Avis : Les Indestructibles 2 - Page 10

14 ans se sont passés depuis le 1er volet, et “Les Indestructibles 2" commence exactement là où il s’est arrêté, soit en pleine action familiale, les mêmes préoccupations sous leurs costumes et avec le même désamour des autorités publiques. Cette véritable suite, donc, se doit de prolonger sans coupure les aventures super-héroïques de la famille Parr, avec le même tempo et les mêmes superlatifs que le premier épisode. La barre étant placée haute par “Les Indestructibles“, bijou technique, de narration, d'humour et d’action pure, l’attente faisait présager le doute sur la suite des péripéties et des contrariétés des Parr. Et 14 ans passés, le retour du clan familial ne déçoit pas. On y retrouve les mêmes ingrédients qui ont fait la recette exquise du précédent opus: technique et images époustouflantes, scènes d’action endiablées, scénario aux multiples messages, truffés de multiples références et de gags. On y retrouve toujours cette volonté de décrire une famille normale dans son quotidien et ses valeurs, rattrapées par des préoccupations classiques de vie quotidienne, certes malmenées par un contexte super-héros pas banal. L’idée de mettre en avant un girl power (Elastigirl/Evelyn Deavor) et la soudaine révélation de Jack-Jack apportent un plus indéniable à un scénario qui aurait pu se contenter d’une re-dite version de film de super-héros. Et quel plaisir jubilatoire (encore cette fois-ci) de voir qu’un dessin animé comme celui-ci puisse mettre au pilori par son audace, son ironie, sa technique (les plans sont infaisables hors animation) ainsi que par sa légèreté, tous ces films de super-héros sans âme, qui se suivent (ou se «préquèlent ») et se ressemblent tant, et qui se donnent des airs si sérieux de fin du monde pêchant souvent dans le ridicule et l’invraisemblable. Certes, petit bémol que ces “Indestructibles 2“ soit si bavard et se noie un peu dans de longues scènes narratives au détriment de l’action pure, ce qui risque de déconnecter les plus jeunes. Quoiqu’il en soit, Spiderman, Superman, Batman ou autres Avengers peuvent ranger leurs costumes bien tristes et sombres au placard, la famille Sparr reste la plus cool et la plus drôle. B.Bird réussit l’exploit de faire aussi bien que son premier opus, toujours revigorant et inventif. Peut-être pas mieux, mais on n'en demandait pas autant.

Qu’on veuille se l’avouer ou non, cette nouvelle collaboration entre les studios Disney et Pixar était attendue au tournant. D’abord parce que "Les Indestructibles" premier du nom avait surpris tout le monde en mettant en scène une famille d’humains, qui plus est des super-héros pour son plus grand bonheur (ou son plus grand malheur), avec le succès qu’on lui connait obtenu aussi bien auprès du public que de la critique officielle. Mais "Coco" est passé par là à peine quelques mois plus tôt, resserrant étroitement les liens d’un fol amour entre les spectateurs et le film d’animation made in Disney. Et puis surtout après le magnifique, le somptueux "Coco", on se dit avant même de se rendre en salle qu’il sera difficile d’attribuer à "Les Indestructibles 2" la note maximale. Sans compter que la firme aux petites oreilles rondes n’a pas été toujours très en verve avec les suites. Eh bien dans le cas qui nous intéresse ici, "Les Indestructibles 2" n’a pas vraiment à rougir de sa comparaison avec son grand frère. Le ton est d’ailleurs donné dès le générique du début avec la présentation de l’emblème de la maison Disney (à savoir le château de la Belle au bois dormant) pour le coup décliné aux couleurs des Indestructibles. D’une durée similaire (seules 5 minutes différencient le 1 du 2), ce nouvel opus démarre fort. Très fort. Exactement là où nous les avions quittés. Action, rythme endiablé et spectaculaire se côtoient au gré d’une bande originale qui lorgne terriblement vers les meilleurs blockbusters. Et là, le spectateur est tout de suite rassuré et se dit qu’il va passer un bon moment. C’est en effet le cas, et même les enfants y trouveront leur compte avec la présence de Jack-Jack, le petit dernier de la famille spoiler: qui n’en fait qu’à sa tête
. Il faut dire qu’il a une bouille si craquante ! Et pour couronner le tout, il apporte du fun. Mais après ce démarrage sur les chapeaux de roues, on pourrait être tenté de se dire qu’on s’en va vers plus ou moins un copié-collé du premier épisode. Dans les faits, nous n’avons guère le temps de penser. D’abord parce à l’instar de "Les Indestructibles", l’intrigue prend immédiatement le dessus pour nous offrir un divertissement plus qu’honnête. Cela, on le doit à une excellente écriture, tant au niveau de l’histoire que la description des personnages. Conséquence, on se surprend à réfléchir, à chercher qui est ce fameux nouveau méchant. L’occasion est aussi donnée au spectateur d’entrer encore un peu plus dans l’intimité de cette famille décidément pas tout à fait comme les autres en parlant des problèmes liés à la vie de famille et à l’adolescence, le tout axé sur le dilemme posé par le pour ou contre les super-héros tout en montrant du doigt le sensationnalisme qu’on peut témoigner envers ce qui sort du commun. Cette fois, ce n’est pas M. Indestructible qui a le rôle principal, mais sa femme, la bien nommée Elastigirl. Robert Parr est certes très présent à l’écran, mais s’inscrit finalement dans un registre légèrement différent tout en respectant sa psychologie. D’ailleurs félicitons Gérard Lanvin pour l’avoir parfaitement compris en le doublant, ses intonations de voix valant parfois leur pesant de cacahuètes. En parlant de doublage, je regrette toutefois que ce ne sont pas forcément les mêmes qui ont été repris. On ne retrouve du casting originel que Déborah Perret (Elastigirl) et Thierry Desroses (Frozone), alors qu’outre-Atlantique, ils ont tous été reconduits excepté pour Flèche. Sinon, il n’y a rien à redire sur la qualité de l’animation, conforme au savoir-faire chirurgical des deux studios. Pour conclure, "Les Indestructibles 2" offre un bon spectacle, un spectacle plutôt grisant qui permet de déconnecter de notre quotidien, bien qu'on devine aisément qui va triompher. Avec un peu plus d’humour, et peut-être davantage d’action. Je regrette seulement que certains personnages secondaires ne soient pas plus utilisés spoiler: (en particulier les autres super-héros, et plus précisément Vortex)
. Mais quel plaisir de retrouver Edna, toujours aussi délicieusement austère et excentrique ! On n’y croyait même plus !! En y réfléchissant de plus près, il y a des chances pour que les Indestructibles reviennent sur le devant de la scène. Pourquoi ? Eh bien parce que le premier épisode donnait plus d’importance à M. Indestructible, le second à sa femme Elastigirl. Alors la question se pose : les enfants vont-ils avoir tour à tour leur moment de gloire ? Ou Robert et Hélène vont-ils-être traités équitablement à travers un éventuel troisième épisode ? Ce nouvel opus parait possible au vu de la toute dernière scène… Pour l’instant, ça ne semble absolument pas à l’ordre du jour. Le fait est que pour conclure, non seulement les chansons du générique de fin dédiées aux personnages sont classées dans l’ordre d’importance des super-héros adultes ("Elastigirl", "Mr Incredible" et "Frozone"). Dans tous les cas, n’attendez pas une scène post-générique : il n’y en a pas.

Je n'avais pas été très emballée par la sortie du premier opus, déjà gavée par les représentations des super-héros dans les films. D'autant plus que ce n'est pas un thème qui me passionne. Finalement j'avais été agréablement surprise par la famille Parr, ce qui m'a conduit à attendre cette suite avec impatience (du moins j'avais plaisir à les retrouver). Brad Bird est toujours au commande de ce nouveau film qui reste dans la lignée du premier. On retrouve les Parr à l'endroit même où on les avait laissé il y a quatorze ans, à vaincre les méchants dans la crainte d'être eux-mêmes arrêtés pour non respect des lois. Cette fois, c'est le personnage d'Elasticgirl qui est mis en avant, avec une tendance à mettre la gente féminine en avant. J'avoue que c'est assez plaisant. Mais pour cet opus, mon personnage préféré a été Jack-Jack, le petit dernier, qui découvre petit à petit ses pouvoirs, et il y en a beaucoup ! On sent que Brad Bird s'est fait plaisir ! J'ai passé un très bon moment devant ce film, et c'est un très bon retour pour la franchise.

Reprenant l’action là elle s’était arrêtée il y a 14 ans, Brad Bird nous offre un retour en fanfare des « Indestructibles ». Portant la réhabilitation des Supers sur ses épaules, c’est au tour d’Elastigirl d’être au centre d’un scénario parfaitement équilibré entre famille (surtout) et superhéros (un peu). Toujours aussi bien construit et touchant à plusieurs propos existentiels, on peut cependant reprocher à cette suite, en chipotant un peu, une prévisibilité trop marquée. Malgré cette petite réserve, je me suis régalé : l’animation est éblouissante tout en conservant un esthétisme délicieusement vintage et Art Deco, le score cuivré de Michael Giacchino rutile et l’histoire aborde une touche féministe salutaire entre des scènes d’action survitaminées et un humour en légère augmentation. A ce titre, les multiples facettes de Jack-Jack sont un pur délire. 118 minutes irrésistiblement funs.

un bon cru pour un Pixar, pleins de. thèmes sont abordés, l'homme au foyer, la crise es héros,de l'adolescence...et avec humour et tendresse,. bien-sûr l'intrigue n'est pas trop original , on devine la fin , mais ça reste un bon film familial.

Il leur a fallu attendre 14 ans pour voir une suite de la famille de super héros que l on apprécie ! On reste à la lignée du 1er avec comme unique changement, le personnage de ElasticGirl qui est beaucoup + mise en avant. L'histoire est vraiment bien et les personnages sont toujours aussi bien.

Par moment le film fait mieux que son prédécesseur ! Un des rares Pixar et un des rares films à avoir fait une suite presque meilleur que le 1er !

14 ans d attente pour une suite de qualité

Le récit est l'épicentre et de là découle avec précision l'action et l'humour. L'attente fut grande mais c'est un retour en force qui méritait réflexion.

Tourné davantage vers l'action et se concentrant essentiellement sur le personnage de Elastigirl, les Indestructibles 2, inverse les rôles des parents, et place son scénario sur des situations qui promettent de bon fous rires. Le film vise le public du premier volet sorti en 2004, et on retrouve avec plaisir cette famille si particulière. Brad Bird signe donc un deuxième épisode, drôle, rythmé, réalisé à la façon gros film d'action, comme seul Hollywood sait le faire, et innove beaucoup dans ce registre. Peut être un peu long pour les plus petits, mais un régal pour les plus grands. Un très bon Pixar.

14 ans... jamais le studio Disney-Pixar n'a attendu aussi longtemps avant de décider de se lancer dans un projet de suite, "Les Indestructibles" (2004) premier du nom étant l'un des films d'animation les plus populaires du début du XIXème siècle et, à titre personnel, l'un des seuls films de super-héros "super-potables" contenant un vrai fond et des valeurs propres. Malgré tout, entre la sortie du premier film, qui est, sans être l'un de mes Pixar favoris, une peinture drôle, colorée et riche de la société actuelle, et cette suite tant attendue à l'origine prévue pour 2019, les choses ont bien changé dans le genre super-héroïque ; pratiquement devenu, au fil des années l'un des plus gros vendeurs de places de cinéma américain depuis 2008 avec "Iron Man", cette catégorie est devenue très vaste et, avec le temps, très classique car de nouveaux films apparaissent aujourd'hui tous les trois mois ou presque... "Les Indestructibles 2" se démarque du lot.
20ème long-métrage du studio à la lanterne, cette suite est une excellente surprise, une véritable petite bombe placée actuellement dans les salles obscures et dont il est difficile de rester spectateur ! Brad Bird ("Mission Impossible: Protocole fantôme", "Le géant de fer", "Ratatouille") a su mettre au goût du jour tous les éléments constituant le premier film, à commencer par l'intrigue, prenant place directement après la dernière image du cliffhanger du premier volet, avec le fameux "Démolisseur" ; je craignais que la fin ouverte du premier soit quasi-oubliée dans cette suite mais à ma grande surprise, le film nous replonge directement dans l'univers et en toute cohérence, on y retrouve également un humour ravageur de nouveau ponctué de références bien amenées spoiler: ("Spider-Man 2" avec la scène du train ou encore la réunion des supers à la fin rappelant la même que "Avengers: Infinity War" (2018) )
et un antagoniste pour le moins surprenant: spoiler: au même titre Syndrome dans le premier opus, l'Hypnotiseur se révèle assez tard et même si j'ai eu l'idée de son identité véritable, on arrive néanmoins à être piégé par ce que le film sous-entend sur la notion d'être un super-héros ou un simple citoyen souhaitant "devenir quelqu'un" par ambition.
Pour la suite de l'histoire, les rôles des personnages seront pratiquement inversés, puisque cette fois-ci, c'est Elastigirl qui va d'abord s'investir dans son rôle de super-héroïne, laissant à Mr. Indestructible, aka Bob, le soin de s'occuper du foyer familial. Nous avons ici une figure d'ensemble de cet univers singulier qu'est celui des "supers": une représentation de la vie courante, presque ennuyeuse, par le biais de Mr. Indestructible, et une représentation du désir de liberté d'être un personnage hors du commun à travers Elastigirl, en plus d'être un éloge du féminisme et de la place de la femme dans la société de manière sous-entendue. Cette inversion des rôles nous offre un point des vue inédit du couple, mais aussi de Flèche, Violette et Jack-Jack: spoiler: ici, on s'intéresse particulièrement à cette dernière avec la difficulté de déclarer sa flamme au garçon qu'elle aime, tandis que le bébé Jack-Jack est remarqué pour ses pouvoirs restés encore inconnus sous les yeux de la famille
Le personnage de Frozone est toujours très drôle, même attachant, mais je trouve qu'il aurait été intéressant, pour la même occasion, d'en faire apprendre plus sur lui ; on a tous bien saisi que c'était un sidekick par excellence, mais il est tellement réduit à ce rôle qu'à force, on a du mal à le prendre au sérieux. Des personnes en perte d'identité, et souhaitant désespérément s'intégrer en société et vivre normalement, telle est cette famille Parr... c'est ce que cache les super-costumes de nos héros, une vision bien plus sombre de notre société est donc affichée en arrière-plan du récit cadre. Sur-ce, à l'exception de Lucius, le changement radical des personnages par rapport au film original constitue un point essentiel en ce qui concerne les sentiments. Concernant l'animation, elle est fluide et agréable, notamment au niveau des décors, ici bien mis en valeurs contrairement au premier film, là ou c'était parfois flou.
Le doublage n'est évidemment plus tout à fait le même: Gérard Lanvin a pris la place de feu Marc Alfos, et Louane,
en pleine heure de gloire, remplace Lorie, clairement trop âgée pour ce rôle. La voix douce et attachant de l'actrice révélée dans "La famille Bélier" (2014) est très adéquate au personnage de Violette, moins discrète et plus vivante que Lorie (que je n'apprécie pas particulièrement en tant qu'actrice par ailleurs) dans le premier film. Entre la nouveauté, on reconnaîtra que les voix originales Déborah Perret et Amanda Lear ont été maintenues, et ce malgré le temps qui passe...
Les nostalgiques comme moi prendront donc plaisir à suivre cette séquelle qui est à mes yeux la plus réussie avec cette perle qu'est "Toy Story 2" (1999). Brad Bird a su réitérer tout ce qui faisait le charme d'un classique de la "nouvelle animation" tout en le remplissant de la substantifique moelle de la suite idéale, dont il puise notamment de son expérience de "Mission Impossible", dont, je le rappelle, il a réalisé le 4ème volet. C'est pas tout ; je rappelle aussi que d'ici un an, le 4ème et dernier volet de Toy Story débarquera dans les salles obscures... Nouveau défi résolu pour Pixar après les Indestructibles 2 ? Pour l'instant, travail approuvé !

Les Indestructibles 2 est une suite très chouette au premier volet.
Je n'irais pas jusqu'à dire que le film était meilleur que son précédent volet, mais c'est extrêmement plaisant. Tout plein d'autres personnages haut en couleur viennent rejoindre notre famille de super-héros. Tout cela, ajouté à Jack-Jack permet de voir toute une palette de super-pouvoirs, tous aussi fous les uns des autres.
On retrouve les personnages tels qu'on les a laissés à la fin du premier film.
L'animation est d'excellente qualité, reprenant trait pour trait la précédente.
Les doublages (en version originale) sont très bons (Samuel L. Jackson est reconnaissable entre mille).
Les gags marchent très bien et se mélangent bien avec une intrigue qui apportent une suite logique au précédent chapitre (ne plus faire de ces héros des hors-la-loi). J'ai tout de même trouvé le film un peu moins drôle et je me suis moins bidonné (peut-être en grandissant suis-je devenu un peu moins sensible à cet humour).
Un film d'animation extrêmement sympathique.

On prend toujours autant de plaisir à suivre les aventures de notre famille de super héros préférée ! L'histoire,bien qu'assez basique reste agréable,l'animation est superbe,les touches d'humours sont présentes quand il le faut,surtout avec le bébé !Plus de 10 ans après le premier film,c'est plutôt un retour réussi .Un film qui plaira aux enfants et aussi aux grands.

14 ans après le premier, je peux vous dire que c'était le film que j'attendais le plus de toute l'histoire de ma vie. Honnêtement ça en valait le coup parce que c'est toujours d'une excellente qualité, les effets visuels et la mise en scène sont incroyables et l'univers façon vieux James Bond années 50-60 je trouve que visuellement c'est encore une fois complètement fou. Pour le scénario je le trouve moins prenant que le premier, le méchant se laisse deviner super facilement et le fait que ce soit centré sur Elastigirl (féminisme oblige..) bah on mets de côté les autres personnages un peu, c'est dommage.

Parmi tous les films d'animation des studios Pixar, "Les Indestructibles" est celui qui a mis le plus de temps à avoir une suite, soit 14 ans après le premier film. À sa sortie, le film a reçu des critiques dithyrambiques, comme quoi c'était l'une des meilleures suites Pixar qu'on ait jamais fait jusque là, mais me concernant, est-ce que ça valait vraiment le coup d'attendre 14 ans pour enfin voir la suite ? Je suis pas si sûr que ça ! Alors attention, j'ai beaucoup aimé "Les Indestructibles 2", j'ai passé un bon moment devant, ça été un plaisir pour moi de retrouver la fameuse famille de super-héros, mais personnellement, je trouve que "Les Indestructibles 2" reste inférieur au premier qui était une réussite. Je vais commencer par aborder les points positifs : Le scénario est plutôt bon, ça reprend direct à la fin du premier, l'animation reste excellente, les personnages restent vraiment bons, attachants et sont bien développés encore dans le film et les scènes d'actions sont époustouflantes. Surtout que pour moi, niveau humour, l'un des points positifs forts du film, c'est Jack-Jack, le bébé de la famille, qui apporte bien le côté comique du film, avec ses pouvoirs qui commencent à se développer. Après, ce que je pourrais reprocher au film, c'est qu'il y ait très peu de moment dramatique, que certaines révélations sont ultra prévisibles et que le nouveau méchant, l'Hypnotiseur, est beaucoup moins charismatique que celui du premier film qui était bien délirant. On a également des nouveaux personnages super-héros, mais dont la plupart n'apporte pas grand-chose à l'histoire. Alors oui, le film adopte une certaine profondeur comme dans le premier, mais même ça j'ai trouvé moins impactant, car le premier "Indestructibles" avait déjà tout mis en place et bien exploiter le concept de la place des super-héros dans la société. Dans celui-là, c'est moins développé et ça se finit de manière assez banale (no spoil). Comme je disais, les personnages restent attachants, mais cette fois, contrairement au premier qui mettait plus en avant Mr. Indestructible, cette fois c'est sa femme, Elastigirl, qui a un rôle plus important et qui donne du punch au film, tandis que Mr. Indestructible galère à s'occuper de sa famille. Et ça j'ai trouvé ça plutôt pas mal, car le film montre que s'occuper de sa famille aux super-pouvoirs, c'est tout aussi difficile de se battre pour la justice. Au niveau de la musique, c'est toujours agréable de retrouver le thème principal composé par Michael Giacchino, même si ça manque d'inspiration. Niveau doublage, on retrouve pour la VO les anciens acteurs, à savoir Craig T. Nelson (Mr. Indestructible), Holly Hunter (Elastigirl), Sarah Vowell (Violette), Samuel L. Jackson (Frozone) et Brad Bird (Edna Mode), qui interprètent toujours leur personnage à merveille, mais également Bob Odenkirk dans le rôle de Winston Deavor, Catherine Keener dans le rôle d'Evelyn Deavor, ou encore Sophia Bush dans le rôle de Vortex... bref, tout un bon casting. La VF est à peu près la même que dans le premier, sauf Gérard Lanvin qui reprend la voix de Mr. Indestructible suite au décès du précédent doubleur, et Louane Emera qui remplace Lorie Pester dans le rôle de Violette, mais les deux font parfaitement l'affaire. On a toujours Amanda Lear pour la voix d'Edna et les autres doubleurs sont bons. Mais honnêtement, la VO reste meilleure. En conclusion, "Les Indestructibles 2" reste pour moi inférieur au 1, car il est moins surprenant, mais ça reste kiffant, drôle, sympa et cool. Y'a beaucoup de fan-service aussi, mais voyez-le quand même car on prend bien son pied devant.

Que du bruit.
Le son était tellement fort quil m'a fallu me boucher les oreilles...
Pollution sonore a donf.
Film pas drôle et personnages antipatiques,

Bon dessin animé. Une suite réussie ou on retrouve toute la famille avec plaisir ! Film a voir donc :)