Mon compte
    La Fièvre dans le sang
    Note moyenne
    4,2
    797 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Fièvre dans le sang ?

    87 critiques spectateurs

    5
    43 critiques
    4
    27 critiques
    3
    11 critiques
    2
    3 critiques
    1
    2 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 734 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2020
    Malgré une tendance marquée de Natalie Wood à l'hystérie, la peinture émotionnelle et psychologique d'un amour de jeunesse se révèle très juste, prise dans ce contexte socio-historique entre élans charnels, insouciants, et considérations moralisantes (outre la réalité d'une potentielle grossesse à l'heure où les filles mères suscitent honte et rejet). A l'élégante mise en scène s'ajoute la justesse des interprétations parentales, là encore pertinentes dans leurs propositions de rapports filiaux et maritaux. Sans omettre d'illustrer le vain orgueil des possessions matérielles, ce mélodrame mélancolique en appelle à la résilience amoureuse et au deuil de "l'éclat de l'herbe"...
    Claude DL
    Claude DL

    75 abonnés 1 590 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 octobre 2021
    Un peu déçu par ce film qui a beaucoup vieilli et trop long. L’histoire peut se résumer en quelques mots : un jeune homme, issu d’une famille riche et dont le voeu principal est de gérer un ranch et non pas d’effectuer des études à Yale comme l’exige son castrateur de père, tombe follement amoureux d’une jeune fille issue d’un milieu pauvre, laquelle tombe également follement amoureuse de lui. [spoiler]Mais rien ne fonctionnera comme ils le souhaitent, et chacun fera sa vie de son côté, elle devenant riche en épousant un médecin, lui s’appauvrissant en travaillant dans un ranch après le décès de son père[/spoiler.
    Bon scénario, donc, qui évoque les ravages de la crise de 1929, avec une Natalie Wood au faite de sa beauté et un Warren Beatty convaincant dans le rôle d’un fils étouffé par son père. Mais le jeu des acteurs, à l’ancienne, déséquilibre le propos et on s’ennuie trop souvent.
    Eselce
    Eselce

    1 203 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2017
    Un film de la fin des années 20, début des années 30 tourné dans les années 60. Inutile de mentionner à quel point, il est a pu vieillir ! Les amours tourmentés de Bud et Deanie qui s'aiment mais se repoussent. Il y a l'enjeu des études, des familles, de l'amour véritable et du droit du sexe avant mariage. Finalement, lorsque l'un des deux personnages se rapprochent, l'autre s'enfuit. Ce qui les fait tomber chacun dans une sorte de dépression. Je n'ai pas beaucoup accroché, mais cela dépeint un passage dans l'âge adulte difficile. Obéir à ses parents, faire la fête, prendre ses responsabilités... Beaucoup de thèmes sont traités et il y a de nombreuses scènes fortes (Parfois ridicules aujourd'hui, surtout celle avec les cris de démences ses actrices). La scène la plus difficile pour moi a été celle du parking spoiler: où la soeur de Bud est presque violée avec une dizaine de témoins consentant et complices !!
    . Une société dépeinte avec les excès des personnes riches qui parfois s'oublient et / ou se montrent bien hypocrites avec leurs hôtes. On voit bien à quel point l'argent doit être mis au second plan, si l'on veut des amours heureux. Mais aussi qu'il faut couper le cordon ombilicale ! Les parents du couple Deanie / Bud mettant à mal le bonheur des deux amoureux, préoccupés par leurs fortunes et l'avenir financier des enfants. Ce n'est pas un mauvais film mais il a indéniablement vieilli !
    Acidus
    Acidus

    620 abonnés 3 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2017
    Les histoires d'amour ne sont généralement pas celles que je préfère au cinéma. Il existe toutefois des exceptions et "La fièvre dans le sang" fait partie de celles-ci. Loin de basculer dans une quelconque mièvrerie, ce long métrage dégage au contraire une réelle intensité émotionnelle qui doit à la fois à la mise en scène d'Elia Kazan qu'à l'excellente prestation de Natalie Wood (qui efface totalement celle de Warren Beatty). Le propos, comme certaines scènes, sont carrément subversives pour l'époque et font un joli pied de nez au puritanisme et au conservatisme américain.
    "La fièvre dans le sang" est un magnifique mélodrame, loin des teen-movies habituels.
    Roub E.
    Roub E.

    734 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2021
    Ce film est un peu le symbole de l’idée que je me fait du drame à l’américaine. Des personnages aux destins contrariés, une période historique en toile de fond (ici le krach boursier de 29) des moyens à l’écran et une manière de montrer les choses de façon très démonstrative. Ce film brocarde la société conservatrice américaine, qui se drape de probité alors que la cupidité est son moteur. Une manière de vivre et un dogme à suivre qui façonne une jeunesse qui aspire à autre chose quitte à aliéner cette dernière. Sur le fond je n’ai rien à dire c’est très bien écrit et parfaitement déroulé. Mais mise à part sur quelques scènes je ne peux pas dire que cela m’a emballé. Je dirais que c’est juste mais que cela ne m’a pas touché.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juillet 2016
    Elia Kazan critique vertement l’Amérique puritaine dans ce film dont le support est une magnifique histoire d’amour contrariée construite autour de deux jeunes pousses au charme fou Natalie Wood/Warren Beatty. Kazan avait déjà traité du fossé entre les générations 6 ans plutôt avec « A l’Est d’Eden » ; là, il livre une partition tout aussi intense mais en mode mélancolie. Kazan situe ce film dans les 20’s. Dans la première moitié de la décennie, le rêve américain bat son plein et tout le monde profite de cette période économiquement faste. Les masques tomberont en 1929. L’hypocrisie générale est centrée sur les valeurs puritaines de l’Amérique, une société rongée par les interdits où les enfants se conforment aux valeurs parentales… mais le monde change. Kazan dénonce l’argent facile et le culte de l’argent qui rend sourd les adultes aux désirs profonds de la jeunesse ; l’argent passe avant l’épanouissement. L'incommunicabilité intergénérationnelle est montrée à de nombreuses reprises. Kazan fait preuve de retenu et d’intelligence par rapport à son aversion pour la religion, il n’affronte jamais frontalement et de manière manichéenne la morale religieuse.
    Pour se concentrer sur le scénario du film, Kazan aborde l’éveil à la sexualité de deux jeunes gens contraints d’attendre 4 ans avant de pouvoir se marier et passer à l’acte. Que de souffrance à devoir attendre si longtemps à un âge où l’impatience d’expériences nouvelles est viscérale. Kazan insuffle dans sa première heure une tension sexuelle bien palpable conduisant les deux amoureux dans une forme de folie. La frustration sexuelle est filmée ici avec beaucoup de modernité. Le désir animal est bien retranscrit par une cascade omniprésente. Mais comment s’affranchir des conventions sociales pour ces deux jeunes gens castrés par le modèle parental ? La rupture parait incontournable et prendra les traits d’un beau texte de William Wordsworth :
    « Ce qui fut alors baigné
    d’une lumière radieuse
    a maintenant disparu
    pour toujours à mes yeux.
    Bien que rien ne ravive
    la splendeur de ces heures
    ni la gloire de ces fleurs,
    nous ne sombrerons pas
    dans le chagrin
    mais nous raffermirons
    face au destin. »

    Et puis le final de Kazan est brillant sous forme de happy end mais à l’image du film… hyper mélancolique sans chercher à satisfaire le spectateur avec une fin facile et bêtement heureuse. Kazan en disait : «Ce que je préfère, c'est la fin. J'adore cette fin, c'est la meilleure que j'ai réalisée : il y a quelque chose de si beau dans cette scène où Deanie rend visite à Bud qui est marié. J'ai même du mal à comprendre comment nous sommes arrivés à ce résultat, ça va au-delà de tout ce que j'ai pu faire. C'est un happy end, au vrai sens du terme, pas au sens hollywoodien : on sent que Bud a mûri, on le voit à la façon dont il se comporte avec elle, et lorsqu'il prend sa femme dans ses bras pour la rassurer. C'est cette fin qui m'a donné envie de faire le film. ». Y-a tout dans cette fin : acceptation de la médiocrité, passage à l’adulte, renoncement aux idéaux de jeunesse, regrets, amertume… Mais il montre surtout qu’un fossé s’est creusé entre les deux ex ou toujours amoureux, chacun en décidera.
    Oscar du scénario en 1962… Un vrai chef d’œuvre pour un metteur en scène majeur du cinéma.
    Philippe C
    Philippe C

    78 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2015
    Comment juger en 2015 un film tourné en 1962 dont l'action se situe en 1928-1929 ? Vu d'aujourd'hui le thème du passage à l'âge adulte sous la férule de la génération précédente forcément conservatirce est éternel, la crise économique qui couve puis explose est également contemporaine, de même que le mépris condescendant des parvenus pour les "demeurés" (ce qu'ils étaient). On oberve aussi le rôle dévastateur du parent dominant (le père d'un côté, la mère de l'autre). A ce titre, le film est donc un grand film puisque il met en scène des conflits intemporels. Pourquoi au début des années 60 Elia Kazan a-t'il vouolu situer l'action plus de trente ans auparavant ? sans doute (en tous cas c'est l'impression que j'en ai eue) pour montrer que les choses étaient encore, mais pas pour longtemps, figées : par exemple la façon pour les garçons de flirter avec les filles dans les voitures en marge des parties ou le conservatisme des parents, la différence étant qu'en 1962 on était à la veille de l'évolution de smoeurs et au début de l'éclatement des structures familiales traditionnelles. Quand à la fin des années 20, qu'en dire, si ce n'est qu'a posteriori il est toujours facile de dire que les moeurs ou l'organisation sociale sont inssupportables.
    Sur le plan plus cinématographique, les deux jeunes acteurs Nathalie Wood et Warren Bethy sont vraiment excellents, les personnages secondaires ( pères et mères des deux jeunes amoureux) bien campés , les images bien cadrées avec de bonnes couleurs et une musique jazzie des plus opportunes.
    Malgré tout ça, je me suis un peu ennuyé, ce film est devenu un film de ciné club.
    Et pourquoi avoir traduit en français "Splendor in the grass" par "la fièvre dans le sang" ? sans doute à l'époque pour attirer le gogo vers 2 scènes, celle où l'on voit (sans rien voir) Nathalie Wood nue dans son bain ou celle où elle ne cache pas son désir pour son amoureux en voulant l'attirer dans une voiture... toutes choses aujourd'hui bien puériles.
    Kloden
    Kloden

    113 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 octobre 2015
    Des drames sociaux d'Elia Kazan, je n'avais jusque là vu qu'Un tramway nommé désir et Sur les quais, films avec lesquels j'avais quand même eu beaucoup de mal. Déjà un poil vampirisés par Marlon Brando, ils échouaient à me séduire par un ton excessivement théâtral et des thématiques sociétales qui me parlent en définitive assez peu, alors qu'une histoire intime qui épluche ses personnages sans prétendre en faire des archétypes représentatifs d'une réalité plus vaste me touchera beaucoup plus facilement. C'est ce qui s'est passé avec ce magnifique Splendour in the grass, qui pourtant débutait plutôt mal. J'ai en effet, au démarrage, à nouveau été effrayé par l'hyper-émotivité et les effusions incessantes des personnages, à vif jusqu'à frôler l'hystérie et rebuter complètement. La manière dont Kazan mène son récit, d'ailleurs, est à l'avenant, à base de fondus enchaînés rapidement entre chaque scène, comme si le cinéaste débitait son intrigue, qu'il ne pouvait retenir un mouvement déjà bien en marche. Cela crée certes un certain trouble, mais empêche également de laisser s'exprimer totalement certaines scènes. A nouveau, cependant, cela donne l'impression d'une histoire en cage, jamais libre de s'épancher sur elle-même, aussi contrainte que ses personnages. Tout de même, j'aurais eu énormément de mal à soutenir une telle narration jusqu'au bout. Heureusement, j'ai su être patient, et cette fois Kazan m'a conquis, désarmé. En définitive, c'est précisément lorsque les névroses de ses personnages s'intensifient que le cinéaste pose enfin son récit et demande à ses acteurs davantage de retenue. Ce mouvement progressif qui plonge vers la mélancolie est la parfaite mise en abyme qui offre à nous l'intimité profonde de personnages soumis à la terrible usure du temps et de la perte de leurs illusions. La douleur atteint son paroxysme lors du traitement séparé des destins des deux amants joués par Natalie Wood et Warren Beatty, qui sont justement eux-mêmes privés l'un de l'autre. Étudiés isolément, par longues plages qui dépassent souvent dix minutes, les deux héros sont progressivement isolés dans une dynamique implacable, qui restitue si bien l'horreur de se sentir banni de la vie de l'autre, ostracisé de ce vers quoi on tend justement de plus en plus. Splendour of grass tire sa force de là, du fait qu'il souligne si bien ce cruel jeu du sort qui a fait des humains des créatures inaptes au lâcher-prise, qui créent leur propre désespoir en se raccrochant d'autant plus qu'ils se sentent tomber, plutôt que d'accepter la chute pour se relever ensuite. De scène désarmante en scène désarmante, on y voit des Hommes incapables de changement, damnés par le cruel truchement des plus beaux de leurs sentiments, pris au piège de ce qu'aucune beauté n'existe sans la souffrance qui en est la rançon. Et cette conclusion finalement plutôt sobre, montre bien que tant qu'il restera du chemin à parcourir, ces vérités sur nous-mêmes nous tiendront par la main. La mélancolie est l'impossibilité à être au Monde comme celle à accepter de le quitter pour de bon. La fièvre dans le sang en déborde, et est justement bouleversant parce qu'il l'infuse à ses personnages avant de nous les révéler dans la profondeur de leurs douleurs et l'insolubilité qui les rend si inacceptables. Un chef-d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 août 2019
    Le genre de film qui laisse un peu étourdi tellement il dépasse sa promesse initiale. En tant que film sur le désir, il est d’une vérité et d’une audace étonnantes pour l’époque, parfait symbole des dernières heures vacillantes du code Hays. Comme film sur l’adolescence, il est d’une finesse rare, porté par deux acteurs au charisme immense (je n’avais jamais réalisé que Natalie Wood était une grande actrice jusqu’à ce film). Sur le thème des rapports filiaux, il est d’abord un peu caricatural, mais s’achève sur une émotion d’une justesse imparable. Mais ce qu’on voit moins venir, c’est cette transition de la simple chronique adolescente à une sorte d’épopée amoureuse étalée sur plusieurs années, jusqu’à un final bouleversant. Je me suis par moments surpris à fantasmer ce qu’aurait pu faire un Douglas Sirk avec ce matériau, mais la dernière partie du film m’a rappelé que les leçons les plus universelles ont parfois besoin d’un certain académisme pour être délivrées dans toute leur pureté, comme c’est le cas ici.
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    43 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    Un film assez mythique. Ça fait partit de ces premières romances hollywoodiennes teintées de tradition puritaine ou d'adolescent en rébellion ou les deux, ce film fait un peu penser à "La fureur de vivre" où Natalie Wood était encore présente. Parlons en de Natalie Wood, véritable sex symbole de son époque, même encore aujourd'hui si on là compare aux têtes d'affiche, une des actrices les plus belles de l'histoire, intemporelle. Elle nous offre peut être les meilleures scènes du film dont celle de la crise de nerf face a sa mère vers la fin. Warren Beatty n'est pas en reste non plus pour ses débuts, une tronche et suffisamment de charisme pour poursuivre carrière. Elia Kazan à la baguette montrait une nouvelle fois qu'en lui filant un scénario quelconque, il serait toujours capable d'en tirer quelque chose, en plus d'une réelle maîtrise esthétique ce qu'on attendait pas forcément sur ce film. En résumé il faut le voir d'abord pour Natalie Wood, ensuite pour Elia Kazan. Même un non cinéphile peut le visionner sans forcément se faire CH**ER tout du long.
    selenie
    selenie

    5 439 abonnés 6 017 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    Grand film qui n'est pas sans rappeler "La fureur de vivre" avec James Dean et déjà Nathalie Wood... Les amours contrariés de deux jeunes adultes à cause des considérations d'un père ambitieux. Le casting est solide en ce qui concerne les seconds rôles (excellent Pat Hingle) mais le duo star, Warren Beatty et Nathalie Wood déçoivent un peu malgré le glamour et la présence ; en effet la différence de l'interprétation est trop brutale entre un Warren Beatty amorphe ou du moins sobre et une Nathalie Wood qui surjoue parfois... On pourrait mettre ça sur le dos des personnages mais je pense surtout qu'il y a eu une direction d'acteur mal orientée. C'est bien dommage car la puissance dramatique (entre krach boursier, prohibition et poids social...) est juste et tragique. Un mélodrame qui manque juste un peu de mesure.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 895 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2024
    Premier Elia Kazan que je vois et je peux dire que je suis totalement conquis. La fièvre dans les sang est une magnifique lettre d'amour à la romance de jeunesse. Une folle passion freinée par les convenances sociales, le jugement des autres et surtout le puritanisme des parents. Malgré son classicisme, la mise en scène de Kazan accompagne merveilleusement cette romance tragique et exacerbé les problèmes sociétaux de son époque. Natalie Wood et Warren Betty forme un superbe duo. Les personnages secondaires sont également très travaillés, et les interprétations marquent, en particulier Pat Hingle qui livre une prestation impressionnante de crédibilité. Captivant de bout en bout, la conclusion tire les larmes aux yeux. Un très grand film, que je met aisément dans les meilleures romances du cinéma !
    lillois
    lillois

    86 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2006
    Si Natalie Wood qui tient le rôle principal est craquante, l'Amérique dans laquelle se déroule cette histoire est absolument écoeurante.
    The Claw
    The Claw

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2015
    Au début, je partais enthousiaste, puis au bout de 45 minutes, je ne comprenais plus trop où le film voulait en venir (je trouvais que ça tournait en rond), mais voilà qu'au bout d'une heure, l'histoire commence à évoluer et à gagner en profondeur, et qu'au final, elle se termine de façon brillante. Bref, le film vaut surtout pour son scénario et le charme de Natalie Wood. La mise en scène, quant à elle, a vraiment mal vieilli.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    29 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2007
    Une chronique d'une puissance, d'une beauté et d'une justesse remarquables. N.Wood y est grandiose, bouleversante, superbe. Enfin, cette Amérique de l'entre deux guerres doit beaucoup de sa force à l'ensemble d'un casting sans reproche.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top