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    Only Lovers Left Alive
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    392 critiques spectateurs

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 228 abonnés 4 034 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2016
    C’est une œuvre singulière que nous présente Jim Jarmusch. Il y a dans Only Lovers Left Alive une multitude de références musicales, littéraires et cinématographiques qui s’adressent par conséquent à une cible éduquée et cultivée. Ce dénigrement pour la majorité des humains se ressent dans tout ce pessimiste que vouent les deux acteurs à ce qu’ils appellent les zombies. Malgré cette haine hautaine, on retrouve dans cette négation beaucoup de poésie et de beauté. Le couple que forment Tom Hiddleston et Tilda Swinton est la métaphore de l’amour éternel que beaucoup cherche. Le temps et la distance ne sont pas une barrière tellement leur amour est fort. La beauté étrange des acteurs en ont fait les personnes idéales pour interpréter les rôles d’Adam et Eve. La mort leur va si bien. Only Lovers Left Alive est une poésie romantique effleurée par une mort délicate, mais qui penche un peu trop dans le pessimisme.
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 septembre 2016
    Ce film est ennuyeux à mourir et il ne ce passe rien du tout, pas d'intrigue rien. Le jeu d'acteur est bon mais franchement ça ne rattrape pas le film
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 056 abonnés 4 106 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2016
    Jim Jarmusch enfant des années rock, entré dans l'âge du retour sur soi s'inquiète des dérèglements consécutifs au comportement anarchique de l'économie en accélération exponentielle sous l'effet de la mondialisation. Il se saisit du retour de popularité du mythe du vampire désormais assaisonné à une sauce romantique un peu niaise pour adolescents ("Twilight", "True Blood") afin d'en donner une version plus adulte et délivrer un message d'alerte aux jeunes via ce couple qui a traversé les siècles, témoin tout d'abord de la lente progression de la pensée humaine du fin fond de l'obscurantisme jusqu'au siècle des Lumières suivie de sa déliquescence brutale avec le matérialisme forcené né de l'industrialisation. C'est Adam (Tom Hiddelston) l'élément mâle du couple, artiste underground ayant côtoyé les plus grands poètes (Lord Byron), romanciers (Shakespeare) ou musiciens (Litz) qui vit le plus mal cette dégénérescence tous les jours plus visible de ceux qu'il nomme les "zombies". Reclus dans son appartement de Detroit, ville fantôme, ex-symbole du capitalisme triomphant, il vit en esthète entouré des reliques artistiques accumulées au fil des siècles ayant pour seul contact avec l'extérieur un junkie plutôt sympathique (Anton Yechlin) qui le fournit en guitares de collection (Telecaster, Gresch de Chet Atkins de 1956,...). Eve (Tilda Swinton) son amour de toujours le rejoint en provenance de Tanger son lieu de villégiature, inquiète de la profonde dépression qui envahit Adam au point qu'il envisage de renoncer à la vie éternelle et du même coup à leur amour. Ayant eu beaucoup l'occasion d'apprendre au contraire des humains ordinaires qui ne disposent que d''une misérable petite vie, Adam et Eve sont un modèle de raffinement au point d'avoir renoncé à se servir directement à la source pour la nuit venue trouver le précieux liquide indispensable à leur étrange condition. Jarmusch qui comme toujours écrit le scénario de son film se veut didactique pour être compris d'une jeunesse qui désormais va au plus rapide et peut-être lui faire toucher du doigt à travers ces deux témoins de l'histoire humaine qu'elle ne pourra avancer bien loin en faisant table rase du passé. Une simplification du discours parfois un peu dérangeante venant affadir la recherche esthétique poussée de Jarmusch. Adam et Eve qui n'ont pas choisi par hasard leurs prénoms sont l'expression mélancolique d'un réalisateur qui se demande comment après toutes les utopies des années 60 et 70 qui avaient laissé entrevoir une possible rédemption, l'humanité a pu en arriver là ? Constat amer sans guère d'espoir que ce "Only lovers left alive". Les deux amants qui semblaient un moment vouloir nous indiquer la voie se montrant au final terriblement humains quand leur survie est en jeu. Brutalement les deux îcones sont assimilées par un Jarmusch impitoyable à deux simples bobos dont les grands principes ne sont que mondains. Le film se referme donc sur un constat d'échec. Rien ne pourra donc sauver nos pauvres âmes ! C'est Jarmusch qui l'affirme . Avec un tel pessimisme le film pourtant salué pour sa plastique ne pouvait se frayer un chemin au box-office.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juillet 2016
    Finalement ce qui compte, c'est le petit paquet qu'on emmène jusque sous son oreiller...
    De mon côté, ce qui s'est passé, c'est un très agréable shoot du côté de quartiers interlopes par leur banalité esthétisée. J'ai vu des images qui ressemblent à des posters vintage, avec une musique cool. Des vampires sympathiquement blasés, tantôt le reflet nonchalant de l'homme de la rue, tantôt incarnation du mythe mais revu à la sauce intello.
    Ces vampires-là, ils sont terribles ! Tout en étant le reflet nonchalant de l'homme de la rue, à peine rehaussé d'un goût plus prononcé pour un individualisme éclairé, ils sont néanmoins au dessus de l'homme de la rue car ils ont déjà vécu bon nombre de vies humaines en une seule longue vie de vampire, prenant naissance à plusieurs siècles de là
    Humanistes par pitié ou passion, ils ont à voir avec les avancées de l'humanité sur la voie des arts ou des sciences et cela les rend à la fois vaniteux et pathétiquement blasés.
    Leur handicap d'être vampires, et c'est ça la bonne idée du film, les rend proche de l'homme normal. Jim Jarmusch les compare aux humains, mais pas pour nous critiquer, plutôt pour louer la modernité des temps plus reculés.
    Il les rend semblables à travers des frustrations proches. La nuit, les virées romantiques sont moins glamour qu'en plein jour. Des rues désertes accueillent leurs baladent sentimentales. Ils ne goûtent alors même pas l'éminente condition de dandy nocturne. Mais ils s'aiment.
    Si lui se blase de tout, elle est le personnage qui, grâce à l'amour qu'elle veut incarner, raccroche l'humain a son originalité humanité. Car leur plus gros handicap, c'est ce que leur a laissé leur vie interminable en héritage terrestre : le désespoir envers les humains.
    C'est pas facile pour un film d'aborder le thème de la post-modernité. Comment Jarmusch s'en sort-il ? Il prête à son vampire mâle les dangers majeurs de notre époque : narcissisme et égocentrisme. A moins qu'il ne s'agisse de désabusement sincère. A Eve, il donne la pugnacité. Ainsi il crée une tension romantique qui soulage a chaque instant le spectateur du constat pourtant évoqué avec peu d'opiniâtreté. Mieux que soulager, elle irradie de bons moments, où la vie suit son cours, où la conscience est continuellement en éveil sous les sens désabusés. C'est ce que j'ai bien apprécié au niveau du scénario, qui met finalement en avant le temps, le Temps et tous les temps possibles. Il creuse l'idée que la vie personnelle et La vie se rencontrent au point où le temps les a dévasté toutes deux, et que c'est ici et maintenant que ça se joue, hors du temps.
    La caméra fixe des corps désenchantés dans une balade enchantée.
    Roub E.
    Roub E.

    791 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juillet 2016
    C'est très soigné mais cela ne suffit pas. Oui, c'est esthétiquement très réussie on a le droit à quelques plans de toute beauté. Mais l ennui se pointe rapidement. Car le parallèle entre ces deux vampires amoureux connaissant la vie jusqu au bout des dents et qui aiment le beau n'est pas assez poussé ou trop vite expédié. La critique du monde du spectacle qui cède à la facilité est trop simpliste pour être vraiment intéressante. C est beau mais c'est vide.
    Yetcha
    Yetcha

    783 abonnés 4 318 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2016
    Une sympathique vision des vampires dans le monde moderne. Cependant, je lui préfère Daybreakers ou Vampires en toute intimit. Le mélange et l'inspiration avec le monde de la musique et la drogue est intéressant. Bref, Jarmush nous sert là une jolie composition dont la photographie est superbe, mais pas inoubliable.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    61 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2016
    Poésie rock’n’roll et romance mystique

    Pour sa première incursion dans le domaine du cinéma fantastique, Jim Jarmusch réinvente le mythe du vampire. Entre Tanger et Detroit, un couple d’immortels grandiose et bohème traverse les siècles en contemplant le « monde des zombies », un surnom qu’ils donnent au monde des hommes. Dans le film Only Lovers Left Alive, Jarmusch se sert du mythe des enfants des ténèbres désabusés par la société contemporaine pour illustrer les dérives de ce monde moderne.

    Un couple d’immortels érudits, follement amoureux, romantiques et particulièrement glamour, vit dans un monde où l’humain devient une source d’inquiétude, un prédateur détruisant la planète, un peu comme dans le film Warm Bodies où on assiste à une inversion des rôles. Dans Only Lovers Left Alive, les vampires sont très humanisés. Ce sont des gardiens de la culture tandis que les humains s’abreuvent à la télé-réalité et la destruction de leur planète.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2016
    Un pur chef d'oeuvre. Ambiance romantique dark, musique somptueuse (tendance grunge underground), jeux d'acteurs exceptionnels. A voir, à revoir, à re-revoir ...
    Eric C.
    Eric C.

    215 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Incroyablement romantique et mélancolique. Une histoire d'amour formidable, fantastique à tous les sens du terme, qui a parcouru les siècles car nos 2 tourtereaux ne sont pas moins que des vampires. Ils sont d'une autre époque, d'un autre âge, et côtoyés au 21 ème siècle qui n'est pas fait pour eux. Mais leur histoire d'amour lyrique, mythique, perdure, de Detroit à Tanger. C'est moderne, romantique, mélancolique, superbement filmé, original, beau tout simplement, avec un réalisateur au sommet de son art et 2 acteurs totalement investis, énigmatiques, à la fois attachants et inquiétants. Une bande son omniprésente entêtante accompagne avec intelligence et talent ce très beau film original et inclassable.
    rogerwaters
    rogerwaters

    130 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Peu importe que Jim Jarmusch se penche sur un des mythes du fantastique, à savoir le vampire, puisque celui-ci continue surtout à explorer ses thématiques habituelles et notamment son goût pour les errances nocturnes et pour le rock des années 50-60. Il y ajoute ici un soupçon de décadence fin 19ème siècle qui s’accorde effectivement avec la figure du vampirisme. Il le fait avec un sens du cadre magnifique, ainsi que dans une atmosphère ouatée qui tranche avec tout ce qui existe sur le sujet. Ici, point de grands éclats rageurs, puisque ce sont des créatures de la nuit apaisées qui ne cherchent qu’à se nourrir en faisant le moins de dommages collatéraux possible. Au passage, les amateurs de musique pourront apprécier une bande sonore très lynchienne qui enveloppe les images dans un écrin savoureux. Les dialogues sont souvent très philosophiques ou font preuve de malice (Marlowe aurait ainsi écrit les œuvres de Shakespeare, ravalé au rang de piètre faiseur) pour le bonheur des érudits. Bref, un pur plaisir intellectuel qui va de pair avec une sensation très agréable de plénitude artistique. Un petit bijou, donc.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    22 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 janvier 2016
    Only lovers left alive est un film sur la décrépitude d'un monde qui n'existe plus. Oh il ne faut pas chercher bien loin dans ce film crépusculaire, malgré ses personnages hors du temps. En fait Jarmusch fait seulement allusion à son monde, aux années New wave, dont il était un représentant comme pour Derek Jarman. D'où la présence de Tilda Swinton, la muse de Jarman, qui a tournée dans de nombreux films du réalisateur britannique. D'ailleurs Jarman est mort du sida en 1994, et finalement cette histoire de vampires est un hommage à Jarman. Mis à part, pourquoi donc vivre dans un passé sublimé ? Ce qu'il y a de significatif dans ce film, est qu'il ne fait dans aucun cas une référence au mouvement Techno de Détroit, alors que le film se passe la nuit. Jarmusch n'a-t-il jamais dansé jusqu'au bout de la nuit sur le son du génial Jeff Mills ? Jarmusch est resté coincé 30 ans en arrière. Comme quoi, s’apitoyer sur sa propre déliquescence fait perdre tout contact sur une réalité foisonnante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    De la condition contemporaine et instable du vampire : entre quête quotidienne de survie et intégration culturelle dans nos sociétés. D'un style ultra raffiné et musical teinté de velours, noirceur et... pâleur. La griffe ultime et admirable de Jim Jarmusch qui envoûtera ses fidèles autant qu'il découragera les "jarmusceptiques".
    Hastur64
    Hastur64

    203 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2015
    Jim Jarmusch, réalisateur qu’on peut difficilement qualifier de mainstream, utilise dans son nouveau film un mythe classique au cinéma et maintes fois usé cette dernière décennie : le vampire. Mais, s’il semble sacrifier à une certaine mode, il ne nous pond évidemment pas un film d’horreur ou blockbuster fantastique sur ces créatures plus vieilles au cinéma que le son ou la couleur. Il nous offre, ici, un drame romantique et contemplatif plein de mélancolie et d’esthétisme sur un couple de ces créatures qui vivant depuis plusieurs siècles (sans que leur âge ne soit jamais évoqué), semblent être dépassés par la vitesse de plus en plus accrue avec laquelle le monde des mortels (qu’ils appellent les “zombies”) évolue autour d’eux. Êtres très sensibles, lui est un musicien reclus, elle une fanatique de littérature, ils contemplent avec tristesse les sociétés des hommes de plus en plus privées de beauté et polluées jusqu’au sang même des humains. Une des petites inventions de cette énième version du vampire, le sang qui sert de viatique à ces derniers, peut les empoisonner, voire les tuer, si ce dernier n’est pas pur ; las un sang libre de toute impureté est de plus en plus difficile à trouver. L’histoire, sans scène d’action, avec aussi pas plus de dialogue que les films plus classiques, se déroule dans une ambiance musicale très présente et des plans contemplatifs très beaux à regarder. S’il pose un paradigme esthétique très présent, le film n’est pas pour autant déconnecté de la réalité, notamment quand il fait visiter de nuit Detroit, ville touchée de plein fouet par la crise des subprimes et qui a vu des quartiers entiers se vider de ses habitants laissant des centaines de maisons vides et à l’abandon. L’interprétation de Tom Hiddelston et de la toujours magnifique Tilda Swinton donne une crédibilité incroyable à ces deux vampires esthètes et amoureux, y compris dans leurs présences purement physique. Un des films sur les vampires les plus originaux de ces dix dernières années et qui offre au mythe des “saigneurs” de la nuit une belle romance mélancolique et tragique. Un pur chef-d’oeuvre qui mérite absolument d’être vu.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    191 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2015
    Sacré Jim ! Dans un monde qui brocarde de plus en plus la culture, l'intelligence, la sophistication, dans un monde qui est nettement moins rock'n'roll à chaque jour qui passe, on peut toujours compter sur lui pour porter bien haut l'étendard de NOS valeurs (les miennes en tout cas !) face à la bêtise et à l'abrutissement général. Il l'a déjà fait, et brillamment, avec "Ghost Dog" et plusieurs autres pépites de sa filmographie nonchalante, mais c'est sans doute la première fois que l'un de ses films est une déclaration d'intention aussi belliqueuse, même si - inévitablement - pessimiste et dépressive. L'univers des humains, ici qualifiés de "zombies", est une horreur, et les gens intelligents ne peuvent que se désespérer de cet abandon des valeurs intellectuelles et morales qui nous ont permis, il y a déjà bien longtemps, de briller. Marrant aussi que cette prise de position coïncide avec bien des discours sinistres de nos minables fascistes de 2015, alors que fondamentalement, elle en est aussi l'exact opposé : Jarmusch prône bien sûr comme voie de sortie la mixité des cultures (plutôt Tanger que Detroit, quand même, c'est le sens des dernières scènes), l'abandon des barrières (plutôt Eve qu'Adam, dont la supériorité arrogante ne peut conduire qu'au suicide), et au final le retour à la réalité, quels qu'en soient les risques (le vampire, pour survivre, doit accepter ses instincts et le risque de la "contamination"). Le discours de Jarmusch est puissant, et il est porté par deux interprètes parfaits et une image magnifique (quelles photos sublimes de notre monde en pleine décomposition !). Bien sûr, certains se chagrineront de la divine lenteur extatique du film, et de l'absence de réel scénario, comme si les machines hollywoodiennes avaient définitivement gagné la partie dans nos cerveaux : tant pis pour eux. Cerise délicieuse sur le gâteau : "Only Lovers Left Alive" est formidablement drôle, même si, pour en apprécier l'humour, il faut quand même un minimum de culture ! (et la boucle est bouclée).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 octobre 2015
    Top du top niveau réalisation et musiques
    Le rythme est lent mais pas dérangeant pour peu qu'on s'intéresse à l'histoire et, malheureusement, celle-ci n'est pas à mon goût.
    Ça partait plutôt bien, je pensais que le film allait mettre en avant certaines grandes questions existentielles mais au lieu de ça on se retrouve avec un film où on nous rabâche sans arrêt à quel point les personnages sont cool, qu'ils sont extrêmement vieux et dotés d'un savoir qui les distingue de très loin des hommes.
    Très fade mais sympathique à regarder (au moins une fois)
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