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    La Fureur de vivre
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    236 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 août 2014
    Rebel without a cause a accédé à la postérité principalement grâce à la présence de James Dean dans le rôle principal : son jeu m'a paru parfois inégal, notamment dans un premier quart d'heure vraiment poussif, mais force est de constater qu'il ne manque pas d'exercer une forme de fascination dans son rôle de jeune adolescent torturé, où sa figure d'ange fait merveille. Face à un gang de blousons noirs, il se voit contraint de se mettre en danger et de révéler sa force, une facette de lui-même qui lui déplaît profondément. Le film prend petit à petit de l'ampleur au travers des péripéties de ces groupes d'adolescents incontrôlables, et s’avère agréable à suivre. Oeuvre culte de l'époque, elle ne m'a cependant pas paru renversante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2009
    Il faut savoir qu’avant que ce film sortit sur les écrans le 27 Octobre 1955 en rencontrant un énorme succès commercial et fit alors de James Dean un mythe, celui-ci trouva la mort auparavant, à 24 ans dans un accident de voiture le 30 septembre 1955, alors qu’il s’apprêtait à participer à une course automobile. Il faut dire aussi qu’aujourd’hui que le mythe est quand même attaqué car si James Dean est devenu un monstre sacré du cinéma, certaines critiques remettent toujours en cause sa légitimité en pausant la question si le comédien a pu faire suffisamment ses preuves en seulement 3 films. Toujours est-il, que James Dean a incarné à son époque, un idéal de jeunesse grâce à ce film générationnel tel que la fureur de vivre, en y interprétant un jeune rebelle, sensible et incompris, mal dans sa peau et angoissé.

    Et ce drame humain racontant les 24 H de la vie de trois adolescents en quête de repères, évoque à la fois la solitude de l'adolescence, la difficulté de communication entre adultes/jeunes, les premiers amours et la violence d’une certaine jeunesse en quête d'une raison de vivre. Par ailleurs, il est intéressant de voir dans cette œuvre tendre, lyrique et violente que l’origine de leur mal être ou de leur emportement, vient du fait que les 3 personnages principaux se sentent seuls, abandonnés ou incompris par leurs parents, et ce film a le mérite ainsi de montrer l’importance du rôle de la famille ou d’une bonne compréhension/communication entre enfants/parents. Le film souligne aussi à travers un scénario assez simple que les 3 jeunes protagonistes de l’histoire étant en quête d’affection et de reconnaissance, sont animés par une relation difficile avec leur père. C’est ainsi l’absence d’autorité et de repères qui perturbe Jim, la condamnation de la sexualité tout en rejetant la tendresse de sa fille qui oppose Judy à son père, où c’est l’absence totale des parents notamment du père, qui trouble fortement Plato.

    Mais dans ce film intempor
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Le thème est intéressant pour un film au final conventionnel, banale histoire d'ennui de jeune en manque de sensation forte jouant avec le feu avec cette association de voyous, un scénario prévisible, la partie du jeu qui se termine mal, difficile de s'émouvoir, la célèbre légende posthume de James Dean dans les mémoires, un acteur glamour à retenir qu'a une performance hors norme, il rentre dans le commun des mortels, je n’ai pas été marqué.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 juin 2012
    En 1955, Nicholas Ray (qui avait déjà réalisé "Le violent" avec Bogart et "Les diables de Guadalcanal" (son deuxième film le plus connu aujourd'hui) avec John Wayne) met en scène James Dean (tout juste sorti de "A l'est d'Eden" (1954), on le retrouvera dans "Géant" de Stevens et décèdera, au volant de sa Porsche, 2 semaines après la fin du tournage), Sal Mineo (revu par la suite dans "Marqué par la haine" de Robert Wise et "Les cheyennes" de John Ford, lui aussi mort dans un accident d'avion en 1976) et Nathalie Wood (révélée par ce film, elle jouera ensuite dans les non moins célèbres "West side story" (toujours du même Wise !) et "La fièvre dans le sang" (aussi de Monsieur Kazan) notamment avant de mourir noyée (en 1981)) pour en faire un film sur le problème de l'adolescence.
    Ces trois stars montantes apportent toutes le tonus du film. La génération rebelle est vue au travers de l'incompréhension des adultes, mais aussi par une jeunesse qui se recherche. En celà, Sal Mineo apporte tout son savoir-faire dans ce domaine puisque son rôle est écrit avec fragilité mais détermination. Pour la scène qui apporte son devoir de mémoire, il s'agit bien sur de la course de voiture à côté de la falaise où la cool attitude est fraîchement apportée par James Dean. Nathalie Wood porte non seulement la touche féminine du film, mais fait en sorte de marquer de sa griffe "La fureur de vivre" : elle est la raison de vivre de James Dean, une sorte de confidente, mais aussi un moteur important pour l'histoire de la nuit de folie qu'ils vont vivre. Elle a la pêche et le transmet d'une façon complètement communicative que James Dean en tombe amoureux. Tout son talent est exprimée et cela crève l'écran.
    Tous les trois concourent ainsi à la réussite du film, mais malgré cette réalisation "classique", Nicholas Ray apporte son savoir-faire, et James Dean toute son aura démystifiante qui a l'art d'irradier l'écran de par une présence (un charisme) et une nonchalence tout à fait exceptionnelle.
    "La fureur de vivre" se démarque par ces qualités (scénaristique aussi, car Nicholas est à l'origine du script, ce que je prends le temps de souligner) qui font, à ce jour encore (57 ans après sa sortie !!!) un film toujours d'actualité à cause de son sujet.
    Film mythique aussi de par l'interprétation générale sans (aucune !) faille, tous morts tragiquement par la suite (mais aussi par la réalisation qui donne le ton grâce à un générique de début bougrement efficace).
    "La fureur de vivre" est donc à voir impérativement une fois dans sa vie pour une culture cinématographique inoxydable.
    A noter : Dennis Hopper tient ici l'un de ses tout premiers rôles !!! On le connaît tous pour ses interprétations dans "Apocalypse now" ou "Easy rider". Mais on l'a aussi vu aux côtés de John Wayne ("100 dollars pour un shérif") et Viggo Mortensen ("The indian runner").
    Tendax_montpel
    Tendax_montpel

    23 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2010
    James Dean est superbe dans ce film qui a l'ambition de porter à l'écran une génération. La forme a un peu vieilli mais le fond reste assez actuel, décrivant l'énergie de la jeunesse qui se heurte au vide. La surprise provient du scénario, notamment dans le dernier tiers du film, avec un vrai renversement des points de vue.
    cylon86
    cylon86

    2 256 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    Quand Nicholas Ray donne à James Dean l'un de ses trois plus grands rôles, il nous offre un film devenu un grand classique par ses thèmes sombres sur une jeunesse qui n'a aucun modèle, qui se perd dans la beuverie ou les courses de voitures et qui ne sait pas où aller. La mise en scène de Ray est superbe avec des plans audacieux et magnifie le cultissime James Dean, grandiose dans ce rôle qui lui va à ravir aux côtés de Natalie Wood et de Sal Mineo, tous deux très touchants et formant le trio maudit de "La Fureur de vivre".
    7eme critique
    7eme critique

    460 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2015
    Cran d'arrêt dans la main droite, peigne dans la gauche, "La fureur de vivre" se penche sur la jeunesse américaine et rebelle des années 50. Une direction un peu bancale, des comportements qui frisent le ridicule, "La fureur de vivre" restera pour ma part, le film le moins abouti de la carrière de James Dean (seulement trois films), non pas par son jeu d'acteur, irréprochable, même si théâtral de temps à autre (l'époque voulait ça), mais par le long-métrage en lui-même, au scénario et à la mise en scène plus faibles qu'un "Géant" ou "A l'est d'Eden". Revoir le visage jeunot de Dennis Hopper est peut-être ce qui m'a fait le plus plaisir dans cette relecture...
    Alasky
    Alasky

    284 abonnés 3 081 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 décembre 2012
    Symbole du look de la jeunesse désinvolte des années 50, James Dean incarne la sobriété américaine avec son Jean Levi's et son t-shirt blanc... Il est sexy au possible, avec à ses côtés la jolie Natalie Wood.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2010
    La jeunesse américaine et ses tourments est sans doute l'un des thèmes ayant le plus préoccupé Nicholas Ray tout au long de son oeuvre. Déjà en 1949 dans "Les Ruelles du Malheur", il mettait en scène Humphrey Bogart en avocat chargé de défendre un jeune adolescent accusé d'un crime. En 1955 avec "La Fureur de Vivre" porté par le fougueux James Dean et la douce Natalie Wood, toute une génération aura pu s'y reconnaitre. Si le film n'est assurément pas le chef d'oeuvre de son auteur, "La Fureur de Vivre" n'a rien perdu de sa veine incisive et porte toujours en lui le flambeau brûlant d'une jeunesse meurtrie.
    Sebmagic
    Sebmagic

    156 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2012
    Bizarrement, je m'attendais à la fois à mieux et à pire... A mieux parce que ce film semble être pour beaucoup un énorme film culte à ne louper sous aucun prétexte, et à pire parce que pour un film des années 55, il n'a pas énormément vieilli (même si on sent quand même qu'il ne date pas d'hier) et que l'histoire est intéressante. Quoiqu'il en soit j'ai été ravi de découvrir James Dean dans ce film car depuis le temps que je voulais voir cette "légende", c'est une bonne chose de faite. La Fureur de Vivre est un film plus complexe qu'il n'y parait, notamment sur le personnage de Sal Mineo, surnommé "Platon". Mine de rien, Nicholas Ray touche à un certain nombre de bons thèmes de façon assez fine, et le scénario est assez bien foutu. Il est clair que James Dean fait pratiquement tout le film et je ne m'attendais pas à voir un si bon acteur. Il est d'ailleurs presque le seul avec Sal Mineo et Jim Backus à tenir la route. Pour le reste, le surjeu est assez dérangeant je trouve, malgré que ça soit le style des années 50, ça continue à me gêner, d'autant plus que la plupart des dialogues sont d'une platitude sans nom. Néanmoins, j'ai suivi le film d'un bout à l'autre avec grand intérêt et sans jamais décrocher, voulant savoir où cette histoire allait mener. J'ai beaucoup aimé la relation père/fils dans la famille Stark, le père étant vu comme une mauviette incapable de se tenir droit. Le fils est un adolescent qui se recherche lui-même et ne parvient pas à trouver la bonne attitude à avoir, résistant à se laisser guider par la violence et la bêtise mais refusant catégoriquement de devenir "mou" comme son père. Et pourtant, j'ai adoré le personnage du père qui est pour moi le plus attachant du film. Bref, le thème de la recherche d'identité chez les ados est plutôt bien traité et de façon assez originale, sans clichés. Un bon film à voir, donc.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    81 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 avril 2012
    Dans ce film, Nicholas Ray met en scène une troupe de jeunes américains désœuvrés cherchant désespérément à se démarquer de leurs parents qui ne prennent plus la peine de les comprendre en s’adonnant à des activités répréhensibles et qui peuvent avoir des conséquences désastreuses. Le sujet est intelligemment traité mais surtout furieusement universel, ce qui se confirme car "La Fureur de Vivre" fait partie des plus grands classiques du 7ème art. Véritable étoile montante d’Hollywood à cette époque, la jeune actrice Nathalie Wood se voit offrir le rôle de la fille autour de qui tout gravite et elle est impeccable, tout comme Sal Mineo très touchant dans le rôle d’un garçon à la recherche de repères et d’’un model. Mais c’est bel et bien l’interprétation impressionnante d’un James Dean à la présence magnétique qui illumine cette œuvre, une véritable consécration pour l’acteur. Egalement à applaudir, une mise en scène éclairée de la part Nicholas Ray qui a su mettre en valeur le jeu de haute tenue de ses acteurs. Vous l’aurez compris, ce classique est avant tout à savourer pour l’immense performance de James Dean mais aussi pour son sujet qui se répercute de plus en plus de nos jours.
    kibruk
    kibruk

    110 abonnés 2 397 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2011
    Un grand classique que je n'avais jamais vu. Force est de constater qu'étant donnée la position quasi mythique occupée par ce film, j'ai été déçu. Le constat est que "La fureur de vivre" a terriblement vieilli, que sa réalisation hyper classique et prude provoque même quelques sourires et que le film est entièrement soutenu par de bons acteurs.
    Nelly M.
    Nelly M.

    81 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2008
    Il est impératif de se remettre dans les Fifties, l'après-guerre (une vraie guerre où on se foutait sur la g...), que je n'ai pas connue moi-même mais que je peux imaginer grâce aux images d'archives, aux fictions et aux témoignages parentaux. La Fureur de Vivre, c'était donc en plein baby-boom. Bref, loin de la dureté des temps de mondialisation 2008 : on émergeait du pire, on sortait de LA grande calamité, il fallait reconstruire d'urgence un monde axé sur le matérialisme, le milieu décrit est plutôt aisé (la grande trouille de cette époque restait, aux USA, le communisme) : période d'ennui assuré pour les ados avides d'authenticité morale par nécessité de se construire. Désir du jeune homme de se colleter à Papa, qui ne sait plus quelle idée avoir au juste, avec Maman qui le contredit puis se contredit ! Voilà qui donne un révolté admirablement incarné par James Dean, il est tout simplement ulcéré par la surprotection de sa molle famille. Du côté de la jeune fille (Natalie Wood, très glamour), relation trouble avec Papa, assez bel homme, le film laisse entendre que le petit dernier l'a supplantée, mais on n'en sait pas davantage, elle aime qu'on se mette en danger pour elle, la mère semble équilibrée mais la brave bonne femme passive. Bref, une bande se forme, qui joue à se pousser dans ses limites. A bien y regarder, est-on si éloigné de ce genre de délire si on pense par exemple au jeu du foulard des écoliers actuel ?... La civilisation a engendré la crise adolescente dans les pays industrialisés occidentaux, et chaque époque propose son illustration du phénomène. L'avantage ici est l'accent mis sur l'autorité ET l'éducation. On parlemente, les insultes faciles sont absentes... A cent lieues du bras de fer actuel entre jeunes et policiers, moi ça m'a fait plaisir.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    52 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2012
    La tension est palpable tout au long de ce film légendaire. Les émotions sont à fleur de peau dés le début et seront ensuite très bien distillées pour finir en apothéose. Nicholas Ray filme tout ça avec beaucoup de talent et nous donne un tas de champs - contre champs très intéressants et bourrés de messages qui aident le film a revêtir sa dimension. Les personnages restent cependant un peu caricaturaux et Platon, joué par Sal Minéo reste le plus intéressant et selon moi, le plus juste.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 juillet 2012
    "La Fureur de vivre" serait-il toujours un film culte sans la présence de James Dean ? Rien n'est moins sûr tant le film enchaîne les clichés les uns après les autres. Car le point de vue Nicholas Ray, c'est le point de vue des personnages des parents : il ne comprend pas la jeunesse et l'admet, mais finit par prôner un retour aux valeurs familiales (le père doit être un homme, un vrai) franchement réactionnaires. Le film est intéressant jusqu'à la scène centrale de la falaise, les trois personnages principaux apparaissant jusque là comme plutôt juste, notamment lors de la séquence au commissariat au début. Par la suite, "La Fureur de vivre" prend des allures de thriller très classique, pas extrêmement captivant, où James Dean fait par ailleurs pâle figure par rapport au jeune Sal Mineo. Un film beaucoup moins marquant que la légende le laisse à penser.
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