Avis : L'Art de la fugue - Page 2

L'Art de la Fugue excellent film, très bon moment passé et très déçue qu'il prenne fin :( J'aurais bien continuer un peu :) Troublante retranscription de notre réalité, rester dans une situation pour ne pas blesser par peur de ne jamais retrouver mieux, retourner dans ses travers, par peur de l'inconnu finalement... Excellente prestation de Laurent Lafitte comme à son habitude!!!

Pas mal si on aime les gens qui se posent plein de questions existentielles, sinon les histoires de famille...... bien joué, bon scénario, mais se regarde

Pas vraiment mauvais, mais moyen moyen ! Le cadet des 3 frères va-t-il épouser sa fiancée alors qu'il en aime une autre ? L'ainé va-t-il se remettre de sa séparation ? Et l'autre va t-il s'engager dans l'achat d'une maison avec son concubin ? On s'en fout un peu et on s'ennuie malgré d'excellents acteurs.
Ça manque de rythme, d'émotion, d'humour. Il manque vraiment quelque chose à ce film pour le rendre intéressant.

Une histoire de famille parfois amusante , parfois enervante, des comédiens pas mal , d'autres moyen , un debut et une fin rate.Le genre de film pas deplaisant mais pas enthousiasment non plus.

Le film est à la hauteur du livre que j'avais déjà beaucoup aimé.
Brice Cauvin réussi avec brio à diriger l'ensemble de ses acteurs tous plus habités les uns que les autres !!
L'histoire nous transporte entre rire et émotion aux travers des questionnements de cette fratrie attachante.
Très bon film !!

Un excellent film très bien interprété qui traite avec justesse de la vie, la famille et l'amour, une mention spéciale â Laurent Lafitte.

Dommage, il manque le petit ingrédient pour que ce qui se passe à l'écran "prenne vraiment" le spectateur et l'emporte dans ce film choral. Les acteurs sont au poil dont Marie-Christine Barrault, Agnès Jaoui, Benjamin Biolet et Laurent Laffite qui semble décidément tout pouvoir jouer... Malgré un scénario sympa (merci Stephen MacCauley !) mais, peut-être, est-ce la réalisation ? On ne rentre jamais vraiment dans le film... Dommage.

Ce qui se fait de pire dans le cinéma français. Pas moins de scènes de repas en 1h37 ! Et je ne compte pas les cafés entre homos, les soirées poker, les vaisselles, le champagne du dimanche, Biolay qui prépare la salade, les bières dans le canapé, le verre à la gare et les coups de fil de Marie-Christine Barrault qui veut faire un pot au feu. Tous ces acteurs installés devraient avoir honte d'avoir dit oui à ce film terne ennuyeux, sans risque, mal éclairé, pas réalisé. Il ne faudra pas venir se plaindre ensuite du niveau de notre cinéma national. Le réal-imposteur n'a peur de rien : il colle un sublime concerto de Ravel qui clôturait le grandiose Beautiful d'Innaritu sur son étron, priant pour que de l'émotion passe mais non.

(...) Les scénaristes usent à mon avis, d’un peu trop de clichés pour parvenir à façonner une toile affective chorale et crédible.
L’envie (ou l’acte) de tromperie, les regrets, la perte du sentiment amoureux…
Les préoccupations des – pourtant nombreux – personnages, par leur coté « déjà-vu-ailleurs » perdent ce cachet extra-ordinaire qui permet au spectateur d’échapper à son propre quotidien. C’est d’autant plus flagrant au vu de l’introduction du film, qui annonce un certain drame qui ne prendra jamais forme dans le film. Une sorte de publicité mensongère, à l’instar du titre.
On note également, un vague aspect « Desplechin« , tentant d’établir des rapports filiaux intéressés et dénués d’affection. Mais par son caractère exagéré, la chose prête plus à sourire qu’a étoffer une quelconque psychologie.
Quant à l’interprétation, elle navigue entre l’excellent (Jaoui, Biolay), le juste, (Laurent Lafitte, Marie-Christine Barrault), le quelconque (Bruno Putzulu, Guy Marchand, Nicolas Bedos) et le ridicule: Elodie Frégé réduite malheureusement pour elle, à son physique.

Le seul véritable ajout vient des dialogues. Toujours extrêmement fins, drôles, parfois même cyniques. Qualité qu’on suppose attribuable à Agnès Jaoui, non créditée comme dialoguiste, mais dont on peut sans peine, sentir l’influence. Le caractère commun de l’histoire n’est d’ailleurs que très rarement parasité, et seulement par deux personnages : ceux d’Agnès Jaoui (tiens, tiens), et de Benjamin Biolay.

La première donne une épaisseur insoupçonnée à un personnage très écrit… Par le détail, par le naturel. Ses mimiques, ses humeurs. Le second, possède une sensibilité dépressive qui dépasse également le cadre fixé à son personnage (...

L'intégralité de notre critique, sur Le Blog du Cinéma

Film sympa belle comédie excellents acteurs bon divertissement je recommande

Un très bon film où l'on ne s'ennuie pas un instant. D'excellents acteurs, des "histoires" imbriquées, des peintures de personnages étonnantes de justesse. Et matière à réflexion!!
A voir, vraiment

Une belle réussite...
Au delà du casting grandiose, l'Art de la fugue nous transporte, par petits bouts, de sentiments en ressenties.
Chaque personnage a été joué avec une force toute particulière et donne un ton puissant à ce jolie film français. A la fois drôle et émouvant, on se laisse baloter entre sourire, rire et émotion au cœur de cette fratrie attachante. Il y a chez Brice Cauvin un peu de Woodie Allen et dans ce film la douceur d'une friandise.
A voir !!!

Un petit film léger, souvent prétentieux, parisien, avec des airs de déjà vu. Si le propos était méritant, le traitement n'en est pas moins avorté.

[edit - je cherche même plus à comprendre les règles de censure sur ce site] J'ai rien contre ces films hexagonaux hérités de Truffaut ou Sautet, bien au contraire, ou de gentils petits-bourgeois un peu intello et assez névrosés se demandent s'il faut faire sa vie avec trucmuche ou tartempion. Mais un contrat, ça marche dans les deux sens. Si un réalisateur me demande du temps pour montrer un canevas 100 fois vus, il faut proposer des acteurs au top et des dialogues irrésistibles de drôlerie et/ou de légèreté, mais sans tomber dans la vacuité non plus. Exercice délicat donc, car lorsqu'on se vautre - et ici c'est clairement le cas - on sort un énième produit qui devient de la chair à canon pour les "haters" du cinéma français... Dommage ; seuls Laurent Lafitte et une fin aussi simple que juste évitent le naufrage intégral.

Merci pour ce film très touchant. Tous ces personnages avec lesquels on reconnait forcément des amis, des membres de la famille. Un pur plaisir de voir Agnès Jaoui. On regrette qu'il n'y ait pas eu un rôle pour Bacry ! Ça aurait été parfait !!