Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Entre le thriller et le drame contemplatif, "Derrière la colline" étonne.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Alice Leroy
Improbable western hypnotique dans la wilderness anatolienne, "Derrière la colline" déplie ses visions hallucinées dans une narration elliptique menée de main de maître et servie par un casting sans fausse note.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
En évoquant par l'allégorie, la situation politique de son pays, le réalisateur turc livre avec distance et ironie une fable universelle sur la cohésion de la communauté par la peur de l'autre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Emanuelle Frois
Sensation de mystère, de menace avec ce western turc paranoïaque et contemporain.
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Le film frappe grâce à son minimalisme étudié, ses subtiles ruptures de ton (...) ou ses jeux d'échelle (...). Chaud brûlant et vertigineux après une longue exposition : "Derrière la colline" a tout du beau coup de soleil.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Loup Bourget
On est là dans une tradition qui, adhérant pour l'essentiel à une représentation soigneusement réaliste et à des plans généraux qui évoquent Kiarostami, donne en même temps le sentiment d'une allégorie politique contemporaine, (...) comme le faisaient "La Chasse" de Saura ou "La Patrouille perdue" de John Ford.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Une ironie teintée d'absurde nappe l'ensemble [du film], jusqu'à un final grandiose.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
La suggestion, c'est tout l'art d'Emin Alper, qui prend un plaisir pervers à déplacer ses personnages dans un décor à la démesure écrasante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
En digne héritier des frères Taviani, Emet Alper signe une oeuvre brillante sur la peur de l'étranger et l'absurdité de la loi du talion, sans jamais avoir recours à des effets racoleurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le premier long métrage d'Emin Alper est une étonnante composition, où des personnages d'apparence la plus ordinaire jouent une partition inquiétante, ironique et absurde.
Le Monde
par Sandrine Marques
Film politique sur la cohésion du groupe et la peur de l'autre, "Derrière la colline" est un récit incandescent sur la folie des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
"Derrière la colline" met en scène une allégorie de la paranoïa stylisée en western anatolien. Récompensé du prix du Meilleur film au 62e Forum de Berlin, ce premier film n'en reste pas moins relativement aride.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
En mélangeant, dans un aligot des plus bourratifs, drame familial, métaphore politique et cinéma de genre, Emin Alper veut gagner sur tous les tableaux. Le résultat s'apparente au pire du pire du cinéma d'auteur à gros sabots : ennui profond, prétention de plomb, symbolique lourde comme un âne mort.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
CinemaTeaser
Entre le thriller et le drame contemplatif, "Derrière la colline" étonne.
Critikat.com
Improbable western hypnotique dans la wilderness anatolienne, "Derrière la colline" déplie ses visions hallucinées dans une narration elliptique menée de main de maître et servie par un casting sans fausse note.
La Croix
En évoquant par l'allégorie, la situation politique de son pays, le réalisateur turc livre avec distance et ironie une fable universelle sur la cohésion de la communauté par la peur de l'autre.
Le Figaroscope
Sensation de mystère, de menace avec ce western turc paranoïaque et contemporain.
Les Inrockuptibles
Le film frappe grâce à son minimalisme étudié, ses subtiles ruptures de ton (...) ou ses jeux d'échelle (...). Chaud brûlant et vertigineux après une longue exposition : "Derrière la colline" a tout du beau coup de soleil.
Positif
On est là dans une tradition qui, adhérant pour l'essentiel à une représentation soigneusement réaliste et à des plans généraux qui évoquent Kiarostami, donne en même temps le sentiment d'une allégorie politique contemporaine, (...) comme le faisaient "La Chasse" de Saura ou "La Patrouille perdue" de John Ford.
Première
Une ironie teintée d'absurde nappe l'ensemble [du film], jusqu'à un final grandiose.
Télérama
La suggestion, c'est tout l'art d'Emin Alper, qui prend un plaisir pervers à déplacer ses personnages dans un décor à la démesure écrasante.
aVoir-aLire.com
En digne héritier des frères Taviani, Emet Alper signe une oeuvre brillante sur la peur de l'étranger et l'absurdité de la loi du talion, sans jamais avoir recours à des effets racoleurs.
Cahiers du Cinéma
Le premier long métrage d'Emin Alper est une étonnante composition, où des personnages d'apparence la plus ordinaire jouent une partition inquiétante, ironique et absurde.
Le Monde
Film politique sur la cohésion du groupe et la peur de l'autre, "Derrière la colline" est un récit incandescent sur la folie des hommes.
Les Fiches du Cinéma
"Derrière la colline" met en scène une allégorie de la paranoïa stylisée en western anatolien. Récompensé du prix du Meilleur film au 62e Forum de Berlin, ce premier film n'en reste pas moins relativement aride.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
En mélangeant, dans un aligot des plus bourratifs, drame familial, métaphore politique et cinéma de genre, Emin Alper veut gagner sur tous les tableaux. Le résultat s'apparente au pire du pire du cinéma d'auteur à gros sabots : ennui profond, prétention de plomb, symbolique lourde comme un âne mort.