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    Like Someone in Love
    Note moyenne
    2,9
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    59 critiques spectateurs

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    willyzacc
    willyzacc

    74 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2012
    Quelle beauté ce long métrage de Kiarostami (surtout la lumière dans les intérieurs), bluffé par chaque cadrage, par le jeu des acteurs et l'histoire qui se met lentement en place. Alors oui c'est très lent mais çà ne doit pas vous rebuter à voir ce film et cette vraie force de mise en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Source : Plog Magazine, les critiques des ours
    => http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/10/like-someone-in-love.html

    Une jolie surprise ! Abbas Kiarostami livre ici un film touchant, simple, lent et agréable. Le synopsis (dont j'ai entendu un résumé "amusant" dans la file d'attente cannoise : "une histoire entre un vieux et une pute") est finalement loin de la vérité. La jeune femme est une jeune femme avant tout, et le vieil homme un homme seul qui s'intéresse avec douceur à elle. Le sexe est absent de ce film qui privilégie des scènes très longues et peu nombreuses. Le découpage est lui aussi extrêmement simple (on se rend compte après 10/15 minutes de film qu'Abbas Kiarostami n'a utilisé que deux plans ! Le 3ème n'intervenant que vers la 15ème minutes du film), ce qui peut en désarçonner plus d'un, et en ennuyer un certain nombre. Mais au final, cette simplicité place le projecteur au dessus des dialogues des comédiens, simples et très humains. Like Someone in Love est une jolie fable humaine, simple et sincère.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Film intéressant qui montre l'état de perdition de personnages très différents les uns des autres; une jeune prostituée en recherche d'une figure parentale; un vieux philosophe animé par un désir libidinien et un jeune garagiste qui, en état d'incomplétude, veut emprisonner l'image féminine par le mariage. Et malgré le savoir du philosophe, ces êtres manipulés par leurs désirs, se rendent superficiels et falots, telle cette foule absorbante et grouillante dans cette ville de Tokyo, et transparente pareils à ce jeu de lumière translucide qui court du début à la fin, jusqu'à cette brisure en quelque sorte ce miroir aliénant, fatale et peut être libératrice pour les protagonistes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 octobre 2012
    De bons acteurs, des images léchées, une histoire intéressante mais quelle lenteur! C'est dommage qu'il n'y aie pas plus de rythme. Ce film mérite la moyenne car mis à par un peu d'ennui pendant la séance, les personnages sont attachants.
    Julien D
    Julien D

    1 118 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    Le style minimaliste dont Kiarostami s’est entiché est si proche du cinéma classique japonais qu’il semblait normal que, dans son exil forcé d’Iran, il soit parti tourner un de ses longs-métrage à Tokyo. Effectivement, son nouveau film confronte, dans une mise en scène intimiste, deux générations devant lutter contre leurs problèmes de communication, ce qui n’est sans rappeler les chefs d’œuvres d’Yasujiro Ozu. Sous cette qualité esthétique irréprochable mettant parfaitement en avant les mensonges et la routine désespérée dans lesquels se sont enfermés les deux protagonistes, le scénario tourne court. Le réalisateur semble effectivement avoir lutté pour faire durer 110 minutes, à grands renforts de splendides effets de réverbération et de plans-séquences en voiture, une rencontre dont il n’y a finalement peu à tirer sinon une fin inattendue.
    130580
    130580

    77 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2012
    A mon goût un peu plat la construction le déroulement de l histoire donne un sentiment que abbas filme en observateur voyeur d un fait de société bien réel et qu en aucun moment il n y pas de partie pris ???? TreS bons plans sujet traite avec pudeur
    traversay1
    traversay1

    3 147 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2012
    Il faut laisser au thé le temps d'infuser. Pareil pour le dernier Kiarostami, made in Japan, et abusivement comparé à Ozu comme si tout ce qui sortait du territoire nippon et était filmé avec lenteur devait ressembler aux oeuvres du réalisateur de Voyage à Tokyo. Déjà, Like someone in love, avec son titre à la Wong Kar-wai, se déroule l'espace de 24 heures et se réduit pratiquement à trois personnages : la jeune femme, le vieil homme et le garagiste, fiancé de la première, tandis que le deuxième n'est pas le grand-père ce celle-ci. Qui est qui et qui fait quoi, il y a comme un doute qui plane et cela suffit à Kiarostami pour délivrer un scénario, ou une ébauche de. On est proche du service minimum dans cette histoire toute mince où tout réside dans les impressions, soleil levant. Comme une estampe japonaise ? On s'attache à deux hommes et à cette fille, dans une lente dérive tokyoïte, parfois troublante par sa beauté intrinsèque, par son mystère (trop ?) savamment entretenu. Le thé a largement le temps d'infuser, on se prend un coup de saké sur la tête lors d'une dernière scène pour le moins surprenante. Comment dit-on dubitatif en japonais ?
    Thierry M
    Thierry M

    136 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 octobre 2012
    Franchement , rien: C'est le mot qui ressort de ce film ou la lenteur est tre presente.
    selenie
    selenie

    5 515 abonnés 6 034 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2012
    Après le magnifique "Copie conforme" (2010) et l'Italie le réalisateur iranien pose ses valises au Pays du Soleil levant. Quel autre réalisateur arrive à si bien sentir et ressentir une culture différente que la sienne ? Après avoir fait mouche chez les italiens il nous offre là un film dont l'âme est définitivement japonaise. La première vraie qualité du film (et de son réalisateur) est de savoir retranscrire l'ambiance zen et nippone sans tenter d'y mettre un quelconque ingrédient plus "persan" (ou autre). Mariant toujours aussi bien les parties bavardes que les silences Abbas Kiarostami pêche pourtant plus dans le fond de son histoire. En effet ayant eu l'inspiration lors d'un voyage où il avait été intrigué par une jeune fille vêtue en mariée qui était en faite une prostituée étudiante on se demande vraiment ce qu'il a voulu démontrer. Le lien entre le vieillard et la jeune étudiante reste beaucoup trop flou, on peut laisser place à l'imaginaire mais il faut aussi parfois savoir donner un peu plus. Certains passages (bavards) sont très peu intéressants (la peinture au début ?!!). Un voyage d'une beauté plastique certaine, des acteurs magnifiques mais qui ne crée jamais un emballement car il y a quelque chose de trop sophistiqué, que la forme ne peut estomper. La fin aussi inattendue que trop abrupte est sans trop maladroite car elle n'est pas en adéquation avec la peinture lancinante que Kiarostami fait du Japon. Un beau film donc, aux qualités évidentes mais qui manque de profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2012
    Voici un projet pour le moins surprenant et qui titille sacrément les rétines de l’amateur de cinéma. Abbas Kiarostami, le géant iranien, a pris la route pour le Japon afin d’y filmer une jeune étudiante et un vieil homme à la retraite, pour le meilleur et pour le pire.

    La suite est ici : http://critiqueconnection.wordpress.com/2012/10/15/like-someone-in-love/
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    Sometimes we wonder what was the need of some movies... Pointless, boring, nerve breaking. Why critics note it as a chef-d'ovre remains a mistery.
    camjol
    camjol

    2 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Contemplatif, beau, mais déjà vu... Langueur monotone, longueurs qui ne s'étonnent pas. Impression de connaître la chanson.
    Nicolas G.
    Nicolas G.

    18 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    Chiant à mourir. J'ai cru mourir dans la salle de ciné. Alors oui c'est très bien joué. mais quel ennui ! le vide! Economisez 2 h de votre vie, allez marcher, dormez, faites du sport, parler avec des potes, vivez, faites n'importe quoi ce sera toujours mieux qu'aller voir ca.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Sur un air de jazz, un immense réalisateur iranien qui vient à Tokyo réaliser un pur film japonais nous offre un instant de grâce. Merci Maître.
    Cluny
    Cluny

    66 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Rédiger une critique de ce "Like someone in love" se révèle être un exercice difficile. Première difficulté, lui attribuer une nationalité : film iranien, puisque réalisé par Abbas Kariostami ? Film japonais, puisque tourné à Tokyo, en japonais et avec des acteurs nippons, sans parler du fantôme d'Ozu qui plane au-desus du film ? Film français, puisque produit par Marin Karmitz, qui raconte même qu'il a vendu une éponge d'Yves Klein pour boucler son financement ? Puis vient le moment de lui attribuer une note, et on se trouve partagé entre le 3/10 pour la vacuité du scénario et la lenteur décourageante de la narration, et le 9/10 pour la beauté de la photographie, l'intelligence de la mise en scène, la place accordée au hors champ, le travail de la bande son... 3 + 9 : 2, on mettra 6/10... Ensuite, il faut bien résumer le film, dire de quoi il parle, et là encore, difficulté. La réponse me semble contenue dans le titre, qui reprend une chanson d'Ella Fitzerald qu'on entend chez le professeur : le film parle de personnes qui vivent comme des gens amoureux, mais qui à divers titres, n'en n'ont que les apparences, à l'image de Noriaki qui dit d'Akiko : "Si je la perds, je n'en retrouverais pas une comme elle."
    Depuis très longtemps, au moins depuis "Close-up", Kariostami place le mensonge au coeur de ses films, ce mensonge dont Asghar Farhadi explique qu'en Iran il est transmis dans l'éducation familiale pour se protéger de la répression politique et religieuse. Ici, il fait dire au professeur en réponse à Noriaki qui lui jetait "Avoir de l'expérience, ça sert à mieux gober les mensonges ?" : "Quand tu sais que la réponse sera un mensonge, ne pose pas la question". C'est bien ce parti pris qu'il a choisi pour le film, celui du mensonge par omission : ne pas tout montrer, que ce soit dans la scène d'ouverture ou bien dans la scène finale interrompue cut avant qu'on ait réalisé ce qui venait de se passer, et entre les deux, que d'ellipses.
    La suite dans Les Critiques Clunysiennes : http://www.critiquesclunysiennes.com/
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