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    Cinquante Nuances de Grey
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    Thakfi
    Thakfi

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2015
    Mon dieu que ce film est chiant, même un épisode des Feux de l'amour ne m’ennuierait pas autant !

    J'avais vu les notes, je n'étais pas trop confiant à l'idée de voir ce film.
    J'y suis surtout allé pour accompagner ma compagne, qui avait lu le livre et l'avait apprécié, et qui malgré mon manque d'entrain à voir cette "oeuvre", m'a obligé à la suivre.

    Bon le film commence... enfin on va dire qu'il commence surtout à partir du moment où les 2 personnages se rencontrent dans le bureau de Grey en haut de la tour, tout ce qu'il y a avant on s'en fout et ne sert qu'à planter le décor.

    Je trouve les 2 personnages sans réelle profondeur, vraiment trop stéréotypés, le mec c'est le beau gosse confiant qui a réussi et qui a un côté vraiment malsain durant les rapports, la fille c'est la femme fragile, sentimentale et naïve à la limite de l'abrutissement, je ne me suis pas du tout attaché aux 2 protagonistes de film.

    En ce qui concerne l'histoire, c'est simple, il ne se passe rien, on pourrait résumer celle-ci sur l'arrière d'un timbre postal, un couple se rencontre et font du SM, je me suis vraiment ennuyé, j'ai regardé à plusieurs reprises ma montre, tellement c'était insupportable, j'avais l'impression de regarder un film de type twilight version SM (mais SM propre pour ne pas choquer la sensibilité des plus jeunes spectateurs).

    Je ne sais pas si c'est parce que j'ai regardé du porno plus extrême, mais les scènes érotiques sont restées sans effet sur moi.

    Le pire je crois, c'est que de nombreux gens ont rigolé de certains dialogues durant la séance, en aucun moment, je n'ai souri, s'il y a eu de l'humour, il était très très subtil.

    Pour conclure, je dirai que c'est un film plus réservé aux femmes ou alors à ceux qui ont lu le livre.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 163 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2015
    Ah Hollywood ! Tu es si prévisible… Tu pourrais te saisir de l’œuvre, de l’évènement ou du personnage public le plus graveleux qui soit, que malgré tout, tu parviendrais toujours à en faire un produit grand public, convenable et aseptisé afin qu’il devienne consommable par tous. A quoi bon fournir de la saveur dans ces moments là puisque le sulfure original a suffi pour attirer les masses ? La voilà, la merveilleuse histoire de « 50 Shades of Grey » au cinéma. Qu’importe le contenu, au final on sera quand même capable de te transformer ça en film seulement interdit au moins de 12 ans ! Alors on nous sort une énième Bella Swan, belle ingénue qui s’étonne soudainement de l’océan de coton d’amour qui la saisit. Et face à elle, on lui colle un énième Edward Cullen, une belle gueule d’amour montée sur un beau corps sans un poil et bien travaillé en salle de gym, mais qui se révèle super trop mystérieux parce que tu sens qu’il a un secret trop sulfureux le gars... Pendant 40 minutes on leur fait se sniffer le derrière en mode « hihihi, c’est trop beau » de son côté à elle et, de son côté à lui, en mode plutôt « je ne suis pas un gars suffisamment bien pour toi, j’ai mes fêlures ». Autant vous le dire : vous avez intérêt à savoir qu’il est question de sadomasochisme parce que pendant, plus d’une heure, ce film est vraiment gaulé comme un épisode de « Dawson ». Le sulfure, il faut le connaitre pour l’attendre. Mais bon, bien évidemment – produit grand-public oblige – du sulfure vous n’en n’aurez qu’une mini-dosette et le tout bien dilué dans un gros milkshake de quatre litres. C’est remarquable de voir des sadomasos à travers des films comme ceux-là : on donne un petit coup de cravache sur la paume de la main en se préoccupant bien de savoir si l’autre n’a pas mal ; on « baise brutalement » (pour reprendre les termes du film), mais toujours au ralenti, en faisant des petits bisous dans le cou et surtout en se préoccupant bien de savoir si l’autre n’a pas mal. On demande l’avis de l’autre, on ne le brutalise pas, on le traite avec douceur, on lui fait faire plein de petits voyages romantiques en amoureux, on prend le temps de discuter de ce qui ne va pas… Ah non mais y’a pas à dire : c’est merveilleux le monde sulfureux du sadomasochisme dans les films hollywoodiens grand-public ! J’imagine ces gars là devoir mettre à l’écran un film sur Guantanamo : les geôliers américains seraient certainement du genre à baisser de 3 C° le thermostat du jacuzzi des prisonniers si ces derniers se refusaient à livrer des informations vitales (et encore, ces vilains geôliers se seraient sûrement préoccupés préalablement de savoir si, bien sûr, les prisonniers ne risquaient pas de prendre froid avec ces trois degrés en moins…) Vous l’avez compris : ce film est le plus inoffensif, consensuel, à-l’eau-de-rose possible. Aucune surprise, aucun scandale, aucune érection… Un modèle du genre, une merveille formatée comme Hollywood sait si bien nous les faire… C’est beau…
    maximemaxf
    maximemaxf

    326 abonnés 260 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2015
    "50 Nuances de Grey", ou devrais-je plutôt le renommer "50 Nuances d’arnaque" (et non pas 50 nuances de folie comme le dirait Christian Grey). Alors pour ceux qui me poseront la question, chers amis : oui, j’ai été voir cette chose en salle le jour de sa sortie après avoir été voir le dernier classique d’animation en date qui, pour le coup, aurait mérité bien plus de spectateurs en salle que ça.

    Certains vont me demander pourquoi, moi, qui n’ait ni amoureuse à amener en salle et suis passionné de film d’animation et de Kubrick, je suis allé voir cette adaptation d’un livre érotique dont la qualité a été énormément remise en cause par plusieurs analystes ? Ne le prenez pas mal, mais quand j’ai entendu parler du sujet je m’attendais à une bonne surprise et à quelque chose de différent de d’habitude, oui riez mais sachez qu’avant ces dernières semaines je n’étais pas encore au courant du mépris que faisait l’objet cette escroquerie que les producteurs se sont amusés à adapter en romance fleur bleue pour faire venir les romantiques et un public cible que je préfère ne pas décrire pour éviter trop de coup de gueule car cette critique pourrait être la cause de plusieurs douleurs et disputes puérils avec les fans de ce film qui s’amuse à nous prendre pour des abrutis.

    Mettons les choses au clair, je jugerais le film tel qu’il est et non pas par rapport au livre que je n’ai pas lu et que je ne lirais surement pas après tout ce qu’on en a dit. Et pour donner une impression global, on n’est pas loin d'un nouveau Twilight surtout que film est de très mauvais goût et n’a visiblement rien compris à ce qu’il devait raconter au départ et qu’il rate même ce qu’il veut finalement raconter alors qu’il y avait pourtant un gros potentiel derrière, mais au final ça devient plus insultant qu’autre chose.

    Le premier problème du film d’abord c’est sa réalisation et sa mise en scène. Bon attention, elle n’est pas mauvaise ou digne d’un gros ratage ou quoique ce soit du genre, Sam Taylor-Johnson sait tenir une caméra et quelques techniques de mise en scène sont bien effectuées spoiler: comme le travelling autour d’Anastasia dans l’appartement de Christian pour donner une sensation d’envahissement ou le plan fixe nocturne ou l’on montre Anastasia rejoindre Christian au piano avant que ce dernier ne lui fasse l’amour et l’emporte dans sa chambre.
    Sauf que parfois, la mise en scène passe pour être ridicule quand ça cherche à donner une impression d'érotisme spoiler: comme lorsque Anastasia suce le crayon de Grey et que la caméra fait un gros plan sur ce dernier pour susciter le désir de la jeune vierge envers cet homme... absence total de subtilité !


    Et c'est là le principal problème, la mise en scène se veut romantique et n’a absolument rien de dérangeante ou d’érotique, et le film se veut comme une adaptation d’œuvre érotique et il est vendu comme tel mais c’est beaucoup trop propre et lisse pour que ce que ça raconte, et quand ça se force à donner une ambiance romantique c'est parfois tellement exagéré et ridicule que ça en devient pataud.
    Personnellement je rejette plus la faute sur le dos des producteurs que sur la réalisatrice, faire appel à un réalisateur pour un film de commande comme une adaptation populaire c’est commode à Hollywood mais pas pour une histoire de romance ou le sadomasochisme est monnaie courante, c’est conventionnelle et approprié pour une histoire d’amour, mais pas là, c’est juste débile, enfin bref je développerais ça dans la partie histoire.

    Concernant la musique de Danny Elfman, ça va, c’est plutôt correct venant du compositeur mais rien de mémorable pour le coup. Ça se contente de bien accompagner le film et la « romance » qui y figure, mais techniquement j’en attend bien plus de sa part pour "Big Eyes" de Burton d’ici quelques mois parce que là on sent qu’il n’y va pas à fond. Je ne m'attarderais pas sur les musiques pop et populaire qui sont là pour attirer le public cible, parce que ça étrangement, ça me rappel une autre technique marketing que je préfère ne pas dénoncer, certains sauront surement à quel saga je fais référence.

    Mais parlons des acteurs maintenant et c’est là que ça va faire mal, mais vraiment très mal, surtout au niveau des deux têtes à claque qui constituent les deux crétins amoureux et sadomasochiste que l’on va suivre durant deux heures pétante, à savoir Anastasia et Christian : Dakota Johnson n’est pas catastrophique à la manière d’une Kristen Stewart mais son personnage l’oblige à avoir une interprétation insupportable, entre se mordiller la lèvre toutes les cinq minutes pour exprimer son désir sexuel, lâcher un gémissement à chaque occasion lors des ébats plus ou moins sensuels et faire semblant de succomber aux paroles de son Roméo on s’en lasse très vite et ça en fait vite une belle imbécile.

    Ça en devient même incroyablement énervant spoiler: quand le film veut rendre sa « séparation » avec Christian dramatique et romantique, que ce soit lorsqu’elle part en Georgie ou à la fin du film qui m’a juste abattu de stupidité quand on refait la scène de l’ascenseur ou Christian et Anastasia s’appellent par leur prénom pour exprimer leur désir et « amour ».
    Mais le plus agaçant avec elle, c’est que ce personnage est atrocement vide, et quand je dis vide là pour le coup je dis aussi vide qu’un des principaux personnages de la saga Twilight, on n’apprend presque rien d’elle sur sa vie à part qu’elle est étudiante en littéraire et pucelle, et aussi qu’apparemment elle est naïve est bête spoiler: au point d’accorder sa confiance au premier homme d’affaire sexy et beau gosse qu’elle rencontre juste parce que ce dernier l’a interviewé alors que ça devait être l’inverse (scène très ridicule au passage).


    Donc, avec une actrice qui est sabotée par un personnage plat et raté, est-ce que Jamie Dornan va rattraper le coup ?

    Hélas non, pas parce que l’acteur manque de charisme mais son personnage lui en a autant qu’un beauf de Patrick Sébastien. Alors honnêtement je suis prêt à croire qu’il fait de son mieux, et son personnage a quand même bien plus d’écriture que celui d’Anastasia puisqu’on nous donne un large background et pas mal d’exposition sur le personnage, spoiler: on apprend qu’il a été adopté à 4 ans, qu’il a subi sa première expérience de sadomaso à partir de 15 ans à cause d’une certaine Madame Robinson, comment il gère sa société, pas mal de truc qui pourrait être sympa.
    Seulement… ça aurait été bien aussi de ne pas le forcer à jouer qu’UNE SEULE expression pendant l’intégralité du film afin de faire vibrer les minettes en plus de les faire rire avec des répliques niaises et ridicule, je ne compte même plus le nombre de fois ou il appelle sa copine "bébé" juste pour faire rire la gente féminine dans la salle (si si, croyez moi les amis, elles ont rit à la plupart de ses remarques idiotes). En soi l’acteur ne manque pas de charisme mais son personnage est vraiment détestable pour ce qu’il montre en une deux heures, le film se force à en faire un personnage dramatique avec son passé mais c’est tellement mal fait qu’on s’en fiche. Et puis, je parlerais même pas de son hypocrisie spoiler: sur le fait qu'il prétend ne pas être romantique... mon gars, tu passes ton temps à te la jouer dramatique et à faire plaisir à ta copine, arrête d'être un bel abruti tu veux ?


    Au final, on en fait la symbolique de l’homme qui domine la femme soumise en la personne d’Anastasia qui a tellement peu de matière qu’elle passe pour une gourdasse faisant des décisions incroyablement stupide.

    Et la romance ainsi que l’alchimie entre les deux personnages et acteurs n’est jamais présent, on n'a aucun moment intimisme ou d'évolution entre les deux protagonistes qui pourraient nous faire croire qu'il y ait quelque chose entre eux, pas même de point commun pour les faire rapprocher correctement. Surtout qu’on s’intéresse à l’histoire d’un personnage sans jamais vraiment s’y intéresser dans le fond tout en délaissant l’autre qui devient une étudiante lambda à laquelle toute étudiante doit s’identifier. Et là je suis désolé mais si être étudiante pour vous signifie être une cruche qui s’adonne aussi facilement à du sadomasochisme et se livre corps et âme si facilement au premier milliardaire sans qu’elle n’ait de point commun avec lui, je dis stop ! Mais alors vraiment stop, parce que non seulement cette image est mauvaise mais en plus ça fait aussi passer Anastasia pour un très mauvais modèle et encore il y a pire, on en reparle tout de suite.

    Car cela me permet de faire une transition toute trouvé pour parler de la grosse arnaque de ce film : son scénario. Vous vous souvenez bien sur de toute la promotion qui a été faite autour de ce film, autour du livre et de son sujet sulfureux qui se voulait érotique et torride et qui promettait une ambiance chaude et de parler de sadomasochisme, vous avez certainement vu les clips musicaux qui ont même été sorti pour promulguer ce film qui avait tout pour surprendre par un propos choquant et provocateur ? Et ben que dalle, vous pouvez faire une croix dessus car voici ce qui se passe en gros et en résumé : spoiler: Anastasia rencontre Christian à son industrie pendant une interview et c’est le coup de foudre, le milliardaire le met en garde contre lui-même mais comme elle est bête, elle ne suit pas le conseil et s’adonne une relation d’amour et elle réfléchit pendant tout le film si elle veut s’adonner au culte du sadomasochisme, mais à la fin après une énième expérience en se faisant fouetter le derche 6 fois par son amant dans la chambre rouge, elle met fin à la relation et ça se termine sur Anastasia dans l’ascenseur et Christian de l’autre côté chacun prononçant le prénom de l’autre avec un faux ton romantique.


    Et au total, vous n’aurez même pas 15 minutes de scènes de sexes tout court, le thème du sadomasochisme est totalement tertiaire et réduit à une histoire d’amour insipide et pas crédible pour un sous. Car même les scènes de SM sont filmés et mise en scène de manière trop soft et propre pour que ça soit vu comme tel, et le reste du film est principalement composé de remplissage inutile, on n’arrête pas de regarder sa montre tout les dix minutes tellement c’est long avec cette romance transparente et mal construit.

    Surtout que, ce film tente même de paraître profond spoiler: avec les lamentations continue de Christian et son expérience traumatisante à l’âge de 15 ans et le plaisir charnel d’Anastasia au contact de la douleur.
    Mais les personnages sont trop peu appréciables pour qu’on soit touché, et en plus ils en deviennent même vides. Et au final, le message que fait passer ce film est juste insultant envers les femmes : on nous montre qu’elles aiment être des instruments de plaisir pour les hommes et être soumises à la douleur et eux à travers le personnage d’Anastasia, et qu’il doit en rester ainsi car c’est dans l’ordre des choses… vous vous foutez de nous là ???!!! Vous croyez vraiment qu’on doit avaler une connerie pareille, sérieusement ? Non, juste non, l’amour homme/femme (ou même l'amour tout court parce que ce n'est pas que hétéro la romance) ça ne marche pas comme ça. On ne fait pas un film si c’est pour faire passer un message aussi immoral.

    Je vais pas en dire plus parce qu’une bouse pareil ne le mérite tout simplement pas : "50 Nuances de Grey" est un très très mauvais film à tel point que c’est navrant de voir une telle bouse avoir un succès pareil à sa sortie. J’en viens même à me demander si le livre est tout aussi insultant que le film. Acteurs pas catastrophique mais personnage tellement mal écrit que leur performance n’est pas potable, romance bâclée et ridicule, histoire plat et une énorme escroquerie en cette année 2015. Voilà ce qu’il faut retenir de ce film, et je ne vous conseil pas de le voir, allez plutôt voir le dernier Disney, attendez le prochain film de Clint Eastwood, "Kingsman Services" de Matthew Vaughn ou "Birdman" mais laissez tomber cette future saga de film à succès sans mérite.
    Julien D
    Julien D

    1 115 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2015
    Phénomène littéraire devenu incontournable, les livres d’E.L. James ne pouvaient décemment pas éviter d’être adaptés au cinéma. Après en avoir acheté les droits, Universal a donc remis à Sam Taylor-Johnson, remarquée pour son film Nowhere boy, la réalisation de ce projet dont le succès était garanti d’avance. La principale problématique dans la retranscrption d’un tel ouvrage était donc de savoir quoi faire de toutes ces scènes sulfureuses qui avaient fait la réputation du livre au point de remettre au gout du jour le sadomasochisme. Un dilemme que les studios américains, toujours très prude, a fini par résoudre, avec l’aval de l’auteure qui finit d’ailleurs par littéralement dominer tout le processus d’écriture, en édulcorant au maximum la teneur bestiale des rapports entre les deux personnages pour n’en garder que sa trame d’histoire, terriblement banale et mollement érotique. Puisque tous les spectateurs savent de quoi il retourne, chaque sous-entendu devient amusant, mais la mièvrerie qui va lier les rares scènes de porno soft réveillera chez eux qu’un profond sentiment de frustration, plutôt que les inavouables fantasmes que suscitait le roman. Si le jeu très plat des deux acteurs n’aide absolument pas à donner de l’émotion à cette bluette atypique mais malgré tout convenue, la composition de Danny Elfman se révèle le seul accessoire formel qui apporte au film un minimum de sensualité. Aussi décevant pour les fans qu’inutile pour les non-initiés, ces 50 nuances de Grey sont définitivement une belle perte de temps.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 février 2015
    Une véritable perte de temps et d'argent !!

    J'y suis allée avec une amie qui m'a vendue le livre comme étant une histoire complexe entre amour et domination, très bien dosée.

    Au final le fut un véritable ennuie ! L'amour est totalement passé a la trappe pour mettre en avant le fait de choquer et la domination et du coup : Film raté !!!

    Fuyez si vous le pouvez !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 février 2015
    Extrêmement decu de ce film.... j'en attendais beaucoup, le film avance tres lentement , on est pas plonger autant que dans les livres... a toutes les fans du livre, passez votre chemin, vous serez grandement decu
    Alice025
    Alice025

    1 528 abonnés 1 308 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2015
    Toute cette pub pour ça ?! Non, non, non... Je n'ai pas lu les livres donc je ne vais juger que le film. Tout d'abord, les acteurs en font trois tonnes pour rien. Ensuite, le film est trop lent et j'ai eu la sensation que l'histoire faisait replay toutes les 20 minutes... Cela tourne en rond, c'est toujours pareil, c'est chiant. De plus, un livre « érotique » et seulement interdit aux moins de 12 ans au cinéma ?? Euh, je suppose que tout le monde s'attendait à voir des choses assez osées, le mec est tout de même fan de BDSM ! Eh bien non, rien de tout ça, les scènes BDSM sont superficielles, courtes et sans intérêt puisqu'il ne se passe rien. Un film « érotique » devrait au moins être interdit aux moins de 16 ans, afin d'être un minimum érotique !
    Je n'ai ressenti aucune émotion dans le film, mais aucune.
    Bref, tout ce brouhaha pour ça, eh bien...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 février 2015
    Un Navet sur-médiatisé (avec un grand "N"), des dialogues sans intérêt, jeux et complicité d'acteurs d'une nullité affligeante et des scènes pseudo "érotiques" qui ne ferait même pas de l'effet à un ados boutonneux.

    Une blague sans nom !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 février 2015
    Ce film est aux antipodes de ce que réclament les femmes depuis de nombreux siècles. Le ton innocent, naïf, qui frôle la débilité d'Ana, renvoi la femme à son simple rôle de ménagère qui se doit d'obéir à la voix puissante et autoritaire de Christian "le Magnifique". Car celui ci, milliardaire et célibataire, l'entretient avec le plus grand soin, en lui offrant toute sorte de produits technologiques à des prix exorbitant.
    Je veux bien comprendre que certaines femmes rêvent de ce genre d'homme, mais il faut se souvenir que de nombreuses femmes se sont battues pour nous permettent d'avoir les même droit qu'eux, et que ces droits ne sont pas encore totalement égaux. Ce n'est pas avec ce genre de films, et de livres qui dégradent l'image de la femme à un point inimaginable, et qui lui donne un caractère d'objet, que notre civilisation va grandir et va admettre une place égalitaire pour les deux genres.
    50 Nuances de Grey est pour moi le pire film que j'ai vu de tout ma vie, car il combine tous les problèmes de nos sociétés capitalistes.
    Dans un premier temps le monopole est tenu par les nouvelles technologies.
    Les femmes sont rabaissées à un statut peu valorisant.
    De plus on remarque l'absence de personnalités de différentes cultures ou religions, ou plutôt, le seul individus d'origine différente se fait casser la gueule par Grey.

    Finalement, ce film n'est peut-être pas si raté que ce que je le pense. Lorsque l'on observe le nombre de personnes qui l'ont apprécié à la sortie de la salle de cinéma, on peut s'apercevoir à qu'elle point nos sociétés contemporaines sont malades.
    selenie
    selenie

    5 489 abonnés 6 027 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2015
    La rencontre entre un beau mec qui semble déjà chavirer le coeur des filles en fleurs et une femme juste assez jolie mais pas trop pour que ces mêmes filles en fleurs puissent s'y croire. Le film ne brille pas par ses dialogues, certaines répliques frisent tellement le ridicule puéril et la naïveté que ça prête forcément à sourire. On en arrive à ce qui intéresse forcément, le sexe. Pour faire court sur 02h05 il n'y a guère plus de 10-15mn de scènes "hot". Malheureusement on est à des années-lumières d'un film sulfureux ou érotico-soft. Au final un film ennuyeux, qui ne tient jamais ses promesses.
    cylon86
    cylon86

    2 271 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2015
    La voilà donc cette œuvre sulfureuse tant attendue ! Déjà sur le papier, ce n'était pas terrible : soit l'histoire d'une jeune femme un peu nunuche (et vierge) qui rencontre un bel homme très riche aux pratiques sexuelles un peu violentes (la domination, c'est son truc). Forcément, la fille mouille sa culotte et l'homme la couvre de cadeaux tout en lui disant qu'elle ne devrait pas le fréquenter avant de l'initier à ses pratiques sexuelles. Le seul intérêt du roman était la description crue de ses scènes de sexe ardues. Vu que c'est un film américain destiné à faire des millions d'entrées, il était hors de question que l'ensemble soit trop osé. Du coup, on se retrouve devant un film plutôt soft qui manque grandement de saveur. La réalisation est fade et n'apporte aucun piquant à un scénario qui repose essentiellement sur la relation entre ses deux personnages principaux et qui n'est d'aucune originalité. Peu aidés par les dialogues à la limite du ridicule, les deux acteurs font ce qu'ils peuvent mais peinent à convaincre. Jamie Dornan manque cruellement du charisme nécessaire à son personnage tandis que Dakota Johnson se retrouve vite à court de mimiques pour exprimer son désir ou son plaisir. Autant dire que si l'on veut du sulfureux, on se retournera vite vers "Basic Instinct" ou "9 semaines 1/2".
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 février 2015
    Je regrette amèrement le fait d'avoir dépensé 10e pour voir ça.Un film sans aucun intérêt,plat et chiant.Les acteurs sont niais et ne correspondent pas aux personnages originaux.N'allez pas voir ce film,vous gaspillerez votre argent.
    cedric-gibbons
    cedric-gibbons

    4 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 février 2015
    2h05 de :
    Mise en scène inexistante, dont plans aériens de Seattle tout droit sortis des années 80.
    Dialogues ineptes (vu en VO).
    Scènes de sexe ressemblant à des publicités pour parfum.
    Personnages désincarnés joués par deux acteurs insignifiants : lui aussi expressif qu’un poisson sur un étal de poissonnier et elle sans le charme de Melanie Griffiths au même âge.
    En résumé, si vous voulez regarder pendant deux heures une cruche s’amouracher d’un taré, allez-y !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 février 2015
    Je doute même que le film parvienne à émoustiller la ménagère de plus de 50 ans dont le mari est un fan inconditionnel de l'amour, jambe en "V". Insipide, creux, dialogues non travaillés, c'est lent, très lent...la valse des supplices, ce n'est pas l'actrice qui les subis, mais bel et bien le spectateur...
    tony-76
    tony-76

    1 018 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2015
    Soyons honnêtes... Je n'ai pas lu les livres érotiques de E.L. James et je n'attendais pas Cinquante Nuances de Grey dès le premier jour de sa sortie en France. Après deux semaines d'écoulées et après ses deux millions d'entrées en salle, j'étais assez curieux de le découvrir. Et je dois l'admettre Fifty Shades of Grey est moins ridicule que ce à quoi je m'attendais. Il est vrai que les acteurs sont inconnus et qu'ils ne possèdent pas suffisamment de charisme pour convaincre entièrement le spectateur. Le récit fonctionne dans son ensemble avec des scènes de sexe qui nous laisse un peu perplexe. Ce film a fait beaucoup polémique à cause des interdictions dans certains pays. Même l'interdiction au -12 ans est trop juste, un -16 serait conseillé, mais c'est tout simplement commercial... spoiler: Il y a des fouets, des menottes et d'autres objets sexuels,
    mais il me semble que ces éléments soient dans les bouquins de l'auteur. Le personnage d'Anastasia est naïve et manque d'expérience de sa part pour incarner cette héroïne. On a du mal de s'identifier à elle et Anastasia n'est pas vraiment attachante. Et Jamie Dornan, l'interprète du voluptueux Christian Grey, n'arrive pas non plus à nous convaincre. Cette love story s'avère moins profonde qu'il n'y paraît. Également, les autres acteurs ont des personnages peu développés. Des dialogues assez plats. Par contre, la bande est très belle, et bien placée. La réalisation de Sam-Taylor Johnson est, quand à elle, respectable. Les gros plans sont maîtrisés. On s'étonne à la fin de la projection de Cinquante Nuances de Grey que les deux heures se soient écoulées. Ce n'est pas deux heures de torture, pourtant le résultat est mitigé. Beaucoup de bruits pour pas grand chose... Fifty Shades of Grey soit disant « un phénomène mondial » se laisse regarder.
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