Avis : The Human Centipede III (Final Sequence) - Page 3

Si l'effroi et le dégoût étaient assez faibles pour qualifier First et Full sequences, inutile et bruyant s'imposent à ce dernier volet. On ne comprend pas vraiment ce qui a poussé Tom Six à vouloir réécrire son œuvre. Un manque de sommeil après un Full sequence traumatisant ou un manque d'ambition à faire tout autre. Pas nécessaire.

Un très mauvais film que ce chapitre final. On attend le mille-pattes humain très longtemps, et ce qui se passe avant n'est que cabotinage de la part de Dieter Laser, pourtant parfait dans le premier opus, et que Tom Six contraint dans ce film à l'hystérie permanente, ce qui le rend parfaitement insupportable très rapidement. Le héros du second épisode qui joue ici le comptable de la prison a lui aussi un plus mauvais rôle, celui d'ectoplasme du directeur omniprésent et omnipotent. Nous passerons sur la vulgarité de quasi toutes les scènes, les dialogues inintéressants se réduisant à des injures hurlées par Laser le plus souvent, le mauvais goût de certains détails, ( les friandises africaines, ceux qui ont vu le film comprendront ), bref, un film très dispensable qui m'a rappelé le serbian film, toujours repousser les limites pour choquer quand on a visiblement plus rien à dire et à montrer.

Avant de regarder ce film je vous conseille de pas manger lol.
Je pense que comparé aux deux autres, c'est le meilleur.
Le personnage de Bill Boss est formidablement taré.
La violence, l'absence de moralité total ( pire que le 1er, le deuxième je pourrais
Pas dire..). En tout cas si vous avez aimé les autres vous allez aimer celui ci,
Pour les autres c'est moins sure. Merci Tom Six.

Mais quel film de malade, c'est pas croyable ! Je ne m'attendais pas du tout à ça ! Il est clair qu'il faut avoir l'esprit déjanté pour aimer ce film ! Moi j'adore, et comme pour le 2, je met 5/5 car si ce film est vu comme il doit être vu, c'est à dire un espèce de machin psycho-taré, il est juste génial ! Dieter Laser (Bill Boss) est absolument excellent et carrément terrifiant dans le rôle du patron de la prison ! Franchement, regardez ce film, c'est un OTNI: Objet Taré Non Identifié ! :-)

Bon, pour ceux qui ont aimé les 2 premiers opus, ce troisième et dernier volet est encore une grande réussite. Le directeur de prison est phénoménal. C'est plus mainstream que le 2 mais un peu plus difficile à voir que le premier qui était selon moi assez grand public. Une trilogie qui aura beaucoup fait parler d'elle, une idée originale pour certains, tordue et abjecte pour d'autres mais une vrai oeuvre tout de même dans le cinéma d'horreur.

The Human Centipede 3 est très bon. Cette fois-ci l'accent n'est pas mis sur le scénario comme dans le 1 ou sur le gore comme dans le 2, non cette fois on a droit un film qui tend plus vers la comédie horrifique et c'est une réussite. J'ai ri du début à la fin. Dieter Laser est magique dans ce film, il est hilarant. L'humour noir est omniprésent. Les autres acteurs jouent assez mal mais finalement ca contribue à rendre le film drôle.
Toutefois on est loin de la comédie tout public, les scènes gores sont quand même présentes et il ne faut pas oublier que le scénario sort tout droit de l'esprit de Tom Six donc il faut s'attendre à du glauque et du malsain. The Human Centipede reste tout de même un très bon film. J'enlève un point à ce film simplement parce qu'il s'éloigne peut-être un peu trop des précédents films et fini par être justement une parodie des précédents opus.

Tom Six s'est amplement fait remarqué en sortant les deux premiers Human Centipede, films gores et trash tournant autour d'un concept tordu. Ces deux opus ont toutefois fait leur effet et même s'ils n'étaient pas bons à proprement parlé, ils ne manquaient pas d'idées, aussi choquantes soient-elles. Le cinéaste récidive et cloture sa trilogie avec ce "The Human Centipede III (Final Sequence)" devant faire passer, selon les dires de Tom Six lui-même, le deuxième film pour un Disney. L'attente fut longue et le résultat ne répond pas à celle-ci. Moins trash que l'opus précédent mais dôté de plus de second degré, Cette "Séquence finale" ne propose pas grand chose à se mettre sous la dent. Quelques facilités ici et là conjuguées à des longueurs noient les rares bonnes idées du film. Moins surprenant donc mais plus insupportable aussi avec un Dieter Laser, l'acteur qui jouent le rôledu Dr Heiter dans le premier long métrage, qui en fait des tonnes. Un final dispensable.

Un 3 ème épisode un peu trop sale et inutile à mon gout, le premier était porté sur un idée original, le 2 était plus malsain, mais le 3 eme n'est qu'un prétexte à balancer des scènes violentes et dérangeante en continu en mettant de côté l'idée originelle. Une bien décevante surprise pour un film qui ne vaut pas le détour finalement.

Certes, The Human Centipede III n'est pas la plus grande réalisation en matière de film d'horreur - sauf en ce qui concerne le centipède humain - et on tombe assez fréquemment dans le gros délire, avec le personnage principal qui est vraiment un gros taré qui (on l'espère) ne pourrait pas être dans la vie réelle à la tête d'une prison. Sans parler de la toute fin qui est tout à fait improbable, et dont je me demande encore pourquoi elle arrive. A en croire ce film, il y a vraiment de très grands malades à divers endroit du pouvoir (et même si on sait que c'est le cas, ce n'est heureusement pas fréquemment dans cette mesure, trop extrême).
Ceci dit, le personnage principal est très bien joué, même s'il en fait parfois trop à mon goût. Cela tourne presque autant sur lui que sur le centipède humain, chose que certains spectateurs semblent déplorer. Je peux le comprendre, mais je fais partie de ceux qui trouve qu'au final, ce n'est pas si mal. Après tout, venant de relire ma critique du 2, qui m'avait déçu comparé au 1er, critique où j'espérais plus d'originalité pour le 3, il est vrai après réflexion que, mis à part faire un plus grand centipède, chose faite ici, il était difficile de faire autre chose à ce niveau. Du coup, ce personnage complètement barré apporte un plus à l'histoire, somme toute assez simple.

Plus on avance dans les humans centipede,plus le film devient inintéressant sur son sujet de base.
Mis à part la scène du mille pattes humain dans la cour de la prison,rien ne se refaire ou très peu sur l'expérience qui donne le sens à ce film.
Notons quand même la bonne performance du big boss complètement déjanter et l'apparition du réalisateur Tom six.

En tant que fan de la série de "The Human Centipede", (le premier étant audacieux avec son idée totalement perverse et originale, le second s’apparentant à du torture porn ultra gore), on ne pourra qu’être étonné de voir que le sujet malsain et trash s’est transformé en une auto-parodie, toujours avec du gore certes, mais semblant noyée sous de l'humour au quinzième degré malvenu, dommage ! Quant à l’interprétation de Dieter Laser, c’est de la surenchère permanente, car à part beugler et se tordre dans tous les sens, il n’y a pas grand-chose de notable à retenir de ses pantomimes ! C’est d’autant plus regrettable que dans le premier il était juste formidable et plein de retenue dans son jeu. Ainsi, lorsque le générique de fin arrive, on se demande pourquoi on a visionné ce film dont les critiques négatives au niveau international sont totalement justifiées tellement on se sent floué par le projet !

Ce troisième opus bien que répétitif et éreintant a cause du cabotinage de l’acteur principal, on se doit de souligner le trait d’esprit du cinéaste qui crée une œuvre meta doublée d’une critique acerbe du système carcéral américain.

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Aussi dément cela puisse paraitre, le bien nommé Tom Six ne lâche rien et va au bout de son délire, seul comme un grand. De ce délire de psychopathe décérébré et achevé à la pisse. Troisième volet du mille pattes humain, celui des prisonniers. Une troisième mouture qui je l'avoue m'a bluffé, compte tenue de la barbarie des deux autres. Le réalisateur se dévoile sur un jour nouveau à chaque tournage: son côté psychologique sur le premier, suivit de sa part d'ombre et de sadisme sur le deuxième. Voici l’inespérée touche d'humour qui manquait à The Human Centipede. Loin de moi l'idée d'en faire un chef d’œuvre, attention. Disons simplement qu'une certaine originalité perdure et se bonifie avec le temps. Le simple fait de reprendre les mêmes acteurs pour des rôles radicalement différents au sein d'une même saga est peu courant, voir novateur, pour la simple et bonne raison que le crédit en prend pour son grade. Mais offrir carte blanche à l'excellentissime Dieter Laser était un choix honorable. Ce type est possédé. Cela se lit sur ses traits et son jeu de fou furieux. Une carrure rachitique et un regard démoniaque faisant de lui un acteur unique. On y retrouve le côté ordurier et implacable du Sergent instructeur Hartman dans Full Metal Jacket. Même le petit gros du précédent opus se dévoile sur un jour plus humain. Par le biais de cet ultime chapitre, Six développe avec une incroyable autodérision une toute nouvelle forme de torture au sein du milieu carcérale. Toujours aussi immorale et répugnante, mais à la surprise générale, un sourire nait sur nos lèvres. Le plus long tube digestif du monde; une idée de mer*de qui marquera les esprits comme un étron marque la faïence. 3,5/5

Après un premier volet surprenant et particulièrement réussi puis un deuxième glauque au possible mais nettement moins intéressant, Tom Six remet le couvert avec ce troisième et à priori dernier opus. Dernier ? En tout cas on l'espère car il ne reste plus grand chose à sauver de ce qui s'apparente fortement à un navet. Le postulat de départ semblait pourtant sympathique avec un gros second degré et une auto-critique amusante mais le réalisateur semble vite dépassé par son projet qui ne décolle jamais et s'avère d'une lourdeur infâme en plus de n'être jamais drôle. On récupère également Laurence Harvey, l'ignoble personnage central du deuxième et Tom Six fait une apparition (inutile) dans le scénario, mais la surprise vient à nouveau de Dieter Laser, toujours perché mais à la différence du premier, littéralement insupportable. On ne fait que l'entendre hurler, injurier et se tordre la tronche du début à la fin, ainsi, dans cette misogynie ambiante et pesante le script se déroule sans surprise, sans rebondissement et sans émotion. C'est long et sans véritable intérêt, si ce n'est quelques scènes bien dégueux qui ne relèvent en aucun cas le niveau. Un troisième et espérons-le ultime opus qui n'aurait jamais dû voir le jour, à oublier.

Purée, que mon estomac soi a la hauteur du langage et de mon envie de vomir, ainsi que de la bande son, seigneur, pardonne à l'auteur, ainsi qu'au réalisateur, et auteurs qui ont tournés le film, et à la fortune que j'ai dépensé en bidon et panosses pour vomir à l'intérieur, amen.