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    Babycall
    Note moyenne
    2,6
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    166 critiques spectateurs

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    9 critiques
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    14 critiques
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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 septembre 2014
    Pas suffisamment rythmé à mon goût et victime d'incohérences dans le scénario (ou d'incompréhension de ma part), ce film n'est pas pour autant dénué d'intérêt. L'idée originelle du scénario était très bonne. Mais je pense qu'elle aurait pu être mieux exploitée. Le jeu de Noomi Rapace est remarquable.
    Léa H.
    Léa H.

    30 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2014
    La grosse première partie du film est glaçante, avec son univers de déshérence sociale anxiogène, ses enjeux éprouvants (la maltraitance enfantine), son héroïne tendue à l’extrême (impressionnante Noomi Rapace) et son angoisse sourde. Réfugiée dans un HLM qui a tout d’une prison, coupée du monde et empêchée dans son rapport aux autres, l’héroïne est une figure troublante de l’exclusion sociale. Quant à son rapport à la maternité anthropophage et angoissé, il est saisissant de justesse névrotique. Et lorsque la réalité commence à se déliter (l’apparition étrange et très flippante d’un enfant mutique, les cris dans la babyphone, la disparition d’un étang…), questionnant la santé mentale de son héroïne, le film devient réellement angoissant. Plonger le fantastique dans le bain d’une réalité sociale et psychologique, voilà ce que réussit brillamment le film, à l’instar d’un « Morse » ou d’un « Dark Water ». Malheureusement, le film bascule, dans son dernier tiers, dans une série de rebondissements aussi improbables que fumeux. La belle rigueur narrative se perd alors dans une indigeste bouillie narrative et fait basculer l’ensemble dans l’artifice. Dommage car « Babycall » avait jusqu’ici réussit à saisir avec brio effroi social et désarroi intime.
    Zoumir
    Zoumir

    61 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 avril 2014
    Noomi Rapace campe ici une mère de famille célibataire visiblement marquée par son ex-mari. Lorsqu'elle emménage dans son nouvel appartement avec son fils, c'est une personne fragile et paniquée. Mais comme l'atmosphère inquiétante le laisse rapidement deviner, les apparences sont trompeuses. L'idée de départ n'est malheureusement pas très originale et ne laisse aucuns doutes sur la tentative du réalisateur de nous surprendre. C'est d'ailleurs le problème majeur du film, on s'attend à ce type de fin. Heureusement, cette simplicité scénaristique est rattrapée par une mise en scène glacée et intrigante appuyée par la prestation de Noomi Rapace qui porte le film sur ses épaules. Au final, le dénouement ne nous surprend pas et on est un peu déçu de l'ensemble malgré quelques très bonnes idées.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 avril 2014
    Un film étrange du cinéma Norvégien. Très déroutant avec une atmosphère très prenante, on passe progressivement de la souffrance de la folie pour glisser vers la mort à la fin du film.
    Le souci vient du scénario qui nous emmêle allègrement, on finit par se perdre dans tous ces méandres, dans toutes ces interrogations. Même en restant attentif à la moindre situation, difficile de ne pas se perdre. Peut-être faut-il le revoir une seconde fois ?
    Le film est porté par Noomi Rapace, super talent qui nous fait une performance exceptionnelle.
    Hastur64
    Hastur64

    190 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2014
    Je suis sorti dubitatif du visionnage de ce thriller norvégien qui ne réussit pas à conclure une histoire par ailleurs fort intrigante. Il navigue de façon plutôt maligne entre le thriller psychologique et le thriller fantastique, prenant plaisir à égarer un spectateur qui ne sait plus ce qui est réel et ce qui relève de l’imaginaire ou de l’apparition. L’histoire très sombre parait au début très claire, une mère, avec l’aide des services sociaux, tente de refaire sa vie loin d’un mari très violent ; rapidement on commence à s’interroger sur la santé mentale de cette dernière, tout en se rendant compte que quelque chose la menace. Si l’intrigue nous tient en haleine malgré un tempo très lent, le film échoue à nous fournir une conclusion satisfaisante et quand le générique de fin apparaît on sent une certaine contrariété devant ce dénouement aussi nébuleux que l’ensemble de l’histoire. Noomi Rapace fournit une interprétation très convaincante de mère fragile et terrorisé par le monde qui l’entoure au point d’avoir une attitude surprotectrice envers son enfant. Un film à l’histoire intrigante, donc, et à l’interprétation solide, mais qui n’arrive pas à fournir une conclusion cohérente. À voir pour ces qualités en s’accommodant vaille que vaille de ces défauts.
    Pascal I
    Pascal I

    665 abonnés 4 048 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2014
    Un bon film avec un petit air de "6ème sens" plutôt judicieux. Le petit plus est le coté déconcertant de l'intrigue qui nous emmêle allègrement et volontairement. Sans en dévoiler l'intrigue, on se fait "piéger" de bout en bout et tout s’emboîte à la perfection. Pour cela, il faut rester attentif à la moindre situation et pour une compréhension total, il faut le revoir.

    A voir ! 3.5/5 !!!
    Flex07
    Flex07

    80 abonnés 1 705 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 novembre 2013
    Je ne pensais pas que Babycall allait se dérouler comme ça, le pitch promet tellement mieux! Gros piège.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 octobre 2013
    Trop de question reste sans réponse a la fin de ce film ... On aurai aimer un dénouement un peu plus cohérent :/
    boscopax
    boscopax

    72 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    Porté complètement par une Rapace impliquée et à fleur de peau, Babycall reste néanmoins inégal. Tentant de nous maintenir à la limite du surnaturel pour finalement nous emmener à la limite de l'esprit, le film traîne parfois en longueurs jusqu'à une scène finale qui sauve le tout et nous prend aux tripes. Rien que pour celle-là, ça vaut le coup de rester jusqu'au bout.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 octobre 2013
    Ce film est très bien, l'intrigue se tisse tout au long de l'histoire, on essaye de deviner ce qui pousse cette femme à être si vigilante, et on ne trouve pas. La fin ne nous confirme rien mais nous laisse bien comprendre les raisons, non ce film est parfait, je ne comprends pas les critiques mauvaises en tout cas
    kesh
    kesh

    2 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2013
    Intrigant durant sa 1ère moitié et véritablement captivant durant la seconde, Babycall est une véritable surprise qui en étonnera plus d'un, en bien comme en mal. Noomi Rapace, toujours excellente, impressionne par une prestation percutante et terriblement juste.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 août 2013
    Je m'attendais à un bon film, le pitch laissait présager un bon thriller fantastique, hors au final on sombre dans les hallucinations du personnage principal autant que dans l'ennui, la fin n'explique rien qu'on ne pouvait découvrir avant l'heure et surtout laisse le spectateur avec le sentiment de s'être fait berner, mais pas dans le bon sens, le scénario étant à la limite de l'absurde.
    Passez votre chemin ou prenez le comme somnifère tant il est lent en prime.
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    29 abonnés 385 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    Ce film m'a laissé avec une sensation très étrange. Parlons du film, qui est très intriguant. Contrairement aux autres (public, spectateurs), le début ne m'a pas vraiment accroché. J'attendais l'événement "Baby Call", et c'est lorsque les bruits de ce Baby Call se sont enclenchés que c'est devenu intéressant. Jusque là, le film aurait pu être très bon, malheureusement on se perd après dans l'intrigue du film. On n'arrive plus à distinguer le vrai du faux, quand on apprend que le personnage que joue No
    omi Rapace à des problèmes d'hallucinations et de mémoire. Du coup, la fin m'a encore plus surpris lorsque j'ai appris que ce fils n'existait pas, et qu'il était mort depuis deux ans. Revenons à Noomi Rapace qui joue ce personnage intriguant avec excellence. C'est dommage qu'elle ai toujours des rôles assez étrange (Millénium, Passion). Pour conclure, ça reste un bon film, qui m'a tenu en haleine malgré les incompréhensions rencontrées le long du film. Le seul point négatif c'est que le dialogue n'est pas assez développé et que l'ambiance reste très froide, mais peut-être que c'est voulu. Bon film
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    160 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 juillet 2013
    Dommage, synopsis accrocheur et sympa pour finalement un thriller psychologique très réchauffé et sans surprises malgré la présence de Noomi Rapace que j'adore. Pas trop de choses à dire si ce n'est de la déception pour amateurs du genre.
    De La Cave Au Grenier
    De La Cave Au Grenier

    24 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 juillet 2013
    Babycall est en fait un film sur fond de drame social et familial teinté de quelques touches de fantastique…mais si peu. Peut-on alors parler d’un film de genre ? Multi-récompensé au festival de Gérardmer 2011 (Grand Prix et Prix de la critique), le jury a sans doute pensé que oui. Le film est entièrement porté par l’interprétation très juste, comme à son habitude, de l’actrice suédoise Noomi Rapace (Millénium, Prometheus). Elle est habitée par son rôle d’Anna, une mère hyperprotectrice en proie à ses peurs, à ses doutes et ses démons.

    Cette femme est en rupture totale avec son environnement et le monde qui l’entoure. Son unique lien avec le réel est son enfant de 8 ans, Anders. Par son intermédiaire, les seules personnes qu’elle côtoie sont les 2 employés des services sociaux et le personnel de l’école primaire où elle accompagne chaque matin son fils.

    Cette état de fait est la conséquence directe de la relation extrêmement conflictuelle qu’elle entretenait avec son mari, le père de son enfant. Suite à un drame où la vie d’Anders était clairement menacée, elle a fui et retrouvé un appartement dont l’adresse n’est connue que d’elle et des services sociaux en attendant une décision de justice qui la mettrait hors de danger. Sa terreur vis-à-vis de son ex-mari la pousse à surprotéger son fils en le faisant notamment dormir avec elle afin de toujours garder un oeil sur lui ou en lui faisant l’école à la maison. Mais cette attitude est susceptible de jouer en sa défaveur. Les services sociaux lui conseille donc de retrouver une relation “normale” avec son fils.

    C’est alors qu’en rentrant chez elle, contrainte et forcée, après avoir déposé Anders à l’école, elle tombe en flânant dans le centre commercial sur un Darty suédois. Elle aperçoit en vitrine le fameux babyphone ou babycall, qui donnera son nom au film, et cela a fait tilt dans son esprit. C’est le tournant du film. L’achat de cet objet anodin du quotidien fera partir le film dans deux directions. L’objet en question est multicanal et à l’instar d’un talkie-walkie il peut capter les sons émis par d’autres appareils dans un certain rayon d’action. C’est ce qui arrivera. Mais ce qui sortira du babyphone est plus que terrifiant pour cette mère instable. Elle perçoit des cris d’enfants implorant pour ne pas être battu par son père. Souhaitant faire cesser ce “brouhaha”, elle retourne illico voir le vendeur avec lequel va alors s’instaurer une relation amicale, puis amoureuse, mais toujours très chaste et platonique. Les bruits ne s’arrêtent pas et elle va alors vouloir mener sa petite enquête, savoir de quoi il retourne et quelle en est l’origine. Plus l’intrigue avance, plus elle va sombrer dans la folie et le désespoir, se rendant bien compte que quelque chose ne tourne pas bien rond chez elle et plus également elle et M. Darty vont se rapprocher. Celui-ci va se révéler être un véritable point d’ancrage dans cet océan de doutes. Anna devient de plus en plus paranoïaque et pour nous spectateurs comme pour elle, il devient très difficile de démêler le vrai du faux. Nous voyons tout à travers les yeux de ce personnage (pas non plus façon Maniac où l’on se retrouve littéralement dans la tête du tueur). C’est d’ailleurs une des forces de ce film.

    Le réalisateur met en parallèle 3 histoires : le drame d’Anna, puis celui auquel elle est en train d’assister via le babyphone et par certaines hallucinations (ou pas) et enfin celui vécu par M. Darty qui aurait vécu dans son passé un drame familial très similaire à celui d’Anna et d’Anders. On reste centré sur Anna et les intrigues parallèles sont abordées superficiellement. Un point noir du film est l’exploitation du babyphone qui est finalement assez anecdotique et très frustrante. Ce qui aurait pu emmener le film vers un véritable film de genre et quelques bonnes scène de terreur nous laisse totalement sur notre faim. L’angoisse n’est ressentie que par Anna, et même si Noomi nous livre là une performance avec une belle palette d’émotions, cela ne traverse pas l’écran pour créer chez nous de l’empathie. La scène finale reste tout de même assez marquante. Une scène qui fait d’ailleurs l’ouverture du film, et où l’on comprend rapidement que toute la suite d’événements qui suivra nous y amènera inexorablement. Ce type d’introduction est assez classique et n’apporte finalement pas grand chose à l’intrigue dans ce cas précis car on peut deviner assez rapidement de quoi il retourne.

    Ce film est doté d’une esthétique très froide et épurée qui nous plonge instantanément dans cette ambiance si particulière et qui donne encore plus de relief aux scènes de folie et d’hallucinations. Le réalisateur nous emmène vers un noeud de l’action plutôt opaque où les moins téméraires des spectateurs auront déjà zappé. Sletaune s’en sortira 10 minutes avant la fin par divers twists et révélations qui donnent du coup une sévère impression de bâclé. Pas de happy end ici, mais une fin réellement dramatique et relativement attendue voire annoncée. Le film manque de rythme et l’on attend pendant toute la durée quelque chose qui donnera un peu de corps à l’ensemble. La performance de Noomi Rapace relève le niveau permet tout de même de regarder ce film qui ne méritait cependant pas tant d’éloges de la part de nos amis de Gérardmer.
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