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    To Rome with Love
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    2,8
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    benoitG80
    benoitG80

    3 316 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    "To Rome with Love" est assurément un Woody Allen bon cru quoique en disent le monde des critiques... Les films du fameux cinéaste sont certes toujours attendus et la surprise se révèle pourtant quelquefois décevante ! Cette fois, le petit grain de folie ponctuant ces histoires qui se côtoient sans se mêler, est vraiment le bienvenu ! Tout donne lieu à des situations surréalistes, loufoques au possible... Et justement ce côté léger, drôle et pétillant fait toute la différence avec certaines réalisations plus sérieuses, et du coup plus prétentieuses ! L'esprit de Woody Allen n'est en effet jamais inintéressant mais la réussite est totale quand l'humour fait la différence comme ici ! Le thème de la célébrité est très bien traité avec le personnage de Benigni qui est confronté à l'absurdité même, tout comme avec le chanteur d'opéra sous sa douche!
    Et bien sûr, l'écriture des dialogues toujours aussi savoureuse ne gâte rien !
    À noter, petite cerise sur le gâteau puisqu'on retrouve aussi un Woody en pleine forme et de très belles images d'une Rome magnifique et ensoleillée, denrée rare cette année !
    conrad7893
    conrad7893

    259 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juillet 2013
    Une déclaration à la ville de ROME, filmée d'une façon magistrale, habillée de couleurs lumineuses
    à travers des histoires d'amours, des histoires ratées, que nous font vivre les différents personnages :

    Roberto begnini quel plaisir de le retrouver dans ce rôle d'individu lambda, qui va rencontrer la célébritée inexpliquée avec ses avantages et ses inconvénients

    Woody Allen dans le rôle d'un metteur en scène d'opéra à la retraite un peu loufoque

    Penélope cruz en call girl
    Alec BALDWIN en personnage témoin et narrateur

    et les autres
    j'ai bien aimé ce film avec des moments drôles, cocasses, absurdes, qui nous renvoit toujours à nous faire réflechir.
    septembergirl
    septembergirl

    565 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 décembre 2012
    Une comédie très décevante qui nous emmène à la découverte de la ville éternelle, quatrième escale proposée par Woody Allen dans son tour d'Europe. La réalisation atteint des sommets en terme de clichés touristiques. L'histoire de ces destins croisés est inutile et confuse, les personnages sont fous et incohérents. Ni drôle, ni intelligent !
    Alain D.
    Alain D.

    494 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 août 2020
    Une Comédie croustillante, écrite, mise en scène et jouée par Woody Allen. Le réalisateur New-Yorkais amoureux de Paris, transporte pour l'occasion ses caméras à Rome dont il nous offre de belles images, et une atmosphère savoureuse. Sans manquer de tourner la presse Romaine en dérision, ni de se gausser de ses célébrités, Woody nous offre une ambiance légère avec bon nombres de rencontres et de personnages singuliers. Il nous montre des scènes hilarantes et absolument délirantes nées de l'esprit artistique d'un scénariste "toujours en avance sur son temps".
    Le casting impressionnant nous permet d'admirer la pétillante Canadienne Ellen Page dans le rôle d'une actrice venue de Los Angeles, une Penélope Cruz impayable dans un rôle décalé de Call-girl, un incroyable Roberto Benigni dans la peau d'un célèbre inconnu, et bien sur Woody himself, toujours aussi génial dans son personnage récurent d'artiste, couard, hypocondriaque et parano !
    Estonius
    Estonius

    2 500 abonnés 5 234 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2013
    C'est souvent pareil avec ce réalisateur, ça débute et on se demande qui sont ces personnages, qu'est-ce qu'il va pouvoir bien en faire, et puis la mayonnaise prend, le charme opère, et on s'intéresse à ces gens plus ou moins farfelus qui se croisent, à ces couples qui se font et se défont. C'est une bouffé d'air frais remarquablement interprétée avec une mention spéciale pour Elen Page (surprenante en nympho) et surtout Penelope Cruz, irrésistible en pute de luxe !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 196 abonnés 7 235 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    Woody Allen poursuit sa tournée Européenne, après sa trilogie londonienne (Match Point - 2005, Scoop - 2006 & Le Rêve de Cassandre - 2007), un détour par Barcelone (Vicky Cristina Barcelona - 2008) et enfin Paris (Minuit à Paris - 2011), le voilà cette fois-ci à Rome (To Rome with Love - 2012). Mais là il faut bien admettre que le réalisateur ne s’est pas vraiment foulé pour nous pondre son histoire segmentée en quatre parties, toutes focalisées sur l’infidélité. Une œuvre chorale qui nous offre sur un plateau des acteurs américains et italiens (coproduction italo/américaine oblige), avec il faut bien l’admettre, un très beau et alléchant casting (Alec Baldwin, Roberto Benigni, Penélope Cruz, Jesse Eisenberg, Ellen Page et même Woody Allen qui reprend enfin du service devant la caméra). Mais tout ce beau monde ne cacherait-il pas une triste réalité ? Avec presque 120 minutes au compteur, son dernier film a le don de rapidement tourner en rond (faute d’avoir un scénario consistant et qui tienne la route), quitte à finir par lasser vers la fin. Malgré des histoires amusantes avec des quiproquos grotesques et drôles (Roberto Benigni qui devient une star sans raison du jour au lendemain, Penélope Cruz en prostituée, le ténor Fabio Armiliatoqui ne parvient à chanter que sous la douche ou encore Woody Allen qui persiste pour notre plus grand plaisir dans le même registre depuis bon nombre d’année). Au final, ce qui ne devait être des réjouissances (de découvrir son dernier film), laisse place à la désillusion qui nous accapare, sa nouvelle comédie "trop carte postale" est loin d’être al-dente, on s’attendait à bien plus de la part de celui qui nous avais bluffé avec son précédent film.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 811 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juillet 2012
    J'aime bien Woody, mais les critiques m'ont un peu fait peur. En fait c'est sympa, pas extra mais sympa. Je dirai qu'il y a pas mal de bonnes idées, assez absurde et finalement assez plaisantes. Alors, au début avec le policier faisant la circulation j'ai eu très peu, mais bon une fois que le décor est en place, les personnages introduit et que chaque petite histoire a sa touche de folie, ben ouais c'est foutrement plaisant.
    J'ai une préférence pour le trio Page/Eisenberg/Baldwin que j'ai trouvé assez énorme. C'est très frais, prévisible, mais frais.
    Après le reste, si on exclu les interventions de Woody Allen et la très belle Cruz, bon ça ne vole pas très haut, mais c'est sympa. Je veux dire ce n'est pas le meilleur Woody Allen, il n'a pas eu l'idée du siècle, mais des bonnes petites idées qui mises ensemble font un petit film tout à fait regardable, sympa. Après faut pas vouloir voir Minuit à Paris ou Whatever Works (dans ses récentes petites perles), mais franchement si le film est un peu vain, peut-être un peu long sur la fin (le coup de la douche on a compris, pas la peine d'en rajouter une couche pendant 5 minutes) (oui je dégomme le film là du coup), mais c'est plaisant et assez original.
    En tous cas je n'ai pas boudé mon plaisir, surtout qu'Allen évite de tomber dans les clichés, a son style bien à lui.
    Et bon dans un an, on en aura un autre qui sera sans doute mieux (enfin on peut espérer).
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    On n'a jamais vu un Woody Allen aussi pénible. Après le très bon Matchpoint,vous allez sombrer dans les bras d'un terrible inconnu, et le sympathique Minuit à Paris; voici le mauvais To Rome with Love.

    Dans cette comédie romantique, le stakanoviste Allen perd de son aspiration. Pendant plus d'une heure on voit un film assez pénible.

    Malgré cela on aime l'histoire de Roberto Begnini.

    A éviter, seulement pour les vrais fans et encore.....
    davidgainsbourg
    davidgainsbourg

    19 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juillet 2012
    Quand un réalisateur sent sa fin venir, il a pour inspiration des trucs qui nous échappent, et fait tout, sauf un bon film. (des exemples ? Regardez le parcours et la fin minable de clint Eastwood). Revenons à Woody Allen : Même
    si ça n'est pas le film de sa vie, cette nouvelle histoire se regarde gentiment. En tout cas, si la qualité n'est pas au rendez-vous, la rentabilité sera bel et bien là puisque ses films, qui sont distribués dans le monde entier, ne coûtent jamais bien cher à réaliser...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2014
    Un film qui nous amuse en partant dans tous les sens, Roberto Beginini est l'objet d'un sketch surréaliste et Pénélope Cruz incarne avec talent, humour et conviction une pute de luxe totalement délurée. Tandis qu'Elen Page joue les nympho. Surprenant, attachant et complètement dingue. J'ai adoré !
    Avoine M.
    Avoine M.

    46 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 décembre 2012
    Depuis qu'Allen fait financer ses films par les Offices de Tourisme des grandes villes européennes, il ne se fatigue plus à écrire une histoire qui se tienne; Avec Rome, il atteint des sommets de je-m'en-foutisme. Que certains aient vu dans cette succession de saynètes à la limite du théatre de patronage un hommage à la comédie italienne laisse pensif; Et le bafouillement de Woody ( qui, malgré tout, se réserve les 2-3 seules bonnes répliques du film ), irrésistible il y a 20 ans, est ici pénible à supporter; Dites, il deviendrait pas gâteux, quand même ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 septembre 2012
    "To Rome with love" prolonge la série des films européens initiée avec "Matchpoint" , qui nous entraînent de Grande-Bretagne en Espagne, de France en Italie, et qui plongent leur personnages désirants et entravés dans une ronde de clichés nationaux et sentimentaux. Ça devient en quasiment conceptuel. Et, de la même façon que ses génériques gardent une typographie inchangées, Woody Allen enchaîne les films non comme autant d'oeuvres indépendantes, mais comme une continuité qui creuse les mêmes sillons, ceux d'un non-lieu géographique (les villes réduites à des cartes postales) irrigué par les désirs - et l'on retrouve quelque chose de la débordante sensualité de "Matchpoint" dans "To Rome with love", là malmenée par le rapport de classe, ici par la soif de célébrité et de reconnaissance des personnages. Dès lors, trouver "To Rome with love" "paresseux", "stéréotypé", "indigeste" n'a pas grand sens face à cette nouvelle variation, drôle, grave, pas toujours aimable (à l'image du rôle qu'Allen se donne dans le film d'un père âgé, conservateur et volontariste), autour de la difficulté authentique de trouver sa place dans un monde d'autant plus menaçant qu'il semble immuable et artificiel, comme un cliché.
    Et puis cette nonchalance qu'il peut y avoir dans l'écriture (pousser une idée amusante jusqu'à son épuisement, jusqu'au risque qu'elle perde de sa drôlerie) et dans la mise en scène sont la plus réjouissante réponse au "chef-d'oeuvrisme" actuel de la critique qui voudrait à toute force décréter sa "grande oeuvre", son "grand auteur" à tout bout de plan, sans réaliser ce qu'il y a de profondément académique et normatif dans cette pulsion.
    traversay1
    traversay1

    3 104 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2012
    Le tour d'Europe de ce cher Woody Allen se poursuit. Des vacances romaines pour le cinéaste qui célèbre, dans To Rome with Love, l'amour, le désir, la volupté, l'art, la beauté, la jeunesse etc, avec un mélange d'ironie, de cynisme et de sincérité. Allen est un esprit libre, il l'a toujours été, et peu importe si son film témoigne d'une certaine désinvolture, de dilettantisme, parfois, tellement son insouciance est l'apanage de ceux qui n'ont plus rien à prouver, qui se contrefichent des modes, et plus grand chose à craindre, si ce n'est la mort, mais comme il lui a déjà réglé son compte à plusieurs reprises, elle aussi peut se tenir à carreau. Mieux vaut en rire et porter un toast, un bon chianti de préférence, à la vie, jusque dans ses petites mesquineries, mensonges et accommodements. En entremêlant plusieurs histoires, le film est évidemment inégal, éparpillé et sujets à de brusques chutes de rythme. Mais rien que pour deux idées de génie (le ténor sous la douche, l'anonyme qui devient célèbre du jour au lendemain), beaucoup lui sera pardonné. Allen a même réussi à canaliser la fougue intempestive de Benigni, c'est en soi déjà un bel exploit.
    reymi586
    reymi586

    403 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2012
    Et bien personnellement, je n'ai pas du tout été déçu par ce nouveau Woody Allen. J'ai l'impression qu'il n'y a que lui qui peut oser (et réussir) des paris aussi difficiles. Je suis rentré tout de suite dans le film grâce à l'ambiance très légère, la musique et les dialogues très bien écrits. J'ai beaucoup apprécié le casting aussi, le groupe d'acteurs est très homogène. J'ai trouvé le duo Alec Baldwin/Jesse Eisenberg vraiment génial. Bref, je suis content d'être toujours surpris par un film de Woody Allen.
    guifed
    guifed

    54 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    Je ne sais pas, je crois que c'est ce qu'on pourrait appeler un faible. Woody Allen a toujours su susciter mon intérêt, malgré sa filmographie très inégale, et son génie sporadique. Il y a toujours cette volonté de raconter quelque chose différemment, en contournant les codes et les genres. C'est un cinéma réellement stimulant.
    Des histoires et des personnages distincts et qui s'entremêlent? Bah, un film-choral alors? Non, notre ami Woody décide de nous faire un faux-film choral, avec des histoires qui n'ont pour seul lieu commun que ce gendarme du début, qui nous raconte les vies de ces passants de tous les jours, dans sa ville: Rome. Film touristique? Non, et c'est peut-être l'une des déceptions, Rome n'est pas vraiment l'enjeu et le sujet du film. Quel est-il alors? Le monde du show-biz? La célébrité et son rapport de plus en plus ambigu avec l'anonymat? Ou simplement des caricatures succulentes des figures de notre quotidien (la psychologue qui voit Freud partout; le gaucho parano; l'allumeuse effrénée). Les sujets se chevauchent, le fil narratif est délicieusement absurde. Et pourtant, et c'est là qu'on touche à ce qui pourrait s'apparenter au génie: la cohérence surnage, et constamment. Chaque histoire a sa part d'irréel, chaque personnage son fantasme. Et c'est dans l'illusion qu'on atteint l'unité du film. On voit qu'il garde un cap. Un ton.
    Satirique, effronté, inventif, dynamique To Rome with Love est un film léger soutenu par une structure réfléchie et aboutie, contrairement à ce que la plupart des critiques veulent faire croire.
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