Avis : Gilda - Page 5

comme d'habitude on peut lire des gens qui disent que ce film a des longeurs, que le scénario n'est pas haletant. C'est en effet le cas si on compare a aujourd'hui, si vous allez voir ce film pour la scene de danse de rita vous serez dessus car elle n'est pas si érotique que cela. Le tout en fait est de réussir à faire l'exercice mentale de se remettre dans le contexte historique, ce classique du film noir est un chef d'oeuvre si on le replace dans l'histoire du cinéma. Débuts du film noir (qui n était encore qu'à l'époque même pas encore un genre) la femme fatale, le héros au passé trouble, un érotisme présent; tout cela n'éxistait que très peu avant. Il faut savoir aussi s'arrêter sur la photographie très particulière dans les filsm noirs. Bref c'est un film à voir comme on doit lire les les vieux livres classiques, c'est peut être décevant mais si on ne connait aps le passé du cinéma on ne peut aps comprendre son présent.

Film en noir et blanc de 1947, "Gilda" est un film sur un triangle amoureux. "Gilda" c'est aussi une femme à la beauté envoûtante, manipulée et manipulatrice, mais surtout fragile. La belle Rita Hayworth, qui interprète ici la fameuse Gilda et dont le rôle lui va comme un... gant (petite référence à une scène du film), est accompagnée de Glenn Ford et George Mac Ready, tout aussi bons. Il y a bien sûr des hauts et des bas (la scène finale est un peu brouillonne, le fameux "strip-tease" qui est, à tort selon moi, considéré comme un moment culte) mais ça reste quand même un film intéressant et que l'on regarde volontiers.

Je dois avouer que je ne suis pas très convaincu par ce films ... L'histoire n'est pas très convaincante, il y a des longueurs ... Reste l'impeccable interprétation de la sublime Rita Hayworth qui à elle seule, vaut le détour !

D'un scénario qui nous laisse dans l'attente, et d'un trio aux personnalités mystérieuses, ce classique du film noir a un côté rebutant par son intrigue, mais il a cette capacité de nous garder fascinés par la sensualité et l'érotisme à peine dissimulé de Rita Hayworth.
Situé dans son contexte (Code Hays), il est amusant de constater que les censeurs n'aient pas réagit à certains égards.
Je ne suis pas convaincu par la légende qui voudrait que Ford et Macready soient attirés l'un par l'autre, et que la représentation de cette homosexualité serait le symbolisme phallique de la canne-épée.

En devenant l’une des références du film noir, Gilda a su s’imposer grâce, notamment, à son actrice emblématique, Rita Hayworth, la femme fatale par excellence, faisant de l’ombre aux acteurs et au réalisateur Charles Vidor. Fabriquée grâce à son mari Orson Welles et peaufinée par le patron de la Columbia, Harry Cohn, ce rôle de Gilda la poursuivra jusqu’à sa mort.
Confronté au Code Hays (la censure hollywoodienne de l’époque), Charles Vidor a dû user de tous les subterfuges pour faire passer certains sous-entendus comme la sexualité des deux hommes ou la sensualité de la femme. Grâce à une excellente photographie se mariant à merveille avec le noir et blanc, la réussite est totale, notamment dans la célèbre scène du « strip tease » de Gilda pour rendre jaloux Johnny Farrell (Glenn Ford). Un triangle amoureux, complété par le patron du casino, Ballin Mudson (George MacReady), se forme, à coup de haine et d’amour entre les protagonistes qui révèlent leur véritable personnalité. Tout cela est transcendé par une excellente mise en scène de Vidor, qui joue à merveille avec la lumière mais qui peine à éclairer un scénario peu convaincant et assez plat : un trafic de drogue, des combines dans un casino laissé de côté pour se concentrer sur l’amour entre les êtres, ça passe toujours mieux. Et même plus, si c’est Rita la femme !
Même si on lui reprochera un scénario un peu facile, c’est par la figure éclatante et sensuelle de Rita Hayworth que Gilda est rentrée dans l’histoire du cinéma par la force des choses.

Un scénario vide et sans intérêt, des acteurs dont le jeu sonne faux . Le seul interet film repose sur le sex appel de Gilda, Rita Hayworth, et quand meme sur ces deux numéro de danse qui sont restés mythiques, en particulier le dernier avec les long Gand noir dont on parle tant.

Charles Vidor réalise un chef d'oeuvre du film noir autour de la star de l'époque, Rita Hayworth où elle mèle sensualité et perversion. Un noir et blanc impeccable, une réalisation grandiose, des effets de lumière trés importantes, un film qu'on ne fait plus et c'est bien dommage!!!

Un très beau film pour l'époque avec de très beaux effets visuels et des contrastes de lumière qui mettent en valeur les personnages. Rita Hayworth porte vraiment le film à elle seule de part sa classe et son élégance. Son complice dans le film,Glenn Ford n'est pas en reste avec une prestation remarquée. On regrettera peut être la longueur du film et le scénario un peu tordu avec Johnny qui retrouve comme par hasard son ex femme Gilda des années plus tard et qui va se marier avec l'employeur de Johnny. Hormis cela Gilda reste un incontournable

L'un des films les plus connus du "cycle noir", et pourtant l'un des moins ambitieux et mémorables. La beauté vénéneuse de Rita Hayworth, le charisme du mésestimé Glenn Ford et la froideur inquiétante de George McReady rachètent une intrigue cousue de fil blanc, une photographie anonyme et un dénouement par trop mièvre. Loin du chef-d'œuvre escompté, cette charmante bluette se laisse regarder avant tout pour son interprétation heureuse et un déroulement plutôt enlevé qui permet de retenir l'intérêt du spectateur à défaut de le captiver.

There Never was a woman like Gilda En effet, je pense qu'il n'y a jamais eu, et qu'il n'y aura jamais une femme comme Gilda, ou, pourrait on dire, comme Rita Hayworth. Jusqu'à présent, je pensait que seule Marilyn pouvait enflammer l'écran à ce point! Le film a certes quelques défauts, mais l'omniprésence de Gilda nous les fait vite oublier. Subjuguée par la So Wonderful Rita, tout comme Glenn Ford, et les autres, j'ai passé un très bon moment. L'histoire, dramatique sans vraiment l'être (je pense à la fin: un film comme celui ci ne pouvait PAS se finir ainsi!), est intéressante; les personnages, quoique un peu caricaturaux, tout autant. Bref, un très bon film, et surtout un grand classique (Quand Rita chante "put the blame on mame" en enlevant son gant: moment d'anthologie!).

Film plein d'invraisemblances, autant sur le plan du scénario que sur celui de la psychologie des personnages. Les dialogues, parfois, et le rayonnement de Rita Hayworth donnent un peu d'intérêt à cette production. Ce n'est pas suffisant.