Avis : Starbuck - Page 3

Mis en avant sur la scène internationale pour son travail de scénariste sur La grande séduction, Ken Scott passe à nouveau les frontières d’Amérique du Nord pour nous offrir une comédie tendre et altruiste.
Peu avantagé par son affiche française, Starbuck fait partie de ces films fait avec le cœur. Si certains y voient un ton délibérément moralisateur, une approche plus simple délivre un attachement touchant et léger à l’ensemble du métrage.
La justesse et finesse des dialogues, autant dans leur répartie, que dans leur construction, sont les arches sur lesquelles les comédiens peuvent s’appuyer. Leur jeu, naturel, touchant ressemble typiquement et simplement à la Belle Province. Sans cliché, le scénario réussit le pari de nous faire croire à cette histoire de paternité démesurée. S’ensuit une multitudes de saynètes oscillant entre un ton grave et léger afin d’appuyer le plus possible sur la fibre humaine que prétend toucher le réalisateur.
Ce père de famille à la descendance plurielle, Patrick Huard en est l’interprète idéal, sous ses traits de héros malgré lui, qui se découvre une âme paternelle sur le tard. Huard, comme l’ensemble du casting, réussit à trouver le ton juste et équilibré donnant une crédibilité prononcée aux rapports familiaux qui constituent le sujet principal du film.
En dosant habilement légèreté et sérieux, Ken Scott nous questionne sur la légitimité de la paternité. Starbuck ne traite pas de ce débat en profondeur mais apporte assez d’intensité dans sa manière de traiter son sujet afin de nous toucher franchement et tendrement. Rien de révolutionnaire ici, mais le film est remplie d’une fraîcheur et d’une simplicité qui font trop souvent défaut dans certaines comédies actuelles.
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Comédie douce-amère, pleine de bons sentiments (”Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil”), qui fait passer un joli moment… vite oublié. Il reste les acteurs, tous très attachants, le scénario qui réussit à rester cohérent et le rythme bien soutenu et habilement elliptique. Deux gros reproches : un film terriblement sexiste car la présence de quelques mères n’aurait pas dépareillé dans ce sujet sur la paternité et un sous-titrage fantaisisteet aléatoire de la belle langue québécoise qu’il n’est pas toujours aisé de comprendre.

Une très bonne idée de départ, des accents que nous les français adorons, bref, un point de départ tonitruant. Malheureusement, les baisses de régime et les passages insipides alternent avec des moments touchants et plutôt drôles. C'est donc cette irrégularité dans la réalisation qui fait pâtir ce film dans le "bon" alors qu'il aurait pu se trouver dans le "très bon".

Rencontrer tous les enfants générés par ses multiples dons de sperme... Voilà une bonne idée de film ! Ça déborde de bons sentiments, les personnages sont tous attachants et l'on sort de la salle la tête vidée et de bonne humeur. On peut regarder ça avec cynisme, n'y voir qu'un conte gnangnan dont le héros nounours-abruti réussit très bien l'imitation de Droopy, et trouver la fin lénifiante; ou n'y voir qu'un sympathique feel-good movie inoffensif et marrant. Il n'y a pas de mal à se faire du bien lorsque c'est honnête et pas mal foutu après tout.

Quelle idée saugrenue que sont les remakes par la même mise en scène ? Les séquences et dialogues sont similaires, des répliques de personnage, tel David Wosniak, le Canada 🇨🇦nouvelle terre à explorer avant la prochaine.
Les États-Unis vous voilà qui eurent l’idée jouable de re-préparée la sauce barbecue plat poutine pommes de terre huile de tournesol oméga frit frites graisse saturée French fries cheddar viande hachée bacon, miam miam......

Vince Vaughn nice great actor Patrick Huard jolie excellent acteur ! Il est itinérant nomade dans l’âme, à l’image de sa famille icône Sainte-Anne-de-Beaupré, touchant de sincèrement, par la simplicité douce dans l’interprétation sur son environnement canadien.
On en a juste des larmes coulantes, petite rivière grand pont construit élévation gratte-ciel, des choses fictives qui ne seraient visibles qu’en Amérique du Nord, arctique banquise pôle auréole boréale couché d’ozone, contrée contraste espacée large horizon verticale vertigineuse, le souffle oxygéné.

Vous voyez la compréhension mutuelle linguistique tour de Babel idiome dialecte patois régional belle province qu’est-ce délicieux parlé musical chantonné à part entière ? Du dépaysement culturel ramené des bois canadiens pendant 1h49 !?.....
Hein........ on comprend, cette réalisation nous a servi la soupe à la guimauve fakir international voyageur Londres-Paris Ken Scott, salle obscure éteinte aveugle puisse interaction lumière allumée voyante se révèle dans ce film révélation 2011.

Starbucks café tea milk muffins cookies donuts cheesecake bretzel Apple pie wrap sandwich subway 2013, alors l’anglicanisme explorateur américanisé chez les caribous, puisé de l’érable feuille sirop, une touche de clavier de piano.
Des cordes de guitare d’amertume et d’humour sur ce don de sperme prolifique qui n’eu pô chômé, bô travail David au pot à la banque clinique ! La famille canadienne possède le meilleur père ever rencontré, seul 30% a envie de savoir qui est l’anonyme Starbuck delivery man.

Who is ce remue-ménage une à intrigue perverse sex comedy au niveau, la décision de justice faite au patrimoine génétique paternaliste infantilisante ADN, l’entreprise société multinationale américaine détienne les droits.
De possédée ce nom dénominateur fédérale subdivision état monarchie constitutionnelle parlementaire, à ne pas confondre les marques déposées célèbres et riches.

Entre deux films américains décérébrés, la fraîcheur nous vient à nouveau du Québec. L'être humain, le jeu d'acteur non stéréotypé et la beauté de ce qui est simple peuvent toujours être mis en scène dans un film! Et si nous allions au cinéma pour voir des oeuvres, et non des produits de consommation?
Par ailleurs, une thèse est à rédiger : le lien entre finesse du langage et finesse cinématographique.
Le cinéma francophone est en effet capable de bien plus de finesse que le cinéma anglophone, je trouve... en termes de jeux d'acteurs, de scénarios et aussi de mise en scène.

Très très bonne comédie québécoise !! Très drôle ! A voir !

Je vais beaucoup au cinéma et malgré que j'adore certains films, ils y'en a et ils sont rare qui me marquent beaucoup dans le sens positif bien sure. "Starbuck" fait partie de ceux là et j'avais pas ressentis ça depuis "inception". La bande annonce montrait quelque chose de drôle et original, ce qui est vrai il y a d'excellentes répliques et des situations marrantes. Mais c'est aussi très très touchant. Starbuck est une vraie perle cinématographique. Une comédie aussi drôle que touchante, ce film rentre dans mon top 30. Bref un chef d'oeuvre à mes yeux.

Un bon film...plus qu'une comédie...Un vrai sujet de société est abordé.

Une bonne surprise, des bons acteurs, drôles, une bonne comédie en somme. Film bien rythmé !

David Wosniack, loser sympathique ayant la quarantaine était loin de se douter qu'en donnant son sperme près de vingt ans plus tôt, il deviendrait le père biologique de 533 enfants qui veulent désormais le rencontrer. Avec un postulat de départ aussi génial, le film aurait pu facilement se casser la gueule en jouant trop sur la comédie ou trop dans la tragédie. Le résultat est un vrai numéro d'équilibriste scénaristique tant le film nous fait rire autant qu'il nous arrache des larmes. Toujours drôle et touchant tout en sachant gérer une problématique pas évidente, "Starbuck" s'impose comme un petit bijou, faisant évoluer les situations et les personnages avec brio. Vient s'ajouter à cela une véritable humanité et un acteur au sommet, Patrick Huard campant un touchant adolescent de quarante ans qui ne fait jamais tomber son personnage dans la caricature et le film est une réussite. Une très grande réussite même et on en redemande !

Très original comme scénario. Par contre, je n ai pas vraiment ri, mais j ai trouvé ce film touchant, émouvant et bien interprete. Pour passer un bon moment de détente

Une vraie bonne surprise que cette comédie aussi drôle qu'émouvante. Sur un sujet trop rarement débattu, un film qui m'a bluffé pour la fraîcheur de son discours, la simplicité de sa réflexion, bien loin des standards américains ainsi que pour sa force narrative exceptionnelle. Une petite perle dont je suis sorti les larmes aux yeux. Une belle œuvre qui souffle un grand vent de bonheur.

Le film est une petite pépite, les critiques spectateurs m'ont décidé à aller le voir et je regrette pas, c'est la découverte de cette première moitié d'année. Le film est aussi drôle que le vend la BO avec en plus un fond et une histoire bien présents qui n'empêchent pas d'avoir des répliques à mourir de rire. L'accent québecois rajoute au pendant comique du film, et ne connaissant pas du tout leur cinéma j'ai été surpris d'une production qui sort autant du lot. Ce mardi à la séance de 22h la salle était aux 3/4 pleine, donc le bouche à oreille commence à marcher malgré un départ au box office très décevant. Allez le voir !

Peut être que je me trompe mais je trouve que ce film emprunte des éléments de comédies américaines et de comédies francaises (sans doute dues aux influences de ces deux pays au québec).
Il en résulte un film très original, drôle et très agréable à regarder. Une réussite.