Toujours aussi délirant et drôle. La séquence d’ouverture et le générique sont déjà à eux seuls des pépites d’humour et d’absurde. Cela a l'air facile et potache mais Il faut du talent pour arriver à cette justesse de ton. Mike Myers est toujours aussi génial et Heather Graham apporte son dynamisme, son pep’s et son charme et est parfaite dans cet univers seventies. Un grand kif de feel good rien que pour le plaisir.
Ce deuxième opus de la trilogie des "Austin Powers", "L'espion qui m'a tirée" est le plus réussi. Grâce à la première apparition de Mini-Moi, le film est hilarant. Les références sont classiques(007, Star Wars) mais d'autres sont plus étonnantes (Independance Day). un très bon film amusant à voir.
Encore plus drole Que le premier. Se 2eme volet passe la seconde avec encore plus de gag,qui pour ma Part son hilarant. Mike Myers est genial dans son role d'agent secret deganter. Et Que dire en docteur d'enfer encore plus drole, et de gras double un delice. et pour finir mini moi trop bon tout dans ce film et excellent. a voir et a revoir entre pote en soiree.
L'humour british à son paroxysme! Des vannes aussi nazes que merveilleuses, des situations aussi débiles que magistrales, Austin nous trouble une fois encore avec son corps dénudés, son manque de tact ou son incapacité de réflexion. Mais on adore ça!
Humour bien gras ,gags visuel assez réussi ce 2 eme volet est le plus réussi des 3 en faisant la part belle au Dr Denfer et son Mini Moi.Heather Graham est vraiment trés sexy ,beaucoup plus que l'était Liz Hurley.A noter l'apparition du génial W Ferell dans le role de Mustapha.
Même si ça vole toujours pas très haut, un deuxième volet divertissant, à l'humour bien gras, porté par le cabotinage un peu excessif parfois de Mike Myers et de sa galerie de personnes loufoques, ainsi que par une BO géniale.
Suite des aventures de l'agent secret britannique perché, toujours réalisée par Jay Roach, Austin Powers 2 : L'Espion Qui M'a Tirée est dans la lignée de son ainé. L'histoire nous fait à nouveau suivre le combat entre Austin Powers et le Docteur Denfer, qui va cette fois ci se dérouler en 1969, après que le maléfique Docteur se soit servit d'une machine spéciale lui permettant de revenir dans le temps afin de voler le mojo de son ennemi. Ce scénario s'avère plaisant à suivre pendant toute sa durée d'environ une heure et demie, nous plongeant dans une intrigue totalement loufoque. Celle-ci est bien rythmé et nous offre des scènes complètements saugrenues, allant toujours plus loin dans la provocation et l'irrévérence. L'humour est omniprésent et touche très souvent sa cible à travers son ton lourdingue et hyper sexualisé. Les références à d'autres œuvres sont elles nombreuses et franchement drôles. Mais au-delà des situations burlesques, c'est bien la galerie de personnages qui est la plus déjantée. Celle-ci est interprétée par une distribution de bonne facture avec en tête d'affiche Mike Myers qui assure toujours autant dans son désormais triple emploi. Il est entouré par Heather Graham, Michael York, Mindy Sterling, Rob Lowe, Seth Green et Robert Wagner. Mais le nouveau visage le plus mémorable est bien celui de Verne Troyer qui incarne Mini-moi. Tous ces individus décomplexés nous gratifient d'échanges méchants et amusants, soutenus par des dialogues inspirés, décrochant beaucoup de sourires. Sur la forme, la réalisation de Jay Roach est efficace. Sa mise en scène évolue dans des décors particulièrement agréables, donnant lieu à des scènes mémorables. Le travail de reconstitution afin de restitué l'ambiance de l'époque est réussi et les effets spéciaux de qualité finissent par rendre crédible cet univers pourtant absurde. Ce visuel est en plus accompagné par une b.o. aux musiques énergiques dans le ton du propos. Cette folle confrontation s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Austin Powers 2 : L'Espion Qui M'a Tirée, qui, en conclusion, est une comédie sympathique apportant des petites nouveautés appréciables, même si l'effet de découverte en moins fait de lui un film légèrement en dessous du volet originel.