Derniers Avis sur The Darkness

Plus épouvante qu’horreur, ce film n’a rien d’original quant aux ingrédients : paranormal, légendes indiennes, esprits maléfiques, possession. Même si cela reste très classique, l’ambiance est là et on a cependant envie de savoir comment cela se termine.

nul de chez nul. je viens de le voir à la télé août 2021 c'est un film qui ne sert absolument à rien . pas un film d'horreur ni thriller ni fanrastique ni suspens. nada. à la rigueur catégorie perte de temps.

The Darkness est tout simplement un film boiteux et paresseux. Il a les plus petites graines de potentiel dans l'aspect de l'enfant autiste. Un film d'horreur qui utilise un enfant atteint de ce trouble et qui a une sorte de connexion psychique ou surnaturelle avec les choses pourrait constituer une bonne histoire pour un film mais ce n'est pas le cas ici. C' est un film générique jusqu'à son titre vous imaginez les visages qui s'illuminent lorsque les acteurs se font dire qu'ils vont jouer dans un nouveau film d'horreur produit par Jason Blum puis vient un scenario appelé The Darkness. Ce ne sont pas nécessairement tous de mauvais acteurs Kevin Bacon, Radha Mitchell, et même Paul Reiser que j'ai vu faire un excellent travail dans de grands films par de grands réalisateurs. Et bien sûr le fils qui est autiste bien qu'on ne le voit pas au début du film qui se déroule au Grand Canyon où il se trouve à plonger dans un trou et à trouver des rochers effrayants. Le réalisateur Greg McLean utilise davantage l'autisme pour garder les choses dans la première moitié du film. L'enfant est dirigé pour être joli en une dimension et il y a quelques moments qui sont juste ridiculement pauvres. Il n'y a rien d'original le scénario est incroyablement paresseux s'appuyant sur des jumpscares et sur la partition musicale. C'est une autre famille aisée dans une grande et belle maison que vous n'aurez jamais les moyens de vous offrir dans une intrigue très basique qui n'a aucune substance. Cela a été fait à maintes reprises mais mieux encore avec Poltergeist, Amityville, The Shining et la liste est longue. De grands talents sont gaspillés ici notamment Kevin Bacon. Le genre a eu de bien meilleures entrées ces dernières années il n'y a donc tout simplement aucune excuse à cela...

Un film que l'on choisi d'abord pour ces acteurs, sachant que ce sont des bons dans leur domaine, ensuite, une histoire un peu flippante pourquoi pas. Résultat, on n'arrive pas à rentrer complétement dans cette histoire, tous les ingrédients sont là pour faire un bon film à suspens, avec quelques effets horrifiques, mais, rien n'y fait, on passe à côté. Est-ce que les acteurs ont cru eux mêmes dans ce projet. Ce qu'il en reste est un film qui se laisse regarder, mais qui ne nous emmène pas réellement là où on voudrait. Jamais on ne tremble pour cette famille, jamais on monte d'un cran dans le suspens, tout cela manque de punch, de psychose, voir même d'audace. Même le moment final où l'on chasse les démons de la maison reste presque bâclé, un petit tour et puis s'en vont, alors qu'on nous dit qu'ils sont super puissant. En voulant se démarquer, le réalisateur à réussit à s'écarter de son but initial, et du coup passe à côté de son film, nous aussi.

On a ici un film que j'ai trouvé bien classique, qui s'approprie un thème extrêmement porteur de l'horreur et même des thrillers en général: l'attaque d'une famille au sein de l'endroit au sein duquel elle devrait être en théorie le plus en sécurité c'est à dire son foyer, sa maison...et cela génère une tension dramatique qui fait que ce genre de film, s'il est à peu près bien réalisé (et c'est le cas ici) est efficace pour atteindre son objectif c'est à dire faire peur. L'originalité principale de ce film réside dans la menace qui s'immisce dans la vie de cette famille, c'est à dire des esprits anasazis...Après, on a droit à tous les poncifs habituels du genre (le père protecteur mais faillible, l'enfant menacé...), donc c'est peu original...Mais si votre objectif est de voir un petit film d'horreur sans prise de tête, allez-y...

Sans être éblouissant mais sans surprendre non plus cette série B avec des revenants qui s’attaque à une famille fait le minimum pour que le spectateur passe un bon moment. Déroulé classique, twists classiques mains bien menés, final un peu soft mais au final plus réaliste que biscornu. Une série B à voir une fois.

On attend savamment les scènes flippante mais malheureusement trop vue auparavant le film semble fade et kevin bacon qui a l'impression d'avoir une perruque fait tous pour sauver la situation tombe cette fois ci à plat avec une Radha Mitchell transparente tous comme la réalisation si le scénario démarre bien plutot malin, avec des pierres maléfiques des indiens d'anasazi qui perturbe la famille modèle qui a évidemment son lot de malheur, mais rien de bien effrayant dans le style vaut mieux The Conjuring 1 et 2, un film d'horreur d'une banalité affligeante égalité avec la malédiction de la Dame blanche qui était du même acabit à quelques choses près. Pas d'originalité et fort ennuyeux.

The Darkness constitue certainement le film le plus faible de son auteur, Greg McLean, la faute à une forme pauvre qui ne laisse percevoir aucune appropriation du genre investi, sinon l’exécution mécanique d’un cahier des charges. Tout cela est assez longuet, tout cela ne fait guère peur, en dépit d’un segment final plutôt réussi.

Néanmoins, même raté, ce long métrage atteste la persistance des thématiques qui définissent le geste cinématographique de McLean : confronter une communauté fragmentée – l’embarcation de touristes dans Rogue, le groupe d’amis dans Wolf Creek et Jungle, les collègues de bureau dans The Belko Experiment, la famille dans le film qui nous intéresse, The Darkness – à une entité supérieure et qui met en péril son existence, à l’incarnation physique d’une totalité mythique en rapport direct avec la création du monde. Ce sont les Indiens Anasazis qui incarnent la menace, cinq esprits maléfiques qui se plaisent à tourmenter les êtres en les confrontant à leur ombre, c’est-à-dire à leurs vices, à leur part cachée ; le film prend aussitôt l’aspect d’un tribunal devant lequel est convoquée la famille, une puissance qui rouvre les blessures passées, dévoile les secrets, exhibe la faiblesse profonde de l’homme. Bronny Taylor se demande d’ailleurs si les perturbations qui viennent déstabiliser son quotidien ne sont pas les signes d’un karma qui la raccorderait, elle et son mari, à l’idée de faute primitive, cette conviction qu’ils sont responsables de l’autisme de Michael.

Car le long métrage introduit un personnage de jeune garçon autiste, ce qui lui permet de s’éloigner des sentiers battus pour proposer autre chose, une communication entre les esprits et le trouble en question en raison d’un rapport différent aux autres et au monde. D’autant que l’autisme n’a pas pour finalité d’être ici représenté comme une pathologie, mais constitue une clef donnant accès à un autre niveau de réalité, ce qui est certainement idéaliste, ce qui est certainement faux, mais qui a le mérite de brosser les traits d’un personnage qui participe à l’intrigue, qui la construit.

The Darkness est un film mineur, une ombre dans la petite carrière de son metteur en scène, un film qui dissémine néanmoins sous une forme convenue une réflexion sur la culpabilité parentale révélée par la confrontation à la violence des mythes primitifs.

Vu en DVD hier - franchement pas terrible, il ne se passe pas grand chose & les acteurs sont sans plus. Les 2 fins alternatives sont bien par contre. Rien à ajouter.

Faire un film d’horreur tout public, pourquoi pas ? "Poltergeist" le faisait plutôt bien. Mais encore faut-il mettre les personnages en danger ne serait-ce qu’un moment dans le film et ne pas se contenter d’un récit basique, convenu et prévisible.

Enième film d'èpouvante sur une famille harcelèe par un esprit vengeur ramenè de leurs vacances dans le Grand Canyon en Arizona! Autisme, problèmes psychiques et psychologiques, phènomènes paranormaux s'ajoutent au programme [...] Il faut reconnaître que cette histoire sur fond de paranormal et de prèsence malèfique ne fait pas dans l'innovation avec tous les poncifs sur la famille amèricaine! Ce n'est ni "Poltergeist" ni "Paranormal Activity" et on n'est loin d'avoir la trouille! On ne saurait que trop vous conseiller cette force surnaturelle qui s'en prend à la famille Taylor incarnè ici par Kevin Bacon et Radha Mitchell! C'est manifestement très infèrieur au premier "Wolf creek" du même rèalisateur mais au vu des critiques nègatives dont bènèficiait "The Darkness" à sa sortie, on s'attendait quand même à pire! Car, au fur à mesure des èvènements, on n'a envie d'en savoir un peu plus sur ses pierres gravèes de symboles! C'est suffisamment fascinant (les empreintes de main sur le visage) et un minimum « intèressant » pour que l'on veuille comprendre les esprits indiens selon l'australien Greg McLean...

Malgré de bonnes intentions, The Darkness reste trop timide dans son scénario et son déroulement. Le manque d'intensité général est probablement du a son montage pas toujours inspiré. Un film divertissant mais qui sent malheureusement le déjà vu.

Vu sur Netflix, le film ne vole pas haut, malgré un bon casting (Kevin Rada), l'alchimie des acteurs ne fonctionne pas. Le film a un rythme sacadé, on est pas épargné des clichés et autres jumpscare inutiles. Une belle déception après une affiche prometteuse.

un petit film de série B qui ne brille pas par son scénario ni sa mise en scène mais qui nous passez une heure et demie sans que l'on ne s'ennuie totalement comme parfois dans certains films de ce genre où il faut attendre les cinq dernières minutes lol. les acteurs font leur prestation comme on leur a demandé et même si les ficelles du genre son totalement cell habituel on passe outre et on se laisse aller sans trop réfléchir et même si l'on sait que cela ne sera pas le film effrayant rechercher ou non. à voir à l'occasion mais à éviter si l'on cherche quelque chose d'effrayant pour le reste ça se laisse regarder. bref pas exceptionnel mais pas totalement un navet. pourquoi pas

Bof, malgré la présence des solides et toujours excellents Kévin Bacon et Raddah Mitchell un film un peu inutile aux senteurs multiples de déjà vu en passant par la civilisation indienne disparue et ses démons et esprits, ceux ci qui ne demandent qu'à se réveiller alors su'ils étaient emprisonnés. On ajoute une couche avec l'enfant différent qui lui voit des choses que d'autres ne voient pas, la maison qui peu à peu se révèle hantée et les esprits frappeurs. Encore un poncif avec la famille un peu en rupture qui sera soudée face à k'adversité et aux épreuves, au passage un conseil pour les couples en crise, comme thérapie habitez une maison hantée. Et un final en apothéose avec un exorcisme au passage avec une grand mère hispanique et sa petite fille pratiquement sortie de nulle part, presque les pages jaunes, et une scène de desenvoûtement d'un ridicule total quasiment risible. Un scénario donc copie collé sans aucune inventivité, un final bâclé, un petit film qui heureusement bénéficie de la prestation très correcte de 2 acteurs chevronnés qui sauvent un peu l'ensemble.