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    A l'est d'Eden
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    168 critiques spectateurs

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    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    29 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2008
    Les hésitations du script empêchent à l'oeuvre entière d'E.Kazan, parfois lourde, de briller à la hauteur de J.Dean, d'une beauté impressionnante.
    gregbox51
    gregbox51

    28 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2010
    Top du genre "saga". La bande son mériterait d'être mis à jour s'agissant d'un film intemporel.
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2018
    Le récit débute sans coup férir dans une révélation qui nous plonge d'emblée dans les prémices d'une tragédie familiale. Pas d'explication d'un passé familial tabou, juste un fils qui cherche à ,se faire aimer de son père, et qui, par la force des choses, va agir sans réfléchir à ses actes. Dans un décor d'un Ouest qui se modernise le récit est biblique. Les enfants Adam et Cal sont les alter ego de Abel et Caïn, le père à l'est et la mère à l'ouest serait donc plutôt symbole de l'enfer, elle qui a quitté sa famille pour ouvrir une maison close. Un grand film aussi tragique que touchant.
    Site : Selenie
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2009
    Difficile de parler d’un film d’Elia Kazan sans évoquer ses dénonciations à l’époque du maccarthysme. Trahissant plusieurs de ses camarades lors de l’anti-communisme nerveux qui s’abattu sur Hollywood à l’époque sensible de la Guerre froide au nom de l’homogénéité de la production hollywoodienne, Elia Kazan n’en demeure pas moins un grand cinéaste. «East of Eden» (USA, 1955), relativement critique sur la religiosité fondatrice des Etats-Unis, adapte l’ouvrage de Steinbeck en exaltant l’opposition systématique du Bien et du Mal tout en en mêlant les principes. Cette confrontation manichéenne (mâtinée par les bouleversements finaux) s’exprime par la photographie de Ted McCord qui utilise le CinemaScope dans toute sa dimension épique et dans le plein usage des possibilités de couleur. L’interprétation de James Dean (plus torve et frénétique que dans «Rebel without a cause») formule avec une grande justesse le déchirement interne du personnage de Cal. En opposition, son frère Adam joué par Raymond Massey présente un corps droit et une figure quasi marmoréenne, en opposition au comportement de son frère. Kazan, à l’aide de ses collaborateurs, réalise une œuvre aux accents bibliques, certes soulignés, mais à l’actualité (en 55) affirmée. La même année où Charles Laughton sort sa cosmogonie «The Night of the Hunter», Kazan semble signer l’Apocalypse des Etats-Unis dans laquelle la figure innocente du Mal prend le pas sur celle du Bien. Etrange que de voir un des traîtres à sa profession dépeindre une Amérique délétère, moribonde et gangrené par les vicissitudes. L’ouvrage de Steinbeck, publié en 52, trouve son accomplissement dans les Etats-Unis des années 50 où la jeunesse se meurt sous trop de contraintes. Le film de Ray dans lequel jouera, la même année, James Dean témoignera avec plus de frontalité la rage de cette jeunesse. Le génie en plus du film de Kazan provient de la mise en perspective de cette nouvelle jeunesse avec leur héritage culturel religieux.
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce film là, j'ai du l'avoir vu au moins une vingtaine de fois, mais je ne me lasses pas de le revoir tellement le film est puissant d'emotions et d'intensités. Elia Kazan est un genie qui dans sa carriere a su imposer 2 legendes du cinema, Marlon Brando avec " Le tramway nommé désir", et James Dean, pour "A l'est d'eden". Ce film est pour moi le meilleur film de la trop courte carriere de la legende de Jimmy avec beaucoup de scenes cultes et d'anthologies qui restera à jamais graver dans la memoire de l'histoire du cinema. Un trés grand film a voir.
    misscarrey
    misscarrey

    95 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2008
    Ah, les vieux films sont vraiment époustouflants. Mon premier film avec James Dean, le talentueux et charismatique James Dean. Prodigieux acteur, l'évolution de son personnage le démontre bien. Quelle histoire de famille originale et intéressante. Pleines de rebondissements! De magnifiques plans très théatraux. L'évolution des personnes est ici la plus sidérante que je n'ai jamais vu! A découvrir absolument.
    halou
    halou

    100 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2009
    Indubitablement un très grand film mené par Kazan qui fit naître la légende James Dean.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 septembre 2008
    C'est le 1er film que je regarde avec James Dean. J'avais lu le livre, et je dois avouer qu'il a bien l'air tourmenté. Des sentiments ainsi exprimés, tout est bien. J'aime vraiment le paysage et tout. Tout est parfait.
    Virginie.maestro
    Virginie.maestro

    23 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2012
    Encore une Claque que le spectateur se prend après avoir vu "A L'est d'Eden" d'Elia Kazan. On s'en prenait déjà une lors du visionnage de son célèbre film " Un tramway nommé Désir" mais là, on ressent encore et encore davantage le talent de ce grand cinéaste à la hauteur! Un jeune homme se sentant repoussé par son père, une mère censée être morte dont le père dissimula la présence pendant de longues années, des moments difficiles pour ce garçon en particulier se sentant renier par tout le monde.. La fin est poignante!! A voir
    Damien S
    Damien S

    24 abonnés 368 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2014
    En regardant ce film, on comprend pourquoi James Dean se trouve auréolé du statut de légende hollywoodienne. Le jeu est juste, le roman de Steinbeck magnifiquement retranscrit par Elia Kazan. Sans doute le meilleur des 3 films où Dean fut crédité. Ce rôle d'adolescent tourmenté est d'une justesse irréprochable. Le rôle de la mère est également sublimé par Jo Van Fleet. Un grand moment du 7ème art.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 septembre 2008
    Les acteurs, les plans, l'intrigue... À l'Est d'Eden est un très bon et beau film sur la déception et ses conséquences. La déception d'un père envers son fils et d'un fils envers sa mère. Le charismatique James Dean y joue un homme en quête d'identité. Est-il bon ou mauvais de nature? Un thème qui peut paraitre simple dans nos intrigues d'aujourd'hui où on pousse toujours encore plus loin la complexité de l'histoire, mais c'est un thème très efficace surtout supporté par de formidables acteurs. Des acteurs sur lesquels reposent entièrement le film. Sincérité et présence qu'il est dur de retrouver de nos jours.
    totoro35
    totoro35

    86 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    Adapté de Steinbeck, un superbe mélodrame habité par la mise en scène d'Elia Kazan et l'interprétation fiévreuse de James Dean.
    Simon L.
    Simon L.

    26 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 septembre 2015
    Premier film mettant en lumière James Dean dans un rôle principal, ""A l'est d'Eden" s'avère être un mélodrame d'exception. Elia Kazan (le réalisateur) met parfaitement en scène une histoire complexe et passionnante. Deux fils opposés par tout, l'un rebelle (Cal, James Dean) et l'autre modèle (Aaron, Richard Davalos), connaissent des chemins différents auprès de leur père. L'histoire nous est rapportée du point de vue de Cal, qui mène une vie complexe : alors que son frère fait la fierté de son père, Cal ne parvient pas à trouver une place dans la famille. L'image du père est omniprésente dans les films d'époque pour sa partialité ou sa soumission ("La Fureur de Vivre" par exemple), et cette oeuvre de Kazan ne déroge pas à la règle. Reste l'image de la mère, bien plus complexe ici puisqu'elle occupe divers statuts suivant les personnes : alors qu'Aaron la croit morte, Cal découvre qu'il n'en est rien. Bien que l'histoire tourne autour de la mère et des différents moyens de la retrouver, il semble que l'intrigue repose en réalité sur la personne du père. Pas si hasardeux que cela, puisque Cal tente à tout prix d'obtenir le respect de son père. L'intrigue s'impose comme un reflet de la société d'époque, que l'on peut toutefois reprendre comme universelle : un des enfants est privilégié par la figure paternelle, souvent avec partialité.Cette histoire touchante est rendue possible par le travail remarquable de Kazan, dont la mise en scène nous fait part d'un réalisme prenant vis-à-vis des différents événements. La musique est brillante, elle convient parfaitement au film et à la narration du quotidien mystérieux, imprévisible de Cal. James Dean détient ce charisme naturel qui fait de lui un acteur à part. Il en découle un sentiment d'empathie de notre part pour le frère "mauvais" (il se définit comme tel) qui échoue dans tout ce qu'il entreprend, en dépit d'une volonté de bien faire déconcertante. Les différents décors appuyent l'idée d'un personne sans cesse en mouvement ( un champ, un train sur lequel il voyage par moments, la fête foraine). La copine d'Aaron, Abra (Julie Harris), apporte son côté touchant à l'intrigue, et adopte un rôle de médiatrice entre deux frères trop différents pour se comprendre. La fin se veut bienveillante et encourageante, on retient toutefois de ce long une profonde recherche d'identité de Cal dans une famille qui ne lui témoigne aucune affection. Cette quête de vérité (du côté maternel) et d'amour (du point de vue paternel) s'impose comme un voyage initiatique qui fait sans aucun doute de Cal, frère désabusé au commencement, un homme nouveau à son épilogue. "A l'Est d'Eden" est un film qu'il ne faut pas oublier, une aventure humaine en tous points aboutie.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 décembre 2007
    le film est assez fade jusqu'au dernier quart d'heure ,malgré une assez bonne performance de J.Dean , on regrette que l'intensité ressentie lors de ce court laps de temps ne soit étendue au film tout entier…dommage
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 383 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2020
    Basé sur un roman de Steinbeck, ce film de Kazan nous permet de découvrir l'acteur Dean. Jeune, rebelle, il joue un peu comme dans la vie je suppose. Le film a un peu vieilli avec des décors un peu trop lourds et artificiels. Mais au delà de l'histoire ce film reste classique avec une pointe de romantisme. Ce film m'a un peu rappelle la poursuite impitoyable de Penn.
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