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    Cinquante Nuances de Grey
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    2,0
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    1 598 critiques spectateurs

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    Simon1310
    Simon1310

    125 abonnés 243 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 février 2015
    Ce film est le plus gênant que j'ai eu à regarder, ce n'est pas seulement qu 'il soit mauvais ou qu'il présente des scènes chaudes, mais qu'on ait l'impression que çà été écrit par une ado de 16 ans et que l'on doit prendre cela au sérieux. C'est impossible, cela été tellement niais et improbable que l'on ne peut prendre ce film que comme un nanar. Car oui ce film est un nanar, et je m’étonne que nanar land n'en ait pas une critique tant il s'y prêtait. Quand au spectatrices qui gloussaient pendant tous le film, je suis à la fois consterné et ravis. On a les films qu'on mérite. Il y a dix ans un magnifique film sortait quasiment sur le même sujet et était l'une des plus belle histoire d'amour qu'il m'ait été donné de voir et malheureusement ce film est passé inaperçu, il s'agissait de la secrétaire de Steven Shainberg sorti en 2002 avec Maggie Gyllenhaal et James Spader qui ironie de l'histoire jouer lui aussi un monsieur Grey.
    benoitG80
    benoitG80

    3 314 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2015
    "Cinquante Nuances de Grey" ressemble en fait à une immense pub de deux heures pour le monde du luxe, vêtements, voitures, hélicoptères, intérieurs, etc... tout comme j'avais cru comprendre que la bande annonce, vue une fois par hasard, était une pub qui annonçait un nouveau parfum ! Par temps de crise, ça donne déjà le moral de voir qu'on se serre tous la ceinture...
    Et à la découverte du film, c'est encore cette impression qui domine avant tout, tant les personnages sont inconsistants, lisses et plats...
    En effet, Dakota Johnson et Jamie Dornan sont utilisés au minimum, comme si rien ne devait dépasser ou déborder de leur apparence, de leur gestuelle, de leur regard.
    Rien n'est crédible chez eux, du côté étudiante nunuche de l'héroïne Anastasia, à celui impeccable de Christian, playboy tiré à quatre épingles, doublé d'un homme d'affaire milliardaire mais qui ne fait pas grand chose devant son bureau design, on s'ennuie vite tellement tout est GREY partout !
    Alors l'aspect sulfureux attendu du film avec ces fameuses pratiques sadomaso du héros, fait un flop terrible par le manque de tension, de persuasion et de vérité !
    De plus, sans rythme et sans réel scénario, ce film trop linéaire s'étire et s'étire à n'en plus pouvoir tel un élastique sans fin, et le résultat est là, on se met vite à bailler en regardant sa montre !
    Ça va et ça vient très gentiment, du bureau à l'université avec le chauffeur en prime, les mamans se baladant au milieu, puis ensuite les familles au complet, pour vite nous lasser et nous endormir !
    Et que de clichés bien appuyés, puis d'expressions du visage reprises en boucle, comme lever les yeux au ciel ou se mordiller la bouche, comme ci ces acteurs étaient vraiment limités dans leur façon de jouer...
    Alors que, malgré juste une petite tentative d'analyse psychologique bienvenue mais tellement brève et timide, cette histoire aurait pu être une formidable étude de couple, en entrant au plus profond dans les sentiments, dans le ressenti de cette femme et de cet homme, ici à peine effleurés...
    La réalisatrice se contente seulement de surfer sur les apparences, sur des images à l'esthétisme glacé et aseptisé au point de donner un film au diapason, bien trop formaté, bien trop net et propre pour le thème annoncé ! Un comble en quelque sorte !
    Une grande déception que ces nuances de Grey pas très nuancées, pas très recherchées et si peu inspirées de la part de Sam Taylor-Johnson...
    Au final et sans mauvais jeu de mot, il n'y a pas de quoi fouetter un chat !!!
    MisterJ
    MisterJ

    20 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 février 2015
    Afin de faire plaisir à Madame, je l'accompagne voir 50 nuances de Grey. Elle qui avait adoré le livre, voulait voir la version cinématographique. C'est donc avec un oeil neutre et sans apriori que je me suis rendu à la séance. 2h plus tard, j'étais heureux d'avoir LE PASS Gaumont illimité, car payer 11€ pour cette pseudo adaptation coquine pour ado post-pubère, la pilule aurait eu du mal à passer.
    L'histoire ? Une jeune vierge tombe amoureuse d'un jeune milliardaire sadomasochiste. Point.
    Une sorte de version "hard" de Twilight sans vampires. Mais que les fans se rassurent. Les acteurs sont toujours aussi beaux et inexpressifs. On pourrait presque croire une pub pour le parfum One Million de Paco Rabanne.
    Sans histoire et sans jeu d'acteurs que reste-t-il ? La mise en scène ? Fade et impersonnel. Mais qu'importe, cette adaptation n'est pas là pour rendre hommage au roman (que je n'ai pas lu donc que je ne me permettrai pas de juger) mais pour surfer sur l'engouement qu'il a suscité et faire un maximum de fric avec un minimum d'idées et de talent. Le plus drôle (ou le plus tragique dans l'histoire) est qu'il s'agit du 1er volet d'une trilogie. Ca c'est vraiment sadique !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 février 2015
    Je vous avoue que je ne sais pas par quoi commencer.... J'ai lu le livre comme beaucoup de fille je pense, et aussi étrange que cela pouvait me paraître à l'époque j'ai aimé. Pourquoi? Je ne sais pas trop, il y avait dedans une sensualité unique, une tension palpable, des scènes sensuelles et tout ça je m'attendais à le retrouver dans le film. Si c'est ce que vous attendiez aussi, oubliez carrément le film. On sent clairement que les deux acteurs ne s'aiment pas. Parlons un peu de Dakota Johnson.. s'en était risible, plus ridicule on ne peut pas! Elle joue terriblement mal, elle ne dégage aucun charme, aucune allure, pas même un semblant d'air de Anna. Dans le livre Anna n'est pas non plus une fille sur d'elle et parfaitement sexy mais elle dégage quelque chose que Dakota n'a absolument pas. Son jeu d'acteur est lent, niais, parfois inutile voir inexpressif ou sur joué. Bref on dirait une gamine de 14 ans qui essaie de séduire un adulte. En ce qui concerne Jamie Dornan, je vais essayer d'être gentille car je l'ai vu dans the Fall et il est excellent, je sais que c'est un bon acteur et qu'il peut faire bien mieux que ça, cependant là dans le film autant vous dire qu'il y a peu de scène ou il incarne vraiment christian Grey. Il n'y a aucune cohésion entre les acteurs en réalité, le couple marche mal physiquement parlant mais aussi sur leur jeu d'acteur, chacun l'interprète à sa manière sans que ça aille dans le sens de l'autre. Bon j'espère que vous me suivez toujours, parce que je suis loin d'avoir finit. Esthétiquement parlant, i n'y aucun enchainement entre les scène on dirait juste qu'on à pris des morceaux du livres qu'on à joué puis ensuite qu'on a mis bout à bout en mettant des musiques en fond pour faire genre il y a une transition sauf que ce n'est pas le cas! Pour ceux qui ont lu le livre vous savez donc, que les musiques sont décrites dans le livre! Et bien surprise, aucune musique du livres n'est dans le film quoi que pardon, je crois qu'il y en à une qui dure 1 minute! C'est énorme pour 2heures de film! Ce qui est dommage c'est surtout les dialogue qui sont si court et si bête qu'ils en sont risibles! La salle était pleine et la plupart des gens ont rit à des choses qui n'étaient pas censées être drôle mais comment ne pas rire avec des phrases du genre "a plus bébé"! Je sais que dans le livre il le dit aussi mais il y a un contexte qui va avec la le contexte est à peine abordé! On sent que le film est abordé en surface avec un petit budget et je pense que pour un film comme celui là avec un sujet aussi tabou que le SM il y aurait fallut plus approfondir les choses, le rendre plus spectaculaire! Je sais que pour le moment je n'ai rien dit de positif et malheureusement je crains ne pas finir sur une note positive. La chose qui m'a le plus déranger dans tout le film c'est l'image que dégage la Anna du film (qui d'ailleurs dans le film se fait appeler Anastasia), elle donne une image d'une pauvre vierge prête à tout pour un étranger riche. Dans le livre Anna au moins, à des réflexions, on comprend qu'elle n'agit pas stupidement. ici, j'espère sincèrement qu'aucune fille n'a l'intention de s'identifier à elle! C'est vraiment limite, elle fait presque passer le message "prostituez vous!". Je veux dire que c'est malsain, le personnage est creux et n'aborde pas les sujet intéressant! Le succès du livre est basé la dessus car on se glisse moralement dans la peau des deux protagoniste on arrive à comprendre leur folie et on finit par y adhérer alors que là j'avais juste envie de dire "il faut être conne pour être comme elle!". Donc voilà je vais m'arrêter là, je ne vais pas vous dire de ne pas aller le voir car peut-être qu'en faisant autant de recette le deux pourra se permettre de se payer une meilleure réalisatrice ou de meilleurs acteurs, mais je ne vais pas non plus vous le conseiller!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 février 2015
    Y a des films dont j'attends beaucoup, d'autres dont j'attends absolument rien. En suivant cette méthode, je suis très rarement déçu, sauf cette fois-ci.
    J'attendais absolument rien de Cinquante Nuances de Grey, et ce film a quand même été foutu de me décevoir. Je me suis même endormi pendant une vingtaine de minutes, avant de me faire réveiller par un plan trop lumineux. Avant de commencer, je précise que j'ai pas lu le livre, mais, j'ai vu le film avec ma copine (qui l'a lu), et qui m'a dit que le film était mauvais et ne valait pas le livre.

    50 Nuances de Grey part avec comme principe de nous raconter une histoire d'amour ou chacun des protagonistes en sortira changer. La jeune Anastasia Steele, vierge, rencontre le ténébreux et terriblement riche Christian Grey qui a des goûts particuliers en matière de femme et de plaisir. Avec un scénario pareil, je me disais que le film allait surtout plaire a la gente féminine, je me sens pas trop concerné par la rencontre d'un bel inconnu riche qui voudrait me fouetter, personnellement, mais ça m'aurait pas empêché d'apprécier le film.

    Si il était bon, parce que ce n'est absolument pas le cas. Et honnêtement, je peux même pas dire "Non, je suis méchant, c'est juste parce que j'aime pas.", d'un point de vue de l'écriture, technique... C'est mauvais.

    L'écriture d'abord, je sais pas si c'est la traduction française, ou le film en lui même, mais honnêtement, c'est niais la plupart du temps, et quand ça l'est pas, c'est souvent gênant pour le personnage, par exemple le "je ne fais pas l'amour, je baise" ou encore "A bébé"... Ce n'est ni drôle, ni intelligent, ni même utile. Mention spéciale pour la réplique de la copine de l'héroïne devant son père qui dit "Il a l'air performant" en parlant de Christian Grey a sa fille, et qui ose dire "Je ne vous le fais pas dire.", perso, j'aurais été le père, après cette réplique, j'aurais fait le plus gros scandale de l'histoire des remises de diplôme aux US.

    Les acteurs sont moyens. Dakota Johnson surtout, j'ai l'impression que y a eu aucune direction d'acteur sur le tournage. Encore, que James Dornan, qui joue le rôle de Christian Grey, le personnage est un beau gosse mystérieux, donc le fait qu'il soit presque inexpressif, ça me gêne moins.

    Au fur et à mesure qu'on avance dans le film, les placements de produits s'enchainent (Coucou Bose.), la construction des personnages est inexistante, les musiques de pop se suivent sans qu'on comprenne trop pourquoi. Mais, normalement, c'est un film dit "érotique" non ? 20 minutes de scènes de "sexe", a part la première scène qui doit durer plus de 5 minutes, les autres durent entre 2 et 3 minutes, et c'est dingue comme la réalisation ne dégage aucune sensualité sur ce genre de scènes, on s'ennuie pendant ce qui devrait être la force du film. C'est vraiment fade, quand c'est pas vraiment mauvais (comme ce plan avec le crayon Grey sur les lèvres de Anna au début de film. Je pleurais du vomi.). Pareil pour la tension sexuelle entre les deux personnages, c'est inexistant. J'ai vu Night Call/Nightcrawler y a deux semaines. Et la tension entre le héros et la directrice des informations est vraiment palpable, j'en étais même mal à l'aise. Mais la, y a absolument rien. Ce film se base sur un duo qui n'a aucune alchimie et qui est appuyé par une réalisation franchement mauvaise.

    Le pire dans ce film est clairement la fin, il a fallu des semaines et des semaines a l'héroïne pour finalement se rendre compte que Christian Grey était un véritable adepte du SM. En fait, la fin du film, ça aurait dû être balancer vers les 20 premières minutes environ. Tout ce film est aseptisé au possible pour passer devant des gamines de 14 ans qui, j'espère, ne s'identifieront jamais a cette héroïne. Concrètement, se faire offrir un nouvel ordinateur et une nouvelle voiture par son nouveau "copain" qui veut qu'elle signe un contrat pour être sa "soumise"... Moi j'appelle ça une prostituée. D'ailleurs, dans le bouquin, apparemment, le sujet est abordé. Ils auraient dû aussi dans le film, c'est vraiment risible de ne pas apporter ce genre de point de vue. Ça donne juste l'impression qu'on se pose pas de questions, que cette fille a presque de la "chance" de vivre cette idylle avec un beau gosse mystérieux et riche.

    J'ai pas mis 0.5 étoiles, parce que y a quelques scènes qui sont un peu plus travaillées que d'autres, objectivement, c'est quand même un point positif.

    Pour conclure, c'est juste Twilight avec a la place d'un vampire, un type riche dont le secret est d'être un "dominant". C'est aussi niais, aussi mal joué, aussi mal réalisé... Rien de bien.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2015
    A chaque fois que je vois un mauvais film, j’ai toujours tendance à dire « j’en ai vu des daubes, mais alors là… ». Et je décide donc de perpétuer la tradition car j’en ai vu des daubes, mais alors là… Soyons donc très clairs et sans concessions dès le début : 50 nuances de Grey est une abomination. Je m’attendais à la catastrophe et sur ce point, on ne peut pas dire que j’ai été déçu. Je n’ai pas lu le bouquin de base et je m’en foutais un peu, ne partageant donc pas les avis négatifs qui ont pu être émis sur le présumé torchon. Mais voilà, il y avait un fait annonciateur de la catastrophe cinématographique : une interdiction aux moins de 12 ans pour un film qui ne parle que de cul (mais vraiment que de ça). Quand tu penses que certains films se ramassent des -16 pour trois paires de nichons entrevues… On pouvait déjà penser qu’on allait assister à un porno chic complètement aseptisé. Un truc détestable d’avance en somme. Allez, prenons notre courage à deux mains et enfonçons encore un peu plus les portes ouvertes en critiquant un film déjà très critiqué et critiquable.

    spoiler: En fait le terme porno chic ne colle même pas à 50 nuances de Grey. On peut lui juste lui affubler le terme d’érotisme soft, et encore je suis gentil. Car ce film est incroyablement fade et totalement dénué de tension sexuelle. Un comble ahurissant quand tu repenses au scénario de base. Nous voilà donc en train d’assister à la naissance d’une « romance » entre une jeune étudiante gentiment coconne et un multimilliardaire adepte du fouet. Quitte à voir un bon film avec un mec qui agite un fouet, autant regarder Indiana Jones… Non mais vraiment, ce qui m’a réellement frappé tout le long du métrage c’est sa stupidité XXL. On peut en fait résumer le film en un « Je t’aime moi non plus » sans amour et sans passion. Pardon ? Ah ? C’est censé être une histoire d’amour et il y a bien des sentiments entre les personnages me souffle-t-on dans l’oreillette. Et c’est vrai, en fait le film est censé parler d’amour. Mais il n’y a aucune alchimie entre les deux personnages, tout sonne faux. Alors forcément, impossible de ressentir une quelconque passion, une quelconque tension. Ce film c’est juste le néant le plus absolu en termes d’émotions. Puis il y a quand même quelque chose de gênant dans ce film : il est purement sexiste, et pas forcément dans le sens que l’on croirait au premier abord. Il est évident que c’est un film destiné aux femmes, réalisé par une femme à partir d’un livre écrit par une femme. 50 Nuances de Grey c’est quand même l’histoire d’une jeune femme qui prend le pouvoir sur un homme puissant grâce au cul. Car elle le « possède » bel et bien, en témoignent les multiples dilemmes moraux rencontrés par le personnage censé être un queutard compulsif dénué de sentiments. Belle mentalité, belle idéologie, bel exemple pour les jeunes filles. On façonne un personnage lambda, imparfait et nunuche histoire que tout le monde féminin puisse se reconnaître dedans et on fait croire qu’il est complètement sacralisé par le richissime homme d’affaires. C’est un film (et certainement un livre donc) qui vend du rêve à chaque femme « normale ». Et le faire de la sorte, c’est juste puant. Mais s’il n’y avait que ça… Le film est risible du début à la fin. Risible mais pas hilarant car c’est quand même plus ennuyeux qu’autre chose. 50 Nuances de Grey souffre clairement d’un énorme problème d’écriture au niveau des péripéties, au niveau des personnages, au niveau de tout. Tenez ça me donne une idée, on va jouer à Questions pour un champion. Prenons un exemple basé sur le thème « répliques débiles ». Q : Situons le contexte. Vous êtes une jeune femme. Un homme ultra sexy et richissime vous regarde sans cesse d’un air langoureux. Il s’est déshabillé devant vous une fois et vous a roulé une pelle du tonnerre dans un ascenseur (hahahahaaaa en apesanteuuuur). Il vous invite chez vous, continue à vous regarder d’un air coquin et a clairement envie de votre cul. Il vous fait visiter, s’arrête devant une porte et dit « This is my playroom » tout en continuant de vous lorgner d’un air vicieux et en adoptant un ton grave. A ce moment-là vous dîtes : A) C’est ici que tu t’adonnes à l’acte sexuel ? Salle de jeux car le sexe est pour toi un jeu ? B) Tu as parlé de « goûts spéciaux », tu as clairement envie de moi… Tu serais pas un peu SM sur les bords avec une installation… spéciale ? C) Ah, c’est ici que tu ranges ta Xbox ? Je pense que vous avez deviné la réponse… Cette séquence est vraiment représentative de la connerie manifeste du personnage. Ce n’est plus de l’innocence, c’est de la bêtise pure et dure. Puis ce scénario quoi… Tu te demandes toujours comment Grey tombe pile poil au bon moment sur Anastasia. Le pire étant quand elle va voir sa mère. Le mec la suit toujours et elle ne s’inquiète jamais ? Le type se déplace sur des centaines de kilomètres pour la surveiller alors qu’elle sait qu’il veut la fouetter ? Je ne sais pas, si j’étais une jeune femme et que je me sentais poursuivie par ce genre de bonhomme, j’aurais peut-être tendance à avoir les jetons… Mais bon, avant on avait eu le droit à une scène où Grey a expliqué bien explicitement au spectateur qu’il a vécu une enfance difficile. Juste après avoir dit à Anastasia qu’il ne dirait pas pourquoi il est devenu comme ça. Si le film s’était contenté de rester dans le flou concernant son personnage. Mais non, tout est explicite. Il n’y a pas ce mystère qui aurait pu rendre le personnage plus ambigu, c’est juste archi démonstratif en plus d’être chiant et débile. Car le film se concentre pendant longtemps sur le fameux contrat avec le jeu du chat et de la souris qui en découle. Mais un jeu du chat et de la souris basé sur du cul et dénué de tension sexuelle, c’est juste emmerdant… Qui plus est sur 2 heures. Parlons maintenant du plus drôle : Les scènes de cul. Comme je l’ai déjà dit, le -12 ça ne sentait pas bon à l’avance. Et le résultat a dépassé mes attentes, dire que c’est aseptisé relève de l’euphémisme. Bon la nudité n’est pas cachée, c’est déjà ça. Car les américains au cinéma sont experts dans l’art de faire l’amour en restant habillés. Mais ça reste nul. Il y a notamment cette musique romantico-niaise qui passe en boucle à chaque fois. Imaginez le topo, on voit la fille se faire fouetter mais derrière t’as une musique toute douce, toute gentillette. On ne pouvait pas faire mieux pour enlever toute tension sexuelle ! C’est du délire ! Du pur délire ! Sans oublier la scène censée être la plus dure du film, celle où on pouvait voir « jusqu’où ça peut aller ». Mais c’est rien du tout, ce n’est même pas malsain ni choquant ni dérangeant. Ultime preuve qu’on a le droit à un truc insipide qui centre ses enjeux sur le sexe mais qui ne passe jamais la seconde vitesse. Honnêtement, quitte à ne parler que de ça, autant y aller franco, autant créer un univers perturbant. Mais non, à la place on te sert une mise en scène fonctionnelle qui ne te fera jamais ressentir quelque chose de profondément dérangeant ou excitant. C’est du non-cinéma qui refuse les vraies prises de risque, qui reste dans l’adaptation filmique sans aucune vision de cinéaste. Et en plus, le film n’est sorti qu’un an après La Venus à la fourrure qui évoquait l’univers SM et qui était juste génial (vous pouvez d’ailleurs vous référer à l’article que j’ai pu rédiger dessus). La seule nudité que l’on pouvait apercevoir, c’était un bout de sein pendant 2 secondes. Et pourtant ce film était mille fois plus érotisant que 50 Nuances de Grey avec une tension sexuelle folle, un jeu de domination-soumission juste captivant. Mais derrière il y avait un grand cinéaste et deux supers acteurs. Mais ici tout est tellement prévisible, nunuche et artificiel que ça ne donne rien à l’écran. C’est du vent. Définition-même de la coquille vide, 50 Nuances de Grey est le genre de film hautement méprisable. Car il est ennuyeux, lourd, pompeux en plus d’être nauséabond. Beaucoup de bruit pour pas grand-chose. C’est juste crétin du début à la fin, dénué d’idées et écrit avec les pieds. Je pense même qu’il est venu à bout de la patience que j’arbore régulièrement avec les sagas merdiques. Parce que Twilight m’a donné l’envie de poursuivre pour me moquer mais là je ne sais même pas si j’aurais le courage d’affronter le deuxième 50 nuances. C'est dire à quel point cet objet filmique m’a dégoûté. Poubelle !
    Noam ???? D
    Noam ???? D

    59 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 février 2015
    Si je n avais pas été coincé par tout le monde qu il y avait dans la salle je serais sorti.
    Film érotique avec histoire non prenante.
    Je n ai pas lu le livre l année dernière toutes les femmes le lisaient je pensais que ça allait être je pense que je vais plutôt lire le livre a ÉVITER
    halou
    halou

    100 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 février 2015
    Déjà que le bouquin est d'un niveau médiocre, le film n'est que son reflet le plus nauséabond. Produit marketing à l'état pur dirigé par une réalisatrice médiocre, le film n'a aucune consistance et donc difficile pour les spectateur cinéphile de trouver un quelconque intérêt (acteurs transparents, scénario bidon, images banales). Une daube de plus dans l'océan des navets.
    Théo A
    Théo A

    6 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 janvier 2019
    Sur fond pervers, hypocrite et formaté de machisme consumériste, le film, desservi par une mise en scène niaise et sans profondeur, est un ratage complet : histoire inexistante (dont le scénario semble avoir été écrit par un pré-adolescent boutonneux inexpérimenté), aucune magie romanesque (un comble pour une adaptation), morale douteuse (les associations de défense des Droits des Femmes apprécieront), dialogues sans intérêt, comédiens inexpressifs et dont le jeu frise le ridicule, pas la moindre excitation (pourtant tant annoncée), ni même le moindre frisson. Seule la technique (image et son), scolaire et sans prise de risques, remonte très légèrement le niveau.

    Un film sans aucune nuance, sorti pendant la période commerciale de la Saint-Valentin pour tenter d'appâter le chaland et accompagné de mesures liberticides graves et honteuses pour maîtriser les critiques dans la presse et assurer de faire passer la pilule auprès du plus grand nombre.

    Le film s'adresse aux adolescents post-pubères bêtement victimes de ce matraquage publicitaire colossal, néanmoins avec le risque qu'ils le prennent au sérieux et en appliquent les "principes" à leur mode de vie amoureuse : la Femme est rabaissée au rang d'objet et n'est là que pour satisfaire les désirs de l'Homme. Mais ne vous attendez pas pour autant à vous rincer l’œil : "Les Feux de l'Amour" fait mieux, c'est dire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 février 2015
    Film creux, vide, sans aucune surprise, sans intérêt. Il manque cruellement quelque chose pour donner de l'intérêt au film, jeu des acteurs banal, scénario banal
    D'habitude je ne poste jamais mais il y a quand même des limites au raisonnable.
    Acheter plutôt un couple de poisson rouge et regarder les tourner dans le bocal, bien plus passionnant et relaxant...
    Edgar L.
    Edgar L.

    184 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 février 2015
    Parlons d’emblée du sujet qui fâche : le sexe. Omniprésent dans le livre, beaucoup ont été déçus de n’en voir qu’une vingtaine de minutes sur un film d’une durée de deux heures. Pourtant, cela m’a personnellement largement suffi ! Il est néanmoins vrai que toute la communication sur le film n’a tourné qu’autour de son aspect sulfureux, et qu’au final, il n’en est pas grand chose ! La déception est donc compréhensible pour ceux qui s’attendaient à assister à un film érotique. Les scènes ne sont en aucun cas pornographique, ce qui permet de laisser le film dans le cadre du grand public, mais fait peut-être perdre une partie de l’esprit de l’oeuvre littéraire originale.

    [...]

    Car l’histoire est avant tout une histoire d’amour, et le film a pris le parti de retranscrire cela à l’écran. Il s’agit avant tout de la rencontre entre Christian Grey, un riche entrepreneur aux passions quelque peu perverses, et Anastasia, une étudiante encore vierge de toute relation. Le film commence plutôt bien avec des scènes assez cocasses pleines d’humour. Pourtant, très vite, tout cela se dégrade. Les dialogues sont niais au possible, et parfois proches du ridicule, et le rythme s’enlise très vite.

    À partir de la première partie de jambes en l’air, une drôle d’impression se dégage comme si le scénario (si, si, il y en a un paraît-il!) n’avançait plus. On assiste alors à une sorte de « fuis-moi, je te suis » éternel et interminable. Le pire est qu’alors qu’on pense qu’on va assister à un dénouement digne de ce nom, le final est totalement manqué. On n’obtient aucune réponse quant à l’attitude du perturbant Monsieur Grey. La réalisation de la britannique Sam Taylor-Johnson estquant à elle peu inspirée et très conventionnelle.

    [...]

    Voilà un film marketing pas aussi choquant qu'on essaye de nous le faire croire. La réalisatrice nous offre une mise une mise en scène peu inspirée, et le scénario est aussi maigre que celui d'un épisode de "La petite maison dans la prairie". Les acteurs tentent tant bien que mal de sauver l'affaire mais n'ont pas le charisme nécessaire pour cette mission impossible.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    "Fifty Shades of Grey", c'est le film destinè au public fèminin dont tout le monde parle en ce moment! Bel argument de dèpart pour un film par ailleurs dècevant qui ne correspond qu'en partie au roman de la britannique E. L. James! Quand on regarde la bande annonce, on a pour ainsi dire vu le film de Sam Taylor-Johnson! Niveau mise en scène : la platitude! Du travail marketè sans âme, purement fonctionnel comme en est capable n'importe quel besogneux du petit ècran! Dakota Johnson (fille de Don Johnson et Melanie Griffith) se sort tant bien que mal de l'aventure en dèfendant bien son personnage! Son partenaire aussi! Jamie Dornan a un physique, une beautè, un charme qui plait forcèment beaucoup mais qui a pas une conscience de ce qui reprèsente! Et finalement, l'acteur est beaucoup plus entier dans sa manière de jouer. "Fifty Shades of Grey" ? Pas vraiment nul : fade et surcotè! Pour corser le tout, "Fifty Shades of Grey" s'adonne au sentimentalisme sirupeux et aux clichès les plus èculès de la comèdie romantique! Tout cela reflète bien un cinèma expressèment fait pour satisfaire les jeunes fans de littèrature romantique où bien èvidemment aucune violence est imposèe à la femme! A part ça, la V.F est mèdiocre et la B.O digne de spots publicitaires! Seules l'image et la photographie valent le dèplacement avec une vraie recherche de couleurs et de perspectives sur pas mal de plans! Allez 2* bien payèes même si ma femme a plutôt aimè la chose! Autant le bouquin excite agrèablement les neurones, autant le film à un côtè « bluette » avec un èrotisme de pacotille! De plus, les meilleurs passages du livre n'ont même pas ètè tournès! D'autres diront que c'est une manière de voir un film èrotique en ayant bonne conscience, d'une bande d'adolescentes qui s'èmoustillent au son d'une fessèe à coup de ceinturon! Autant revoir "Nine 1/2 Weeks" de Adrian Lyne, avec Mickey Rourke, Kim Basinger et la chanson mythique de Joe Cocker : « You Can Leave Your Hat On » . Ne lâchons pas prise messieurs et attendons la suite...
    louvaine
    louvaine

    4 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 février 2015
    C'est un gros rutabaga (une sorte de navet mais moins bon

    trop niais pour une personne de de 14 ans
    trop malsain pour les - de 18 ans

    Cela ressemble au livre: une mauvaise fanfiction de Twilight (qui pourtant ne volait pas bien haut

    Laissez votre cerveau à l'entrée, il risquerait de mourir d'ennui.
    vincenzobino
    vincenzobino

    95 abonnés 390 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 février 2015
    Oui, j'ai tenté l'expérience. Et me suis bien marré durant l'heure et quart passée en salle. Et rassuré que même les personnes ayant lues le livre sont effondrées d'un tel résultat.
    Je n'ai pas envie de gaspiller davantage d'énergie si ce n'est un conseil : ne gaspillez pas d'argent pour cette catastrophe cinématographique.
    Sans doute la daube de cette décennie, voire plus...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 février 2015
    Pas facile la vie de gourde, surtout quand on a jamais vu le loup à 24 ans bien sonnés! La pauvre Dakota Johnson va ainsi avoir la malchance de rencontrer Mr Grey, un bellâtre de 27 ans, pas romantique pour deux sous, qui va lui offrir spoiler: une voiture, des trajets en hélicoptère et jet privé, des soirée dans des restaux sélects, etc.
    . Mais voilà: Ken, pardon "Grey", aime bien aussi donner des fessées aux gourdes, pardon "filles", qu'il rencontre. Alors là, Dakota, elle dit non, hein. Non mais, oh, pour qui c'est qu'il me prend Ken... euh, Grey? Je ne suis pucelle que vous croyez, non mais, malotru! Alors Ken, pardon "Grey", qui n'est pas romantique pour deux sous va spoiler: l'emmener faire du planeur, l'inviter à rencontrer ses parents, lui faire des visites surprises sympas.
    Ah, mais non, Anasthasia, pardon "gourde", elle ne veut pas manger de ce pain-là, non mais dites donc, hein, pour qui que vous me prenez, hein, non mais dites-donc! Et puis à la fin... eh ben il n'y a pas de fin. Aha! Elle vous a bien eu, gourde... non... euh, ah ben si... Parce qu'ils vont en faire une série de cette histoire pas à l'eau de rose pour deux sous, où deux jeunes gens pas très dégourdis essayent de faire des machins vachement sensuels... sans y arriver vraiment. Que c'est lisse et mou! Et c'est là qu'est l'hic, hélas...
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