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    End of Watch
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    446 critiques spectateurs

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    Tendax_montpel
    Tendax_montpel

    24 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Fascinante plongée dans le quotidien de deux flics de Los Angeles. On ne peut qu'être saisi par cette histoire d'amitié et d'honneur, sublimée par une réalisation haletante. David Ayer livre une mise en scène intelligente, qui nous montre autant les actes courageux de deux policiers que les émotions de deux hommes.
    darknat
    darknat

    21 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2012
    Sous ses faux airs de la série COPS, End of watch nous plonge dans le monde des gangs de Los Angeles. A la fois étonnant et percutant, nous parcourons la banlieue chaude de la cité des anges au côté de ce duo de flic qui en fait juste ce qu'il faut. Forcément réaliste, par le choix du réalisateur de filmer caméra à l'épaule, nous suivons les interventions successives avec une certaine tension sentant que quelque chose peut arriver à tout moment et que nos héros malgré eux d'un quotidien qui peut surprendre jouent leur vie à chaque intervention. Une bonne prise de conscience et du beau boulot.
    David M
    David M

    23 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2013
    Je ne regarde pratiquement jamais les films policiers. Les films en mode caméra embarqué c'est pas mon truc. Toutefois, j'ai quand même bien aimé!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    David Ayer filme ce qu’il connait le mieux : les rues de Los Angeles. Il compose ici un duo de policiers très complices qui sont confrontés au pire dans le cadre de leur travail de patrouille quotidienne. Ayer prend un étrange parti pris en matière de mise en scène en commençant par en faire une sorte de faux documentaire en caméra portée, puis s’en écarte un moment avant de le réutiliser dans certaines scènes pour renforcer son approche réaliste avec le point de vue de ses protagonistes. Un choix qui parait un peu bling-bling sans forcément appuyer son souhait d’être au plus près de l’action. Malgré l’utilisation de quelques grosses ficelles et des seconds rôles de méchants qui surjouent , le film est assez prenant grâce à son duo d’acteur : Jack Gyllenhaal – Michael Pena, très bons tous les deux.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    28 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2019
    Pour etre tout à fait honnête quand j'ai vu qu'on partait pour un found footage je me suis dit "ho noooooon pas encore !!!!".et puis je me suis laissé embarquer. D'abord parce que le duo Jake Gyllenhaal / Michael Pena fonctionne extrêmement bien et c'est tant mieux car c'est sur eux que tout repose. "End of watch" nous fait suivre une patrouille de flics confrontée à son quotidien, ce qui veut dire que si les séquences sont variées (et souvent violentes) il n'y a pas de réel fil rouge mis à part une sale histoire avec un cartel mexicain mais qui n'est pas vraiment la trame principale. Et pourtant ca marche (en tous cas sur moi). J'ai beaucoup aime le fim et ses 2 héros.... 4 / 5
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2020
    Immergé dans le quotidien de la police, avec un parti pris réaliste trop timide et trop irrégulier pour nous accrocher réellement.
    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2014
    Un très bon film policier qui nous plonge dans le quotidien de 2 policiers patrouillant dans un quartier dangereux de Los Angeles. Filmé caméra à l'épaule, le film nous entraine au cœur de l'action et donne un aspect presque documentaire. Gyllenhall et Pena sont formidables dans leur role. A conseiller.
    gbagrami
    gbagrami

    19 abonnés 640 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2013
    Au départ, j'ai été un peu dérouté par la caméra et le manque apparent de scénario, puis, vers le milieu du film, je me suis lentement laissé entraîner dans le quotidien de ces deux flics patrouillant les quartiers les plus durs et dangereux de Los Angeles. A partir de là, je l'ai (très) trouvé intéressant. La fin est un peu ratée à mon avis...
    Jadeliro
    Jadeliro

    20 abonnés 750 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2015
    Le premier film réalisé par David Ayer avait permis à Christian Bale de livrer une performance mémorable dans le rôle d'un loser au caractère réellement colérique. Avec End of watch, on retrouve la tension et la description brute d'une violence très peu stylisée, ce qui donne une certaine force au propos. Ce film est clairement un hommage à la LAPD et à ses policiers les plus exposés, ceux qui se coltinent les quartiers les plus chauds de LA, là où la guerre des gangs est une occupation quotidienne, sans chauvinisme outrancier, mais avec une vraie ferveur. La réalisation en vue subjective, pure artifice, n'ajoute rien au final et est au contraire irritante. Côté comédiens, Gyllenhaal et Pena font la paire, leur numéro d'amitié ultra virile sonne assez juste. Ce film efficace arrive à captiver jusqu'à la fin, mais il convient de noter que l'absence de scénario et de véritable enjeu fait que l'on reste sur sa faim.
    Julien D
    Julien D

    1 106 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    L’usage de la caméra embarquée, une méthode trop souvent restreinte aux found-footage horrifiques, ainsi que la multiplication de dialogues pleins de légèreté, un style d’écriture typiquement tarantinesque, donnent à ce polar un ton cru et extrêmement réaliste. Le nombre de caméras n’empêchant nullement aux scènes d’action d’être parfaitement lisibles, les affrontements sont des petites perles de dynamisme cinématographiques dont l’intensité monte crescendo au fur et à mesure des descentes de police. Le jeu des deux excellents acteurs et l’humour des répliques nous font oublier l’aspect outrancier de l’image donnée de la violence exercée par les cartels mexicains à Los Angeles. Ce bel hommage rendu aux forces de l’ordre californiennes dispose donc d’une mise en scène qui devrait servir d’exemple pour tout réalisateur de film de genre percutant.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    251 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2012
    Un jour peut-être, le monde du cinéma s’apercevra que le meilleur réalisateur-scénariste de films policiers américains, c’est David Ayer. Filmant South Central comme personne aujourd’hui, son dernier opus est End of Watch.

    Tour à tour film policier, thriller, drame, comédie romantique, End of Watch ne perd jamais de vue la seule chose qui intéresse vraiment David Ayer : l’amitié entre Brian Taylor et Mike Zavala. Son écriture, comme d’habitude parfaite, fait transparaître une amitié d’un réalisme effarant et donc d’une beauté insoupçonnée. Quand on les fait interpréter par les excellents Jake Gyllenhaal et Michael Peña (croisons les doigts pour une récompense), c’est plus facile. Le casting, d’ailleurs, est absolument parfait, avec la parfaite Anna Kendrick (comme toujours), le nouveau second rôle à la mode David Harbour et les autres policières, America Ferrera et Cody Horn, à contre-emploi et l’incontournable capitaine, Frank Grillo.

    Heureusement, derrière un scénario sans failles, qui va même jusqu’à insérer des perles de froideur glaçante (la réplique de Cody Horn après le presque lynchage d’une collègue) et un casting détonnant, David Ayer a aussi un sacré talent de mise en scène et des excellentes idées. L’utilisation du found footage, comme toujours amenée de manière un peu poussive, se révèle être une idée remarquable, car très travaillée, avec un montage très rapide et efficace, provoquant quelques scènes fabuleuses, comme le mariage de Jake Gyllenhaal & Anna Kendrick ou la découverte de David Harbour un peu secoué par une patrouille désastreuse. On y retrouve aussi des scènes tournées de manière classique, qui offrent un véritable contraste réussi, comme la grosse scène de fusillade entre les Vatos et nos deux héros. Le dernier acte est un chef d’œuvre à lui tout seule, d’un tragique aussi inévitable que déchirant.

    End of Watch est le meilleur film de David Ayer depuis ses débuts artistiques de par sa complexité scénaristique maîtrisée et par sa mise en scène impeccable. N’ayant cessé de progresser, impossible de ne pas attendre son prochain opus, Ten, avec Arnold Schwarzenegger.
    Hastur64
    Hastur64

    191 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 avril 2013
    Sans le savoir je connaissais le cinéma de David Ayer puisque j’avais vu ces deux premières réalisations : « Bad times » et « Au bout de la nuit » que j’avais vraiment appréciées. Avec « End of watch » le réalisateur reprend deux des thèmes présents dans ces deux réalisations : le duo de frères d’armes et l’univers policier. Il suit ici deux flics patrouillant dans les quartiers les plus dangereux de Los Angeles. Dans cette intrigue pas de fils conducteur autre que l’amitié forgée dans l’adversité par ces deux policiers, à travers leurs yeux et les caméras qu’ils transportent sur eux on suit au plus près le travail ces officiers dans un univers où la criminalité le dispute à la misère sociale. L’image est parfois un peu brouillonne et certains la qualifieront d’épileptique ce qui pourrait rebuter d’aucun, mais si l’on dépasse cet a priori, on ne peut que féliciter le réalisateur pour ce parti pris qui rend l’action plus proche de ces deux hommes et qui nous permet une immersion totale dans leur quotidien. Le duo Jake Gyllenhaal, Michael Peña fonctionne vraiment bien et l’on croit totalement à leur amitié qui pour utiliser un terme un peu barbare confine à la bromance. Un film brut de décoffrage sur bien des points , notamment sur une vision naturaliste de la violence, mais qui contrebalance cette sauvagerie par des relations humaines très touchantes et un humour très présent. Un buddy movie version 2000 qui renouvelle assez profondément le film de flics loin des stéréotypes soit héroïque soit ripoux cynique qui peuple l’imaginaire des films sur cette profession. Un film vraiment enthousiasmant porté par deux excellents acteurs, à voir absolument.
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2012
    Film qui monte petit a petit en intensité , bravo beau film tres bien intepreter.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    107 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 novembre 2012
    End of Watch est thriller sur 2 flics en patrouille ... je suis parti avant la fin !
    Kloden
    Kloden

    114 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2015
    C'était pour suivre d'un peu plus près l'ascension de Jake Gyllenhaal que j'ai découvert ce End of Watch, et surtout pas pour son réalisateur David Ayer, que je connaissais d'après le divertissant mais tapageur Bad Times et l'incroyablement sur-côté Fury. Le récent film de guerre qui voyait Ayer tenter d'immerger le spectateur au plus près (physiquement et psychologiquement) des membres d'une équipe de tank durant la seconde guerre mondiale me donnait l'impression d'avoir déjà cerné le bonhomme ; un réalisateur qui prône le réalisme comme le seul vecteur valable de la force d'un récit et des sentiments de ses protagonistes. End of Watch ressemble encore davantage à cette description, mais contrairement à Fury, il demeure assez vivant pour éviter de se figer dans la pose calculée et vaine que j'imaginais. Pourtant, ses choix visuels avaient tout pour conduire à un tel scénario. Prétextant toujours sa quête de réalisme, Ayer prenait en effet le parti d'une caméra subjective qu'il intronisait d'entrée comme intra diégétique en prétextant un peu facilement l'utilisation de petites caméras par ses deux personnages principaux pour un "projet cinématographique". Parti pris voulu comme l'abolition pure des limites avec le cœur de l'intrigue, cette caméra censément maniée par les flics eux-mêmes est pourtant aussitôt reniée par le metteur en scène qui ne s'embarrasse d'aucun raccord pour masquer des mouvements impossibles qui trahissent la présence d'autres caméras. La fausseté criante du procédé, au contraire de son intention, a vraiment de quoi briser l'immersion. Fausseté renforcée par une intrigue outrancière qui voit nos deux flics confrontés sans arrêt à des situations improbables. Je préfère de plus ne pas trop m'étendre sur certaines facilités (l'image caricaturale des gangs mexicains de L.A.) qui prouvent une nouvelle fois qu'Ayer préfère comme toujours l'image fantasmée qu'il se fait de ses personnages à une vraie recherche réaliste, recherche qu'il met pourtant en avant comme son ambition première. Mais au cinéma, l'image n'est pas tout, et une caméra subjective ne suffit pas. Au moins celle-ci est elle propre, et permet-elle de profiter de l'action de façon lisible et percutante. Une relative maîtrise technique qui aurait pu sembler bien peu au regard des défauts que j'ai énoncés. Et pourtant, j'ai pris plaisir à me laisser consciemment berner par End of Watch, à faire abstraction de ses défauts et oublier son absence d'orientation artistique réelle. La faute (ou grâce) à un casting de qualité et à des personnages plutôt fascinants dans leurs contradictions et leurs recoupements avec le monde qui les entoure. Vulgaires et exemplaires, irresponsables et héroïques, ils sont en fait assez proches de l'image que je me fais de David Ayer, celle d'un réalisateur dont la vision pour les scénarios noirs qu'il signe oscille entre le dégoût et une forte part de fascination, part qui finit par déborder du cadre. Au moins, c'est la preuve d'une certaine sincérité. Dommage que celle-ci ne soit pas accompagnée par une maîtrise et une tenue formelle qui dépasse l'échelle du plan pour venir imposer une vraie cohérence d'ensemble, une direction artistique. En l'état, j'ai quand même plutôt très bien suivi End of Watch, même s'il ne change pas mon opinion sur un réalisateur qui oscille entre l'imposture et une communicabilité maladroite mais réelle. Bourré de défauts, mais prenant.
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