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kibruk
114 abonnés
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1,0
Publiée le 24 février 2014
Sans être d'une originalité folle, cette histoire devait avoir un bon potentiel, si elle n'avait pas été adaptée par une Sylvie Testud totalement dépassée par son sujet. C'est fortement ennuyeux et le résultat est sans intérêt. Et le pire de tout, c'est l'interprétation catastrophique d'une Juliette Binoche en roue libre.
c'est truffé d'invraisemblances, mais alors vraiment, il y en a treize à la douzaine ! des questions soulevées qui restent sans réponse, des situations insolites sans explication...mais allez savoir, moi j'ai trouvé ça très sympathique de voir une comédie sentimentale avec deux personnes qui ne sont pas des canons de beauté mais qui ont un charme fou et auxquelles on peut s'identifier. bref, ça fait du bien, c'est mignon, on voudrait avoir le même appartement et la même voiture et danser sur les bateaux mouche......ça fait partie de ces choses peut-être très mauvaises, mais qu'on mange avec une certaine délectation !
Une vraie fin ou un début de réponse aurait pu grandement aider plutôt que de le laisser en plan le spectateur, probablement médusé de voir une Juliette Binoche partir du point A pour gagner le point B en étant autant perdu que lui.
Ce film m’a intrigué. Comment perdre la mémoire du jour au lendemain ? Une amnésie de 15 ans de surcroît ! Suite à un choc émotionnel ? Est-ce possible ? L’idée est originale. Juliette Binoche flirte avec la comédie dans la première demi-heure et ça lui va bien. Par contre, plus on avance, plus on reconnaît le jeu habituel de l’actrice. Ce qui est intéressant, c’est cet effort de mémoire pour découvrir quel personnage Marie a été ; quel a été son parcours. La scène finale est très instructive et assez émouvante. C’est un thème qui dépasse même le sujet du film. Combien de couples se sont perdus en route ? Combien de couples aimeraient revenir en arrière, ne serait-ce que pour rectifier la trajectoire ? Ne vaudrait-il pas mieux en effet d’oublier pour repartir à partir du point de départ, de la source ? Enfin, on peut noter une petite incohérence : elle découvre les jeux vidéos, donc les nouvelles technologies, mais ne semble pas embarrassée de se servir de son iPhone... Ca n’engage que moi...
beaucoup de mauvaises critiques, injustifiées...le pompom revient au journal parisien, les Inrockuptibles. Populaire = mauvais , c'est la règle dans ce journal, dommage. Messieurs les producteurs ne leur envoyer plus de place gratuite, envoyez les moi, j'en ferai un meilleur usage, et surtout je ne suis pas blasé comme ces types... bref pour résumé , un bon film romantique avec une Juliette Binoche éblouissante qui joue magnifiquement bien. Bravo à Sylvie Testud pour cette première réalisation.
MEMENTO. Sylvie Testud est passé à coté de son sujet. Elle qui sait si bien écrire avec son coté décalé, a changé d'univers et mal lui en a prit. Que de maladresse dans cette histoire invraisemblable. Une Juliette Binoche qui en fait trop ou pas assez pour nous taper sur le système et Kassovitz passif. Oubliable.
Il parait qu'aujourd'hui il suffit d'être comédien-ne pour devenir automatiquement auteur-réalisateur... Après la dérive d'une Mélanie Laurent, on a droit à l'égo d'une nouvelle "star" des écrans français qui a décidée (forte d'un entourage apparemment aveugle) de réaliser et impose au spectateur ce navet sans tête ni queue... dommage pour Juliette Binoche qui s'est laissée emporter sans doute par le charme de Testud sans arriver à faire la part des choses...
Binoche tente de repiocher Kasso avant qu'il se cassos. Elle se réveille un matin mais elle se souvient plus de rien. Et en plus, petit à petit elle se rend compte que son couple est en mauvaise passe. Un film tantôt marrant puis souvent très sérieux. Binoche est formidablement si naturelle.
Excellente idée de départ que cette femme qui se réveille le jour de ses 41 ans en ayant oublié les 15 dernières années de sa vie. Elle redécouvre ce qu'elle est devenue, se rend compte qu'elle a renoncé à ses valeurs de jeunesse, pour essayer de se retrouver sur fond d'une histoire d'amour à bout de souffle. Sauf que voilà, on n'y croit pas. Juliette Binoche peine à restituer les sentiments contrastés de cette femme tandis que Mathieu Kassovitz lui donne une réplique honnête. Aure Atika aurait mérité mieux. François Berléand aussi. Plusieurs incohérences gâchent le plaisir de l'anachronisme entre 1996 et 2011. Par exemple comment l'héroïne peut-elle savoir utiliser un smartphone ? Que saurait-elle du taux de change euro-franc (6,55957 comme s'en souviennent ceux qui ont connu ce changement de monnaie). À l'arrivée un film décevant, parfois ennuyeux.