Avis : Baby-Sitter malgré lui - Page 2

Après l’exécrable Votre majesté (2011), David Gordon Green récidive avec Baby-Sitter malgré lui (2012) et ne fait que s’enfoncer encore plus dans la médiocrité. Malgré l’excellent Délire express (2008), David Gordon Green ne parvient pas à remonter la pente et confirme bel et bien qu’il ne sait pas y faire avec les comédies (à moins qu’il ne sache pas choisir ses scénarios), rappelons tout de même qu’on lui doit le magnifique drame L’Autre rive (2005). Un réalisateur qui a pourtant du potentiel mais qui choisit mal ses projets, voilà ce que l’on pourrait retenir de David Gordon Green car il ne fait que confirmer ce que l’on craignait avec cette pseudo comédie (qui n’en est pas une car pas une fois il ne nous aura été permis d’en rire, l’humour ici étant une denrée rare).
Faute d’avoir eu affaire à un scenario au combien inintéressant, un pseudo remake de Nuit de folie (1988) de Chris Columbus ou un sous Crazy Night (2010) de Shawn Levy où cette fois-ci, il est question d’une soirée baby-sitting qui vire au cauchemar lorsqu’un loser se voit confier la garde de trois enfants turbulents où s’ajoute à cela une histoire de cocaïne et son dealer névrosé. Bref une comédie où nos zygomatiques seront resté en berne et ne vous y trompez pas, ce n’est pas parce qu’il y a des enfants dans le film que ce dernier peut leur convenir, Baby-Sitter malgré lui (2012) étant un film tellement grossier qu’il leur est fortement déconseillé. Rien d’étonnant ensuite que le film soit exploité en sortie technique dans l’hexagone (d’ailleurs, pour une fois, une sortie DTV aurait été plus judicieuse…).

Jonah Hill reprend ce qui a fait son succès avec un énième personnage de looser/glandeur mais son approche dégage une véritable sympathie et par une approche relativement humaniste ou tout le monde finit par se reconnaitre .On pourrait s'attendre à ce que la présence de 3 gamins puissent venir gripper la machine mais non ils s'intègrent parfaitement sans jamais se transformer en tête à claque et on ne peut pas oublier la présence de Sam Rockwell en gangster gay et psychopathe s'amusant comme un petit fou.

« Baby-sitter malgré lui » est encore une comédie avec Jonah Hill où ce dernier joue encore un loser qui a du mal avec les filles. Le seul élément un peu inédit du film est la présence des trois enfants qui donnent la seule touche d’humour et d’émotion un tant soit peu réussie. Les scènes où ces derniers ne sont pas présents, ne sont que l’habituelle collection de vulgarité à caractère sexuel niveau adolescent attardé censées être drôles, mais qui au final se vautre seulement dans une vulgarité consommée. Non pas que les scènes avec les enfants soient exemptes de ça, mais leur présence amène une touche sinon d’innocence, au moins d’une certaine fraîcheur, qui rend les saillies humoristiques, même limites, drôle et les séquences émotions un peu touchantes. Le film prétend à un humour subversif alors qu’il n’est qu’un enchaînement de saillies d’une vulgarité crasse. Jonah Hill fait du Jonah Hill et n’apporte à son personnage rien qui ne soit basé sur son physique atypique à Hollywood, en d’autres termes : n’importe quel acteur comique aurait pu prendre sa place sans qu’on y perde au change. Le scénario se tient sur une intrigue limite qui une fois encore ne doit sa relative réussite qu’aux scènes où les mioches sont présents, en dehors on pourrait être dans n’importe quelles comédies de l’équipe Apatow. Bref un film sans vraiment d’intérêt hors des personnages d’enfants assez drôles, mais pas non plus ultra-désopilants, qui permet, à la rigueur si on n’est pas trop difficile dans son humour, de passer un moment pas trop désagréable, mais qui peut-être évité sans regret.

Completement lourdingue , je n'est pas rit une seul fois , vraiment un humour de merde.

Pas de commentaire pour une comédie qui restera inconnu pour le grand public , et qui restera enfuit dans les travers du cinéma. Jonah Hill acteur que j'apprécie pour quelques bons rôles ne décolle toujours pas dans ce film ; agaçant , jouer avec des enfants , c'est soulant , on arrive pas à suivre un délire qui reste beaucoup trop enfantin. Vraiment , c'est du bas de gamme.

Film drole et assez délirant mais on ne voit absolument pas le temps passer et on ne s'ennuit jamais ! à voir pour les personnages délirants et le jeu des acteurs incroyable pour des enfants ! en vo cela va sans dire en VF ça doit vraiment être naze !

Le stéréotype de la comédie américaine pur avec Jonah Hill. Pas décevant, drôle mais pas exceptionnel, le genre de film qu'on regarde pour ce vider l'esprit en sachant très bien comment cela va se passer. Une petite comédie sympa sans prétention.

Quelle misère ce film! Scénario écrit par un gamin de 8 ans, rien de drôle même pas Jonah Hill et encore moins Rockwell qui m'a bien déçu en participant à ce naufrage! Complètement débile et irréaliste, situations pas crédibles du tout et morale à la con..... Un conseil, ne perdez pas votre temps!

Avec "Baby-Sitter malgré lui", Jonah HILL vient se perdre dans une comédie loufoque. D'habitude, cela lui réussi plutôt bien. On se souvient de son rôle dans l'excellent "American Trip". Mais ici, la sauce ne prend pas. C'est complètement dénué de sens. Le film est inintéressant au possible. Les personnages sont pathétiques. Nous avons envie de les gifler un par un. Il n'y a, bien entendu, pas l'ombre d'un scénario. Ni même une scène pouvant faire rire le spectateur. Bref, c'est du grand gâchis. Et par conséquent, une perte de temps.

Une comédie trash et vulgaire mais qui se contente de l'être, en enchainant les gags éculés et les personnages stéréotypés. Dans la veine des teen comédies déjà avec Jonah Hill, le scénario raconte la nuit d'un étudiant junkie a ses heures perdues qui doit faire la baby-sitter pour trois gamins insupportable qui vont lui faire vivre une nuit en enfer, un scénario classique et rapide, qui ne cherche pas la subtilité et offre beaucoup de moments juste gênants, pas très drôle, mais vraiment... gênant... Rising star de l'humour US, Jonah Hill n'arrive pas, malgré tout son talent, a sauver ce film mais il reste très bon, tout comme Sam Rockwell, toujours excellent mais qui se laisse la un peu aller a la caricature grossière. Enchainant les comédies plus ou moins drôles (Délire Express, Votre Majesté), David Gordon Green filme la nuit déchainé de cette bande étrange de manière très classique et ne compense pas le ridicules de ses gags et de ses solutions ridicules et étrange.
Une comédie quasi-sauvé par le duel Hill/Rockwell, mais qui se contente du minimum, et encore...

Pas méchant , marrant et dans les cordes ; " Baby-Sitter malgré lui " fait partie des comédies Américaine que j'affectionne tout particulièrement . Faute à Jonah Hill qui reste une crème montante du cinéma Américain . Une fois de plus son charisme sauve le film et parvient à rendre cette comédie largement appréciable .
Un peu con-con mais bon de temps en temps ça peut pas faire de mal !

j'ai pas aimé, toujours sur le mêmegenre, a croire que cet acteur sait donner que dans ce genre la

le scénario est ridicule c'est sur-joué avec de l'humour super lourd plus le film avance est plus c'est du grand n'importe quoi

Manquant cruellement d'intérêt, "The Sitter" se perd par un scénario très mal construit. La réalisation n'est pas non plus à la hauteur et seul Jonah Hill apporte un peu de crédibilité au film. Mais l'ensemble est très ennuyeux, peu divertissant et surtout loin d'être hilarant. Le verdict est un film raté.

Un bon acteur (Jonah Hill) que l'on a pu admirer dans le fameux "Le stratège" au coté de Brad Pitt, qui à l'air tout de même de rarement trouver des rôles à la hauteur. En effet, la majorité de ses films ont pour but de "divertir". Dans le cas présent, c'est loupé. Un film enfantin (pour ne pas dire téléfilm du dimanche) digne de passé sur Canal J. Scénario stupide, mauvais acteurs dans l'ensemble, vu et revu. Passez votre chemin, voilà une perte de temps.