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    End of Watch
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    toxicbo!
    toxicbo!

    15 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2012
    David Ayer, scénariste de talent et réalisateur de "Training day" nous offre un nouveau grand polar, où les scènes d'actions sont aussi efficaces que spontanées, usant d'un filmage caméra à la main judicieux. Cette caméra à la main c'est aussi celle de ces deux policiers, amis et partenaires au boulot comme dans la vie, qui filment leur moindre déplacement professionnel, à l'aide d'une micro-caméra. Un bon moyen pour le spectateur de s'identifier facilement à ces flics téméraires mais non ripoux, pour une fois; ce qui n'est pas pour déplaire, lassé de ces histoires de caïds de la justice à répétition. Le but au final ici est de montrer la face caché du flic: la crainte du risque le tiraillant en son fort intérieur et sa recherche de bonheur personnel, pour pallier à l'enfer journalier qu'il subit. Et là encore une fois, Ayer qui n'a pas filmé depuis 2005 démontre une maîtrise du genre, tout en alliant à l'action, un superbe et riche portrait psychologique d'une équipe de flics, dont les dialogues plein d'humour font mouches. Seul regret; l'exploitation furtive des seconds rôles: l'attachante Anna Kendrick, en tête ...
    blacktide
    blacktide

    39 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2013
    "Je suis de la police, et je suis ici pour vous arrêter. Vous avez enfreint la loi. Je n'ai pas écrit la loi. Je suis peux être en désaccord avec la loi, mais je vais l'appliquer. Peu importe comment vous plaidez, mendier ou essayez de remuer ma sympathie. Rien de ce que vous faites ne m'empêchera de vous placer dans une cage en acier avec des barres grises. Si vous fuyez, je vais vous pourchasser. Si vous me tirer dessus, je vais riposter. [...]Je suis la facture impayée. J'ai un badge et une arme à feu. Derrière mon badge il y a un cœur comme le vôtre. Je saigne, j'aime, et oui, je peux être tué. Et bien que je ne sois qu'un homme, j'ai des milliers de frères et sœurs qui font la même chose que moi. Ils vont donner leur vie pour moi et je les ai. La mince ligne bleue, la protection de la proie des prédateurs, le bon du mauvais. Nous sommes de la police." Voici une partie de la réplique que dit Brian Taylor alias Jake Gyllenhaal dans ce polar de David Ayer. End of Watch est un excellent film filmé majoritairement en caméra embarquée ce qui donne un petit plus au film. Le duo d'acteur est vraiment très bon et l'histoire du film plutôt intéressante. Ici Jake Gyllenhaal a la boule à zéro comme dans Jared la fin de l'innocence. Quand on croit que le film va enfin être spectaculaire et bah une scène un peu chiante vient plomber le bon moment et en plus quelques unes de ces scènes ont des propos plutôt dégoûtant, c'est sans doute le seul point faible du film mais à part ça le film est génial en particulier la fin qui est assez triste. Pour moi c'est un très bon film qu'il faut avoir vu!!!!!!!!!!!!!!!!! Un film qui parvient à nous étonner!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 février 2015
    Je me rend tout juste compte que David Ayer, le réalisateur de ce "End of Watch", était déjà le scénariste de "Training Day" d'Antoine Fuqua. Voilà qui explique pourquoi je les trouve si similaires -en ayant tout de même une petite préférence pour le film de Fuqua. Déjà dans leur représentation de la jungle urbaine qu'il faut quand même avoir des nerfs d'acier -et un léger pet au casque- pour traverser jour après jour. C'est sûrement beaucoup plus supportable quand on est deux à trimer. L'une des grandes forces de ce film est son tandem de personnages et de comédiens dont la relation porte toute l'intrigue, sans vrai fil conducteur pour faire sans. On est souvent proche du buddy movie tant le degré de testostérone à l'intérieur de la voiture frise le rouge, mais c'est au moins ce qu'il faut pour supporter un tel environnement et on en vient à s'attacher très fortement à ces deux amis, spoiler: voire bouleversé pour le survivant à la toute fin du film, même si la suspension de crédulité est quand même un peu ébranlée.
    . Le jeu d'acteur joue beaucoup dans l'appréciation des personnages, entre un Jake Gyllenhaal qui n'en finit pas de briller et un Michael Pena qu'on aimerait voir plus souvent sur le devant de la scène, un visionnage en VO s'avère impératif. Le périple des deux larrons a presque des airs de documentaire surtout si l'on prend en compte le côté found-footage du film (qui n'ajoute rien de transcendant, mais qui en même temps s'oublie très vite. Faut dire que le film lui-même ne respecte pas toujours très bien cette règle), je dis bien "presque" parce qu'aussi sauvage la banlieue Américaine soit-elle, ce qui arrive à Taylor et Zavala en l'espace de quelques semaines est quand même loin du métro-boulot-dodo. Entre sauvetage de bébés d'un incendie et démantèlement d'un colossal trafic humain, les péripéties sont quand mêmes très "bigger than life". Mais l'impact émotionnel n'en est pas diminué, c'est même plutôt l'inverse. et c'est tout ce qui compte finalement, même si l'intrigue en elle-même avance à dos de chameau et ne passionne pas outre mesure, moi du moment qu'on me sert des personnages attachants, je suis client.
    Nico591
    Nico591

    39 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 août 2014
    Film choc !!! Je l'attendais avec impatience et je n'ai pas été déçu. Après avoir écrit "Training Day" et réalisé "Au Bout de la Nuit" David Ayer prouve encore une fois sa maitrise total du polar californien.
    Ici on suit le quotidien de deux policiers en uniforme avec un réalisme qui fait froid dans le dos, surtout vis a vis des cartels qui ne reculent devant rien pour protéger leur business, ces flics risquent vraiment leur vie au quotidien. Les patrouilles de ces deux flics dans les rues du sud de Los Angeles fait beaucoup penser à la série culte "The Shield".
    La mise en scène aussi est originale, parfois filmé en vue subjective comme dans un jeu vidéo, parfois façon documentaire elle nous immerge vraiment avec les héros surtout dans le dernier quart d'heure qui atteint une tension extrême.
    Avec ce polar supplémentaire à son actif, David Ayer confirme qu'il est le maitre du film policier américain, et est pour moi un réalisateur essentiel et à suivre.
    Premier gros coup de cœur de 2013.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    667 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2014
    "End of Watch" n’est certes pas un film parfait, la faute surtout à un scénario qui manque d’envergure, mais la mise en scène ultra réaliste – et très found footage - que l’on doit à David Ayer (scénariste de Training Day) nous fait passer un moment de cinéma assez aguichant. Jake Gyllenhaal et Michael Pena incarne en plus et avec conviction ces deux agents de police de Los Angeles qui ont fort à faire avec un cartel de la drogue bien redoutable. Un film policier donc bien intéressant et qui mérite le détour.
    AMCHI
    AMCHI

    5 051 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2015
    On retrouve toute l'efficacité et la nervosité de David Ayer dans ce polar entraînant ; d'habitude le style documentaire n'est pas forcément ce que j'affectionne le plus mais ici cela convient parfaitement à End of Watch (bien qu'à cause de cette réalisation certaines scènes sont peu lisibles comme la bagarre entre le flic et le noir) on suit à la trace 2 policiers bien joués dans les quartiers chauds de L.A., l'histoire en soi est assez basique mais End of Watch est vraiment prenant et en moins 2 heures David Ayer parvient à nous montrer le dur métier de flics et un quotidien sans but de ses quartiers en pleine perdition. Carré, tendu et efficace réaliste et sans angélisme End of Watch sans être d'une folle originalité vaut le coup d’œil.
    caro18
    caro18

    137 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 avril 2016
    Le début est catastrophique : c'est mal filmé façon documentaire, ça bouge trop. Après c'est mieux mais ça manque d'interêt global.
    DarkgothBTZ
    DarkgothBTZ

    48 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2013
    Pas mal mais ça mets beaucoup de temps à démarrer, bonne fin et les scènes d'actions sont très réalistes.
    Samojaznam
    Samojaznam

    22 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2014
    Film magnifique, émouvant et bien ficelé. Un film qui montre une facette réelle du métier de policier sans cliché ou idées reçu. Bravo
    lilybelle91
    lilybelle91

    44 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2014
    Une variation du film de flic sous la forme du "found footage", rythmé et parfaitement bien interprété, une série B honnête !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 novembre 2012
    L'acteur film pendent tout le film sa bouge beaucoup, l'histoire est simple. 2 flics qui ce promène ....
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 janvier 2013
    Immersion dans une patrouille filmée à la mode"live"... On s'y croirait. Sans doute proche de la réalité. Chicanos blacks ... Cops. Rien ne manque à ce cocktail hyper réaliste. Dommage que la fin soit aussi triste. À voir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 avril 2013
    Un the shield filmé en cam embarqué, acteurs simples bien dans leurs rôles, et vision réaliste du taff de flic dans certains quartiers de l.a.

    Un bon moment de passé en résumé.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 034 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2019
    Le cinéma de David Ayer m'a à une époque convaincu; il fallait donc que je vois End of Watch depuis un petit bout de temps, la présence de Jake Gyllenhaal dans le rôle principal aidant bien à la détermination de trouver le bon moment. Et s'il est venu, surement que je lui ai accordé du temps trop tard pour l'aimer : désormais au courant des excès visuels du réalisateur et de son manque d'esthétisme flagrant, la pilule ne pouvait que très mal passer.

    Ayer, comme à son habitude friand de vulgarité et d'excès en tous genres, réserve pour son film ses pires effets bling-bling pour représenter une culture de la rue qu'il caricature constamment, en montrant notamment la bande de petits voyous parler comme des charretiers sans un pet d'intelligence à revendre; ses antagonistes, s'ils sont très eu développés, sont rendus désagréables par la stupidité des dialogues qui leur sont assenés, ces derniers renvoyant à ce qu'on trouve de pire dans les clichés des polars à tendance expéditive.

    C'est cliché, constamment attendu et d'une laideur visuelle qui détruit tout le sens de la démarche : le projet étant à la base de nous présenter une sorte de faux documentaire sur le quotidien des policiers dans les quartiers chauds de Los Angeles, David Ayer, surement trop peu inventif pour une telle démarche, aura décidé de céder à la facilité en mêlant son found-footage like à une caméra à l'épaule ramenant le cinéaste dans l'intrigue et faisant comprendre, dès l'introduction et ses multiples plans non filmés par Gyllenhaal, que l'on se trouve devant une oeuvre qui n'aura pas eu l'imagination nécessaire pour ses ambitions poussées.

    En ressort un drôle de résultat des plus laids, qui ne trouve bien sûr aucune crédibilité artistique : détruire totalement un procédé artistique jeune en l'imitant au travers d'une mise en scène qui manque elle-même de travail traduit au final l'incapacité d'Ayer à tenir une caméra de façon convenable. Imiter le style found-footage n'est pas inexorablement synonyme de réalisation parkinsonienne et d'absence de direction artistique : c'est présent dans la majorité des mauvaises productions du genre, celles qui ne feront pas date, mais ne peut-être employé pour un film qui se veut de base en dehors des clous du cinéma, plus proche du réel et de ses horreurs.

    Que l'on prenne Taxi Driver ou le récent Les Misérables, montrer le quotidien d'une ville en proie au crime et à la malhonnêteté n'est pas obligé de passer par des insultes ou cette caméra à l'épaule constamment tremblotante, aux petits mouvements et cutée trop rapidement pour qu'une seule scène ne prenne de l'ampleur; il arrive, à quelques rares exceptions (quand Peña maîtrise sous le regard amusé de son acolyte un voyou de bas étage, le tout par un plan fixe qui dure suffisamment longtemps), que certaines nous reviennent en tête pour autre chose qu'un souvenir de bouillie numérique infâme : ces séquences là permettent de sortir la tête de l'eau, de respirer un peu en se rappelant qu'on est en train de regarder un film avec un véritable message, pas seulement une oeuvre clipesque et vulgaire à la laideur affirmée.

    L'on aura beau tenter de trouver des explications au mélange entre caméra de flics, de gangsters (caméra rajoutée n'importe comment) et de l'équipe de technique de l'oeuvre, il n'en viendra aucune autre que celle déjà citée plus haut, le manque d'investissement et d'invention technique de son réalisateur médiocre, preuve avec End of Watch qu'il n'a finalement pour seul talent que de broder des histoires convenables (bien que jamais bien marquantes) sur un milieu particulier et finalement peu expérimenté dans le cinéma international, le crime bling-bling de l'Amérique des banlieues.

    On retrouve, bien sûr, cette photographie chaude et sableuse qu'il affectionne tant lorsqu'il s'agit de mettre en scène ses conflits favoris, flics contre voyous, sans pour autant que le montage pressé ou sa mise en scène hasardeuse ne lui rende jamais justice, et l'on en vient à se dire, au bout d'un moment, que cette histoire n'a plus de sens que pour suivre l'avancée des deux personnages principaux, bien campés par leurs acteurs respectifs sans moments de gloire dont on se souviendra, et non plus pour chercher un message, une réflexion portant sur le travail de ces forces de l'ordre placées devant un mur infranchissable, une organisation criminelle ultraviolente qui aurait pu, si le film avait été plus ambitieux, questionner à la façon d'un Troupe d'Elite le bienfondé d'employer certaines méthodes expéditives (très rares ici) pour contenir un mal auquel on pourrait, d'une certaine manière, finir par ressembler.

    En ressort l'impression de voir du remplissage amené par l'emploi de la caméra des gangsters, qui n'a d'utilité véritable que celle d'amener des personnages caricaturaux qu'on pourra un peu plus identifier au moment du règlement de compte final, certes intense mais convenu et plombé par des incohérences facilement évitables (à part en ayant de graves problèmes de vue, autant de fusils mitrailleurs canardant en même temps ne peuvent pas rater deux cibles à une distance aussi rapprochée, même tenus par des incapables).

    Partie de l'intrigue qui va pointer un autre défaut de l'oeuvre inhérent au genre auquel elle se rattache, la fameuse manie de ceux qui filment à des moments improbables, voir dangereux. S'il tente de l'expliquer en positionnant des caméras sur le pare-brise des voitures, ou même en filmant par le prisme du réalisateur certaines séquences d'action, il n'empêche qu'End of Watch se prend de multiples fois les pieds dans le tapis en reproduisant le schéma d'un genre cinématographique n'ayant pas duré pour une bonne raison : jusqu'à preuve du contraire, le found-footage, et tous ses dérivés, apportent plus au spectateur de paresse visuelle sur fond de scénario sympathique qu'une expérience véritablement éprouvante et artistiquement réussie, cachant, très souvent, le manque de talent flagrant des équipes qui mettent en oeuvre des long-métrages voués à n'exister que quelques mois, avant de retomber dans l'oubli des pages défilantes du streaming.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2024
    Un polar brutal et nerveux (malgré un scénar léger) qui nous plonge dans le quotidien de deux flics dans les quartiers chauds de LA, interprétés par le solide duo Gyllenhaal/Peña. 3,25
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