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    Le Troisième homme
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    4,1
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    115 critiques spectateurs

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    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    42 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2014
    C'est un des films les plus sur-côté qui m'ai été donné de voir, peut-être ne l'ai-je pas bien assimilé. D'accord pour dire que les décors de la Vienne d'après guerre sont glauques mais pas moins génial, et alors ? D'accords pour dire que l'intrigue est bonne, que le casting l'est aussi mais alors ?
    Non clairement il aurait fallu changer le réalisateur ou couper une demi heure de film, les longueurs et l'ennuie sont donc bien au rendez-vous. Du fait de son rôle Orson Welles, il aurait fallu le mettre en personnage principal ça n'aurait pas fait de mal à l'ensemble. Non clairement j'ai du mal à trouver ce film génial malgres toute la volonté du monde.
    oneosh89000
    oneosh89000

    29 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2011
    Cité parmi les meilleurs films de l'histoire du Cinéma et classé meilleur film noir, "The Third Man" est loin de m'avoir pleinement convaincu. Tourné autour du trafic de pénycilline, médicament rare à l'époque de la seconde guerre mondiale, en plein marché noir autrichien à Vienne, le long métrage de Carole Reed reste personnellement une cruelle désillusion. Déçevant mais loin d'être désemparant car le récit est tout d'abord inovant, on quitte les sombres rues haletantes américaines pour se retrouver dans les ruelles sombres et silencieuses de Vienne , autour d'un sujet jamais vu , le trafic d'une drogue rare,donc. Ca tourne rapidement en rond, entre mensonges et manipulations de la police, on est comme le personnage principal essayant de comprendre ce qui est arrivé à un récent ami défunt , on n'y comprend plus grand chose. L'histoire manque beaucoup de rythme aussi remplacé par une musique trop envahissante qui donne un aspect de film noir à cette oeuvre, jamais vu. Je soulignerais aussi l'énorme absence de séquences inoubliables si certains parlent de chef d'oeuvre , moi je n'ai retenu aucune scènes si ce n'est la dernière , l'imparable course poursuite dans les égoûts autrichiens , ainsi que le personnage d'Orson Welles , intriguant à chaque apparition avec son franc parler que seul un réel acteur peut l'exprimer aussi proprement. Pour ce qui est du reste, on suit convenablement cette enquête personnelle sans autant y être subjugué totalement toutes les secondes. Voilà ce que j'en dirais, un bon film noir mais loin d'être un chef d'oeuvre pour ma part.
    Ducerceau
    Ducerceau

    10 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2023
    Un grand film pour l'histoire du cinéma parce qu'il nous fait découvrir la Vienne de l'après-guerre. Avec ses combines pour survivre à l'occupation. Depuis ses égoûts jusqu'au sommet de sa grande roue. Mais il a un peu vieilli avec ses images en noir et blanc qui rappellent le temps du muet. Heureusement il y a sa musique qui restera toujours comme une éternelle ritournelle...
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 octobre 2012
    Un vrai bon classique du cinéma, des images et des plans superbes des rues de Vienne en ruines. Des acteurs légendaires (Joseph Cotten et Orson Welles). Une très bonne intrigue même si l'histoire a un peu de mal a démarrer je trouve et aussi une musique culte.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 mars 2012
    J'ai attendu longtemps mais j'ai enfin pu visionner ce 3ème homme, considéré par le british film institute comme le meilleur film britannique de tous les temps. Au final, un goût de légère déception me reste dans la bouche. En effet, un certain ennui m'a traversé tout au long du film malgré toutes les qualités indéniables de ce film. A savoir, une réalisation et une photographie sublime clairement influencée par l'expressionnisme allemand d'un Murnau ou d'un Fritz Lang, des acteurs investis et crédibles avec notamment un Orson Welles tout bonnement génial, un scénario ingénieux empreint de mystère sur fond d'après-guerre et enfin LA ritournelle mythique à la cythare d'Anton Karas. Bref, du très lourd certes mais de l'ennui aussi dû je pense à un côté fortement théatral et un rythme de montage imparfait, tantôt trop abrupt qui nuit à la compréhension, tantôt trop lancinant.
    Au final, je culpabilise de donner une note équivalente à celle de films mineurs en comparaison mais ma déception est à la hauteur de l'exigence que j'avais envers ce film. L'ai-je vu trop tard? Sûrement mais j'ai préféré notamment de nombreux films de cette époque vus tardivement comme To be or not to be ou encore les oeuvres d'Hitchcock infiniment supérieures telles que L'homme qui en savait trop, La corde, L'ombre d'un doute ou 5ème colonne
    Valentin B
    Valentin B

    12 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mai 2019
    Des répliques cultes, une photographie exceptionnelle, des décors servant (terriblement) bien à la narration : The third man est incontestablement le plus grand film noir de tous les temps, grâce à une ambiance ténébreuse et un scénario intéressant. La présence tardive d’Orson Welles marque un tournant dans le film. Son apparition est magnifique. La scène finale dans les égouts est grandiose et fait preuve d’un clair-obscur impeccablement calibré. La musique, étonnante, permet de donner une perception différente du film et de l’aérer, c’est un plus.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mars 2011
    Un bon film sur le trafique de médicament : c'est à dire le marché noir. On retrouve des super acteurs de l'époque : Orson Welles et Joseph Cotten joue leur rôle à merveille. Mais je trouve que "Le troisième homme" ne mérite pas sa place sur son piedestal. Je rappelle que cette réalisation a obtenue la palme d'or a cannes de 1949, une place dans le top 100 American institute de 1998 et de 2007 et une autre place dans le british film institute. En faite ce chef d'oeuvre vaut surtout pour ses cadrages obliques pour le visage d'Orson Welles subitement éclairé dans l'embrasure d'une porte et surtout pour la scène finale de poursuite dans les égouts de Vienne. C'est un film pour les cinéphiles.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 072 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2015
    Sans aucun doute, le meilleur film de Carol Reed visiblement fort inspiré par son acteur Orson Welles. Un vrai suspense remarquablement construit, des scènes inoubliables filmées avec brio, des acteurs inspirés et attachants, une musique incontournable peut-être aujourd'hui plus connue que le film, un grand classique.
    vivaBFG
    vivaBFG

    10 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2024
    Une bonne enquête policière, entre policier et espionnage. J'y ai appris que Vienne tel Berlin avait été occupée par les 4 puissances ayant gagnées la guerre. Vienne y est magnifiée malgré les nombreuses destructions, et l'enquête bien menée est réaliste. Il manque un peu de suspens à mon goût. Les acteurs sont très bons même si je ne les connaissais pas, mis à part Orson Welles.
    A voir par les amateurs de film politico-espionnage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 juillet 2010
    Bouzi Bouzouf aime « Le Troisième Homme » de Carol Reed (qui, comme son prénom ne l'indique pas forcément, est de sexe masculin), sorti en 1949. Oui, en 1949, ce qui doit surprendre une bonne partie d'entre vous, persuadée que l'on ne tournait pas encore des films à cette époque reculée et que le cinéma a vu le jour il y a une dizaine d'années avec « Titanic » de Cameron ou « Le Seigneur des Anneaux » de Jackson. Aïe aïe aïe. « Le Troisième Homme », donc, beau film noir (non, lecteur, un long métrage n'appartient pas au genre du « film noir » parce qu'il est en noir et blanc) avec Joseph Cotten, Alida Valli (petite mais belle) et, bien sûr, Winnie l'Orson Welles. Mais le véritable personnage principal du film n'est pas l'un des acteurs susmentionnés ; il s'agit de la ville de Vienne, où l'action prend place, une Vienne angoissante, mystérieuse, gothique, regorgeant de recoins obscurs et sur les murs de laquelle dansent des ombres inquiétantes. Bref, une Vienne superbement mise en valeur par Carol Reed qui, Bouzi le répète pour les deux du fond qui n'ont pas écouté, est un homme. Sinon, il faut saluer l'édition DVD proposée par une célèbre chaîne à péage, au dos de laquelle l'identité du personnage d'Orson Welles est révélée dès la première ligne du résumé alors que cette identité constitue le mystère central du film. Bravo pour ce travail d'amateur (de toute façon, Bouzi Bouzouf s'en fout car il lit toujours le texte au dos de la boîte après la séance). Si l'on fait un tour sur la page Wikipedia consacré au film on apprend que celui-ci est « généralement connu pour avoir innové avec des cadrages obliques ». Intéressant. De même, on nous dit que « la musique demeure très célèbre et se classa durant onze semaines en tête des meilleures ventes de disques américaines entre avril et juillet 1950 ». C'est bien. Bouzi Bouzouf termine par une info que lui seul connaît : Welles portait des chaussettes de marque Gammarelli pendant la course-poursuite finale dans les égouts.
    falex
    falex

    7 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 octobre 2007
    Voilà un classique qui vaut le détour. Scénario passionant, ambiance réussie, musique devenue culte et acteurs de classe internationale, vous m'avez compris, c'est du solide. Pour peu que vous ne soyez pas rebuté par les vieux films, celui-ci est un indispensable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 juin 2012
    Les cordes vibrent sous le doigté d'Anton Karas, et sa cithare délivre un air obsédant qui nous emporte vers des horizons lointains d'antan...Ainsi commence le Troisième homme, superbe film policier qui marqua durablement le genre. Signé Carol Reed, la présence d'Orson Welles partiellement ou non à la barre de la réalisation fut longtemps un sujet polémique, mais qu'importe, concentrons nous sur le film lui même en admettant aveuglément les informations fournies par le générique. Le petite introduction qui lui succède témoigne déjà de la volonté d’exécuter un travail d'orfèvre : un narrateur nous présente succinctement, efficacement tout en étant poétique, le cadre de l'intrigue, à travers une poignée de plans dont chacun porte une valeur esthétique et riche de sens extrêmement importante. Vient ensuite les personnages d'une profondeur classique (j'entends par là qu'ils ne sont pas très originaux mais nuancés) mais habilement développée au fur et à mesure. Ce qui relève du talent c'est d'en avoir fait exister avec panache autant à la fois : Joseph Cottens en héros peu sûr de lui et prompt à se remettre en question, Trevor Howard confirmant qu'il est un acteur hors pair (voir sa prestation dans Ryan's Daughter de Lean, immense!), Alida Vali convaincante et Orson Welles qui n'apparaît que tardivement éclipse tout les autres à lui tout seul ! Conduisant une trame assez complexe mais assez maligne pour laisser le loisir au spectateur de deviner la clef avant sa révélation, l'écrivain Holly Martins commence en simple détective menant une enquête d'une manière somme toute plutôt banale mais qui fera monter durablement le suspense par la suite, et dès l'arrivée d'Harry Lime le film prends un essor considérable qui lui fait côtoyer la vraie grandeur cinématographique. Quoiqu'il en soit, on est servit tout du long par une photographie magnifique qui nous offre une Vienne d'époque mariant réalisme et artistique à la perfection, une mise en scène qui ne fait pas le moindre faux pas (chaque plan est calculé pour avoir une utilité maximale). On débouche à la fin sur des séquences où l'on retient sa respiration tellement le film nous agrippe, tel la rencontre dans la grande roue, le rendez vous au café et enfin la fameuse poursuite finale dans les égouts. Longue, haletante, jamais en perte de souffle, et se concluant par une détonation sans que l'on voie l'issue du duel (tel certains westerns), cette perle est l'une des plus grands poursuite de l'histoire du cinéma, cela ne fait aucun doute. A vivre absolument avant de mourir. Quant au plan final, il termine ce chef d’œuvre par une chute digne de ce nom. Voici le 7ème art dans toute sa splendeur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 février 2014
    Très bonne histoire excellemment réalisée, avec des acteurs charismatiques et efficaces, rien à dire, un grand film!
    mqsjdfhg
    mqsjdfhg

    2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2020
    Belles images, idée intéressante, mais un peu longuet dans l'ensemble. On reste sur sur sa faim, c'est dommage.
    mac guffin
    mac guffin

    1 abonné 84 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 janvier 2011
    Malgré des longueurs vers le milieu, voici un classique du film noir, dans le fond et la forme. L'aura d'Orson Welles a tellement marqué le film que l'on l'en croit souvent l'auteur. Certes, son apport n'est pas négligeable, tant au niveau du style que de la définition du personnage de Harry Lime. Mais "le troisième homme", c'est aussi le travail d'un grand romancier, Graham Green. Son univers de personnages ambivalents aux prises avec les soubresauts politiques du monde contribue largement au pessimisme cruel du film.
    De plus, peu de films restent aussi intimement liés avec une ville que le fut the third man avec la Vienne d'après guerre, entre champ de ruines et souvenirs d'une opulence passée. La capitale autrichienne convient à merveilles à cet hommage stylistique à l'expressionnisme germanique, tout en contrastes et en cadrages innovants (et appuyés).
    La musique à la cithare demeure surprenante, tant elle instaure une sorte de distance ironique avec l'intrigue. Ce choix non conventionnel n'empêche que partiellement la tension du film; à mes yeux, elle n'a que le tort d'être trop présente.
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