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Raphaël O
124 abonnés
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3,5
Publiée le 16 février 2014
Une bonne comédie de Woody Allen, bien écrite, avec un casting de choix et quelques séquences drôles. Malgré tout, cela manque un peu du génie de Allen par rapport à la mise en scène, parfois trop impersonnelle. Toutefois, cette une histoire amusante, qui donne le sourire. Intéressant.
Le film est trop décousu car les différentes histoires sont trop mélangées sans aucun lien. Certaines scènes sont cocasses mais le plus souvent, dans ce film, c'est dénué de sens. Avec un tel casting, on aurait pu avoir mieux.
C'est loin d'être le meilleur de Allen, mais si plus de films pouvaient être comme celui-là on vivrait mieux. On retrouve avec amusement les thèmes récurrents du New-Yorkais (la psychanalyse, le rapport à l'art, à la culture, aux relations, etc.) et on apprécie la légèreté sans prétention qui émane du film. To Rome With Love reste cependant en deça de ses précédents "euro-movies" - mais j'y étais mathématiquement préparé, ma notation chronologique de ces-derniers décroissait : Match point 5/5, Vicky Cristina Barcelona 4/5, Midnight in Paris 3,5/5 et donc presque logiquement 3/5 pour To Rome With Love.
Film très agréable, assez bien rythmé, et très bien joué dans l'ensemble. Et surtout: drôle. Les acteurs sont remarquablement (non) dirigés comme toujours chez Woody Allen. Penelope est extraordinaire, Alec Baldwin fait bien son job, Woody lui-même reste en forme malgré son âge avancé, et les jeunes sont très justes. Des plans-séquences particulièrement réussi, et l'Italie en clichés ne nous ennuie pas un seul nstant. A vous faire chanter de l'opera.. sous la douche, pour commencer.
Woody Allen réussi des chef d'oeuvres et des mauvais films... Mais il réussi aussi des film divertissant. Celui ci est divertissant! Raté par rapport à Minuit à Paris mais qui remplit son lot de Woody Allen et on se marre plutôt bien! Certains segment sont géniaux (Begnigni et Eisenberg) d'autres sont simplement ratés (Cruz, Allen...)! C'est peut être le problème du film choral plutôt que de faire un film à sketch... La photographie sublime la capitale Italienne et au final on se laisse séduire et on oubliera aussi vite sorti...
Ce Woody Allen-là n'est pas le meilleur (Midnight In Paris était bien mieux), mais il se regarde avec plaisir. C'est une sorte de film à sketches avec l'apparition de pas mal de pointures qui tiennent bien la route, avec un bémol pour Roberto Benigni qui a du mal à sortir de sa propre caricature. Des situations parfois un peu surréalistes (la célébrité inexpliquée de Roberto Benigni par exemple, ou bien Alec Baldwin dont on ne sait pas toujours s'il est réellement présent dans les scènes avec Jesse Eisenberg). Pas mal de gags et de quiproquos aussi et surtout des dialogues toujours excellents. Ellen Page et Penelope Cruz : magnifiques, chacune dans son genre. Par ailleurs, ce film m'a vraiment donné l'envie de retourner çà Rome, ville que j'avais visitée il y a quelques années...
une petite comédie fort sympathique où plusieurs histoires s'entremêlent sans jamais se rejoindre. Le thème fort comme l'amour est ici principalement présent à travers diverses situations aussi drôles que cocasses. J'ai trouvé très original la subite célébrité de Roberto Benini ainsi que le chanteur sous la douche. Il reste les traditionnels travers propres à Woody Allen comme la caricature outrancière, le loufoque excessif...On peut retenir une superbe balade à travers la ville de Rome pour un divertissement à apprécier sans modération.
Films a sketchs qui se veut un hommage aux comédie italiennes. Film assez inégale (certaines histoires sont du déjà vu (celle avec Ellen page et Jesse eisenberg) d'autres aurait mérités un long métrage (celle avec begnini) C'est très carte postale et pas très original finalement. Reste que le ton loufoque et surréaliste est assez plaisant et qu'il s'agit certe d'un tout petit Woody allen mais ça se laisse bien regarder...
Certes, ce n'est pas le meilleur film de Woody Allen, mais il suffit d'entendre les rires dans la salle (et les siens propres) pour savoir qu'il y a quand même de très bons moments dans ce séjour à Rome. La multiplication des histoires peut en gêner certains, mais elle apporte aussi de la diversité et nous évite le moindre ennui...
Woody Allen sur la pente descendante ! Après Paris, le réalisateur s'en prend à Rome. Et que dire que c'est la même formule : des beaux décors, des clichés de plus en plus lourds, des personnages toujours aussi stéréotypés. Ca se voit que c'est un film sur les Italiens. On tombe dans les plus gros clichés terriblement faciles ; ça en devient désastreux, car on commence à en avoir marre de ces tours du monde par Woody Allen. C'est trop simple de faire un film comme ça. Finalement, le film ne m'a jamais conquis, même si Roberto Benigni est dans un univers qui rend le film bien drôle.
Woody Allen est décidément en perte de vitesse depuis les années 90. S'il fait encore des films honorables, ils sont loin ses chefs-d'œuvre passés. Car même s'il sort parfois la tête de l'eau à l'occasion d'un "Match Point" ou d'un "Whatever Works", ses autres films se rapprochent plus de se "To Rome with love", pas mauvais mais pas génial non plus. Dans une Rome pour (riches) touristes, se déroulent des histoires qui, comme les cartes postales d'où vient l'imagerie de cette Rome version Woody, paraissent bien creuses, banales et déjà vues. Que Woody Allen traitent dans se film de sujets qu'il a déjà abordé dans sa filmographie n'est pas un défaut, loin de là. Le problème est qu'il le fait en beaucoup moins bien. Que se soit la célébrité difficile à gérer dans "Celebrity", la prostituée au grand cœur dans "Maudite Aphrodite", les touristes dans "Minuit à Paris", le couple mis à mal par l'arrivée d'un troisième larron dans "Vicky Cristina Barcelona" ou "Manhattan"... Tout ses films traitaient ses thèmes de manière beaucoup plus convaincante que se "To Rome with love". Deux histoires seulement surnagent. Celle de Benigni en petit employé découvrant une célébrité aussi inattendu qu'éphémère. Et celle de Woody Allen, ancien metteur en scène d'opéra découvrant la voix en or d'un homme qui n'arrive à chanter que lorsqu'il se trouve sous la douche. Quand aux femmes, elles n'ont pas forcément le beau rôle, entre une prostituée, une mythomane et une groupie. On pourrait presque croire Woody Allen misogyne si on ne connaissait pas les rôles sublimes qu'il a autrefois écrit pour Diane Keaton et Mia Farrow. S'il ne se renouvelle plus depuis longtemps, avouons quand même le plaisir ressenti à revoir Woody Allen acteur. Ça faisait longtemps et celui-là nous manquait.
Comme par hasard, Woody Allen repasse devant la caméra dans un de ses films, et celui-ci s'avère bien moins inspiré en tant qu'auteur. A croire que lorsqu'il fait l'acteur pour son propre compte, c'est son inspiration et son génie qui en pâti. "To Rome with love" n'est pas spécialement mauvais, mais c'est plutôt creux et sans grand génie. Il tourne en rond et utilise de grosses ficelles pour appuyer un propos pas très subtil. ça reste un divertissement gentillet. Mais on attend tellement mieux...
Après Londres, Barcelone et Paris, Woody Allen nous communique son amour pour Rome et ses habitants à travers une comédie chorale absurde et déjantée, mais pleine de drôleries et de surprises. Retrouvant le style loufoque de sa première période, le réalisateur, sans doute conscient de la minceur de la trame du scénario, s’en tire par des pirouettes dont il a le secret et en poussant les situations à l’extrême et l’improbable. Il en profite pour livrer ses saillies habituelles sur la psychanalyse, le fossé culturel entre l’Amérique et l’Europe latine, sans oublier de se parodier lui-même. Son casting est brillant et nous permet de retrouver une Penelope Cruz à l’abattage énorme en prostituée de luxe, un Roberto Benigni qui semble sortir d’un film d’Ettore Scola sans trop surjouer, et de découvrir un ténor insolite qui ne peut chanter Pagliacci ou Tosca que sous la douche ! Les amoureux de la ville éternelle apprécieront les belles lumières et l’atmosphère si particulière du quartier Trastevere. Au total on assiste à un Woody Allen certes mineur, mais la magie opère toujours.
Peut être ne suis-je pas sensible à l'univers d'un réalisateur pourtant renommé, peut être faudrait-il que je me penche sur ses premières œuvres.. Mais là je ne comprend pas, pourquoi ce film ? Que cherche-t-il à faire passer à part « Rome est une jolie ville »? Après une ouverture agaçante dans le style « whatever works » il nous présente une ville au format "cartes postales" avec des petites histoires croisées assez mal imbriquées. C'est vide, plat et le casting a beau être alléchant il ne se passe pas grand chose, on tourne très vite en rond.. Les personnages n'ont aucune consistance, et ne semblent être que des pions pour dévoiler un peu plus de la capitale italienne.. Heureusement que les acteurs rendent le voyage supportable grâce à leur détachement mais pas de grosses surprises non plus (Woody Allen fait du Woody Allen, Benigni fait du Benigni...). Et même si quelques idées intéressantes affleurent, tout semble survolé et dénué d'intérêt.
Continuant sa tournée européenne, Woody Allen se retrouve à Rome beaucoup moins inspiré qu'à Paris. En effet le cinéaste surfe sur ses thèmes habituels sans aucune originalité mais en gardant toujours son style qui fait son charme. Mais à force de mêler plusieurs histoires dont certaines sont sans grand intérêt, le rythme s'essouffle malgré le talent de ses interprètes. On retiendra surtout Woody Allen en manager qui n'accepte pas sa retraite, Alec Baldwin en architecte qui connaît toutes les ficelles de séduction des filles et Roberto Benigni en pauvre type normal qui devient soudainement célèbre. Assez pour être distrayant mais sans plus.