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    360
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    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2012
    J'adore les histoires de vies qui se mêlent, les chassés-croisés et tout ces trucs-là, donc forcément j'adhère à "360". Il m'est toujours agréable de suivre des instants de vies différentes, ici dans le monde entier, avec comme souvent dans ce genre de films des gens et des histoires sans rapports qui trouveront pourtant des points communs. Un joli casting avec tout ça ne peut qu'apporter qu'un bon moment de cinéma.
    djacno T.
    djacno T.

    32 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juin 2014
    Film froid et impersonnel qui se contente de surfer sur les stéréotypes ( spoiler: les filles de l'est sont toutes des alcooliques et des prostituées et les hommes de l'est des proxénètes armés jusqu'aux dents, Prague est la capitale de la prostitution, l'Angleterre c'est le pays du luxe et de la luxure, Paris c'est la capitale des amourettes volages, le Brésil c'est le pays de la plage et du joint, bien sûr les femme et les hommes sont tous pratiquants mais ne pensent qu'au sexe et tout le monde se parle spontanément dans la rue pour tout se dire sur leur intimité et coucher, les prisonniers sont tous des psychopathes,...
    ). Le film est bavard et se contente d'enchaîner des scènes inutiles et présente des personnages niais et insipides sur des musiques indignes d'un ascenseur. Le néant de la culture et du cinéma.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 249 abonnés 7 253 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 août 2012
    Énième adaptation du roman "La Ronde" écrit par Arthur Schnitzler (en 1897). Cette fois-ci, c’est au tour du cinéaste Brésilien de s’atteler à cette transposition sur grand écran et force est de constater que même un réalisateur talentueux (La cité de Dieu - 2002 & The Constant Gardener - 2005) peut encore nous décevoir. En effet, qu’est-ce que 360 (2012) à part son défilé de stars à la distribution (Jude Law, Rachel Weisz, Anthony Hopkins, Ben Foster, Jamel Debbouze & Moritz Bleibtreu). Près de 120 minutes durant lesquelles le cinéaste ne cessera de brasser du vent en mettant en scène des saynètes plus ou moins inutiles (notamment celle avec Jamel Debbouze). Cependant, là où nous aurons eu l’impression de ne pas avoir fait le déplacement pour rien, c’est grâce à l’histoire réunissant Maria Flor & Ben Foster (en délinquant sexuel), ainsi que Anthony Hopkins (qui nous offre un magnifique et émouvant monologue chez les Alcooliques Anonymes). Au final, de la part d’un tel réalisateur, on en attendait davantage, dommage.
    Akamaru
    Akamaru

    2 825 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 novembre 2012
    Depuis quelque temps,Fernando Meirelles semble se contenter d'utiliser son talent à mauvais escient,ou en tout cas pour raconter des tranches de vies anodines,à l'image de ce très fade "360".Une sorte de fresque chorale,qui se veut cosmopolite et moderne.Le procédé est simple et adapté de la pièce "La Ronde" de Scnitzer:chaque personnage en croise un autre qui prend le relai...A la fin,nous voilà à la situation de départ.Métaphore adéquate pour un film qui tourne en rond,qui patine,et ne propose rien d'autre que des situations triviales,reliées de façon ultra-artificielle.Meirelles est partagé entre ses prétentions auteuristes et la volonté de valoriser au mieux son casting international.Jude Law,Rachel Weisz,Ben Foster et même Jamel Debbouze sont de la partie.Mais l'on retiendra plutôt le segment sur Anthony Hopkins,homme brisé par le chagrin,qui récite un discours très juste aux Alcooliques Anonymes.Pour le reste,retournez voir les films de Inarratu ou de Altman.
    ffred
    ffred

    1 513 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 août 2012
    Le film chorale est un genre bien particulier. Il peut s'avérer aussi casse-gueule que passionnant. Malheureusement, il nous donne rarement des réussites, n'est pas Altman qui veut... Après trois excellents films (La cité de Dieu, The constant gardener et Blindness), on pensait que Fernando Mereilles était sur de bons rails. Pour la première, il rate complètement son film. Une dizaine de personnages de toutes nationalités se croisent et se recroisent ici, d'Europe en Amérique. Premier gros problème, le scénario n'est pas du tout crédible...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-360-108706870.html
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    éception :'O. Quand j'ai vu cette affiche, j'ai tout de suite été intriguée. En plus, j'avais adoré "The Constant Gardener" donc j'en attendais quelque chose. Mais ce film... c'est juste un tissu de plein de riens, liés par un type qui se veut assez intelligent pour en faire un film. Y avait des histoires touchantes, je ne dis pas (notamment les Slovaques avec le Russe, et le délinquant), mais c'était sans queue ni tête. Et le pan avec Jamel Debbouze, je l'ai trouvé sans intérêt. Tout comme celui avec Rachel Weisz (que j'adore pourtant). C'était plat. Lent. Deux monologues de cinq minutes (bon, j'exagère un tout petit peu, mais c'est pas loin) qui m'ont presque endormie. Je sais pas si ça se voulait à la "Babel" ou à la je-ne-sais-quoi, mais je ne supporte pas ces films à tiroir. Au final, on n'a pas le temps de s'intéresser à un perso que c'est fini, et son histoire n'est même pas close. Pfff, même pas beau.
    nikolazh
    nikolazh

    53 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 août 2012
    Apres un début de carrière sur les chapeaux de roues, et des films au scénario ambitieux, on est étonné de retrouver Meirelles au commande de cette adaptation. Si on retrouve la pâte visuelle de l'auteur et son amour pour les portraits de personnages, on s'étonne devant la maigreur du scénario et le désintérêt total de ces portraits. Un film absolument sans aucun intérêt, d'autant plus frustrant qu'il y avait là une belle brochette d'acteurs.
    scoubi2004
    scoubi2004

    15 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2013
    Film choral comme on en voit de plus en plus et sans réelle morale à la fin du film. Destins croisés de nombreux personnages chacun vivant avec ses joies et tristesses quotidiennes. Si vous êtes fan de ce type de film allez y, sinon il n'y a rien de précis à en retenir. Bon casting tout de même.
    Julien D
    Julien D

    1 115 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2012
    Fernando Mereilles a toujours fait preuve d’une certaine habilité pour nous raconter des histoires à hauteur d’hommes, il était donc logique qu’il veuille se lancer sur la vague des films choraux mis à la mode par Innaritu. Il semble donc prendre pour modèle BABEL quand il distille son récit entre des tranches de vie de personnages géographiquement très éloignés (entre l’Europe de l’est, Paris, Londres et le Colorado) mais sa narration est faite de saynètes inégales similaire à celle d’un film à sketchs. Le jeu de l’excellent casting international et le point commun entre les protagonistes, le fait de faire un choix qui influencera leur avenir, donnent une force au scénario d’ensemble, bien qu’elle puisse être trop teintée de bons sentiments, mais à partir d’intrigues mineures sans étincelle.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    596 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 août 2012
    "360", bien qu'adapté d'une pièce de théâtre, est la réplique même d'un film à la forme avantageuse et au casting friand mais qui, en fouillant plus, sonne creux et ne débouche finalement sur aucun rebondissement original. Fernando Meirelles (La Cité de Dieu, The Constant Gardener) propose une mise en scène chorale et omnisciente où l'écran n'hésite pas à se découper pour laisser transparaître les différents personnages disséminés aux quatre coins de la planète (Paris, Vienne, Bratislava, Moscou, Phoenix, Londres,...). Les acteurs sont doués et efficaces, allant des plus connus aux jeunes nouveaux, et constituent une série de petites histoires, qui, par les liens et les sentiments, s'encastrent l'une avec l'autre jusqu'à former un cercle répétitif, une histoire sans fin... C'est ici la contradiction première du film, c'est qu'il sert des scènes clichées et déjà-vue par des acteurs de hauts niveaux, et on se laisse tout de même surprendre lors de la découverte des liens qui les unie. Mais les sentiments sont une redite remâchée et ne trouvent pas de saveur émotionnelle auprès du spectateur. Jude Law et Rachel Weisz dans le rôle d'un couple bourgeois qui cherche du réconfort ailleurs mais qui se tiennent aux conventions du mariage, Jamel Debbouze (pour une fois sans bégaiement et autres tics, c'est beaucoup mieux) dans le rôle d'un dentiste musulman amoureux de sa collègue, Anthony Hopkins dans le rôle d'un père inconsolable et alcoolique ayant perdu sa fille et la retrouve via une inconnue rencontrée dans l'avion, les débuts d'une call-girl slovaque accompagnée par sa soeur sage comme une image (deux jeunes actrices très bonnes) et un délinquant sexuel remis en liberté (Ben Foster, absolument remarquable même si son rôle est très court). Les points de vue riches et les images dépareillées prouvent le talent du réalisateur. Les musiques, quasi omniprésentes, par contre, assomment notre intérêt et gâchent le tout à la forme intéressante. Le scénario amorce donc des situations qui aiguisent le suspense, mais qui, en fin de compte, ne débouchent sur rien de spécial et laissent le spectateur sans connaissance de fin ; le segment de Jamel Debbouze, par exemple, se finit bêtement et là où on ne s'y attend pas. Sa manque de surprises et d'émotions, sinon, c'est sûr, "360" se serait inscrit à côté de la qualité de "Collision".
    tixou0
    tixou0

    638 abonnés 1 972 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juillet 2012
    Aucun rapport qui tienne la route avec "La Ronde", la pièce-scandale en son temps (Arthur Schnitzler ne put faire jouer son oeuvre publiée en 1903 qu'en 1920, en raison de sa forte connotation sexuelle). Sauf que le film commence à Vienne (hommage sans doute au dramaturge qui était Viennois !) et s'y conclut, après une rotation à 360 degrés (on gagne vers l'Ouest : Paris, Londres, les E-U, puis retour - seul hiatus dans cette cohérence au moins "géographique" : les AR Vienne/Bratislava, les 2 villes étant à moins de 80 kms l'une de l'autre et les trajets de l'"escort" slovaque et de son chaperon de soeur se faisant en bus). Mais le nombre de personnages excède largement les 10 de la pièce, et la "chaîne" ne poursuit pas du tout la même logique (même si nombre de « ressorts » dramaturgiques sont des grands classiques : adultère « bourgeois », prostitution, lucre, contre sentiments « nobles », amour paternel compris, et scrupules divers). C'est donc simplement un film "choral", genre contemporain très tendance, où certains personnages se croisent (et même font un bout de chemin ensemble), et d'autres pas, avec un dénominateur commun : savoir saisir les opportunités (ou pas !). Schnitzler rassemblait en un lieu unique (Vienne) 10 personnages entraînés dans une ronde d’aventures sexuelles (A + B, B + C, etc…la fille du dernier couple étant aussi celle du premier), la diversité des partenaires de ces brèves rencontres lui permettant de faire le tour des composantes de la société de son époque. Peter Morgan le scénariste de « 360 » fait lui voyager ses personnages (enfin, presque tous), et la diversité est celle des langues parlées (allemand, slovaque, anglais, portugais, russe, français et même arabe) d’une société cosmopolite sur la forme, mais très standardisée sur le fond. Le Brésilien Meirelles (« La Cité de Dieu », « The Constant Gardener ») enfile avec plus ou moins de bonheur les saynètes qui constituent cette brochette de destins, en passant de genre en genre, de la comédie de mœurs à la comédie sentimentale, du mélo sirupeux au pseudo-thriller. Il est souvent aidé par ses interprètes (en particulier l’excellent Anthony Hopkins, dans l’épisode américain), sauf quand la partie tourne au ridicule, à force d’improbable (l’épisode parisien avec un Jamel Debbouze parfaitement grotesque en dentiste des beaux quartiers - avec un seul bras - cherchant à résister à ses envies d’adultère avec son assistante Valentina, par ailleurs mal mariée à un porte-flingue de mafieux, entre les conseils d’un imam et ses séances chez sa psy !). La moyenne, tout juste, pour un exercice très inégal.
    Benito G
    Benito G

    595 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 août 2012
    JE le sentais venir... Ennuyant à souhait! LE scénario est quasi inexistant, même si pourtant le début démarre sur les chapeaux de roue. La suite, elle n'a rien de bien interessant (de plus que le réal a voulu faire un peu dans le complexe..). Du coup, hormi ; le jeudes acteurs qui lui se tient ; le reste ne fait pas du tout l'affaire (je me demande comment les acteurs ont accepter un film pareil^^). Aucune émotion, pas d'empathie... et beaucoup de longueurs. Cela fait un peu beaucoup, sachant que quant il n'y a pas de longueurs ; on assiste à des choses complètement inutiles et parfois ; absolument pas crédible. On va mettre cela sur le budget et le fait qu'il ne s'agisse pas d'une production Américaine... Enfin c'est un dés film à éviter.
    Parkko
    Parkko

    138 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 décembre 2012
    Dix ans après la cité de Dieu, il est temps de se poser la question. Est-ce vraiment Fernando Mereilles qui a réalisé le film brésilien ? Parce que si on regarde le reste de sa filmographie, je me demande où et quand on a retrouvé l'immense virtuosité de la cité de Dieu. En 2004 The Constant Gardener décevait (mais c'était pas mauvais pour autant, c'était juste moins bien que son premier film), 4 ans pus tard Blindness faisait plus que pâle figure, et maintenant 360 ne fait guère mieux. Le réalisauter en 10 ans s'est complètement perdu, on ne sait pas trop où ni pourquoi, mais à mon avis ça doit être quelque part dans la grosse planète hollywoodienne qui sait très bien comment macher les grands réalisateurs étrangers pour les formater à ce qu'ils attendent d'eux. Parce que là 360, sur le papier c'est plutôt intéressant cette idée. D'une certaine façon ça me rappelle un film intriguant et original de Linklater, Slacker, où la caméra suivait pendant 24h de façon aléatoire les destins de personnages qui se croisaient et s'entre croisaient. Dans 360 c'est un peu ça mais on ne sait pas trop pourquoi parfois on revient sur certains, alors que d'autres non, la caméra ne fait pas vraiment un cercle complet (ce qu'aurait suggéré 360) vu qu'elle fait certains allers-retours étonnants et, à mon avis, regrettables. Il aurait fallu choisir entre son film "cercle" et son film choral, chose qu'il ne fait pas vraiment et ce qui laisse s'interroger sur certains choix narratifs et scénaristiques. Pourquoi cette histoire plutôt que celle là ? Du coup, qu'est-il arrivé à tel personnage ? Un film pas mauvais mais assez bancal.
    framboise32
    framboise32

    132 abonnés 1 288 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 août 2012
    L’histoire commence par 2 soeurs. Et l’histoire va se développer. Au fil des rencontres, le destin va se faire rencontrer des personnes de pays et milieux différents. Les destins vont se croiser. Le récit est compliqué, aucune fluidité pour ce récit lointainement inspiré de ‘La Ronde’, d’Arthur Schnitzler. Le film manque de rythme. Toutes ces personnes que l’on aurait pu suivre avec intérêt sont parfaitement inintéressantes. Ca ne prend pas. Le seul moment qui aurait pu être réussi ce sont les scènes avec le prisonnier dans l’aéroport mais bon … dommage pour le casting, Anthony Hopkins, Jude Law, Rachel Weisz, Ben Foster…

    décevant et inutile !

    http://framboisemood.wordpress.com/
    Thierry M
    Thierry M

    135 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juillet 2012
    Je me suit perdu une multitude de fois dans ce film au casting virvoltant , ou seul Jamel Debouzze emeut.
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