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    Lovelace
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    Roub E.
    Roub E.

    748 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 décembre 2014
    C est loupé et c est bien dommage. Avec l histoire de cette femme qui sort d une famille hyper stricte et très religieuse pour tomber dans les bras d un mari violent et devenir après avoir tourner dans le film porno le plus rentable de l histoire un symbole de la liberté sexuelle avant de lutter par la suite contre le porno et la violence faite aux femmes il y avait une matière énorme pour faire un bon film. Seulement on survole à peine tout ces sujets et du coup il n y a aucun message à en tirer tellement ce dernier est brouillé. En fait on a l impression de suivre un téléfilm classique avant une soirée débat. Les choix scénaristiques sont donc discutables, les choix artistiques le sont tout autant comme le grain qui a été donné à l image pour évoquer les films de l époque et qui aurait pu être une bonne idée s il avait été utilisé dans une scène ou deux mais sur tout le film c est insupportable. Bref un film avec un potentiel énorme sur le papier mais bien faible au final.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    602 abonnés 2 711 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 décembre 2014
    Les clichés s'enchaînent, et s'enchaînent, et s'enchaînent... Le film ne coule pas totalement au naufrage uniquement grâce à l'histoire vrai de cette actrice porno, histoire poignante et puissante!
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    118 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Que les amateurs de pornographie s'imprègnent bien de cet envers du décor, et qu'ils sachent combien ils participent à l'esclavage sexuel des femmes de par le monde.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    99 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2014
    La belle Amanda Seyfried est Linda Lovelace dans un simulacre de biopic signé Rob Epstein et Stanley Friedman. Tout le monde, à défaut de l’avoir vu, s’entend le public masculin nostalgique des films de boules d’une époque révolue, connaît Gorge Profonde, illustre métrage pornographique considéré comme le film X le plus rentable du l’histoire du genre. Tout le monde ne connaît pourtant pas la destinée de Linda Boreman, AKA Linda Lovelace, l’actrice qui s’étouffa tout du long du tournage sur le pilier d’un mâle de jadis, tout surpris des prestations buccales invraisemblables de l’ex prude jeune femme de Floride. Oui, c’est d’elle dont il est question ici, femme commune tombée sous le joug d’un maquereau raté, Chuck Traynor. Le récit du tandem Epstein et Friedman, à défaut d’être sincèrement captivant, possède au moins le mérite d’un certain culot, c’est déjà ça. Oui, faire d’une analyse biographique de la star féminine, sous la contrainte, de Gorge Profonde, une film grand public était un pari relativement osé.

    Pour autant, tout ici est trop timoré, trop timide. Certes, un support cinématographique traditionnel s’éloigne considérablement du porno, quoique maintenant la marge rétrécit, il faillait pourtant ne pas trop heurté les mœurs d’un public toujours catalogué comme prude alors qu’il ne l’est pas. A peine quelques sons de succions viennent évoquer l’acte de la belle Linda, pourtant centre de son talent d’artiste, appelons ça comme ça. Dès lors, ce biopic consacré à une actrice du porno, repentie ou pas n’y change rien, s’affiche comme un sage petit film académique qui n’ose ni l’obscénité, un comble vu le sujet, à chaque film son public, ni une dissertation un tant soit peu poussée sur les méthodes de financement du film, hautement rentable. Oui, nulle allocutions aux difficultés physique de Linda, nulle allusions au financement des films X dans années 70 par le pègre, pas même un soupçon de rébellion artistique de la part de cinéastes qui filment Lovelace comme il filmeraient une biographique filmique sur un quelconque politicien.

    Bref, quoiqu’il en soit, si l’on apprécie finalement un procédé narratif épuré, nulle place ici pour le larmoyant, ni même pour un féminisme prononcé, tel que l’on s’y attendait, la légèreté de ton n’est pas très propice à dresser un portrait si délicat. En effet, si la première partie dresse le portrait du femme émancipée, adoratrice de l’acte sexuelle, spécialiste surprenante de la pratique buccale dont on vente ses mérites, le second round revient sur sa gloire passagère, cette fois-ci par le biais d’une approche tragique. La mari insouciant et profiteur devient du même coup un illustre salopard, prostituant sa femme, elle-même devenue un objet sexuel voué à être exploitée. En gros, d’un récit langoureux bon enfant, on saute subitement dans un registre nettement plus dramatique. La démarche est intéressante mais il apparaît pourtant clairement que c’est avant tout le fait d’un manque de documentation de la part des metteurs en scène.

    Sans doute inabouti, Lovelace s’affiche comme étant un film trop léger, trop timide, une fois encore. Pourtant, rien n’est la faute d’une Amanda Seyfried qui prend de gros risques pour sa carrière, ni même la faute d’un casting relativement intéressant, ou chacun est plutôt bon. Notons également que l’impureté de l’image, un grain conséquent, sans doute voulu pour l’immersion seventies, ne rend pas justice à l’œuvre dont les décors et costumes sont plutôt bien fichus. Bref, trop oubliable pour rester sur le devant de la scène, Lovelace laisse finalement indifférent, dommage. 08/20
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    154 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2014
    Film astucieux : comment parler d'une actrice d'un film érotique sans rien montrer de choquant ! Amanda est parfaite et convaincante dans son role, idem pour son mari. Le film est bien traité, en montrant 2 facettes de la meme histoire.
    Lyon W.
    Lyon W.

    19 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2014
    Le film est dans une espèce d'entre deux un peu tiède mais pas désagréable non plus. Le film est à la fois glauque et soft pour je pense toujours rester du bon côté de la morale sans se salir les mains. Les comédiens font le boulot convenablement (dont Sharon Stone que l'on voit autrement qu'en femme fatale), les reconstitutions sont sympas... mais pour un résultat cinématographique assez faible.
    Bon, je sais au moins qui est Lovelace désormais...
    MickyHellAngel
    MickyHellAngel

    9 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2014
    ca doit bien être le pire biopic que j'ai pu voir tellement il est mal fait et inintéressant ! l'histoire à l'eau de rose pour mettre en avant d'une force incroyable cette femme qui en fin de compte a fait des choix qu'elle n'a absolument pas assumé mais pour parler du film que dire des acteurs avec qui on s'ennuie profondément même Amanda Seyfried n'arrive pas un seul instant à m'intéresser vraiment, au meilleur des cas son corps peut intéresser mais ca se limite à ca ! un énorme gachis ce film
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    255 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2014
    Le biopic est un des genres les plus utilisés au cinéma. On en fait pour tout le monde et ils se ressemblent très souvent dans leur construction. Cependant, depuis quelques temps, il semble qu’on innove dans la structure.

    Lovelace fait partie de ses films qui tentent de faire quelque chose d’original dans un genre rebattu. En effet, le film est construit sur une dualité passionnante qui rend le film particulièrement intéressant. Au bout de 45 minutes, le film, qui s’apparente alors à une success story douce-amère, se transforme sur une scène en une tragédie éreintante qui reprend tous les éléments donnés auparavant et les montre sous un nouveau jour. Non, Linda Lovelace n’était pas en train de faire l’amour avec Chuck Traynor dans une pièce d’un appartement, elle était en train de prendre une dérouillée. Mais ça, si le spectateur s’en doute, il ne l’apprendra réellement que dans la deuxième partie. Totalement à charge contre l’industrie pornographique comme pouvait l’être Linda Lovelace à la fin de sa vie, le film présente cette entreprise comme un business gangréné par la corruption, la Mafia, l’individualisme et les faux-semblants. Un Hugh Hefner joué par un fabuleux James Franco tente par exemple de profiter de l’innocence de Linda Boreman, interprétée par l’excellente Amanda Seyfried. Grâce à elle, le spectateur ne peut qu’épouser son point de vue et toute exaction commise sur Linda fait l’effet d’une balle et le film devient encore plus désespérant. Le cabotinage des seconds rôles comme Chris Noth et Bobby Cannavale est réjouissant, autant que l’interprétation en finesse du génial Robert Patrick, en père aimant et discret.

    Porté par une bande-son folle et une technique impressionnant qui pose un grain sur l’image sans pour autant passer pour une posture artistique vaine et prétentieuse, Lovelace est une nouvelle manière de faire le biopic. Rien que pour cela, on peut passer sur ses défauts minimes. Fabuleux.
    Kill-Jay
    Kill-Jay

    60 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    On entre dans une ère où parler de la pornographie au cinéma ne dérange plus les producteurs de films. Rien qu'en décembre 2013 et janvier 2014, quatre films évoquant le sujet sont sortis en salle : "Don Jon", "Nymphomaniac" partie 1 & 2 et donc "Lovelace" qui retrace la vie, de ses débuts dans le porno à sa retraite, de Linda Lovelace, l'icône des années 70. Alors, c'est un biopic mais plutôt soft comparé à ce qu'on aurait pu croire par rapport à l'histoire de cette femme. Déjà, j'ai un gros problème avec les biopics parce que je trouve rarement qu'ils sont objectifs dans leur propos. Il n'y a qu"à voir ici, à la fin, lorsqu'on nous raconte ce que son devenus les personnages, on oublie de nous dire que Lovelace a replongé dans les photos de charme au début des années 2000. Pas objectif, parce que c'est une version des faits, je ne dis pas que tout est faux, loin de là, je dis juste que c'est raconté de manière, peut-être, à enjoliver les choses, à appuyer un propos, en l’occurrence ici la violence faite aux femmes. Alors oui, le film est plutôt bien foutu, il est prenant, intéressant, mais il tire un peu en longueur par moment et ça c'est dommage. En fait, le propos et le scénario manque clairement de consistance. On sent que le film n'est soutenu que par des acteurs énormes, parce que oui ils le sont ! Amanda Seyfried est hyper convaincante dans son rôle, Peter Sarsgaard aussi est excellent et les deux passent vraiment bien à l'écran ensemble. Les seconds rôles ne sont pas en reste : Sharon Stone et Robert Patrick qui jouent les parents sont incroyables. le film est donc tenu en grande partie par ses acteurs. C'est dommage parce que la dénonciation n'est pas assez forte, pas assez subtil, donc ça parvient pas à me toucher. Un petit gâchis, mais qui n'est pas dénué d'intérêt, en particulier grâce à son casting !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Un excellent moment ! On ne s'ennuie pas une seule seconde dans ce film qui allie humour et émotions. Amanda Seyfried est ébourrifante, et c'est aussi un régal que de voir Bobby Cannavale (qui incarne Gyp Rosetti dans Boardwalk Empire) en producteur porno.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    365 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juin 2014
    Linda Lovelace, ce nom ne me disait absolument rien, j'avais juste entendu parler de son film "Gorge Profonde" mais par un moyen détourné puisque c'était le nom de code d'un informateur dans "X-Files" (dossiers X, films X, merde alors tout est lié ...), donc autant dire que je partais de zéro, mais je me suis dis pourquoi pas, peut-être un"Boogie Nights" au féminin, et malheureusement on en est loin, très loin ... Et pourtant le film démarre plutôt bien, avec une ambiance 70s et un rythme intéressant, la jolie Amanda Seyfried tient le rôle principal de cette jeune star du cinéma pornographique, c'est d'ailleurs l'atout principal de ce long métrage, une révélation pour moi dans le sens où je ne l'avais vu dans aucun film de mémoire, elle propose une interprétation remarquable. Autre point positif, quelques efforts de reconstitution de l'époque, que ça soit costumes, décors ou l'esthétisme porno, à noter également les seconds rôles de la quasi méconnaissable Sharon Stone en maman Lovelace et James Franco (qu'est ce qu'il a été foutre la dedans lui d'ailleurs ...) en Hugh Hefner. Car le reste du casting ça n'est qu'un assemblage de troisième couteau puant le téléfilm, on sent vite le discrédit, et ça n'est pas qu'une idée reçue car j'en viens au problème numéro 1, la réalisation, qui est d'un classicisme barbant, tout semble être du déjà vu, et puis on sent les types qui ont voulu se la jouer malin avec un découpage original mais ça ne trompe personne, en plus il ne fait que donner une sensation agaçante de redondance maladroite, au final il n'y a aucune inventivité et zéro tentative. Autre problème majeur, le scénario, comme je disais l'histoire démarre bien mais on sent le truc arriver à 3km et c'est ce qui se passe, je ne connaissais pas la bio de Lovelace mais j'avais l'impression au fil des minutes de tout deviner à l'avance, enfin en ce qui concerne la trame principale, les différents détails scénaristiques viennent la compléter, et je passe le coup des ellipses toutes les 20 minutes, laisse tomber comment ça traine la patte ... La dernière partie du film est plutôt pas mal, mais dénoncer la maltraitance des femmes c'est une chose, la rendre trop mièvre s'en est une autre, car je me sens un peu salaud de dire ça mais je m'en suis un peu foutu de son parcours en fait, on a l'impression qu'elle n'a pas assez morflé, on se dit tout simplement "tout ça pour ça ?", je ne pense vraiment pas que ça valait le coup d'en faire un film, le livre est sans doute plus intéressant et informatif. "Lovelace" est donc un biopic sans intérêt avec beaucoup de défauts en terme de technique et de narration, reste juste un rythme acceptable et un très bonne Amanda Seyfried.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 mars 2014
    13/20 :
    Il est utile de vous informer que nous ne portions pas dans nos cœurs Amanda Seyfried, qui à chaque apparition, nous déplaisait par son manque de charisme évident et ses fades interprétations (Le Chaperon Rouge, Time Out, etc…). Hors, Amanda a su adoucir notre regard et améliorer notre opinion à son égard, en interprétant avec habilité Linda Lovelace.

    Malgré les efforts des maquilleurs et des accessoiristes (chevelure brune frisée avec des reflets roux, yeux bruns et tâche de rousseur pour la miss), Amanda Seyfried ne ressemble pas à la véritable Linda Lovelace.

    Linda est une jeune femme grandement naïve qui par son manque de jugeote, ne pourra flairer la manipulation et la bêtise de Chuck Traynor. Ce dernier (parfaitement interprété par Peter Sarsgaard) est un looser sans cœur, qui embarquera Linda dans l’industrie du X. Constamment battue et violée, cette dernière va vite regretter de s’être laissée emberlificoter par cet odieux et misérable énergumène, qui lui lancera de nombreux propos dégradants tel « Si je te dis de sucer, tu le fais et si je te dis de baiser, tu le fais ».

    Dorothy et John J. Boreman (les parents de Linda) joués par Sharon Stone (qui est ici moins séduisante et classieuse que d’habitude) et Robert Patrick, ne se montrent guère aimants et solidaires envers leur fille.
    On aperçoit également notre chère Juno Temple qui tient le rôle de Patsy, une amie de Linda, qui contrairement à celle-ci, n’est pas du genre à se laisser embobiner.

    Sans oublier les apparitions de James Franco dans le rôle de Hugh Hefner, Adam Brody dans le rôle d’Harry Reems (un acteur porno) ou encore Wes Bentley dans le rôle de Larry Marchiano (un photographe).

    LOVELACE est un film prenant et intéressant, mené par une Amanda Seyfried convaincante. Il est cependant dommage que le scénario ne se soit pas assez orienté sur le combat de Linda Lovelace concernant sa lutte contre la pornographie et la violence conjugale. Une œuvre pas suffisamment approfondie.

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    FeetLover
    FeetLover

    25 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juin 2014
    Film pour les pleurnicheuses... l'autre même dans son livre se plaint ouin ouin mes parents été strict... mais attend, tes parents n'ont rien à voir avec tes mauvais choix : la drogue, l'argent facile, la fête 24h/24, les mauvaises fréquentations... faut arrêter de dire que c'est le monde du porno qui est comme ça, ce n'est pas le cas du tout, au contraire, c'est super réglementé en général et bien foutu, et personne n'est obligé de rien. De toute manière vu son hygiène de vie, elle l'a bien cherché la nana, que des mauvais choix de a jusqu'à z je dirais même qu'elle l'a bien cherché !
    Yetcha
    Yetcha

    755 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Un biopic intéressant sur une actrice qui a joué un rôle majeur dans l'industrie du porno qu'on voit aujourd'hui. Une charnière entre le X "à la papa" et celui délurée et sans limite de l'internet d'aujourd'hui. Dommage qu' on ne suive pas plus sa période d'après, durant laquelle elle milita farouchement contre le porno et les violences conjugales. Amanda tient fièrement et sérieusement son rôle, ce qui ne devait pas toujours être facile.
    lilymarwen
    lilymarwen

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2014
    Une triste histoire qui ne dépasse malheureusement pas le statut de téléfilm.
    Dommage, il semblait y avoir là matière à faire un biopic plus que convenable.
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