux dans le genre (il suffit de penser aux romans de Philippe K Dick, adapté entre autres sur grand écran via Blade Runner ou Total Recall). Bien entendu, Hyams ne prétend pas révolutionner le cinéma d'action ou de science fiction, et la plupart des films de baston sortis récemment n'osent pas aller aussi loin que lui dans la réflexion. Mais intéressons nous à la baston. Le réalisateur possède indubitablement un talent de mise en scène, et l'exploite assez bien, à travers des ralentis et des plan-séquences impressionnants, et, une nouvelle fois, inhabituels dans ce genre de productions. Cependant, je regrette la surenchère de ces scènes pourtant très bien construites. En tout cas, les amateurs de bastons bien sanglantes seront servis, vu les nombreux lites d'hémoglobines qui traversent le film. Je garde personnellement l'impression qu'ils sont un peu gratuits, et que le cinéaste aurait gagné à garder les mêmes scènes d'action pure, mais en évitant simplement cette exagération dans la violence. Au niveau du casting, le film se concentre sur le personnage de Scott Adkins, star montante du cinéma d'action : il est effectivement très à l'aise dans les séquences les plus explosives. A ses côtés, on retrouve Van Damme et Lundgren, qui, en dépit de rôles surprenants, montrent qu'ils ont toujours du charisme et sont encore capable d'enchainer les coups sans relâche. Ce nouveau "Universal Soldier" est sans doute inégal, mais il est assez surprenant pour mériter la peine d'être tenté.

Normalement, il s'agit du 5ème opus. Le scénar. est un peu mystérieux durant la première moitié du film, pas désagréable à vrai dire. Après, il y a de la bonne bagarre, mais malheureusement, c'est plutôt de la bagarre "ordinaire", on ne sent pas le souffle épique "super soldat qui régénère". On est loin de la qualité du premier opus !
Là où ce film se démarque, et de façon purement phénoménale, c'est sur sa 3d stéréo. De ce point de vue, c'est plus réussi que de gros films du genre "Le hobbit". C'est de la vraie 3d native, et une scène est à couper le souffle : on voit la gueule ravagée de JCVD sortir de l'écran, de façon saisissante, d'autant qu'il a une vraie gueule burinée et très marquée là dedans, travaillée par l'âge. Je conseille de le voir pour sa 3d (pour ceux disposant du matériel adéquat). Ce film devrait servir d'exemple à tous ceux qui osent afficher "3d" mais qui donnent peu. La blague étant que la plupart du temps, la pub haribo en 3d avant le film est généralement meilleure que la 3d du film. Pour une fois, on a une pointure en la matière, et c'est plutôt imprévu pour un DtV !

Dommage, c'est le seul mot qui me vient a l'esprit. Car ce quatrième volet de la saga Universal soldier est loin d’être totalement raté. La mise en scène est vraiment très bonne, certains passages sont bien foutu, surtout l'intro, qui est prenante, limite stressante, dérangeante et violente. Mais le gros problème du film, c'est son scenario, on a l'impression qu'il manque un film entre Regeneration et Le Jour du jugement... Déjà que vient foutre le personnage de Andrew, joué par Dolph Lundgren ? Ok, dans le un il ce fait broyer, mais il revient sous forme de clone dans le troisième, ou il ce fait exploser le crane. Mais la son retour est pas expliqué, même pas qu'on nous dit que c'est un nouveau clone, un bon "Allez vous faire foutre" ce lève vers le spectateur a ce moment la. Et Luc, toujours joué par Van Damme, a le droit au même traitement, le comportement du perso a totalement changé, mais rien a foutre, faut faire genre que c'est normal et en plus les deux personnages sont maintenant dans le même camps..... Être pris pour un con devant de gros blockbusters, j'aime bien, tant que ça reste fun, mais la c'est long, chiant, incohérent avec les autres films..... Seul la mise en scène et les acteurs, qui sont pas mauvais, empêchent le film de couler bien profondément dans les abimes comme il le mérite.

vulgaire, sanglant (inutilement), creux, pourri, nul, minable, misérable, insultant.

Comme pour le troisième volet, ça démarre très fort avec une séquence d'intro impressionnante, mais ensuite plus rien ou presque. Le film sombre dans la violence et le scénario disparaît... De quoi ternir un peu plus l'image de cette saga.

Jean Claude Vandamme, Dolf Lundgren reviennent pour un universal soldier qui sort des sentiers battus. Réunis dans le mal, ils vont s'en prendre à la famille de John. Sortant du coma après 8 mois, il va tout faire pour retrouver ... Luc Deveraux. John Hayams signe un puissant film d'action, très bien filmé, la vue subjective du début est tout bonnement sensationnel. Le scénario est franchement intriguant et digne d'un thriller jusqu'à la 48 minutes. Avant ça on nage en plein Jason Bourne (toute proportion gardée). La suite enchaîne des combats plus ou moins pertinent et verse carrément dans le massacre dans son dernier quart d'heure.