Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
"La Maison de la radio", passionnant document, confirme une nouvelle fois le grand talent de Nicolas Philibert. [Il] réussit à rendre (...) l'invisible (...) tangible. Dans le suivi d'un Frederick Wiseman, le réalisateur a vraiment réussi son coup.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un régal. (...) Ceci, pour l'impression: fascinant, drôle, insolite, racé, élégant. (...) Ceci pour la sensation: délié, acoustique, aérien, pneumatique, fluide, ondoyant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Film sur un média qui ne s'adresse a priori qu'aux oreilles, "La Maison de la radio" est un grand morceau de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
On est conquis, entraînés dans cette formidable plongée au coeur de ce "lieu-monde" comme l'appelle Philibert. (...) l'homme qui sait donner à voir.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
aVoir-aLire.com
par Jean-Patrick Géraud
Le documentaire a quelque chose d'un ample poème auditif, ambitieux par la variété des registres qu'il explore, rhapsodique dans ses effets de composition et de reprise, vibrant toujours sur le fil invisible de l'écoute.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Cédric Le Penru
Le cinéaste de "Être et avoir" a posé sa caméra six mois durant dans le château fort radeau-France (...) Disons-le sans ambages, le résultat est surprenant, instructif et souvent drolatique ; pas d'un mauvais rire gras, mais d'un rire complice qui vient en se prenant d'empathie pour les artisans jusqu'ici invisibles des antennes hertziennes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Anne Diatkine
On quitte le film en se disant que la radio est un média joyeux , peut-être parce que sa matière échappe à l'image.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de l'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Les films de Nicolas Philibert ne laissent jamais indifférent : (...) le film est bien dans sa manière, habile et astucieuse, gentiment paresseuse aussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Marie-Noelle Tranchant
Vingt-quatre heures pour découvrir ce qui se passe derrière les titres d'émissions, les voix, les musiques et les bruits. Un exercice d'attention et de perception réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Nicolas Philibert s'introduit dans une riche, celle de Radio France, où butinent avec passion des journalistes de tous horizons. Un sujet passionnant soutenu par un formidable travail sur le son.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
De cette surabondance sonore, Nicolas Philibert dégage une ligne claire, définissant la parole, et par extension la musique comme l'essence de notre humanité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
"La Maison de la radio" [est] un objet avant tout plastique ainsi qu'une déclaration d'amour sans équivoque excluant tout discours militant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par La rédaction
Nicolas Philibert, dont on a tant aimé le fabuleux documentaire "Être et avoir", (...) s'est immergé au coeur de Radio France. Avec lui, la radio crève l'écran !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
(...) Le film rend hommage au langage (...) et à ses déclinaisons (...). Souvent burlesque (...), parfois émouvante, cette leçon de montage se révèle aussi un (épatant) film sur l'échange, la mise en scène et l'organisation du chaos.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
En allant voir ceux qui parlent dans le poste, Philibert a rencontré des gens qui continuent à être un peu cachés, derrière leurs micros. On sent qu'il a aimé ce mélange de pudeur et d'expressivité qui fait un monde à part. Et un beau film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Estelle Bayon
Superbe projet cinématographique que d'aller en quête de l'invisible qui auréole la grande maison du son. Mais superbement vain. Car si le film est sympathique, il souffre cependant d'une absence d'enjeu conséquente.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Olivier Séguret
Certains des personnages ou séquences (...) offre des moments cocasses ou attachants, (...) mais ces instants ne suffisent pas à donner une consistance réellement cinématographique à un projet qui garde toutes les apparences d'un bon programme télé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Les voix deviennent des visages, et des métiers de l'ombre se montrent en pleine lumière. Des anecdotes, parfois lugubres, des instantanés, des surprises, des situations comiques, voire triviales. Mais aussi quelques séquences répétitives. Très en longueur.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Quand on pense aux crises profondes qui agitent certaines chaînes de la maison (France Inter ou RFI, notamment), on ne peut qu'éprouver une gêne en voyant que le film ne s'en fait pas l'écho. "La Maison de la radio" est un film élégant, parfois jubilatoire, mais qui, en faisant comme si de rien n'était, manque terriblement de dialectique, de tension, et de véritable enjeu.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Nicolas Philibert commet l'erreur de s'évader de la Maison de la radio (...). Non seulement il ne nous apprend rien mais il ne nous surprend pas (nous avons déjà vu mille fois ces images-là).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Donner à voir du son... Vaste programme à moitié réussi. (...). Si quelques vignettes sont intéressantes ou amusantes, beaucoup de séquences répétitives finissent par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce défi de passer de l'oreille à l'image était alléchant. Il se révèle, au final, un peu décevant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par Louis Séguin
(...) Les séquences drolatiques se succèdent, les personnages hauts en couleur fanfaronnent, le tout dans le bunker de l'avenue du Président-Kennedy. Les contrechamps (...) n'existent jamais, donnant l'impression que cette grande ruche, dont le film prend tant de plaisir à montrer l'activité, ne travaille que par et pour elle-même.
L'Humanité
"La Maison de la radio", passionnant document, confirme une nouvelle fois le grand talent de Nicolas Philibert. [Il] réussit à rendre (...) l'invisible (...) tangible. Dans le suivi d'un Frederick Wiseman, le réalisateur a vraiment réussi son coup.
Le Monde
Un régal. (...) Ceci, pour l'impression: fascinant, drôle, insolite, racé, élégant. (...) Ceci pour la sensation: délié, acoustique, aérien, pneumatique, fluide, ondoyant.
Les Inrockuptibles
Film sur un média qui ne s'adresse a priori qu'aux oreilles, "La Maison de la radio" est un grand morceau de cinéma.
Marianne
On est conquis, entraînés dans cette formidable plongée au coeur de ce "lieu-monde" comme l'appelle Philibert. (...) l'homme qui sait donner à voir.
aVoir-aLire.com
Le documentaire a quelque chose d'un ample poème auditif, ambitieux par la variété des registres qu'il explore, rhapsodique dans ses effets de composition et de reprise, vibrant toujours sur le fil invisible de l'écoute.
Ecran Large
Le cinéaste de "Être et avoir" a posé sa caméra six mois durant dans le château fort radeau-France (...) Disons-le sans ambages, le résultat est surprenant, instructif et souvent drolatique ; pas d'un mauvais rire gras, mais d'un rire complice qui vient en se prenant d'empathie pour les artisans jusqu'ici invisibles des antennes hertziennes.
Elle
On quitte le film en se disant que la radio est un média joyeux , peut-être parce que sa matière échappe à l'image.
L'Express
Voir le site de l'Express
L'Obs
(...) Les films de Nicolas Philibert ne laissent jamais indifférent : (...) le film est bien dans sa manière, habile et astucieuse, gentiment paresseuse aussi.
Le Figaroscope
Vingt-quatre heures pour découvrir ce qui se passe derrière les titres d'émissions, les voix, les musiques et les bruits. Un exercice d'attention et de perception réjouissant.
Les Fiches du Cinéma
Nicolas Philibert s'introduit dans une riche, celle de Radio France, où butinent avec passion des journalistes de tous horizons. Un sujet passionnant soutenu par un formidable travail sur le son.
Positif
De cette surabondance sonore, Nicolas Philibert dégage une ligne claire, définissant la parole, et par extension la musique comme l'essence de notre humanité.
Première
"La Maison de la radio" [est] un objet avant tout plastique ainsi qu'une déclaration d'amour sans équivoque excluant tout discours militant.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Nicolas Philibert, dont on a tant aimé le fabuleux documentaire "Être et avoir", (...) s'est immergé au coeur de Radio France. Avec lui, la radio crève l'écran !
TéléCinéObs
(...) Le film rend hommage au langage (...) et à ses déclinaisons (...). Souvent burlesque (...), parfois émouvante, cette leçon de montage se révèle aussi un (épatant) film sur l'échange, la mise en scène et l'organisation du chaos.
Télérama
En allant voir ceux qui parlent dans le poste, Philibert a rencontré des gens qui continuent à être un peu cachés, derrière leurs micros. On sent qu'il a aimé ce mélange de pudeur et d'expressivité qui fait un monde à part. Et un beau film.
Critikat.com
Superbe projet cinématographique que d'aller en quête de l'invisible qui auréole la grande maison du son. Mais superbement vain. Car si le film est sympathique, il souffre cependant d'une absence d'enjeu conséquente.
Libération
Certains des personnages ou séquences (...) offre des moments cocasses ou attachants, (...) mais ces instants ne suffisent pas à donner une consistance réellement cinématographique à un projet qui garde toutes les apparences d'un bon programme télé.
Ouest France
Les voix deviennent des visages, et des métiers de l'ombre se montrent en pleine lumière. Des anecdotes, parfois lugubres, des instantanés, des surprises, des situations comiques, voire triviales. Mais aussi quelques séquences répétitives. Très en longueur.
Cahiers du Cinéma
Quand on pense aux crises profondes qui agitent certaines chaînes de la maison (France Inter ou RFI, notamment), on ne peut qu'éprouver une gêne en voyant que le film ne s'en fait pas l'écho. "La Maison de la radio" est un film élégant, parfois jubilatoire, mais qui, en faisant comme si de rien n'était, manque terriblement de dialectique, de tension, et de véritable enjeu.
La Croix
Nicolas Philibert commet l'erreur de s'évader de la Maison de la radio (...). Non seulement il ne nous apprend rien mais il ne nous surprend pas (nous avons déjà vu mille fois ces images-là).
Le Journal du Dimanche
Donner à voir du son... Vaste programme à moitié réussi. (...). Si quelques vignettes sont intéressantes ou amusantes, beaucoup de séquences répétitives finissent par lasser.
Le Parisien
Ce défi de passer de l'oreille à l'image était alléchant. Il se révèle, au final, un peu décevant.
Transfuge
(...) Les séquences drolatiques se succèdent, les personnages hauts en couleur fanfaronnent, le tout dans le bunker de l'avenue du Président-Kennedy. Les contrechamps (...) n'existent jamais, donnant l'impression que cette grande ruche, dont le film prend tant de plaisir à montrer l'activité, ne travaille que par et pour elle-même.