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Un visiteur
0,5
Publiée le 27 juin 2012
Je pensais aller voir un très bon film comique d'après les critiques mais hélas le film est très ennuyeux et n'a pas réussi à m'arracher un seul sourire .... Mou du début jusqu'à la fin, je suis resté dans la salle jusqu'au bout par respect, mais c'est tout !
Un film qui est loin de répondre aux attentes entretenues par les bandes annonces et les critiques de la presse. Le scénario s'égare dans plusieurs thèmes narratifs dont aucun n'émerge. Un rythme lent, ennuyeux, plat. Un film raté. Seule les illustrations musicales sont de qualité.
J'ai bien aimé la coiffure de Valérie LEMERCIER. J'ai bien aimé Valérie, tout simplement parce qu'elle est sympathique. Les autres acteurs aussi d'ailleurs sont sympathiques. Mais de là à en faire un film ! C'était long. C'était mou. Si vous n'avez vraiment rien d'autre à faire et que vous avez envie de passer 2h à sourire de temps en temps, entrez dans une salle pour aller voir ce long-métrage. Sinon, le DVD suffira en fond sonore, lors d'un déjeuner entre amis.
de bons dialogues , des situations cocasses, j'ai bien ri à cette variation autour de la perte et du deuil , le tout servi admirablement par des comédiens hors pairs et dans une mise en scène bien pensée. une comédie française qui sort des clichés habituels même si ça reste très bourgeois ...
Bruno Podalydès attaque fort en abordant aussi bien la mort que l'adultère dans un même film. D'où l'histoire de ce pharmacien qui doit s'occuper des funérailles d'un grand-mère qu'il avait quasiment oublié et qui est au bord de la brèche aussi bien dans son couple avec sa femme qu'avec sa maîtresse. Un sujet casse-gueule mais traité avec un décalage et une légèreté qui fait du bien dans un cinéma français où on a tendance à faire soit de la pure comédie soit du pure drame. Ici le rire est autant présent que l'émotion sans jamais en faire trop, le tout grâce à une subtilité d'écriture et de jeu d'acteur. Denis Podalydès est attachant dans son rôle de pharmacien qui ne sait faire aucun choix et qui veut rester avec ces deux femmes qu'il aime tout en réglant ses affaires de famille. Valérie Lemercier n'a jamais été aussi juste, Isabelle Candelier est touchante et Michel Vuillermoz est très drôle. Tout autant que les apparitions hilarantes de Pierre Arditi. De beaux numéros d'acteurs au service d'irrésistibles dialogues qui font souvent mouche. Ce genre de cinéma, rafraîchissant, on n'est pas près de vouloir lui dire adieu.
Présenté à la quinzaine des réalisateurs à Cannes "Adieu Berthe" marquait le retour de Bruno Podalydès au festival, bien mal lui en a pris puisque ce film est d'une pauvreté affligeante, non vraiment il a tellement d'autres bons films à son actif que de s'attarder sur celui-ci serait lui faire offense. 100 minutes de pur ennui sont au rendez-vous pour ce film sans âme et sans intérêt traitant d'un sujet difficilement adaptable avec humour. Si le réalisateur parvient quand même à ne pas montrer la noirceur du sujet (grâce entre autre à une belle photographie), il ne parvient pas à le rendre intéressant et encore moins marrant. Un ou deux passages qui font sourire, une assez bonne Valérie Lemercier et c'est tout ce qu'il y a à retenir de positif dans le sujet, le scénario est simpliste, les blagues sont fades sans saveur. Le film semble comme mémé, mort. Et il devrait d'ailleurs prendre le même chemin, s'enterrer...
Cela commençait bien, mais le soufflé est vite retombé. Quelques bons dialogues. J'ai pu mesurer que je n'étais pas la seule à être déçue. Une spectatrice riait au début du film à chaque bon mot d'un rire tonitruant, comme si elle avait décidé de vraiment se marrer! Au milieu du film, on ne l'a plus entendue...
Une sympathique comédie noire sur un sujet pas évident tournée de façon absurde et décalée qui nous offre une critique sur la nature humaine et également sur le commerce de la mort. Il est évident que le style adopté ne plaira pas à tout le monde mais il fallait oser et pour peu qu'on adhère à l'idée, on passe un bon moment, certes un peu long mais parsemé de seconds rôles savoureux. Enfin, les acteurs principaux sont inspirés et ne se prennent nullement au sérieux. Peut toutefois attendre la sortie DVD.
Les frères Podalydès ont une petite musique bien à eux. Adieu Berthe fourmillent d’idées et mélange avec une sensibilité émouvante scènes burlesques, dialogues acérés et une poésie mélancolique. Loin des farces grossières dont le cinéma français s’est trop souvent fait une spécialité, ce film charmant et intelligent nous parle de gens “normaux” auxquels il est facile de s’identifier. Une comédie de mœurs bien conçue, où l’on sait rire de la mort sans faute de goût, mais qui manque de rythme dans sa réalisation et son montage.
Les frères Podalydès nous offre un énième bijou où l'absurdité humaine est reine. Emmené par un casting pétillant et merveilleux (jusqu'au second rôle voir clin d'oeil de la pleureuse !) le scénario traite parfaitement le drame par l'humour ; jamais gras et lourd mais toujours subtilement créant un vaudeville mortifère passant du burlesque verbal à la mélancolie douce. Une des qualités du film est aussi, pourtant, son défaut... En effet le scénario oscille entre des dialogues farfelus et jouissifs (rire garanti !) et des parties plus calmes voir monotones ; le rythme fait donc les montagnes russes mais heureusement sauvés par un retour au rire régulier. Le rapport au deuil est dédramatisé avec classe même si on aurait aimé une émotion plus palpable sur certaines scènes. Un très beau et bon film qui rejoint "Liberté-Oléron" dans les grandes réussites des frangins Podalydès.
C'est la première fois que je quitte la salle avant la fin du film. D'habitude, même dans les pires navets, je trouve un moyen de tenir jusqu'à la fin, je regarde les cadres, les décors, ou les costumes, je compte les clichés ou je cherche le micro dans la réflexion des vitres de voitures, je trouve toujours un truc pour tenir. Mais là... rien. Tout est nul et moche, les décors, les cadres, la lumière, l'histoire, les dialogues… Les situations trainent en longueur quand elles ne tournent pas carrément au ridicule.
Deux ou trois gags qui font sourire directement piqués à "six feet under"... en plus lourd et en plus con. Je n’ai rien contre le plagiat au cinéma d’ailleurs, mais à condition d’améliorer l’idée…
Un exemple : spoiler: Dans The Queen, chef d’œuvre de Stephen Frears, l’héroïne est confronté à un deuil qui ne la touche pas autant qu’elle le devrait. Plus tard dans sa résidence à la campagne, elle découvre un magnifique cerf, qui est tué à la chasse, et sa tristesse pour cet animal mort contraste avec le reste de l’histoire.
Dans la bouse cinématographique qui nous occupe, le héro assis dans l’herbe écrase une gerbille... (Parce que c’est bien connu, quand on s’assoit dans la campagne, les mulots se jettent sous notre cul pour se suicider) et, tout en pensant à sa grand mère, il hésite entre l’inhumation et la crémation de la souris… c’est long, c’est moche, avec un gros plan du cadavre de la bestiole dans les flammes. A vomir…
Et je ne parle pas des dialogues ! Haroun Tazief prononcé Haroun Taziouf, ha ha ha... Les comédiens, pourtant très bon ailleurs (C’est l’équipe de la comédie Française) et bien là… nuls… mauvais… excessifs… lourds… pathétiques.
J’ai craqué, nous sommes parti avant la fin… et je n’étais pas le seul… Environ un tiers de la salle a fuit bien avant nous…
Je n’ai pas l’impression d’exagérer, mais comme toutes les radios, les télévisions et la presse sont unanimes pour dire du bien de cette merde, je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a quelque chose de pourri dans les médias français. Si ils étaient représentatifs de la population, environ un tiers aurait dû dénoncer ce navet.