Derniers Avis : Effraction - Page 8

Un suspense sans frissons en huis clôt vu et revu cent fois, qui étire en longueur une histoire écrite sur le coin d'une nappe et dont le récit enchaine les invraisemblances et le rocambolesque ! Seule Nicole Kidman surnage de ce naufrage qui ressemble fort à une entreprise pour payer les impôts de toute la bande ! On est très très loin de la référence dans le genre : "Panic room" !!! A éviter...

Le film contient un scénario très banal et du déjà - vu et malgré cela les acteurs "essayaient" de masquer ce défaut. Un film à éviter.

Joel Schumacher aura parfois été brillant tout comme, dans d’autres occasions, à la limite du médiocre. Ces dernières années, le cinéaste est clairement dans une pente descendante. Son dernier film, avant celui-ci, Twelve, était tout simplement imbuvable. Ici, s’il tente de redorer son blason en embauchant un tandem de stars, Nicolas Cage et Nicole Kidman, l’ami Schumacher ne parvient pas non plus à sortir de son mauvais pas. Avec Effraction, il nous délivre un film cousu aux gros fils blancs luminescents, un thriller conventionnel d’une triste pâleur, un film ou le retournement de mauvais goût permet de tirer un récit fiévreux sur une durée d’une heure trente. Oui, le film est court, mais le temps passe long.

Un couple de, semble-t-il, gens aisés est pris pour cible par des cambrioleurs pour le moins désordonnés. A la recherche de diamants, les intrus maltraitent la famille, mais bientôt, un lien entre l’épouse en pleurs et l’un des malfaiteurs nous est divulgué. A partir de là, rien que de blabla inconséquent, à un rythme monotone, de retournements en retournements. Bizarrement, l’on fonde le peu d’espoir qu’il nous reste sur le talent coutumier de Nicole Kidman. Malheureusement, ici, l’actrice se plante lourdement, n’étant qu’une bonne femme que l’on découvre infidèle, en pleures tout du long, sans charisme aucun. Bizarrement, c’est finalement vers Nicolas Cage que l’on tournera le regard. S’il n’est pas transcendant, si le film est complètement inutile, l’acteur, roi du mauvais goût en terme de rôles, n’en n’est pourtant pas à son plus bas niveau, hormis peut-être en terme de lunettes, mais ça, c’est autre chose.

Comme mentionné, le temps passe long. Oui, au bout d’une heure, le rythme lancinant devient difficilement appréciable, d’autant que l’on sent l’embarras de Joel Schumacher devant composer avec un maigre scénario à tiroir, à rallonge, faisant du yoyo pour mettre le public en éveil, complètement raté. Une fois de plus, le réalisateur se lance dans une œuvre insignifiante, à la recherche de quelque chose de substantiel, sans arriver à déloger son récit du piège de la futilité télévisuelle. Effraction aurait fait un téléfilm acceptable, l’on se demande dès lors ce que fichent là des acteurs confirmés, peut-être pas Nicolas Cage, mais Nicole Kidman.

Pour ce qui est du reste du casting, fermons les yeux et n’en parlons plus. S’il l’un des braqueurs démontre, au début, un caractère intéressant, c’est bien vite que le scénario l’envoie balader dans les méandres du n’importe quoi. L’on ne parlera même pas d’un final bâclé et niais. Un mauvais morceau se clôturant sur une fausse note, que demander de pire? Au suivant. 04/20

Alors que le film commence assez bien et annonce un classique et efficace huis-clos à la Panic Room, tout tombe très vite dans le ramassis de clichés et l'on voit défiler les twists ridicules et les protagonistes ultra-caricaturés. A part Mendelsohn, qui comme le spectateur semble être le seul à ne rien comprendre, les autres acteurs sont catastrophiques et ont le plus souvent des réactions complètement hallucinantes. Le scénario est véritablement bâclé et fait croire au spectateur que l'intrigue est solide, alors que tout nous est spoilé dès le début et qu'au final (soit après 1h30 de film), on en est toujours au même point... Bref, à part les 5 premières minutes, rien est à garder!

Mais que sont donc allé faire Nicolas Cage et Nicole Kidman dans cette nullissime réalisation?

film très très mauvais, scénario incohérent et infantile, jeux d'acteurs à la limite du ridicule, à éviter. spoiler:

Un bon film bien efficace ça démarre fort et le rythme descend jamais, un bon divertissement.

Invraisemblable et racoleur, Effraction est un de ces films qui vous fait miroiter une histoire au traitement efficace et qui risque de déstabiliser le spectateur... Déception quand on voit que tout est finalement très convenu, et que ni les stars, ni les "héros" ne mettent en danger leur image. Sans surprise.

Très mal joué, quelque soit les personnages, scénario sans surprise ni intérêt et scènes d action inexistantes!
A éviter sans modération..

Au risque de surprendre j'ai vraiment aime ce film plein de suspens. Donc je vous le conseille. Nicolas Cage est bon ... Nicole Kidman y est très bonne....

Ah donc aujourd'hui encore, avec un budget aussi élevé, il est possible de nous pondre des immondités pareilles... Malgré les avis négatifs qui fleurissaient à vitesse grand V, je me suis lancé dans le visionnage d'Effraction. J'aurais mieux fait de me broyer les testicules avec un burin.
Entre un scénario sans surprises et sans saveurs, des dialogues plats à la limite du ridicule, une bande de voyous d'un pathétique rarement atteint, et nos deux héros qui endossent plus que jamais le costume de "Je suis une star désespérée en perte de vitesse donc j'accepte n'importe quoi"...
Nicolas Cage continue d'ajouter des films et des prestations toujours plus déplorables à sa carrière, (en plus d'une coupe de cheveux qui rassurerait presque un chauve précoce.)
Nicole Kidman quant à elle manque de pétillant et de conviction. J'ai même eu peur qu'elle perde la vue à force de nous équarquiller des yeux comme des billes et de tenter des jeux de regards à l'image du film: déplorables.
spoiler: Clou du spectacle: 1h de lutte car Monsieur Miller refuse de filer la tune aux malfrats, au risque de mettre en danger femme et enfant, pour finalement y foutre le feu sans sourciller alors qu'il ne reste plus qu'un bandit, préoccupé à amasser les billets et donc vulnérable au possible. D'autant que le pistolet à clou n'est qu'à 1m de ce bon vieux Kyle Miller. Ben tiens...


Heureusement donc, le ridicule ne tue pas. C'est ce qui a permis ce film, et à Joël Schumacher de faire carrière. On le remercie pour Phone Game et quelques autres rares réalisations, mais force est de constater que ce cher Monsieur est vraiment brillant pour nous sortir des films à la mord moi le noeud, à l'image d'Effraction. On aurait peut-être dû l'interdire de produire après qu'il ait failli saborder et discréditer Batman à tout jamais non ??

Si la présence de Nicolas Cage et Nicole Kidman informe immédiatement qu’il ne s’agira pas du film de l’année, la bande annonce fait malgré tout quelques promesses. On se dit également qu’avec Joel Schumacher aux manettes, "Effraction" ne peut pas être totalement mauvais. Le réalisateur nous a quand même offert "Phone Game" ou "Chute Libre". Erreur. C’est complètement bidon… Il doit même faire partie des films les plus loupés de 2012… et n’est même pas digne d’être regardé un dimanche après-midi pluvieux de décembre. Question jeu d’acteur, vous l’aurez deviné, rien à espérer. Cage nous propose un nouveau style vestimentaire qui lui va comme un kilt à un doberman, associé à une coupe de cheveux qui sera une fois de plus citée en « exemple à ne pas suivre » dans toutes les écoles de coiffure du monde. Kidman, quant à elle, semble être atteinte d’une conjonctivite chronique et joue plus mal que le pire des acteurs de « Plus belle la vie ». Et ça ne s’arrête pas là puisque le reste du casting sort du même tonneau. La fille du couple (à l’écran) n’a absolument aucun intérêt dans son rôle de cruche-pimbêche-enfant gâtée-capricieuse-et-tête-à-claques. Et tous les brigands qui attaquent la maison rivalisent de crétinerie et possèdent tous de solides tares… Ils sont 4 et on comprend très vite qu’aucun d’entre eux n’a inventé la machine à courber les bananes. En résumé, ce qui aurait pu être un bon polar à rebondissements se transforme rapidement en huis-clos poussif qui peine à trouver la sortie. Et en ce qui me concerne, je pense qu’il s’agissait de mon dernier Cage…

Cellule de crise et de caca mou... exaspérant. Pas évidant d’emmener les autres dans sa chute. C'est pourtant le propre de ces productions de commandes. Désastre assuré mais produit, avec des rebondissements désespérés, mais budgétisé alors avec 35 millions on peut bien se permettre des frivolités. Y'a t'il des carrières à relancer? Qui veut se jeter? Joel, allez! Ce sera peut-être votre dernier. Cage est dispo... mais non je vous assure qu'il ne fera pas des siennes chez le coiffeur, on lui fera une coupe des plus classiques et un brin dégagée. Non je te le répète, Mel n'est pas dispo [...] Ron Howard? Mais non c'est toi qu'il nous faut! Et en plus je te colle Kidman, marché conclu? [...]. (Entrevue et débilités Hollywoodiennes). Voilà comment une équipe d'azbine se combine. Ce qui est sûr c'est que Cage n'a pas vraiment le choix, c'est encore un plan miteux. Et entre nous, Nicole aurait mieux fait de s'enfermer dans la panic room avec Liana Liberato, nous évitant ainsi une si mauvaise compagnie. Reste un scénario qui, a vouloir être plus habile que d'autres s'est effectivement fait acheter et produire, certes, mais claque dans les mains, par des rebondissements loin d'être des plus malins, incitant à de trop nombreux flashback et explications qui accablent le rythme et rompt l'ambiance établie dans le huis-clos. Le flegme de Cage aurait pu jouer une bonne carte, mais il faudra encore attendre. Pour Schumacher, s'est trop tard, la retraite est pas loin

pas mal

C'est du Grand Guignol : scénario indigent , dialogues de décérébrés , jeu d'acteurs excessif , morale finale bien épaisse . A fuir .