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MovieInsider
15 critiques
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0,5
Publiée le 15 mai 2014
Voilà j'ai enfin vu The Artist et que dire a part que ce film est sur évalué, on nous le vend comme un film français alors que les paroles sont en anglais et que tous les acteurs sont américains a part Dujardin et Bejo aussi insupportables l'un que l'autre. Si le film était considéré comme français Dujardin n'aurait pas gagné l'oscar dans la même catégorie que les acteurs américains. Rien que de voir la tête de Dujardin mon film est déjà gâché, juste un acteur sans envergure qui joue super mal. Il ne mérite en rien son Oscar. Et le film tout entier ne mérite pas tous les prix récoltés. Loin des films de Chaplin, c'est juste un film normal ou l'on a coupé le son avec toujours la même musique énervante. Seul le chien sauve le film. Bref encore un beau navet qu'on nous fait passer pour ce qu'il n'est pas pour engraisser des réalisateurs et acteurs qui n'en valent pas la peine.
quel grand film hommage au cinéma N&B muet! la démarche artistique (à l'ère de la 3d, des effets spéciaux à tout va...) était bien audacieuse! on remonte aisément au temps du début du cinéma avec cette naïveté magique. des moments drôles, émouvants, une mise en scène minutieuse, la musique (dont le clin d'oeil à B. Herrmann et "vertigo")... et quelle performance d'acteur pour J. Dujardin! LE film de l'année 2011!
C’était sans contestations possibles l’évènement cinématographique français de la rentrée 2011 avec un Jean Dujardin récompensé par la Palme du meilleur interprète masculin lors du Festival de Cannes 2011. On ne peut que saluer les risques pris par Michel Hazanavicius d’avoir osé s’atteler à un tel projet à notre époque mais je dois dire que The artist n’a pas su me convaincre totalement. Oui, la performance de Dujardin est de haut vol et il forme avec Bérénice Bejo un couple séduisant mais l’histoire de George Valentine n’a pas su m’émouvoir complètement. Original et unique par sa forme, on aurait bien aimé que ce soit également le cas sur le fonds.
Le point fort du film est le jeu d'acteur vraiment exceptionnel. Les expressions sont porteuses d'émotions qui permettent une compréhension sans aucunes répliques. On en vient même à oublier l'absence de dialogues tant l'histoire est sincère et prenante. Le film n'est pas un chef d'œuvre car il est à classer dans les exploits cinématographiques.
Multi récompensé (plus de 100 distinctions à son actif), THE ARTIST est le plus bel exemple de la réussite du cinéma français à Hollywood et à travers le monde; un rare exploit ! Porté par l’incroyable Jean Dujardin, qui signe le rôle de sa vie, THE ARTIST est un pur bijoux du cinéma, à voir absolument ; même pour les allergiques au cinéma français.
Ce qui a fait le succès inattendu de THE ARTIST est sans aucun doute sa réalisation hors des sentiers battus de film muet en noir et blanc. La mise en scène est alors surprenante, le film est réellemen muet et seul quelques scène musicales viennent sonoriser le film. La réalisation de Michel Hazanavicius reprend réellement les codes de cinéma muet.
Mais THE ARTIST n’est pas qu’un simple film muet, c’est également l’histoire satyre de l’évolution du cinéma parlant et du délaissement des anciennes stars du muet. Une belle histoire, à la fois tendre et dramatique.
Le casting réserve une surprise de taille avec un Jean Dujardin méconnaissable dans son rôle dramatique. Une prestation si grandiose qui lui vaudra de multiples récompenses prestigieuses dont l’Oscar du meilleur acteur en 2012. Bérénic Béjo est tout aussi remarquable. A noter la présence d’exception de James Cromwell et John Goodman.
Pour conclure, il faut voir THE ARTIST pour sa fabuleuse mise en scène de film muet, le duo magique de Dujardin-Bejo et pour son histoire qui rappelle l’âge doré d’Hollywood.
The Artist mérite vraiment toutes les distinctions qu'il a obtenu . Il faut vraiment avoir confiance en son projet pour produire un film muet en noir et blanc de nos jours ! Jean Dujardin est vraiment au sommet de son art et très crédible dans son personnage. De plus on ne s'ennuie pas du tout durant le film. Le film est très poétique car il multiplie les mises en abyme (The artist en étant déjà une à part entière car Dujardin joue l'acteur Goerge Valentin) et rappelle que notre vie est comme une œuvre de cinéma dont nous serions les vedettes !
Des amoureux et des passionnés de cinéma, voilà ce qui a du pousser certaines personnes à faire ce film, et c’est un bel hommage au septième art. Un film qui reprend les codes du muet, et les modernise, leur donne de la force, la comédie, puis le drame et la rédemption. Tout parait juste, Lanzzman nous offre un Boulevard du Crépuscule, une comparaison facile avec Chantons sous la pluie pourrait être aussi faite. Une petite moustache à la Clark Gable, Dujardin nous offre une belle partition avec des numéros de danse et une palette d’émotion. Les seconds rôles sont de belles surprises et l’héroïne est pleine de fraîcheur, et de tendresse. Tout est subtile et plaisant, une vrai bonne idée.
The Artist : Je me suis enfin décidé à lancer ce film muet en noir et blanc et je suis très loin d'être déçu ! Super bel hommage aux premières heures du cinéma. Une histoire magnifique et touchante qui ne sert pas juste de prétexte pour faire un film de ce style mais qui raconte vraiment quelque chose, où l'on suit un acteur qui vit mal l'arrivée du son au cinéma. Aujourd’hui, nous sommes tellement habitués par ça qu'on ne peut s'imaginer l'évolution que cela à représentée. Jean Dujardin est incroyable, son légendaire rire nous manque un peu mais son interprétation est magistrale. Un réel plaisir de voir ce film qui mérite toutes les éloges qu'on lui fait. Alors certes, il n'a pas la prétention d'être meilleur que d'autres films mais il a le mérite de faire revivre une époque où le cinéma passait avant tout par le talent des acteurs et l'histoire que le film raconte, deux qualités qui se font trop rares aujourd'hui. Je le conseille vivement. La fin est juste excellente
Ils sont beaux, ils sont doués, ils sont enchanteurs. En 1927, à Hollywood, George, grande star, a la trouille : le cinéma est devenu parlant, et il doit lui aussi se mettre à parler pour durer. Mais il peut pas, il a peur. Son chien (il est la troisième star du film, le chien) a beau faire des galipettes, George, sublime Jean Dujardin, n'y arrive pas. Sa langue est coincée. Et Pepy, Bérénice Bejo dans une forme éblouissante, est devenue, elle, une star du parlant. Ils sont amoureux, elle est malheureuse pour lui... Un grand mélo, un régal. Ne ratez surtout pas la fin du film, un éblouissement : les deux acteurs dansent des claquettes. C'est formidable !
Une chef d'oeuvre du cinéma français graçe à son hommage à hollywood et ses films muets en noir et blanc. Mais il faut s'accrocher si on veut le voir en entier.
Une belle gageure de refaire un film muet à notre époque , le découpage et les prises de vue rappellent bien le cinéma muet des années 1910 ; le film malgré son scénario cousu de fil blanc est une réussite surtout grâce la présence de Bérénice Béjot... à voir.
Concept intéressant de traiter du passage du cinéma muet au parlant par un film choix de la couleur (noir et blanc) et une réalisation qui privilégie les plans rapprochés permet de donner beaucoup plus de profondeur et de sentiments aux personnages qu'avec une réalisation classique, et les touches d'originalité du réalisateur spoiler: (le rêve de George; les personnages miniatures qui le menace; l'ombre qui s'en va ;...) donnent un très bon résultat façon années 20-30. Le ton qu'emploie les personnages est inexistant mais la musique (indispensable) le remplace à merveille et installe aussi une certaine tension spoiler: quand George va se suicider et que Peppy vole à son secours par exemple . Le jeu d'acteur est globalement bon et ceux-ci réussissent à ne pas entrer dans un excès de grimaces spoiler: Jean Dujardin joue bien le changement d'attitude de son personnage qui perd peu à peu son ego . Pour conclure, un film nostalgique qui nous rappelle de saisir les occasions qui s'offrent à nous car la gloire n'est que temporaire, j'aurai juste aimé que le travail sur le couple principal soit un peu plus torturé.
Ce qui est réellement frappant dans The Artist, c’est la manière dont Hazanavicius reproduit l’époque des années 30. Ce qui est en fait une prouesse, d’autant que les moyens actuels sont à l’œuvre pour rendre le charme des vieilles pellicules. S’il est vrai que le film a fort peu de fond, tout est parfaitement calibré. Le film, porté par un Dujardin fidèle à lui-même et détenteur d’un charisme à toute épreuve, paraît fort peu crédible dans l’atmosphère 3D d’aujourd’hui. Et pourtant, c’est peut-être de là que vient la force du film, qui s’est donné les moyens d’être un produit de qualité tout en étant une originalité totale. Aussi, il y a lieu de remercier Thomas Langmann, qui a produit des daubes sans risque comme Astérix aux Jeux Olympiques, afin de prendre certains risques ailleurs. Finalement, The Artist est une belle réussite, même s’il marque les limites de la collaboration Dujardin-Hazanavicius. Mais comment pourrait-on s’en lasser ?