Avis : Pater - Page 10

cavalier frise le génie , un de mes films de chevet , je les vu plusieurs fois , Lindon est massif que ce soit dans son personnage ou hors écran , on ne sait pas si c'est du acting du performing , ça mêle vie privé docu politico réalité je suis bluffé

cavalier frise le génie , un de mes films de chevet , je les vu plusieurs fois , Lindon est massif que ce soit dans son personnage ou hors écran , on ne sait pas si c'est du acting du performing , ça mêle vie privé docu politico réalité je suis bluffé

On retrouve dans "Pater", la patte du grand Alain Cavalier. L'intelligence des plans, un rythme bien particulier... Mais là où le silence confinait à la grâce dans "Thérèse", on frôle souvent l'ennui avec ce film. Lindon et Cavalier y sont pourtant très sympathiques. Tour à tour joueurs, profonds, angoissés...ils tournent autour d'une pseudo-idée : plus d'égalité dans le salaire des français par l'instauration d'un revenu maximum, au même titre qu'il existe un revenu minimum. Il n'y a sans doute pas d'histoire à chercher dans "Pater". Mais là où certains scénarios nous captent, on a un peu l'impression de perdre du temps face à ce film.

80 ans et toujours du talent !
Une oeuvre fraîche originale et créatrice. Un réalisateur malicieux, un acteur principal qui confond la fiction et la réalité...de l'émotion, du rire
A mille lieux des dogmes, des recettes et du cinéma formaté. Bravo !

Ce film est extraordinaire. C'est très inventif et totalement libre, on oublie toute cette industrie souvent trop pesante du cinéma, pour se retrouver devant un bijoux unique, sans moule. Une simplicité, une honnêteté dans le l'acte même de faire du cinéma. Bouffée d'oxygène.

C'est quoi ce film... c'est pas un film, c'est une discussion entre deux personnes tel un making off ou une téléréalité du genre les émissions qui passent le dimanche après-midi sur Teva ou M6, sauf que la moitié du temps, c'est de la pseudo-fiction... J'ai l'impression d'être devant une échelle dans un musée contemporain, avec tous les invités qui disent "oh quelle belle oeuvre", et à la fin de la soirée, le gérant du musée dirait "voilà bande de couillons, c'était une échelle", et les autres convives de se rattraper en disant "oui mais la vie qui nous entoure doit être observée comme un musée". Oui, sauf que ce n'était pas pour ça qu'on était allé au musée! Ce "film" qui n'en est pas un donc, est une catastrophe car elle trompe le spectateur. Et les convives sont tous réunis dans la partie "critiques presse"... allez y jeter un coup d'oeil, et dîtes vous secrètement, avec un petit sourire en coin, qu'ils ont tous été pris pour des couillons, tous encore ébahis par l'échelle...

Une idée géniale, 1 réalisateur et vincent lindon jouant au président de la république et au premier ministre, un qui est pour que la différence entre le salaire minimum et maximum soit d'un de 1 à 15 et l'autre (le ministre) pour une différence de 1 à 10, (ou 1 à 20 et 1 à 15, enfin bref) et puis ? ben c'est tout ! le film ne démarre jamais et la géniale idée retombe comme un souflet, 5 minutes à disserter sur une cravate, un sportif qui témoigne sur le dopage dans une cuisine (v.lindon dubitatif), visite dans une boulangerie où le boulanger bosse comme un chien (vincent lindon admiratif) des petites collations entre amis, v.lindon scandalisé pour une histoire d'ascenseur... un véritable cauchemar !

A voir et à revoir ! Contrairement à ce que semblent prétendre certaines critiques ici, non, les spectateurs ne s'en vont pas pendant le film ! Ils rient et sourient, on les sent captivés. Merci Monsieur Cavalier, de nous montrer que l'on peut faire un excellent film et un excellent cinéma avec trois fois rien, juste de l'intelligence, de l'humour, de la sensibilité. Et que dire de la légèreté avec laquelle se tissent d'inextricables plans de vie ... comme dans la vraie vie. D'ailleurs, si c'est du cinéma, ...

Je sors de la salle, je vais manger un morceau et me voilà près à écrire ce que ce film a produit sur moi. C'est un presque grand film car manque un monteur de talent, certaines prises ont été mises dans ce patchwork d'images alors qu'elles n'auraient pas dû, ou alors ailleurs, ce qui fait que ce film n'est pas un chef-d'oeuvre, mais on n'en est pas loin, cette idée géniale de tout mélanger me plait beaucoup mais aussi ce qui m'a dérangé c'est l'impression d'avoir été plagié sur le coup du salaire haut (voir : http://art-psy.blog.lemonde.fr/2009/01/20/lettre-a-mr-obama/ ) par exemple où je détaille ce point de vue et ça en janvier 2009..) mais ne pas hésiter à voir ce film en attendant le DVD et ses compléments... art-psy.com

ni film, ni documentaire : bof !! dommage pour V.Lindon

affligeant , d'une nullité stupéfiante ; même les acteurs ne semblent pas y croire tellement ils n'habitent leur personnage. On a hâte que chaque scène (très longue) se termine pour passer à la suivante, en espérant qu'elle sera meilleure mais on est déçu jusqu’au bout !

Pendant près de deux heures , j'ai vu des gens manger des mets luxueux dans des appartements ultra bourgeois à la peinture monotone couleur migraine, dans des cadrages hazardeux, qui sortent par ci par là des lieux communs au milieu d'un ennui mortel... une critique sociale, ce film? A voir V. Lindon se plaindre de son propriétaire de son luxueux appartement de saint Sulpice pour une histoire d'ascenceur, où errer dans son dressing qui pourrait loger une famille de sans papier, j'aurais p croire à de l'ironie, mais même pas!

Film séduisant au premier abord, on se laisse caresser par les boiseries de ces beaux appartements parisiens. Préparation d’agapes appétissantes, plans de caméra 'intéressants', interrogations sur ce qui va suivre. Les choses se précisent, le film se veut sérieux... et on a un peu de peine à y croire. Une idée lancée sur la régulation des salaires, une longue diatribe sur une histoire d'ascenseur, un problème de voisinage, la visite d'un dressing, une diversion sur une histoire de sécurité. J'ose imaginer le quotidien d'un véritable président un peu plus dense, les choses un peu plus nuancées et autres qu'un jeu d'enfants qui jouent à se prendre pour des gens importants...Je suis sorti avant la fin sans rien comprendre à toutes ces critiques élogieuses.

pffffut !!!! quel ennui, lieux communs, et platitudes !!!!
la tirade de Vincent lindon qui ne veut/peut pas payer son ascensseur ? le pauvre !!!
la cravate en peau d'Inès ? ... sans commentaires !!!

Théorique et drôle, actuel et léger, le film de Cavalier est une œuvre unique qui casse les frontières entre réel et fiction et crée une fascination de chaque instant.
Ma critique plus complète ici : http://bit.ly/mqaTX5