un film vraiment drôle agréable. c'est plein de tendresse. les acteurs sont formidables. voir en 3d vous aurez plus de magie. le pays des rêves tout un programme. oui le film semble un peu long parfois peut être une dizaine de minutes de trop... mais que du bonheur ! on ressort apaisé en ces temps troublés. ça met un peu de baume au coeur.
Un bon moment de détente! Un vrai régale pour l'imaginaire qui profite aux adultes et aux enfants! De l'émotion, une histoire créatif. Nous avons passer un grève moment. À voir et revoir
Si vous êtes adulte, il faudra aller chercher la part d'enfance qui est en vous pour apprécier pleinement ce film. Sinon, restez chez vous. Mais ce serait se priver d'un film réussi. J'ai apprécié la qualité des effets spéciaux, l'originalité du scénario (mis à part quelques longueurs). Si on se laisse porter par les images, beaucoup d'émotions vous ressentirez.
Ce qu’on apprécie chez certains cinéastes, c’est leur éclectisme, leur aptitude de passer d’un genre à son extrême opposé. Comme Martin Scorsese avait réalisé Hugo Cabret – qui tranche plutôt bien avec le reste de sa filmographie – Steven Spielberg, un de nos auteurs indémodables, signe Le BGG, dans la même veine qu’E.T. ou que Hook. Le roman de Roald Dahl était assurément parfait pour une belle œuvre toute poétique et délicate. Pourtant le film qu’en tire Spielberg témoigne de ses certaines « limites » à tout faire, trahissant ainsi une manière de faire des films presque obsolète. Explications. Adapté du roman de Roald Dahl, l’histoire suit les aventures de Sophie, une fillette solitaire qui se fait enlever de son orphelinat par un géant cagoulé. Arrivée au « Pays des Géants », elle découvre tout un univers imaginaire, poétique, dans lequel son ravisseur est le bouc émissaire de neuf gros autres géants pas gentils… Certes, on aurait pu se passer de cette mièvrerie mais bon… C’est Spielberg, alors on lui pardonne pas mal de trucs, comme la fin hyper cliché du Pont des Espions. Mais nous, on le connaît depuis notre enfance : tant de films cultes, de souvenirs, d’émotion, de divertissement qu’on a un rapport sentimental avec ce réalisateur. On n’a pas pour autant renoncé à être exigeant concernant chacun de ses nouveaux films et avec Le BGG, quelque chose ne vas pas. C’est bancal de bout en bout. Le scénario, les personnages simplets, le rapport manichéen aux évènements, il ne reste que certains dialogues émouvants et une séquence onirique à sauver. Quand Sophie amène son ami géant chez la reine d’Angleterre, on est ahuri ; c’est si ridicule, si mal amené et mal fait ! Concours de pets, discussion à l’anglaise, puis hop !on part capturer les vilains géants avec des avions de guerre. Franchement, où sont passés le rêve et sa délicatesse ? Spielberg semble avoir perdu en cours de route sa voix de conteur généreux. Les effets spéciaux rendent « faux » ce pays où on est sensé apprendre l’étendu de notre imagination. La relation entre Sophie et son nouvel ami n’est même pas un récit d’initiation sur la beauté du songe ou une acceptation de l’irréel. On renonce vite à trouver un quelconque message. Si le fond résonne creux, la forme est peut-être plus « esthétique », quoique toute cette synthèse fait pâtir le film d’un affreux manque de sincérité et de profondeur. Et pour cause la caméra joue habilement des effets de clair-obscur, de lumière, à un tel point que les « vraies » personnes dans les « vrais » décors paraissent sortir d’un jeu vidéo… De cette scène touchante – il y en a trois – où le BGG souffle un rêve dans la chambre d’un enfant à celle où il dévoile à Sophie qu’il faudra qu’elle se réveille, on ne saisit aucun cheminement propre, juste des racolages entre différentes séquences inégales. Cependant, si notre « tonton Spielberg » s’est converti – temporairement on l’espère – à ce cinéma guimauve, il n’a pas oublié de mentionner la puissance des rêves dans notre fonctionnement. D’autres l’ont déjà fait avant lui (on pense à Peter Pan, Alice au Pays des Merveilles et bien d’autres) mais plus que tout, c’est une hymne à l’imaginaire, certes mal entonnée, qui nous redonne envie de voir les grands classiques du maître.
Quel film magnifique, magique, touchant et drôlissime ! Quelle franche rigolade dans le cinéma quand spoiler: le BBG fait goûter aux hommes sa boisson à bulles !!
Quelle beauté quand spoiler: le BBG va avec la petite Sophie attraper les rêves
Ce film ne laisse pas indifférent, je le recommande.
Hélas, je m'attendais à mieux. Film au rythme trop lent sans réel suspense, sans trop d'action, sans rebondissement. j'ai failli quitter la séance tellement je m ennuyais.dommage.
Magnifiquement bien fait, émouvant, drôle, tiré par les cheveux oui mais juste magnifique et puis c'est du Spielberg inspiré de Roal Dahl. Les adultes comme les enfants dans la salle pleine, sont passés du rire aux larmes après chacun sa sensibilité mais moi je recommande !!!
C'est dans l'ensemble un joli film. Les effets, le côté spectaculaire est là. Les personnages sont attachants, le scenario un peu particuliers mais c'est très subjectif. On s'ennuie parfois, mais c'est une jolie petite histoire.
Pour les âmes d'enfants. Très beau et soigné visuellement mais assez simpliste dans les dialogues et dans l'histoire. Ni allez pas en espérant voir un film d'adultes.
Moi qui avait peur d'être déçu... J'ai beaucoup aimé ce film de part sa photographie qui offre de superbe images, une histoire enfantine mais qui marche très bien, et surtout, différent sens de lecture. Sincèrement, un bon Spielberg !