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    Maman
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    250 critiques spectateurs

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    benoitG80
    benoitG80

    3 314 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mai 2012
    "Maman" sans remettre en cause la performance des trois actrices qui, chacune dans un registre différent, offre une excellente prestation, est un film pour le moins bancal... À aucun moment, le spectateur ne se sent concerné ou n'arrive à s'identifier à un de ces personnages en souffrance dans la mesure où aucune révélation n'est faite afin de donner une clé ou une piste à ce profond malaise... Le lourd et difficile conflit qui divise cette mère et ses deux filles a une origine certainement bien enfouie qui aurait mérité quelques lumières pour que ce kidnapping et les situations qui en découlent aient un sens ! Au lieu de cela, on assiste à un déluge d'invectives, de paroles pleines de haine en sachant à l'avance que chacun restera sur ses positions... L'amour ne se commande pas et ce rapt maternel peu crédible et vain n'y changera rien ! Au final, on passe à côté d'un film qui n'aboutit à rien de bien concluant ! On reste donc pensif devant un tel jeu d'actrices complètement gâché par un scénario qui dessert totalement le sujet pourtant très intéressant et prometteur au départ...
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    « Familles, je vous hais ! » : qui ne connait pas cette apostrophe ? Mais il faut lire le reste de cet extrait des « Nourritures Terrestres » pour apprécier dans quel sens le Prix Nobel de littérature 1947 lançait cette diatribe : «…. Foyers clos ; portes refermées ; possessions jalouses du bonheur ». Quand Alexandra Leclère creuse à nouveau le sillon des relations familiales (après son court métrage « Bouche à bouche » - 2002, dont la thématique « sororale » était reprise et développée avec l’acide « Les Sœurs fâchées » - 2004, et la parenthèse « conjugale » du « Prix à payer » en 2007, plus trivial), ce n’est pas à coup sûr l’excès d’affection qui la ferait adopter l’antienne gidienne, quand elle met en scène une « Maman », bien loin de la surdose d’amour maternel, dans une histoire aux accents très personnels (comme toujours, la cinéaste est aussi scénariste et dialoguiste - ici avec la collaboration de Frédérique Moreau, qui a travaillé par exemple sur «Dernière séance » et « Cortex »). Alors qu’il est admis qu’être « père » peut s’apprendre, l’amour maternel est supposé être inné, inséparable de la gestation-même, animal et instinctif – du moins est-ce en ce sens qu’il a été traditionnellement célébré. Cependant, des études contemporaines ont considérablement infléchi ce credo (voir par exemple « L’Amour en plus : histoire de l’amour maternel » d’Elisabeth Badinter). Pour une défense et illustration de cette vision nouvelle, considérons le cas de Paulette. Mariée avant l’âge de 20 ans (pour échapper à sa propre mère, et « au premier venu »), mère dans la foulée (grossesses très rapprochées), elle élève ses filles correctement (gîte, couvert, études), mais sans élan (et même en s’autorisant le droit de correction quand la crainte révérencielle ne suffit plus, surtout envers Sandrine, l’aînée, qui lui ressemble tant, au physique et au caractère). Son « devoir » maternel s’achève avec le divorce - les deux adolescentes ayant quitté ce foyer sans chaleur dès que légalement possible. Ancienne épouse frustrée, elle découvre à 40 ans les plaisirs de la chair avec un jeune amant, part avec lui à 500 kms et s’y refait une vie ex nihilo, sans remords aucun. Quid de la génération suivante ? Sandrine, la « forte », a bien fait deux enfants (16 et 14 ans quand débute le film), mais elle se félicite que ce soit deux garçons, dont elle partage l’éducation avec un (ou des) père (s) - cela n’est pas précisé - que l’on imagine impliqué(s) ; quant à Alice, « la fragile », elle refuse la maternité, se rassurant régulièrement sur sa capacité à la génération, mais avortant à la même cadence, redoutant d’être le même genre de « mère » que sa génitrice. C’est dire quelles traces redoutables l’aridité affective dont Paulette a fait preuve (persistante) à leur égard a pu laisser. Pour autant, un fond d’espoir sur un amendement maternel, favorisé par le rapprochement géographique, persiste chez les jeunes femmes. Espoir tué dans l’œuf par le comportement odieux de la mère prodigue, succédant à l’indifférence. Sandrine et Alice montent alors une stratégie ultime (musclée) pour pouvoir au moins provoquer chez Paulette une explication cohérente sur son désamour majuscule à leur endroit. Dans le ton, l’histoire de Paulette, Sandrine et Alice évolue rapidement de la causticité de l’exposition (arrivée et installation de la mère), avec une vivacité tirant nettement vers le comique (Paulette se comporte comme une sorte de « Tatie Danielle » maternelle) à l’abrupt d’une sorte de psychodrame familial (Paulette prisonnière, et même un temps « aux fers », avec chaîne, cadenas et ancre, hautement symboliques). Plus de croquis féroces (mais divertissants) comme précédemment : la « comédie » vire au noir. La réclusion va s’avérer nécessaire à la prise de conscience (d’ailleurs réciproque - Paulette invoquant l’absence d’affection de ses enfants), et c’est à ce prix que la mère pourra trouver le chemin du « Maman » dont Sandrine la saluera à la fin (qui jusque-là ne la nommait même pas). Ce que l’on aurait pu craindre - artifice du procédé dramaturgique, voire caricature - est soigneusement évité à l’écran par la fluidité de la mise en scène et la délicatesse du montage, et le trio d’actrices est parfait. « Maman », petit nom universel d’affection et de connivence, est souvent le premier mot intelligible du babil enfantin, eu égard à la proximité et à la fréquence des échanges avec la mère. Mais il peut être utilisé sans affect, par simple convention ou habitude - le film d’Alexandra Leclère nous le rappelle, et l’illustre avec talent. Sorti il y a peu en France (25 avril 2012), le film chilien « Les Vieux chats » nous proposait une autre illustration de l’incommunicabilité qui peut exister entre mère et fille, évoluant en l’espèce bien plus dramatiquement d’ailleurs, mais avec une explication voisine du phénomène (on ne peut reproduire l’attachement et l’amour que si on nous les a prodigués). Les mères de cinéma sont légion, et de toutes les variétés, sous toutes les latitudes : indignes comme devant la caméra d’Alexandra Leclère (en voie de rédemption, ou non – « Je suis heureux que ma mère soit vivante » de Claude et Nathan Miller), voire monstrueuses (« Ma Mère » d’Honoré par exemple), mais aussi admirables (« La Ciociara » de De Sica), et même « sanctifiables » (« Le sourire de ma mère », de Bellochio). Les rapports mère/enfant ne sont jamais simples à l’écran – quelques exemples assez récents (« Mères et Filles » de Julie Lopes-Curval, « J’ai tué ma mère » de Xavier Dolan), ou plus anciens (ainsi de « Tout sur ma mère », ou « Talons Aiguilles » d’Almodovar, un grand spécialiste). Leurs aventures sont souvent dramatiques, mais pas toujours (par exemple « Sa mère ou moi » alias « Monster-in-Law » - avec variable « belle-mère », ou plus hexagonal « Une journée chez ma mère ») ; il y a même des mères « classiques » : version tendre (« Le Château de ma mère ») ou terrifiante (« Vipère au poing », et son incroyable « Folcoche »). Etc….
    Alain D.
    Alain D.

    493 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 novembre 2017
    Cette comédie extrêmement dramatique, écrite et réalisée par Alexandra Leclère, posséde bien des qualités. Elle nous propose des dialogues virulents, bien que certains silences valent leur pesant d'or.
    Le scénario par contre se révèle très simple ; l'histoire évolue lentement mais avec une progression constante de la tension. Cette réussite réside dans la justesse de la mise en scène et la grande performance des comédiennes. Josiane Balasko excelle dans un rôle inhabituel de femme aigrie. Comme attendu, Mathilde Seigner et Marina Foïs, sont également remarquables et parfaitement crédibles.
    Après le très bon " Les soeurs fâchées" en 2004, une autre bonne comédie d'Alexandra Leclère à ne pas omettre.
    Le pitch : Deux sœurs, Sandrine la forte et Alice la gentille, voient débarquer à Paris leur mère qu'elles n'ont pas vu depuis 20 ans. Les retrouvailles avec cette femme qui n'a jamais su les aimer vont être glaciales.
    clint54
    clint54

    21 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 avril 2013
    Une comédie qui pouvait déraper à l'américaine et pourtant le résultat est là. Surprenant et touchant. Un film sensible en forme de huis clos . Les actrices, un trio presque diabolique provoquent les situations sans jamais tomber dans le pathos gratuit et forcé. Le rôle titre est maitrisé par une Josiane en Mère dominatrice et vraiment peu recommandable. Une très bonne surprise
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Parfois bouleversant, c'est un film qui traite d'un sujet grave et douloureux, mais que rèalise avec lègèretè et pudeur Alexandra Leclère, cinèaste discrète et talentueuse à qui l'on doit dèjà quelques petites rèussites ("Les soeurs fâchèes", "Le Prix à payer"...). Josiane Balasko est parfaite en mère sexagènaire à la fois tyrannique et ègocentrique! Le duo Mathilde Seigner et Marina Foïs, en femmes nèvrosèes et insatisfaites, fait des ètincelles! De plus c'est une histoire qui nous offre des dialogues savoureux, des situations improbables, mais toujours rèalistes, et, malgrè tout, des sourires! On n'en redemanderait presque! Les amoureux de la Bretagne reconnaîtront quant à eux la très belle presqu'île de Crozon qui a servit de cadre à cette tragicomèdie sur fond de tristesse maternelle...
    Roub E.
    Roub E.

    731 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 septembre 2013
    Le film se trouve être bien trop convenu et manque cruellement d originalité. J ai eu la désagréable impression d avoir déjà vu ce genre de film des dizaines de fois. Seule Josiane Balasko tire l ensemble vers le haut avec une prestation de mère odieuse, mais sans en faire des caisses, ses colères froides et ses remarques acerbes en font un personnage marquant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 décembre 2012
    trio d'actrices au top.... film dont les longueurs se succèdent permettant aux actrices de réveler tout leur savoir faire. prenant, original, a voir.
    loeil38
    loeil38

    16 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2012
    c'est pat du tous un film comique mais 100% dramatique jouer par trois bonnes actrices qui tiennent très bien leur role c'est un bon film dans l'ensemble avec une assez bonne réalisation et un scénario qui tient la route
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 mai 2012
    quel honte, quel navet, le film parait sans fin, on ne voit jamais le fond, regarder un pot vide pendant 1h30 vous fera économiser une place de cinéma... vous aurez toujours mieux à faire que de voir ce film, même faire le ménage chez soi est plus distrayant et bénéfique que ce film... et assis sur un banc public pendant 1h30 parait extrêmement fun comparé au calvaire qu'étaient ces 1h30 devant l'écran de cinéma, les gens dans la salle devenaient fous (je n'était pas le seul) ils commençaient à se scalper mutuellement pour se manger le cerveau, le mien a fondu, il est parti en courant de la salle au bout de 30mn, moi je suis resté... comme un con... passez votre chemin... vraiment pour le bien de tous, par pitié, passez votre chemin et oubliez vite ce film qui n'a aucune raison ni aucun lieu d'être...
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2013
    Deux sœurs qui enlèvent, séquestrent et enchaînent leur maman pour les forcer à les aimer, cela peut relever du film d’horreur, ou du thriller. Non, c’est une comédie amère à la française. Peut-on vraiment forcer quelqu’un à vous aimer ? Le film aurait pu simplement avoir pour postulat : deux sœurs enlèvent, séquestrent et enchaînent leur maman pour la forcer à écouter leurs douleurs de ne pas avoir été aimées par leur mère et comprendre. Cela suffisait. Malheureusement, on ne peut pas s’empêcher de faire un happy-end. A un moment donné, j’ai cru me tromper. Quand Alice (Marina Foïs) craque en prenant sa mère dans ses bras ; sa sœur Sandrine (Mathilde Seigner) lui reprochant sa faiblesse le lendemain matin. S’ensuit une altercation entre les deux sœurs où Alice invite sa sœur a accepter sa mère telle qu’elle est. C’était intéressant. Il y avait quelque chose à creuser pour donner plus de relief, plus d’épices à ce film. Ben, non, il a fallu que tout le monde finit par s’aimer... Il fallait, à mon sens, rester dans le ton du film : préserver cet humour un peu noir. Qu’une des deux sœurs n’abdique pas. Les dialogues tantôt sonnaient faux, tantôt percutaient. Film aux séquences inégales pour une durée de moins d’une heure trente, c’est dire si tout compte fait ce film est une semi déception.
    Caine78
    Caine78

    6 009 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2016
    Sujet intéressant et a priori porteur de méchanceté, la grande inquiétude restant la présence d'Alexandra Leclère derrière la caméra, son ignoble « Le Prix à payer » restant pour moi un souvenir douloureux. De ce point de vue là, nous sommes rassurés : beaucoup moins de vulgarité, un ton parfois tranchant et quelques répliques bien balancées laissent (vaguement) espérer un film qui ira jusqu'au bout de sa démarche, les prestations savoureuses de Josiane Balasko et surtout Marina Foïs (notamment dans uns scène franchement réjouissante) confortant cette impression. Hélas, c'était visiblement trop demander, l'œuvre devenant vite de plus en plus consensuelle et de moins en mordante pour nous offrir ce que le cinéma français fait de mieux : tomber dans la facilité, et ce qui plus est de façon très peu crédible, surtout dans la manière dont le scénario est construit. Au moins cela a t-il le mérite d'être court et plutôt sobre, mais quand on pense à ce qu'aurait pu faire la comédie italienne de la grande époque d'un tel sujet, il y a quand même de quoi être un peu triste. Un coup d'épée dans l'eau, un de plus.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 178 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2012
    Le script assez simple en soi avait tout pour attirer le spectateur. Deux sœurs décident sur un coup de tête de kidnapper leur mère afin de l’obliger à les aimer. Avec dans le rôle des sœurs Mathilde Seigner & Marina Foïs et dans celui de la mère acariâtre et détestable : Josiane Balasko. C’est véritablement la distribution qui fait la force du film, car ici Josiane Balasko s’offre l’un de ses meilleurs rôles de ces dix dernières années. Cruelle et antipathique à la fois, on aime la détester durant tout le film et elle nous le rend bien. Un humour noir omniprésent et de parfaites interprétations viennent sauver plus d’une fois un film qui pâtit d’un scénario pas assez aboutit et des longueurs disgracieuses.
    Akamaru
    Akamaru

    2 801 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 août 2013
    Une comédie aigre-douce qui n'a pas grand chose pour elle,car elle n'ancre ni dans le réalisme,ni vraiment dans l'absurde. Alexandra Leclère ausculte encore les rapports familiaux et sororels après "les Sœurs Fâchées",mais ses intentions grinçantes sont torpillées par un trop plein d bons sentiments. En n'allant pas au bout de sa logique,"Maman" devient une fade chronique,trop courte pour développer efficacement la source du conflit entre une mère grinçante et absente(Josiane Balasko,qui ne se forçe pas trop) et ses deux filles aigries(Mathilde Seigner à l'interprétation probante au contraire de Marina Foïs,très effacée). Seules les apparitions hilarantes de Michel Vuillermoz en amoureux transi forcent quelques sourires. Pour le reste,ça manque de rigueur et de crédibilité à tous les niveaux.
    DarioFulci
    DarioFulci

    83 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2012
    Règlement de compte familial entre personnalités à fort caractère. Voilà comment le pitch du film pourrait se résumer. Bien sûr l'histoire est un peu plus consistante que cela, mais après les attaques cruelles et les coups bas vient le temps des explications qui lorgnent dangereusement vers le sentimentalisme facile. Les dialogues virulents fusent à tout va et les actrices s'en donnent à cœur joie. Elles correspondent toutes parfaitement à l'image d’Épinal que l'on se fait d'elles. Dommage donc que la dernière partie soit moins méchante. Un réalisateur comme le Etienne Chatiliez de la grande époque n'aurait certainement pas lésiné là-dessus.
    rogerwaters
    rogerwaters

    126 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2016
    Après la réussite incontestable des Sœurs fachées, Alexandra Leclère revient avec un pitch de départ qui laissait présager un film drôle, enlevé et surtout basé sur la méchanceté. Finalement, il y eu tromperie sur la marchandise puisque l’orientation de la réalisatrice n’est en rien comique. En réalité, la cinéaste est plutôt tentée par un drame bergmanien, avec bien entendu un postulat de départ plutôt comique. En fait, le métrage charrie beaucoup de souffrances de la part des personnages et ce règlement de comptes en famille fait plus souvent mal. D’ailleurs, on notera un essoufflement de la mécanique narrative à partir de l’arrivée dans la maison de campagne bretonne. Dès lors, le film finit sa mue en drame, tandis que la transformation du personnage de Balasko apparaît comme un peu trop brutale. Bref, le film se regarde grâce à un trio d’actrices formidables et à des dialogues ciselés, mais tout ceci reste un rien bancal.
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