un scenario a la base fort sympa mais avec une mise en scene bâclé. pour resumer on regarde la bande annonce on vois les 2/3 de ce qui est intéressant dans le films. un casting alléchant mais qui montre ses limite par le realisateur. pour le spoil une equipe de la DEA qui reunis tout le panel complet des barges de la planete (alcoolique - skyzophrene - et garce en manque de drogue qui saute sur tout ce qui bouge) tout cela reunis sous la coupe de Monsieur je fume tranquilou mon cigare Mr sharzy pendant que toutes sont equipes ce fait massacré. aucun intérêt pour ce film frolant le nanar.
trés bon film d'action avec un arnold plus badass que jamais qui envoie encore et toujours des punchlines bien sentie, toujours aussi sympathique et charismatique avec son jeu de sourcil et de yeux qui me fait toujours autant marré
au vu des photos ou de la ba on s'attends a un film de dément qui arraches tout sur son passage au final un polar classique avec une intrigue classique mais avec de bons moments et surtout le final ou on retrouves notre schwarzy d'antan impérial et monstrueux avec la réplique qui tue un bon film mais en dessous des prévisions quand même une serie b classieuse
Très agréablement surpris par ce film mélangeant action et thriller. J'ai eu du mal à reconnaître Schwarzy et c'est là où l'on voit que c'est un très grand acteur. C'est bien mené, pas une seule longueur et une fin à laquelle on ne s'y attend pas ! A voir et à revoir.
Il est vraiment à regarder et ne pas se fier a la note laisser par Allociné. J'était réticente à l'idee d'aller le voir, je suis reparti de la salle encore avec ls étoiles plein les yeux, j'ai surkiffer ! apres chacun ses gouts.
Bonjour, soyons clair, je suis un fan de Schwarzy, mais là, j'ai eu beaucoup de mal. Après quelques minutes, on comprend bien qu'il veut venger la mort de sa femme et de son fils, mais toute son équipe est complètement barrée on ne comprend absolument rien, cela donne prétexte à une boucherie innommable, sans aucun intérêt, le réalisateur a voulu tourner cela à la " Man on fire", mais tout le monde n'a pas le talent du regretté Tony Scott.
Déception, le vrai sabotage c'est ce film... David Ayer qui avait signé le magnifique "End Of Watch" s'abîme ici dans les précipices du néant. Sur un scénario balbutiant, bâclé et peu crédible. Violent et très gore, plus que de raison, cette approche très graphique ne convainc pas. Une scène d'ouverture assez spectaculaire permettait d'espérer un film sec et nerveux alors qu'il est bavard et mou. Trop de personnages pas assez développés. Dommage car le casting fait saliver, à la manière d'un Expendables Jr. : Sam Worthington, Jesse Holloway, Mireille Enos, Terrence Howard, Joe Manganiello... Du tout bon sur le papier. D'autant que Schwarzy s'en sort bien dans le film avec son rôle trouble de salaud pour la bonne cause. Mais la réalisation poussive et le scénario ne sont définitivement pas à la hauteur des enjeux. 2/5
Hormis une scène d’exposition musclée et bourrine qui parvient à intriguer pour la suite et quelques mises à morts originales et bien gores pour ce genre de production, pas grand-chose à se mettre sous la dent dans cette série B qu’on aura vite fait d’oublier. Avec un synopsis similaire, le méconnu mais néanmoins excellent « Profession profiler » de Renny Harlin était carrément meilleur. David Ayer, réalisateur des pourtant estimables et pêchus « Bad times » et « End of Watch » a semble-t-il perdu sa maîtrise de la caméra (ses scènes d’actions son mollassonnes et sans ampleur, dignes d’une vieille série télé) et vendu son côté sans concessions à Hollywood. Qui plus est, la directrice de casting n’a pas été très maligne car on sait très bien que les premiers membres de l’équipe qui se feront supprimés seront les moins connus au casting et ainsi de suite jusqu’au plus célèbre. A l’inverse et dans un genre opposé (le film de requins), du très second degré « Peur bleue », encore de Renny Harlin. Résultat : peu de suspense jusqu’à une résolution de l’intrigue quelque peu grossière et invraisemblable. On s’ennuie donc beaucoup devant ce triste thriller soi-disant musclé aux dialogues écrits avec les pieds et aux personnages grossiers et vulgaires interprétés par des acteurs en surchauffe. Décidément vivement que le Gouvernator rempile pour le reboot de « Terminator » car hormis le mésestimé « Dernier Rempart », très fun et old school, son retour ne se fait pas dans les meilleures conditions ni productions…
Tristes critiques de la presse... Pareil pour les spectateurs. Ce n'est pas parce que Schwarzy ne joue pas le rôle d'un super-héros qu'il faut cracher sur ce qu'il fait dans des films de moindre budget. Ça me rappelle "Le dernier rempart", où un maximum de monde a commencé par le descendre sur Allociné peu après sa sortie, avant qu'il n'atteigne une moyenne de 3,3 sur 5 au moment où je publie cette critique. Et ce n'est pas parce qu'Arnold Schwarzenegger vieillit (il avait 67 ans au moment de Sabotage) qu'il n'a plus le droit de tourner des films d'action, que diable ! Admettez tous que, s'il n'a certes plus son physique de culturiste, il en impose toujours son âge, ce qui lui laisse la possibilité de faire le bourrin s'il le désire ! Je reconnais que j'ai redouté un film valant 2,5 étoiles après avoir assisté aux premières minutes (il part fort mais sans précision quant à l'histoire pour le spectateur), mais il hausse le niveau par la suite. Ce n'est pas la réalisation de l'année la plus décapante niveau action, mais l'histoire s'avère plus complexe que ce qu'on peut croire au début, et pas mal jouée, avec un certain suspens. Sam Worthington est méconnaissable avec le crâne rasé et un long bouc, c'est fou. Sabotage est assez mal choisi comme nom, je trouve. Ça raconte plus l'histoire d'un traitre dans une équipe de policiers de choc plutôt qu'un véritable sabotage. Il aurait pu être appelé tout simplement "10 millions", c'est assez clair et indique bien ce qui occupera (ou... "10 millions et un traitre" ?), mais il faut croire que "Sabotage" fait plus commercial.
Ce nouveau film de David Ayer a été décrié et même boudé par les spectateurs et c'est dommage bien que prévisible. Depuis son retour au cinéma, Schwarzy enchaîne les échecs comme son pote Stallone d'ailleurs. Prévisible aussi car ils ont commencé à être déjà has-been dans les années 90, en 2014, la mode n'est toujours plus aux héros bodybuildés. Mais pour les nostalgiques comme moi, Sabotage n'est pas plus stupide, ni plus intelligent certes, qu'un Double détente ou un Commando. Le charisme de l'ex Gouvernator est intact malgré les années qui passent et le revoir avec son cigare à la bouche, ça rappelle le bon vieux temps de Predator. Quant à Ayer, on l'a vu avec ses précédents films qu'il savait comment filmer, de manière ultra-réaliste, des policiers balancés dans des environnements hostiles. Son univers se marie à merveille avec celui de Scharzenegger et la violence de ce film rappelle cette même violence exacerbée que l'on trouvait dans les années 80. Et probablement qu'Ayer, au vu de son âge, a été bercé par ces films d'action. Au moins, Sabotage assume son côté série B contrairement à Expendables 3. C'est du sec, du nerveux, du brutal, du cinéma rugueux du samedi soir. Tant mieux que Schwarzy soit de retour car je ne vois pas pourquoi il faudrait se tourner vers le DTV pour voir un film d'action autre que du Marvel. Espérons qu'il ait encore quelques années devant lui.
Gros casting pour un film qui est malheureusement pas. La réalisation manque de budget ( les acteurs auraient ils étaient trop payer) et l'histoire est bidon.