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CrackO DingO
33 abonnés
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3,0
Publiée le 15 octobre 2019
Je crois être tombé sur le seul film qui se passe dans les waters plouf! j'ai bien ri par moments de certains gags d'un autre temps, mais le film à quand même mal vieillit. Voir en apparition T. Lhermitte, G. Jugnot et C. Clavier m'a surpris. ----Février 2016----. ----Octobre 2019----
A la base,sur une idée du trio Lhermitte/Clavier/Jugnot.Qui malgré son titre pouvait laisser craindre le pire,mais cette comédie se laisse regarder sans déplaisir.Ne serait que pour la galerie de personnages haut en couleur.
Comédie qui mijote dans son jus d'époque ! C'est un peu bête mais il y a le plaisir de voir le Paris et les mentalités qui ont beaucoup évolué ! Ça se regarde mais ça ne me laissera pas un grand souvenir ! 3/5
Une bonne histoire,des bons dialogues,un Serrault dans toute sa splendeur,un lefebvre merveilleux et touchant,mais une fin un peu trop longue et un Blier usé donne au cocktail un gout amer désagréable
On prend plaisir à retrouver ces 3 grands du cinéma français,et leur talent de comédien. Néanmoins, le scénario ne m'a pas convaincu par la maladresse trop exagérée de ces pieds nickelés. A voir pour ces 3 grands mais le scénario est passable.
Un petit bijou vintage avec 4 monstres sacrés du cinéma français, Bernard Blier, Michel Serrault, Jean Lefèvre, Tsilla Chelton, sur une idée réussie de l'équipe du Splendid et notamment de Christian Clavier, Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte qui y font des apparitions. Le titre est une phrase célèbre dite par Michel Audiard. Les dialogues sont savoureux et certains sont devenus cultes : "Le jour où on mettra des cons dans un panier, tu seras pas sur le couvercle », "Les conneries, c'est comme les impôts: on finit toujours par les payer. » " vous affolez pas le cerveau c'est moi vous aurez qu'à exécuter"...
D' après une idee de Christian Clavier , Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte , " C' est pas parce qu' on a rien a dire qu ' il faut fermer sa gueule " bénéficie d' un scénario qui amuse , de bons dialogues de Jean Halain et d' un trio Bernard Blier - Jean Lefebvre - Michel Serrault inspirés mais malheureusement l' ensemble manque de rythme et la réalisation de Jacques Besnard ( que je préféré dans " Le grand restaurant " avec Fufu " ) est bof ....A voir pour le trio d' acteurs .
Une comédie poussive des années 70 qui a mal vieillit. Reste quelques petits gags amusants et le plaisir de revoir ces gueules du cinéma comique (Lefebvre, Serrault et Blier). Tout de même préférez le sympathique "La situation est grave mais pas désespéré" avec le même réalisateur sorti la même année que ce dernier nanar, toujours avec Lefebvre et Serrault.
Un trio de malfaiteurs entreprend de percer un coffre en passant par les toilettes publiques de la Gare de l'Est. Blier, en "cerveau" colérique, et Serrault et Lefèbvre, ses complices pas futés, forment une plaisante équipe même si, pour Bernard Blier notamment, les personnages n'ont pas la truculence, la dialectique aussi délectables que chez Audiard. Outre la réalisation un peu terne de Jacques Besnard, l'argument de la comédie passe par des scènes plutôt complaisantes et puériles. L'essentiel du sujet, spoiler: avant l'épilogue du butin menaçant de s'envoler, à cause de la maladresse des voleurs se déroule dans les toilettes de la gare où, pour être à leur aisespoiler: et pour échapper à la vigilance d'une sévère madame pipi ,spoiler: les complices se relaient dans un incessant et improbable défilé de personnages costumés.
Encore une fois, malgré les prestations estimables de Serrault, savoureux dans certaines de ses improvisations, et Blier, excédé par les gamineries de ses comparses, cet humour trop facile, ce manque d'ambition communs aux comédie de Besnard privent le sujet imaginé par quelques figures de la troupe du Splendidspoiler: (on aperçoit d'ailleurs Jugnot et Clavier) d'un intrigue plus subtile, plus astucieuse.
Une comédie sympathique, servi par une distribution honorable. De grands acteurs du cinéma français, Michel Serrault, Bernard Blier et Jean Lefebvre. Un film qui ne plonge pas dans la vulgarité sans pour autant être la comédie culte. Un film qui se laisse regarder.
Film extrêmement drôle. Le trio d'acteurs Blier/Serraut/Lefebvre marche très bien, et leurs déguisements sont à mourir de rire.spoiler: Quant à Tsilla Chelton, qui tient le rôle décisif du film, elle nous berne pendant tout le film. A voir et revoir!
Une comédie poussive des années 70 qui a mal vieillit. Reste quelques petits gags amusants et le plaisir de revoir ces gueules du cinéma comique (Lefebvre, Serrault et Blier). Tout de même préférez le sympathique "La situation est grave mais pas désespéré" avec le même réalisateur sorti la même année que ce dernier nanar, toujours avec Lefebvre et Serrault.
L'alchimie entre Serrault d'une part, Blier et Lefebvre de l'autre est pour moi assez inattendue mais vraiment remarquable. Le scénario est plus maigre qu'un sandwich SNCF mais les trois comédiens font de la première heure un sketch très drôle qui n'est pas sans rappeler l'humour des Monty Python ou de Mr Bean. Hélas la dernière demi-heure est plutôt ratée malgré un final savoureux. Un film très honnête, poétique par moment, pour une soirée de détente.
« Mais non, je sais quand je pousse et je sais je tire, j’ai pas attendu de connaître votre palace pour utiliser des toilettes publiques ! »
Comédie franchouillarde de base, comme il en sortit plusieurs dizaines dans les années ’70, « C’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule » donne le ton rien qu’à son titre, symbole d’une époque où les oxymores faisaient florès. A la réalisation, on retrouve un spécialiste du genre, Jacques Besnard, sur une idée de Clavier, Jugnot et Lhermitte, qui font une courte apparition.
Dans les rôles principaux, Bernard Blier est identique à lui-même, Michel Serrault s’autoplagie et Jean Lefèbvre chouine mais pas trop. C’est surtout Tsilla Chelton qui maintient ce film à flot, elle qui fut l’inoubliable interprète, sur scène, des pièces de Ionesco (Les Chaises, Le Roi se Meurt, etc.) ainsi qu’une Tatie Danielle impérissable (Etienne Chatillez, 1990) mais également la professeure d’art dramatique des comédien·nes du Splendid. En cerise sur le gâteau, elle nous gratifie même de la déclamation d’une poésie en flamand, elle qui vécut à Anvers et Bruxelles.
Le scénario, simplissime, est parsemé de gags tantôt plats et prévisibles, tantôt plus drôles, faits de quiproquos, de déguisements, d’un comique de situation dans un huis clos incongru : les toilettes de la gare de l’est. La dernière demi-heure laisse planer une tension certaine qui permet au film de trouver un second souffle.
Cette comédie populaire, qui démarre en mode mineur, se déguste au final comme une sous-audiardise pas si mauvaise que ça, voire même attachante, avec quelques bonnes surprises.