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    Inherent Vice
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    188 critiques spectateurs

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    Nico591
    Nico591

    41 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2015
    Premier film de Paul Thomas Anderson que je n'ai pas totalement adoré. Et pour cause, le scenario volontairement labyrinthique et tortueux fait tout pour que le spectateur se sente confus et perdu.
    Mais malgré cela et le fait que je n'ai pas compris grand chose au film, on demeure tout de même charmé par ce que l'on voit à l’écran.
    Et c'est dans cela que réside tout l'immense talent de P.T. Anderson : sa mise en scène magnifique et raffinée, l'ambiance parano et enfumée du film, un récit décousu mais extrêmement dense, et un casting trois étoiles avec en tête le toujours génial et totalement investi dans son rôle : Joaquin Phoenix.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 mai 2017
    Inherent Vice est beaucoup trop loufoque et pas assez cadré, ça part dans tous les sens et c'est dérangeant. J'ai tenté à deux reprises de le regarder et ça ne prend pas. On ne peut pas reprocher un mauvais travail de Joaquin Phoenix, il joue ce qu'on lui impose, mais son personnage semble être fait pour un autre film. On oublie l'enquête au bout d'une demi-heure, ah oui pourquoi on regarde le IV déjà ? Non fuyez !
    Loïck G.
    Loïck G.

    300 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2015
    C’est quand même bizarre qu’en faisant étalage d’un tel talent Paul Thomas Anderson rende à peine lisible ce récit d’une enquête menée sous produits illicites par un Joaquim Phoenix tout aussi allumé. Comme si la fumette avait contaminé le plateau et rendu les comédiens apathiques. La mise en scène le plus souvent flasque ne fait rien pour arranger la compréhension du pauvre spectateur égaré dans les arcanes d’une époque aussi psychédélique que le film. Malgré quelques fulgurances, on s’ennuie beaucoup.
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 577 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 juin 2020
    Inherent Vice était vraiment mauvais. Juste des scènes avec certains des dialogues les plus ennuyeux jamais livrés par un personnage. La structure du film n'a aucun sens. Un détective privé détraqué n'est qu'une version de second ordre d'une sorte de The Big Lebowski. La voix off dans ce film n'a absolument rien fait pour l'intrigue sinueuse. Ce n'était rien d'autre qu'un tas de divagations pseudo-intellectuelles, prétentieuses et incohérentes. J'ai toujours pensé qu'une voix off devrait servir de cerise sur le gâteau. Cela devrait accentuer l'histoire d'un film mais avec le spectateur toujours capable de comprendre ce qui se passe. Si vous voulez des exemples regardez n'importe quel film de Scorsese. Ce film n'était tous simplement pas bon. La seule chose décente dans ce gaspillage de celluloïd est la performance de Josh Brolin en tant que détective. Cependant, une performance ne peut pas sauver ce gâchis inutile...
    ferdinand75
    ferdinand75

    472 abonnés 3 667 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2015
    Une adaptation parfaitement réussie d’un livre de l’auteur culte Thomas Pynchon. Une mise en scène brillante, une adaptation de scénario et un découpage qui a su extraire l’essentiel du livre. Une image colorisée et teintée 70’s ,superbe , et surtout une bande son exceptionnelle , mélangeant la musique pop acidulée des années 60 , et une musique originale , envoutante , électrisante , crispante , les deux alternant de manière très intelligente, et qui donne un tempo et un rythme au récit , compensant ainsi la légèreté de l’intrigue principale. L’image est parfois floutée, parfois saturée de couleurs, beaucoup de plans serrés sur les visages qui ajoutent du drama, mais aussi des très beau x plans séquences. Dont le plus beau et le plus érotique, celui où Sascha rentre au bercail et se prépare à faire l’amour à son détective privé préféré, le Doc . Il y a d’abord un effeuillage très sexy, puis Sashta s’allonge sur son Doc et le caresse avec son pied, elle lui avoue l’avoir trompée avec plusieurs hommes (à la fois) . Doc lui administre alors une fessée endiablée, et la prend ensuite avec sauvagerie. 50 fois plus érotique que « 50 nuances de Grey », qui passe alors en comparaison pour un roman de la Comtesse de Ségur, tout cela en un seul plan séquence langoureux et envoutant.
    Bien sûr une interprétation magistrale de Joaquin Phoenix , son plus beau rôle , au-delà du délire , en pleine composition frénétique. Le policier Big Foot est aussi superbement interprété par Josh Brolin et bien sûr la délicieuse Katherine Waterson nous joue une Sashta évanescente et écervelée.
    Et pourtant le challenge était compliqué car paradoxalement Pynchon , auteur , n’avait jamais été adapté au cinéma et surtout « Inherent Vice » est certainement , son plus mauvais roman , le moins intéressant, à la structure romanesque la plus faible Il ne se passe pas grand-chose , cette enquête est un faux prétexte, pour décrire Los Angles des 60’s et une certaine nostalgie de la fin des années Hippies et du Flower Power . C’est le moins Pynchonien des romans de Pynchon. C’est un livre qu’il avait écrit il y a longtemps, mais ne le trouvant pas très bon, il ne l’avait pas publié. C’est sa femme ( son éditrice) qui le convainc de le publier en 2009 ( elle a donc très bien fait) . Pour découvrir Pynchon je conseillerai de commencer par « V. » , et/ou « Mason & Dixon », et ensuite si l’on a aimé, s’attaquer à «Contre- Jour » , pavé de 1200 pages, très dense , très touffu, une Master piece, probablement le plus grand roman américain de la 2e moitié du 20 siècle. Pynchon est avec Philippe Roth, l’écrivain US majeur de la fin du siècle. Personnage secret, de 78 ans , dont la dernière photo connue remonte à son service militaire , qui vit caché et reclus à Manhattan ,et qui a publié 8 romans (presque tous des chef d’œuvres), sans jamais accordé un interview, ni paraitre dans les medias (juste une apparition dans le cartoon des Simpson , ou il était montré avec un sac sur la tête) . On parle régulièrement de lui pour le Nobel, mais il est bloqué par l’académie qui trouvent ses romans trop « décalés » et pas assez respectueux du politiquement correct,
    C’est bien pour cela que le travail de Anderson est remarquable par sa mise en scène audacieuse, esthétisante à souhait, par la beauté et la pureté cinématographique qu’il a su crée, tout en restant fidèle à l’esprit et au style de Pynchon, sublimant et surpassant même l’œuvre originale.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 246 abonnés 12 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2022
    Une intrigue d'une grande complexitè vous attend dans "Inherent Vice" (2014) de Paul Thomas Anderson qui plonge le spectateur dans un univers psychèdèlique! Totalement fascinant, il s'agit ici sans doute de son oeuvre la plus contemplative! Toujours sous l'effet de substance avec ses rouflaquettes, Joachim Phoenix est parfait en dètective stoner pris dans une affaire qui le dèpasse pour lui-même et pour le public, à l'image de Jeff Bridges dans le culte "The Big Lebowski" (1998). Portè par des seconds rôles dèroutants (Katherine Waterston, en tête, dans un plan sèquence magnètique qui fera date), cette plongèe dans les seventies se noie dans une ribambelle de personnages dèjantès et de retournements de situations qui n'en finissent plus! Mais Anderson maîtrise son sujet et se tire tant bien que mal de cette adaptation de Pynchon en signant une oeuvre tentaculaire qui nous ramène au temps du glas de l'utopie hippie! La bande son est en parfaite adèquation avec cette histoire labyrinthique et enfumèe...
    Hotinhere
    Hotinhere

    439 abonnés 4 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2023
    Un polar enivrant et tortueux mais trop décousu pour tripper, qui nous immerge dans l'univers psychédélique du LA hippie des 70's, où Joaquin Phœnix plane très très haut.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    230 abonnés 882 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 mars 2015
    Mais qu'arrive t'il donc au réalisateur Paul Thomas Anderson ? Alors qu'il a mis six ans pour sortir There Will Be Blood après Punch Drunk Love et qu'il s'est déroulé encore cinq ans pour voir The Master, le voici déjà de retour seulement deux ans plus tard avec Inherent Vice. Après deux films très sérieux, le réalisateur semble avoir besoin d'un peu de fantaisie avec ce polar situé dans les années 70.

    Pour la première fois, quelqu'un ose adapter à l'écran l'un des romans de l'écrivain Thomas Pynchon. Paul Thomas Anderson n'a pas choisi l'une des oeuvres de ce romancier qui a toute sa vie chercher à rester anonyme mais il s'intéresse au contraire à son avant dernier livre Inherent Vice. Une plongée dans les années 70 avec des personnages haut en couleurs que le réalisateur à imaginer à la manière des Freak Brothers pour un film à l'univers à la fois déjanté mais sombre et à l'ambiance plombante.

    A se fier à la bande annonce, on aurait pu croire qu'Inherent Vice serait une sorte de comédie policière entre les films des Frères Coen et les adaptations des livres d'Hunter S. Thompson Las Vegas Parano ou Rhum Express. En réalité, le marketing a bien fait les choses pour cacher les vices du réalisateur Paul Thomas Anderson qui nous livre une nouvelle fois un film très bavard et surtout beaucoup trop long.Des scènes drôles, il y en a bien quelques unes mais malheureusement elles étaient quasiment toutes déjà dans la bande annonce. On les voit donc arriver de loin et elles ne nous font forcement plus vraiment rire.

    Même la voix off narrative n'arrivera pas à nous faire comprendre toute l'intrigue de cette histoire très confuse. On perd vite pied dans cette enquête sans queue ni tête qui se traîne en longueur et multiplie les lieux et les personnages secondaires. Une fois complètement paumé, les pérégrinations de Doc Sportello perdent forcement beaucoup de son intérêt surtout lorsqu'on pensait qu'il était arrivé au bout de son enquête et qu'il reste pourtant encore une heure de film.

    Prévu initialement pour Robert Downey Jr, le rôle de Doc Sportello a finalement été confié à Joaquin Phoenix qui retrouve le réalisateur pour la seconde fois après The Master. Un rôle de détective hippie stoner qui fait forcement penser au héros de The Big Lebowsky. L'acteur est amusant mais n'arrive pas à compenser les lacunes de cette intrigue un peu trop fumeuse.

    Joaquin Phoenix renoue ici avec Reese Witherspoon, sa partenaire de Walk The Line, qui joue sa fiancée. Il a en permanence aux basques un inspecteur de police joué par l'excellent Josh Brolin. Dans le courant de son enquête, il croisera aussi la route d'Owen Wilson dans un rôle très secondaire. Le plus drôle de tous est cependant le Docteur Rudy Blatnoyd joué par Martin Short. Parmi toutes les très belles femmes que l'on croisent dans le film on retiendra Katherine Waterson qui joue l'ex-petite amie fantomatique de Doc Sportello.

    Trop long, trop confus et trop bavard, les deux heures et demi d'Inherent Vice tourne vite au calvaire. Il faudra vraiment être un fan inconditionnel des œuvres de Paul Thomas Anderson ou de Joaquin Phoenix pour savourer ce long métrage. Les autres reconnaîtront tout de même une superbe reconstitution des années 70 et une excellente bande son en partie signée par le guitariste de Radiohead. Reste à savoir si cela suffit à tenter l'aventure...
    kibruk
    kibruk

    115 abonnés 2 406 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2021
    "Inherent vice" est un petit OVNI, un trip halluciné qui se situe dans les années 70 adeptes  d'acide et autres substances illicites. Tout est fait pour plonger - rien qu'un peu quand même - le spectateur dans l'esprit ambué d'un personnage principal qui n'est pas sans rappeler 'The dude' Lebowski. Alors l'intrigue est un peu opaque, décousue, mais on se prend au jeu et on se laisse capter par ce film assez particulier.
    FaRem
    FaRem

    7 568 abonnés 8 912 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2015
    Paul Anderson nous plonge dans un trip psychédélique très étrange, il faut peut-être se mettre au même niveau de défonce que les personnages pour comprendre quelque chose et ne pas voir le temps passer, mais à "jeun", ce film devient assez vite pénible malgré des qualités évidentes et un humour décalé sympathique par moment. Le casting est très bon avec en-tête Joaquin Phoenix, l'ambiance 70's que ça soit la bande son ou les décors est plutôt efficace, mais le vrai problème vient de l'intrigue qui n'est pas franchement intéressante en plus d'être incompréhensible puis surtout elle traîne en longueur et le film semble interminable.
    Redzing
    Redzing

    957 abonnés 4 314 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2015
    Dans la Californie du début des 70's, un détective privé hippie enquête sur diverses affaires tournant autour d'un magnat de l'immobilier. "Inherent Vice" est une sorte de mélange entre "The Big Lebowski" et "The Big Sleep". On y trouve un héros décalé et camé jusqu'à l'os (excellent Joaquin Phoenix), mais qui parvient à suivre le fil d'une enquête complexe, bourrée de personnages délirants (un dentiste obsédé, un gangster amateur de battes, un policier fasciste, etc.) et d'intrigues secondaires labyrinthiques. Ces intrigues, couplées à des dialogues parfois denses, peuvent rendre le film longuet pour celui qui n'adhère pas à l'humour au second degré, ou à l'ambiance "défoncée" de l'ensemble. Par ailleurs, la réalisation de Paul Thomas Anderson est soignée, bien que très sage, et les acteurs secondaires assez amusants (Josh Brolin, Owen Wilson, Benicio Del Toro...). En somme, "Inherent Vice" est une sorte de film noir au scénario sous acide, à découvrir.
    Acidus
    Acidus

    638 abonnés 3 663 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juillet 2018
    Paul Thomas Anderson est un excellent réalisateur mais son "Inherent Vice" me laisse sur un avis mitigé. Evidemment, la mise en scène du cinéaste n'est pas à remettre en cause et PT Anderson nous offre du plaisir pour nos yeux d'autant plus qu'on se laisse facile embarqué dans cet univers 70's. Rien à redire non plus sur les acteurs (premiers comme seconds rôles) qui campent des personnages hauts en couleurs. Le principal défaut de ce film proient de son intrigue, captivante durant les premières minutes avant de s'enfoncer dans une routine parfois confuse. Le rythme lui-même s'essouffle et laisse place progressivement à des longueurs. On en perd le fil et on finit par s'ennuyer. C'est d'autant plus dommage que les bases étaient bonnes et solides. Moyen.
    François Martin-Chave
    François Martin-Chave

    220 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2015
    Film a l'intrigue aussi vaporeuse qu'une longue traînée de weed, le méconnaissable Joaquin Phoenix (ex-super méchant de "Gladiator", entre autres) grimé en enquêteur hippie amoureux mélancolique, perdu dans une intrigue aux multiples facettes & rebondissements, dont les innombrables ramifications perdraient presque le plus assidu des spectateurs, dans deux interminables heures d'enquêtes (et contre-enquêtes) à tendance kafkaïenne

    "Brillant" et "précis", diront certains ; "foutraque" et "confus", argueront d'autres : chaque sensibilité devra s'y faire son propre avis, avec le sentiment partagé, à la fin du film, d'une sacré "gueule de bois" psychique, consécutive d'une concentration à son plus haut niveau.
    norman06
    norman06

    308 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2015
    Une histoire policière de 2h20 incompréhensible (mais la complexité de l'intrigue n'est pas forcément un défaut), et une élégance de style qui porte la griffe d'un grand cinéaste dont on préfèrera toutefois la période "Magnolia". Interprétation impeccable.
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2015
    Paul Thomas Anderson divise et déroute encore, mais cette fois en embrassant les rouages des mauvaises raisons. En adaptant le roman de Thomas Pynchon, le cinéaste met sur pied un énième trip senventies à la "Las Vegas Parano". Pour cela, il utilise tous les ingrédients requis pour ce type d'exercice ; une intrigue opaque, une BO soignée, ainsi qu'un défilé de personnages décalés et prétendument baroques. En confondant psychédélisme et bouffonnerie, le cinéaste enferme sciemment son film dans une tour de faux hermétisme, dont la prétention rappelle la démarche similaire de "Punch-Drunk Love". "Inherent Vice" ressemble à un mauvais opéra, un de ces spectacles préfabriqués dont l'illusion s'estompe avant même la sonnerie de l'entracte. Sa distribution clinquante représente à elle seule les limites du trip andersonien, finissant inévitablement par verser dans le grand-guignol cabotin.
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