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    To Rome with Love
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    457 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 30 mai 2014
    Allen Période cartes postales, les différentes histoires sont peu passionnantes et faiblement amusantes en plus la photographie chargée en rajoute une couche sur l'artificialité du film.
    gabdias
    gabdias

    77 abonnés 1 758 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mai 2013
    Ce voyage à Rome sublima la ville comme une carte postale mais pour le reste Woody Allen semble en manque d'inspiration, ce mélange d'histoires et de personnages différents offre deux trois sourires mais ne transcende pas, la recette magique de Woody Allen aura-t-elle atteint ses propres limites ? Espérons que non.
    Jipis
    Jipis

    34 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2012
    Pas beaucoup de frissons dans cette ballade Romaine permettant à quelques parachutés de sortir temporairement de l'anonymat, de tâter de l'opéra en compagnie d'accessoires inattendus ou de titiller quelques interdits en favorisant les remords plutôt que les regrets.

    L'opus est divertissant, pas trop bavard. Les bons mots ne manquent pas dans un ensemble attachant légèrement naïf sans pour autant être volatile.

    Un agréable randonnée dans une ville éternelle flamboyante truffée de rencontres d'éveils fournissant les plus fines essences à des confidences spontanées ou à des audaces endormies n'ayant que peu de temps pour s'exprimer avant de voler vers d'autres cieux ou de regagner la normalisation.

    On prend puis l'on jette le tout en cachette dans un opus un peu enfantin mais jamais fastidieux révélant quelques composants fuyants, influençables, versatiles, satisfaits d'extérioriser quelques voluptés inconnues se partageant les émois de la révélation sans lendemain, de l'infidélité sauvage et de la gloire soudaine.
    ocelot
    ocelot

    19 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 août 2012
    En un mot: génial !! Attention, il faut bien suivre et ne pas faire attention aux fausses incohérences.
    Julien D
    Julien D

    1 120 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2012
    Woody Allen reste une inéluctable source d’idées comiques, et son nouveau film se présente comme un patchwork de toutes celles qu’il a pu poser dans ce contexte romain qui semble avoir lui inspirer des situations romantiques originales. Bien que, comme à Paris, ce qui saute d’abord aux yeux sont l’image de carte postale des décors et la qualité du casting, ce qu’il faut y voir est, à travers quatre histoires sans lien réel, une réflexion divertissante sur les méandres des relations amoureuses. Celle-ci est agrémentée de situations et de dialogues, dans l’ensemble amusants quoique de qualité inégale, dans lesquels les thèmes chers à l’auteur sont bien sûr omniprésents mais dont le traitement parvient une nouvelle fois à se renouveler, et ce malgré l’absence flagrante de trame narrative cohérente. Espérons que son retour à New-York s’accompagnera d’une nouvelle source d’inspiration.
    tixou0
    tixou0

    642 abonnés 1 973 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Quatre histoires ici, chacune avec ses personnages à elle : ce n’est pas un film « choral », car il n’y a pas de rencontres inter-histoires qui cimenteraient le tout, cela se rapprocherait plutôt du film à sketches, sauf que les récits sont menés en parallèle, au lieu d’une simple succession (quand la matière de chacun serait épuisée). Le lien, c’est la ville de Rome où chaque univers est ancré, et se développe à son rythme propre - ainsi, si l’histoire d’Antonio (Alessandro Tiberi), de Milly sa femme (Alessandra Mastronardi) et d’Anna l’ « escort » (Penelope Cruz) se déroule la même journée (entre l’arrivée le matin des deux provinciaux à Roma-Termini et leur probable retour à la gare le soir, à une allure soutenue : où le mari venu présenter sa récente épouse et se recommander à des parents influents croise la route d’une prostituée sur un quiproquo, et où la jeune femme, partie à la recherche d’un salon de coiffure, tombe sur un tournage de rue aux conséquences inattendues), les 3 autres se déroulent sur quelques jours, voire quelques semaines. De l’aveu-même d’Allen, son inspiration serait à chercher dans le « Décaméron » de Boccace. Pasolini avait proposé pour sa part en 1971 une véritable adaptation de ce recueil de nouvelles datant du 14ème siècle ; ici, on a du mal à trouver la moindre « relecture » en mode contemporain, avec ce « To Rome with Love » ! Pourtant, le cinéaste avait envisagé d’intituler son film « The Bop Decameron » (un rien iconoclaste, donc !). La seule filiation entre le film d’Allen et le « Décaméron » est de l’ordre du ténu : 2 des 4 histoires sont des variations sur certaines « débauches » amoureuses (Antonio parfait son éducation sexuelle avec Anna la professionnelle, quand Milly dans le même temps, après avoir hésité à compter au titre des passades de son acteur favori rencontré par hasard, Luca Salta/Antonio Albanese, succombe au charme d’un rat d’hôtel incarné par Riccardo Scamarcio – double adultère ; et Jack/Jessie Eisenberg trompe sans scrupules sa compagne Sally/Greta Gerwig avec Monica/Ellen Page, une des amies de celle-ci, starlette hollywoodienne anorexique, laquelle prendra le large au premier engagement juteux annoncé), et l’amour en général est bien un thème commun (« ….with Love » : on n’est pas plus clair !). Mais c’est tout ! Woody Allen précise finalement que son scénario est sans rapport avec le classique italien, sauf pour la liberté de ton (Boccace ayant d’ailleurs situé son « académie » d’un genre particulier, non pas à Rome, mais dans la campagne florentine, après une épidémie de peste). Par ailleurs, les deux autres récits parlent peu (ou pas) d’amour. Dans une veine drolatique irrésistible, l’histoire de Leopoldo (Roberto Benigni, pour un rôle à sa démesure) est celle d’un homme exemplaire de banalité (citoyen lambda : marié, deux enfants et obscur gratte-papier) qui devient sans raison une célébrité de premier plan quelque temps, sa vie ordinaire étant proposée à l’admiration des foules nourries à la téléréalité, avant qu’un autre ne lui soit préféré sans préavis, le ramenant à son anonymat d’origine : fantaisie sur les pièges de la gloire, surtout quand elle est phénomène de mode et donc factice par essence. La plus personnelle enfin est celle de Jerry (Woody Allen), marri d’être à la retraite sans avoir eu la carrière dont il avait rêvé et mari d’une ironique psychanalyste, Phyllis (Judy Davis). Sa rencontre avec Giancarlo (Fabio Armiliata), le père de Michelangelo (Flavio Parenti), le fiancé de sa fille Hayley (Allison Pill), ordonnateur de pompes funèbres de son état, mais doué d’une voix naturelle fabuleuse, lui donne, croit-il, l’occasion de relancer ses activités de metteur en scène pour l’opéra et d’agent artistique. La circonstance que le magnifique ténor ne peut donner la mesure de son talent qu’en chantant sous sa douche oblige à des astuces inédites de scénographie (la représentation de « Paillasse » sous l’armature d’une cabine de douche est hilarante, et la meilleure invention cocasse du film !). Gloire relancée, mais sans avenir, le croque-mort ne voulant pas persévérer dans le bel canto « pro » ! Et les deux récits sur l’amour évoqués plus haut ont eux aussi une variable « gloire », ses pompes et ses effets : Milly côtoie fortuitement des « people » comédiens - dont Ornella Muti, dans le caméo de « Pia Fusari » - et balance entre ses devoirs d’épouse et des souvenirs pour toute la vie si elle couche avec le célèbre « Luca Salta », d’ailleurs prétendument en instance de divorce ; quant à Jack, il fréquente Monica, « people » aussi, et depuis sa brève rencontre avec John (Alec Baldwin), un architecte renommé et une sorte de modèle pour l’étudiant qu’il est dans la même discipline, il s’en est fait une sorte de mentor et confident imaginaires, qui l’encourage ou le raille dans son entreprise de séduction. La sclérose serait-elle inévitable pour qui a une telle filmographie (de plus en mode accéléré depuis déjà 12 ans) ? Ces quatre « histoires » romaines montrent au contraire l’étendue du savoir-faire du vieux maître (77 ans en décembre prochain). On peut ainsi relever en net positif : un hommage réussi à la comédie “à l’italienne” (les mésaventures d’Antonio et Milly, avec l’Espagnole Penelope Cruz crédible en Italienne pulpeuse et volcanique, à la Sophia Loren) - à Rome, tout à fait en situation ; un nouveau couple à la « Manhattan » : Ellen Page/Monica en digne héroïne allénienne, névrosée sur tranche, donnant la réplique à un bien frustré Jesse Eisenberg/Jack, et une trouvaille magistrale (le ténor qui n’est bon que sous la douche, avec conséquences) explicitant le paradoxe de l’artiste de manière burlesque (dans la lignée de « Harry dans tous ses états »). Le quatrième épisode, celui de Leopoldo, peut sembler le plus loin de l’univers allénien, car ce personnage n’est a priori ni excentrique, ni lunatique, ni nostalgique comme le sont les « héros » habituels du cinéaste, juste banal ; mais il gagne rapidement en familiarité avec celui-ci, paumé qu’il est par cette incompréhensible, puis volatile, renommée qui lui tombe dessus. Cependant confier à Benigni le soin de l’incarner peut paraître de l’ordre du surlignage, quand on le voit comme à l’accoutumée dans l’emphase et le jeu exagérément démonstratif… Au négatif, beaucoup reprochent à Woody Allen un manque d’à-propos dans l’utilisation du décor offert par la ville de Rome : trop de cartes postales, trop de lumière dorée en tonalité unique, une vision « cliché » donc, un peu trop de facilités, voire de paresse. Il a voulu jouer sur l’image traditionnelle de Rome (tous les chemins y mènent, et d’abord ceux de l’amour), et se fait à l’évidence plaisir : du « léger », rien de sombre ou de philosophique, ou même de « littéraire » (voir « John » qui se moque du côté bas-bleu de « Monica »). Film sans doute en mode mineur, mais plaisant, et jamais médiocre, et qui nous fait aussi plaisir. Peut-être un petit retour rapide sur la distribution, pour la fin ? D’abord on remarque la présence de Woody devant la caméra d’Allen, ce qui n’était plus arrivé depuis le londonien « Scoop » de 2006. Ce « Jerry »-là, marié à une psychanalyste caustique, prend naturellement place dans une longue suite d’intellectuels instables, nerveux, voire phobiques (il croit ainsi sa dernière heure venue quand l’avion l’amenant des E-U traverse une modeste zone de turbulences en entamant sa descente sur Rome), avec une forte touche de dérision (son épouse rabaisse « en dollars » son évaluation « en euros » de son QI). Dans la galerie des personnages, comme toujours bien étoffée, on remarque, à côté des « indigènes » (en y adjoignant la cosmopolite Penelope Cruz, qui parle italien - je me souviens du mélo «À Corps Perdus » de Sergio Castellitto, en 2004), choisis avec pertinence et tous parfaits, le casting anglophone ne déçoit jamais, interprètes « familiers », comme Judy Davis (Phyllis) et Alec Baldwin (John), ou représentants de la nouvelle génération (Page, Eisenberg, Gerwig, Pill). Même si la technique n’est pas éblouissante (ou même négligée), le soin porté à chacun des caractères (la moindre silhouette comprise), et un humour jouant sur le décalage, voire l’absurde : voilà qui me ravit (mais je suis peut-être une « allenolâtre » invétérée, tout à fait partiale ?...).
    Alasky
    Alasky

    293 abonnés 3 091 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 janvier 2014
    Bien que la ville éternelle soit filmée sous un beau jour, et malgré la présence d'acteurs de talent, j'ai trouvé ce film long et creux.
    ned123
    ned123

    129 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    J'ai vu un film... le Woody Allen de l'année 2012... Comme la cuvée, 2011, 2010, 2009, et précédents, j"ai passé un excellent moment avec une brochette de comédiens, comme dans les précédentes éditions, qui ont pris, et ça ce voit, beaucoup de plaisir...et qui ont donné beaucoup de plaisir au spectateur que je suis... Certaines scènes sont vraiment formidables. On rit beaucoup, beaucoup, beaucoup... On peut citer les performances de Roberto Benigni qui joue un Pierrot de Lune absolument fabuleux... Penelope Cruz en call girl irresistible... et ainsi de suite... Les scènes d'opéra sont à proprement parlé hilarantes... Et les personnages vivent des situations émotionnelles fortes. On est pris par l'aspect Rome antique de ce film, un peu "Rome en à l'eau de Rose" de certains histoires (notamment avec Jesse Eisenberg, Ellen Page et Alec Baldwin) . Les aspects "nostalgie" et "mélancolie sont très forts, et de plus en plus présent, au fur et à mesure du temps qui passe... Vivement les prochaines cuvées de l'artiste...
    laurence l
    laurence l

    119 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juillet 2012
    Du Roody Allen sans vraiment beaucoup de surprise mais des scènes très sympathique et des dialogues toujours très juste.
    On passe un bon moment malgré quelques baisse de régime par instant. Une ribambelle de bons acteurs sont au casting et cela n'enlève rien au plaisir.
    cineccita
    cineccita

    41 abonnés 1 472 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2012
    Woody Allen filme Rome la ville éternelle, théâtre des destins de différents personnages. Il n'y a pas autant de magie que dans minuit à Paris mais les dialogues, l'ambiance nous transporte et nous font passer un bon moment.
    Marc  Régis
    Marc Régis

    30 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2012
    Enorme déception... Une recette de scénario qui ne marche plus : it's over!!! M. Allen devait s'arrêter un temps, se poser. Il va finir par lasser... par gâcher cette belle carrière.
    ferdinand75
    ferdinand75

    467 abonnés 3 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2012
    Un bon Woody Allen. une belle réalisation aux couleurs chatoyantes, Rome est superbement mis en lumière. Mais surtout de très bons dialogues , bien ciselés. Il y au ton moqueur et persifleur. Ue bonne satire du monde moderne ou tout se prend et tout se jette..Le personnage héros d'un jour, est très cynique. Les acteurs sont tous excellents et l'on passe un très bon moment.
    Artriste
    Artriste

    86 abonnés 1 843 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2013
    Woody Allen continue à visiter les capitales européenne et nous offre avec To Rome with love un bon film mais sans plus. En effet l'histoire ou même les histoires se passent à Rome, on suit quatre aventures différentes toutes réussis même si celle de Begnini est un cran en dessous à mes yeux. Et malheureusement même si plus on avance dans le film et plus on accroche à ces histoires, le tout est trop plat et manque de fulgurances. Une ou deux scène sont vraiment réussis (notamment l'idée de l'homme qui chante sous la douche et la comédie musicale de fin) mais le reste n'est vraiment pas mémorable. Même les dialogues sont décevants et n'ont pas la magie à laquelle on nous à habituer. La réalisation est bonne et la photographie de la ville est sublime. De plus la b.o. qui accompagne les images est de grande qualité. Côté acteurs j'ai aimé les prestations de Penélope Cruz qui est juste sublime, Alec Baldwin, Jesse Eisenberg qui pourtant en temps normal m'insupporte, Alessandra Mastronardi, Alison Pill et Fabio Armiliato qui est époustouflant. En revanche j'ai été légèrement déçu par Woody Allen qui à déjà joué ce rôle à maintes et maintes reprises, Ellen Page que je n'ai pas trouvé aussi attachante que d'habitude et Roberto Benigni que l'histoire ne sert pas. Ce Woody la reste correcte mais est un de ses films les moins bons de ces dernières années.
    7eme critique
    7eme critique

    471 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 novembre 2013
    Une comédie qui ne fera pas sourire ! Woody Allen, avec son "To Rome with love" agresse le cerveau dans cet amateurisme qu'on ne lui connait pas. Le réalisateur nous propose des histoires d'amour, en essayant de s'attaquer à leurs complexités avec une simplicité et un humour ratés, servies sous une réalisation soft aux répliques inutiles. On s'ennuie fermement, sans oublier ces mêmes musiques italiennes, répétitives et agaçantes.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    240 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juillet 2013
    "To Rome with love" est une sorte de chronique avec des traits humoristiques propres à ce que Woody Allen fait d'habitude. Le ton est donc très léger et enlevé, et certains passages font mouche, en particulier ceux avec le chanteur d'opéra sous la baignoire. Mais le tout reste quand même parfois trop léger, pas assez piquant. On en vient à se demander parfois à quoi sert ce film. De belles images de Rome parviennent à maintenir un certain intérêt au tout.
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