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    Shadow Dancer
    Note moyenne
    3,0
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    165 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 6 février 2013
    j ai trouve que ce film manquait vraiment de punch on a du mal à y croire aussi. le suspens n est pas vraiment present et ce film parait vraiment long.
    velocio
    velocio

    1 203 abonnés 3 048 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2013
    De James Marsh, on avait bien aimé "The King" et le volet 1980 de "The Red Riding Trilogy", pour moi le meilleur des 3 volets. Autant dire qu'on partait avec un a priori plutôt favorable vers "Shadow Dancer", couronné, qui plus est, à Beaune et à Dinard. Résultat : une certaine déception, ce film adapté d'un roman de Tom Bradby étant très (trop) compliqué à suivre. En nous racontant l'histoire très embrouillée d'une famille irlandaise plongée jusqu'au cou dans l'IRA, il nous replonge dans l'Irlande des années 90, l'IRA, les services secrets britanniques. Du déjà vu, souvent en mieux ! Au final, un film qui se laisse voir, mais sans grande originalité.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 031 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2013
    (...) Ces deux aspects feront de Shadow Dancer une œuvre en demi-teinte assommante la plupart du temps mais dotée de réelles qualités de réalisation. Un cadeau décevant mais bien emballé en somme. Conclusion, quel est l’élément qui vous poussera à voir le film ou au contraire vous rebutera ? Le fond inexistant digne d’un téléfilm bas de gamme ou la forme d’une qualité bien supérieure à la moyenne ? A vous de faire votre choix. Critique complète sur : http://www.lacritiquerie.com/critique-shadow-dancer/
    Requiemovies
    Requiemovies

    188 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2013
    En 2009, Le funambule (Man on wire), documentaire de James Marsh, sur l’exploit du français Philippe Petit (acrobate français ayant traversé les tours du World Trade Center sur un câble) remportait l’Oscar du meilleur documentaire. Il réalisa ensuite le deuxième volet du triptyque, de très bonne facture, The Red Riding Trilogy.
    Un nouveau passage éclair par le documentaire (Le Projet Nim) et Marsh revient enfin à la fiction. Shadow Dancer, drame social sous fond de guerre activiste de l’IRA prouve que le réalisateur a un sens aigu de la narration et du climax, tant en documentaire qu’en fiction.
    Les premières séquences d’exposition, où la lenteur de la mise en scène se conjugue avec la densité dramatique du récit, inscrivent le film dans une lenteur qui en fera son identité et sa force. La qualité de la réalisation de Marsh ne s’impose pas dans un rythme trépidant du récit mais plutôt dans la qualité de ses cadres et de la propension de mouvements presque invisibles (travelings lents et souvent dans l’axe).
    Grâce au rythme instauré par le réalisateur le film n’est pas uniquement un savant drame sur fond d’espionnage (MI5 contre IRA) mais surtout un portrait de famille irlandaise qui joue constamment au jeu du chat et de la souris. Sans jamais clairement énoncer les relations entre chacun (du moins dans son premier tiers), qui prouve un désir assumé de flou, de perdition, Marsh provoque un intérêt constant. Sans doute en-dessous sur bien des points, Shadow Dancer arrive tout de même à nous rappeler aux bons souvenirs de La Taupe. Pour le coup, les plus réfractaires au film précité ne trouverons sans doute pas dans Shadow Dancer autre chose qu’un banal thriller.
    Le film est régulièrement construit entre la beauté de ses plans et un labyrinthe dramatique sous fond d’espionnage. Le regard que Marsh tente également de poser sur la cellule familiale est d’une force et d’une présence appuyée, qui en fait d’ailleurs avec équité le sujet principal du film.
    Côté casting, Andrea Riseborough (qu’on avait pu voir dans Never Let Me Go et prochainement dans Oblivion) semble camper la parfaite républicaine vivant à Belfast, avec toute la complexité du rôle qui lui incombe, effaçant presque la composition très juste de Clive Owen.
    Le film n’est pas « facile » mais pour ceux qui voudrait s’accorder le temps de se confronter à la proposition du réalisateur, Shadow Dancer dégage une force rare et légitime dans un cinéma qui ne prend plus le temps d’établir une réelle mise en scène. Shadow Dancer n’entre pas forcément dans la case chef d’œuvre mais redonne un certain sens au cinéma.
    Par la complexité de ses personnages, autant dans un contexte historique et social que par le regard critique de la cellule familiale, ce film de James Marsh à la saveur de l’intensité des films d’espionnage et la profondeur d’un récit dramatique de très belle facture. Film discret mais très efficace.
    http://requiemovies.over-blog.com/
    CLEM 06
    CLEM 06

    9 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2013
    Un film magnifique ! On rentre des le début dans cette histoire de l'angletere. On est personnage de l'histoire, on vibre avec l'éroine. Un suspens immense pour un film d'exception.
    Pat o'Gruyer
    Pat o'Gruyer

    2 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2013
    Un excellent film d'espionnage au réalisme bluffant. On se laisse mener par le nez jusqu'au choc final des dix dernières minutes où la réalité vous rattrappe et vous laisse KO. Belle réussite dans le genre.
    Akamaru
    Akamaru

    2 847 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 février 2013
    Un drame policier guère exaltant,primé à Beaune,mais qui souffre d'un manque cruel d'incarnation.James Marsh,documentariste accompli,nous entraîne dans le dilemme moral d'une jeune femme de famille,membre passif de l'IRA,que les membres du MI-5 capturent,et ordonnent d'espionner les siens.Le réalisateur tente de prendre le pls de distance possible,avec ce qui pourrait ressembler à des émotions,pour proposer la mise en scène la plus tendue et neutre possible.Un choix qui étouffe l'empathie pour cette Irlandaise pensive.Andrea Riseborough,spécialiste en oeuvres hisotriques,tente de décorseter son personnage,sans réussite.Quant à Clive Owen,qui lui donne le change,il se contenter de prendre l'air grave et fronçer les sourcils.Insuffissant.La direction des acteurs,plus généralement,laisse à désirer.Le suspense,lui,est inexistant,puisque dès le départ,le jeu de la taupe(découverte ou non)est faussé.Il nous reste alors à apprécier quelques moments chocs,qui montrent que les terroristes n'arriveront jamais à rien avec de telles méthodes(violence et intimidation)."Shadow dancer" déçoit,tout simplement.
    John Henry
    John Henry

    99 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2013
    un film d'espionnage à l'ancienne, inscrit dans un contexte historique très précis, celui de l'irlande du nord dans les années 90. Tout n'est que manipulation, coups tordus et toujours dans le dos ! Intéressant de bout en bout, sobre et avec une belle réalisation, le film se délie dans les dernières scènes et on réalise que c'est avant tout le spectateur qui s'est fait manipuler. Beau !
    Jahro
    Jahro

    45 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2013
    Parce que petite, elle a vu son cadet mourir d’une balle perdue pendant les Troubles irlandais, Colette a rejoint ses frères à l’IRA. Mais la police l’intercepte à l’issue d’un attentat raté dans le métro de Londres. Sentant qu’elle cherche à s’éloigner de l’activisme pour élever son fils, les services secrets la forcent à devenir indic. Et le tiraillement commence. Shadow dancer n’est pas de ces films de spectacle, où des héros maquillés déroulent les vannes avant une explosion, après une séduction. Il est cru, raide, gris, furieusement vrai. La caméra s’attarde sur les immeubles aux murs décrépis, le ciel chargé de pluie, les banlieusards aux visages pâles et au jogging bouffant. Mais c’est ce réalisme, porté par des acteurs tous excellents et un scénario très construit qui rend l’objet si intense. Un jeu de dupes où chacun tente de sauver sa peau en jouant de manipulations et de faux-semblants. La lenteur des scènes toujours aboutit à un événement imprévu, une torture dont on ne devine pas la fin, un aveu qu’on n’attendait pas. Le sujet était captivant, le traitement l’est tout autant. Une réalisation d’une grande finesse, et à la fois extrêmement forte. Il faudra surveiller ce James Marsh.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 janvier 2013
    je sais pas si c'est tiré d'une histoire vraie mais comment font les acteurs pour ne pas s'endormir? il ne se passe rien de bout en bout
    ps: gillian anderson est magnifique pour les 10sec où elle apparait
    xddx13
    xddx13

    3 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 novembre 2013
    pas réussi à accrocher. trop de longueurs, absence de rythmes. mise en scène mal exploitée. dommage car les acteurs sont bons.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 janvier 2013
    Le sujet sur le conflit entre l’Irlande du Nord et l’Angleterre a été le sujet de nombreux films. De ce côté, « Shadow Dancer » n’est pas orignal mais là où il l’est c’est dans son traitement. James Marsh donne à son film une allure de polar familial où le conflit ne devient qu’un prétexte. Sa caméra devient alors très intimiste, suivant une famille qui est au cœur de l’IRA, et livre une vision de ce conflit qui change de l’habitude. De ce point de vue, c’est un bon point pour « Shadow Dancer ». Du point de vue des acteurs, ils sont tous d’une justesse remarquable ! Andrea Riseborough éclate au grand jour et nous prouve tous ses talents d’actrice. Clive Owen, lui, se fait plus effacer avec un rôle froid, mais il laisse ainsi plus d’espace à Andrea Riseborough, et ce n’est pas plus mal. Le reste du casting britannique est très bon aussi que ce soit Domhnall Gleeson, que l’on avait vu dans « Harry Potter », ou encore Aidan Gillen. Mais je pense que ce qui m’a le plus emballé, dans ce film, c’est l’ambiance. Il ne se passe pas grand-chose au niveau de l’action, « Shadow Dancer » n’est pas un équivalent de James Bond, mais tout se passe dans l’ambiance et dans le suspense. De ce côté, « Shadow Dancer » se rapproche plus de « La Taupe », brillant film d’espionnage de Tomas Alfredson. Autre point fort du film, le fait de placer son récit vers la fin du conflit. Il évite ainsi les clichés ou moments trop patriotiques qui n’ont pas leurs places dans ce film réaliste et froid, adjectif qui, ici, n’est pas négatif.

    Plus de critiques de films sur mon blog => http://masemainecinema.wordpress.com/
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2013
    Un film prenant du début à la fin malgré le rythme relativement lent. Froid, clean, délicat, "Shadow Dancer" n'est ni du divertissement ni plein d'action, mais nous tient en haleine et nous donne une fin plutôt inattendue. C'est bien joué, bien réalisé, et il faut parfois bien suivre.
    Charles G
    Charles G

    31 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2012
    Alors que vous êtes confortablement installé dans votre fauteuil et que vous venez de vous taper tour à tour les pubs pour M&M's, Coca Cola et la dernière version d'Internet Explorer qui ont doucement ramolli votre cerveau, le début du film vous donne un coup de fouet qui vous fait instantanément sortir de votre somnolence. L'intensité et la force du récit mêlées au dynamisme de la mise en scène, même quand le choix est fait de montrer la mort par l'absence d'action, nous emportent sans difficulté. Après avoir posé les bases de son film, James Marsh éprouve en revanche nettement plus de difficulté à entretenir un rythme homogène et cohérent. On a déjà vu des films sur l'IRA, sur le terrorisme et sur les indics dans ce genre de milieu. On est donc en mesure d'attendre quelque chose de différent, ce que ce film ne fournit pas vraiment. Clive Owen est encore et toujours dans l'incarnation du professionnel dévoué à la mine déconfite, au bord de la dépression. En revanche, mention spéciale à l'excellente Andrea Riseborough qui livre une très belle prestation. Les décors et la photo du film sont également à mettre en avant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 février 2013
    >>Festival International du Film Policier de Beaune
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