Avis : Une Séparation - Page 3

Pas mal pour un film iranien, une histoire intéressante et bine joué.

Un crescendo d'une rare intensité dramatique dirigé par une main de maître. Décidément, le cinéma iranien possède de sacrées pépites.

Trés beau film ! Un scénario parfaitement bien écrit et structuré. Une réalisation qui s'inscrit dans le réalisme (abscence de rythme musicale). Un jeu d'aceturs profond : La surprise de l'année 2011 (que ce soit d'un point de vu critique et commercial)

un film fascinant, bien joué, bien écrit, portrait de l'iran d'aujourd'hui tragiquement réaliste, à voir absolument !

Le cinéma Iranien dans toute sa splendeur: réaliste et déchirant, le portrait magnifique d'un pays aux crises multiples...

Magnifique. Pourtant je ne me sens ni bobo, ni intello. J'étais bouleversée. Film très intense et acteurs prodigieux.

C'est probablement l'un des films les plus ennuyeux que j'ai regardé dans ma vie. Même le titre est trompeur car seules la première et la dernière scène ont quelque chose à voir avec une séparation réelle. Nous voyons Simin (la femme) et Nader (le mari) devant un juge en train de débattre des raisons pour lesquelles ils veulent se séparer. En fait Simin veut se séparer et Nader semble s'en moquer ce qui ne donne certainement pas envie de poursuivre. Les deux ont un enfant qui reste avec Nade tandis que Simin est retournée vivre avec sa famille attendant qu'il décide si elle veut quitter le pays avec elle ou rester avec lui. Après l'introduction des personnages principaux l'histoire déraille. Les deux heures d'ennui insoutenable sont occupées par l'histoire de Razieh une femme ignorante engagée pour s'occuper du père de Nader qui souffre d'Alzheimer et qui est la raison principale pour laquelle il veut rester sur place. Razieh fait un gâchis total d'un travail relativement simple et finit par créer plus d'ennuis pour elle-même et pour tout le monde autour d'elle y compris son mari sans emploi. Quel est le rapport avec la séparation du titre il n'y a rien ou presque. Le film n'en finit pas de parler de Razieh et de ses problèmes perdant de vue les personnages principaux. Pour aggraver les choses même la fin est une déception totale. Une blague suffisante du genre je suis plus intelligent que toi jouée au public. Par conséquent Une séparation commence lentement et ne va nulle part et va tout aussi lentement dans un style de faux-documentaire...

Séparation, n, f : distance qui éloigne deux objets.

Et l'écart se creuse de jours en jours.

Un film dense, poignant, douloureux et bouleversant.

J'ai adoré ce film qui part d'un fait banal, mais où le suspense est total et ou la tension tient tout le long du film. Le fait que cela se passe en Iran y donne en plus une toute autre saveur. Film à voir.

Je ne comprend pas ce qui peut pousser la presse à sur noter ce film si ce n'est un esprit bobo étriqué qui fait de quelqu'un qui aime un film iranien une élite culturelle. Ce "film" est mou, vide et les acteurs sont aussi bon que des moules en sauce.

A ignorer, comme le reste du cinéma iranien que les bobos nous vendent depuis que c'est la mode.

Le réalisateur le plus connu d'Iran nous livre une critique acerbe de la justice de son pays et nous sert un film prenant et puissant, en nous laissant, ici, une fois de plus, une fin libre.

Une oeuvre unique, sensible, interprétée avec talent, une histoire originale superbement écrite.
La mise en scène est impeccable, car le spectateur arrive à ressentir le mal-être des personnages à travers ce drame Iranien.
Une révélation !

Juste magnifique!
à voir absolument et revoir sans modération j'adore les films iranien et avec une séparation encore plus merci...

Le film n'est pas inintéressant mais lire comme je l'ai lu "vertigineux", "époustouflant", "haletant"... c'est très excessif. Voilà un film dans lequel pendant deux heures des gens se hurlent dessus à propos d'une histoire dont on ne connaîtra jamais le fin mot... Je plains de tout coeur les Iraniens de vivre dans cette société moyenâgeuse...
Demander la permission d'un mollah pour savoir si une femme a droit de laver un vieillard impotent... si ce n'est pas le Moyen-Âge.
L'intérêt du film, c'est que, à part les enfants, personne n'est tout blanc. Le film est aussi intéressant car c'est une plongée au coeur du quotidien iranien... mais il aurait fallu montrer aussi "une certaine normalité" et ne pas faire de ce film 2 heures de bruit et de fureur...