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Maitena M.
6 abonnés
37 critiques
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2,5
Publiée le 11 mai 2023
Assez moyen et il est vrai que les personnages ne sont pas attachants. On a du mal à s'identifier à eux… Mais j'ai tout de même passé un assez bon moment. Par contre, je déteste la fin. Et puis j'aurais préféré que l'accent soit un peu plus mis sur la culpabilité que la fille d'Eli a dû ressentir en lui ayant fait ce "diagnostic". Et le désespoir de se dire que s'il n'avait pas fait cette opération ; il serait encore vivant. Car objectivement, il était probable qu'un jour, il fasse un AVC, mais c'était hypothétique. Du coup, prendre ce risque aussi vite, je n'ai pas trouvé ça très réaliste. Et ils ne creusent pas assez sur ça du coup.
Je ne suis pas certaine que cela soit un film que je regarderais de nouveau, mais c'est tout de même regardable et cela nous fait prendre conscience de combien la famille est importante ! Même si nous le savons déjà ;-)
Portrait d’un père juif (pourquoi ?) original, amateur de golf et de contrebasse, qui tente de se rapprocher de sa fille assistante-radiologue en copinant avec ses nombreux amants. Un film sympathique, avec des idées originales, des émotions et une bonne BO.
Le film se laisse regarder tranquillement mais il manque cruellement d'ambition, on se demande même son intérêt, mis à part cela Mélanie Laurent et Michel blanc sont très convaincants et attachants dans leurs rôles.
Justine (Mélanie Laurent) a toujours eu des relations compliquées avec son père Eli (Michel Blanc). Elle lui reproche de ne pas s’être occupée d’elle quand elle était petite et, aujourd’hui, de faire à soixante ans passés avec sa nouvelle compagne (Claude Perron) un enfant.
"Et soudain, tout le monde me manque" fait partie de ces petits films français comme il en existe treize à la douzaine, pas vraiment mauvais, mais pas suffisamment bons pour retenir l’attention. Je l’avais raté à sa sortie début 2011 ; la fermeture des salles et sa présence surprenante sur le catalogue Netflix m’ont donné l’occasion de le voir.
Je serais bien aigri d’affirmer avoir passé un mauvais moment à le regarder. Car Mélanie Laurent, Michel Blanc et les seconds rôles, excellents, qui les entourent (Guillaume Gouix, Florence Loret Caille, Géraldine Nakachze, Manu Payet…) font honnêtement le job. Mieux : le dernier quart d’heure est particulièrement attachant qui tire le film dans une direction qu’on n’aurait pas imaginé (en ai-je trop dit ? pas assez ?).
Mais pour autant, la narration aux ressorts éculés de cette relation père-fille n’a rien de si original qu’il faille s’offusquer du légitime oubli dans lequel ce film – et sa réalisatrice qui n’en a pas tourné d’autre depuis dix ans – est tombé.
On a pourtant envie de l'aimer cette comédie, pour son casting notamment. Mais il faut reconnaître que malgré quelques éclaircies le film ne tient guère la distance, entre des dialogues maladroits, des personnages sous-exploités et un humour peu efficace.
vu sur Netflix. Michel Blanc en père de famille , parfois touchant mais surtout envahissant , par rapport à ses filles adultes , et leurs vies , d'autre part sa femme est enceinte et donc la paternité à 60 ans. Intéressant à voir.
GROSSE FATIGUE. Et soudain, patatras, pas de plaisir et je coupe le son. Auteur de l'oubliable jusqu'à toi, Jennifer Devoldère n'est toujours pas très inspiré. Soudain, tout le monde s'en fou et je remet le son.
Globalement très poussif. C'est réalisé à contretemps. Et bourré de poncifs. Michel Blanc est ailleurs. Mélanie Laurent visiblement peu inspiré par le scénario. Et nous on s'ennuie.
La famille, c'est compliqué… Surtout quand Eli, le père, bientôt 60 ans, attend un enfant de sa nouvelle femme. À l’annonce de la nouvelle, ses deux grandes filles, Dom, qui cherche a adopter, et Justine, qui passe d’un petit ami à un autre sans trop d’état d’âme, sont ébranlées. Pour se rapprocher de Justine avec qui il n’a jamais pu s’entendre, Eli a la bonne idée de se lier d’amitié avec tous ses ex… A son insu. Mais lorsque Justine tombe de nouveau amoureuse et qu’Eli s’apprête à tout gâcher, la famille est sur le point d’imploser. Est-ce que tout ce petit monde va parvenir à se réconcilier avant qu’il ne soit trop tard ?
Très bon film sur les relations père-fille, qui mélange avec justesse et intelligence humour et drame. Les personnages sont attachants et fort bien interprétés, Dommage qu'il n'ait pas eu plus de succès, il le mérite. À voir si vous en avez l'occasion.
Sans révolutionner le genre, Et soudain tout le monde me manque arrive néanmoins à nous surprendre. Avec des situations souvent cocasses, à la limite de la caricature parfois, ce film repose sur un duo d'acteurs formidables. A voir ! Pour la critique complète, c'est sur notre blog : http://quandjemanquedetout.over-blog.com/2019/10/h1-les-fims-de-quand-je-manque-de-tout-et-soudain-tout-le-monde-me-manque-h1.html
Une comédie dramatique sur les liens difficiles entre père et fille et autres familiaux plutôt dans la tendance du social en France. M.Blanc excelle comme souvent, M.Laurent est parfaitement juste. Si l’ensemble est agréable, il est cousu de fil blanc et les ressorts dramatiques sont prévisibles et convenus. Un bon repas familial du dimanche.
Un magnifique rôle de père pour Michel Blanc, loin des convenances et des traditions. Pudique et attachant malgré les apparences, il nous apprend que l'amour n'est pas forcément là où on l'attend, et qu'il éclate là où on ne l'attendait plus...
Une bonne réalisation de Jennifer Devoldere. Son scénario nous conte la belle histoire d'une famille aux rapports plus que délicats. Ses dialogues, bien écrits, font mouche dans la bouche de Michel Blanc qui se révèle comme toujours excellent. Il est superbement secondé par une très belle Mélanie Laurent qui joue sa fille dans le film. Sur de belles images, cette comédie très dynamique nous propose des séquences fortes comme la scène dans la brasserie ou Justine et Sami choisissent un papa. Elle nous offre aussi une BO riche et variée, et de jolis rôles secondaires pour Guillaume Gouix (l Sami le boxeur), Manu Payet, Claude Perron ...