Avis : De toutes nos forces - Page 2

Clairement le film actuel qui m'a le plus touché grace à l'histoire bien construite mais surtout aux 3 acteurs principaux qui transmettent des tonnes d'émotion.
PLV : un film qui fait du bien

Avant tout une formidable prestation de Jacques Gamblin! Son partenaire Fabien Hèraud l'est tout autant! Tournant principalement des documentaires, les films de Nils Tavernier parlent à peu près de la même chose! ils ont tendance à dire que quand les grandes personnes s'intèressent aux enfants, c'est beaucoup plus sympa! C'est vraiment l'histoire d'un père qui ne sait pas assez intèresser à son enfant...ou insuffisamment! Mais dès qu'il s'intèresse à lui, il se retrouve lui-même. "De toutes nos forces" raconte que grâce au dèpassement, grâce à des preuves d'amour, la rèunion peut-être sincère et heureuse. "De toutes nos forces" n'a rien d'un film larmoyant! il est plutôt lumineux, solaire, avec une fin joyeuse à la "Billy Elliot". Un film tous public, parfaitement accessible, qui montre que vivre avec un handicap comme celui de Julien n'est pas chose facile, mais quand on veut on peut! Ok, c'est rempli de sentiments et certains moments font clichès mais la relation père-fils est tellement belle à voir qu'il faudrait avoir un coeur de pierre pour ne pas l'apprècier...

Magistral. Quelle histoire. Que de bons et beaux moments. Quelle belle leçon de vie et de courage. Bravo pour ces émotions..... Gamblin Lamy et ce jeune acteur.... wouah

Spoiler : spoiler: La bande annonce aurait dû titrer : "Il existe désormais un espoir pour les pères qui haïssent leur fils handicapé. Le chomage"
. Je suis très partagé sur "De toutes nos forces". C'est loin d'être un grand film. Il est court et la trame, uniquement centrée autour de la préparation et la réalisation de l'Iron Man, sèche. Les scènes manquent franchement de subtilité (la drague de l'ergothérapeute, le feu d'artifice, le packing de la valise pour Nice, l'arrivé après 15H58...). On est tout de même reconnaissant à Tavernier de nous éviter l'histoire d'amour inutile qui menaçait. Avec un sujet pareil : le handicap d'un enfant, forcément le film carbure aux sentiments. Les gros, les lourds ceux qui raclent la gorge et donnent des boules dans l'estomac. La recherche de l'émotion est permanente sauf que les scènes sont trop évidentes, les maladresses de la vieille au marché, du serveur au restaurant sont trop caricaturales pour impacter. Le réalisateur en fait des tonnes et c'est justement ce qui m'a rebuté. Il s'adonne aussi sans vergogne à ce qui provoque en moi un rejet instinctif : noyer ses plans dans une musique pompeuse. Je ne veux pas qu'on me force à ressentir de l'émotion, je veux que les situations, l'empathie des personnages la provoque naturellement. Par exemple la scène de la cascade aurait pu être bien plus sympa. Tu mets quelques lignes de dialogue entre le père et le fils (pas trop pour respecter la simplicité des personnages) avec une caméra qui sort du champs et s'attarde par exemple sur la cascade et le bruit de l'eau, avec un décor pareil ça aurait eu de la gueule. Mais non on préfère faire un gros plan sur la maman en bombardant le tout de violon. Quel gachi. Ceci étant dit il serait très injuste de ne pas reconnaître de beaux moments d'émotions à la dernière création de Tavernier. Intelligemment le film est moins centré sur le handicap de Julien que sur l'organisation familiale qui lui est nécessaire et sur les relations qui unissent ses membres. L'Iron Man devient en cela plus qu'une course, le moyen de construire la relation père-fils. Et étrangement c'est le début de cette relation qui m'a le plus touché, l'ouverture du père taiseux, parfaitement interprété par Gamblin est remuante, davantage que la course qui une fois encore préfère le grandiloquent au simple, au vrai. Au final un film (trop) plein d'humanisme mais inspirant et qui rend heureux de payer ses impôts. Une scène : la mise à l'eau des athlètes.

Waarf la claque !! Les américains ont leurs super-héros, nous avons les nôtres !
Loin des banals films tragi-comiques sur les "handicapés", "De toutes nos forces" c'est d'abord l'occasion de vivre une expérience hallucinante, super-héroïque : celle d'un père finalement prêt à surpasser les limites du corps humain pour à nouveau voir briller les yeux de son fils et devenir le père qu'il n'a jamais accepté d'être. Et puis, et surtout, un véritable hommage à ces parents qui, à la naissance, réalisent que leur enfant ne sera jamais tels qu'ils l'avaient longtemps rêvé.
Un des plus grands rôles de Gamblin et une très belle réalisation, hyper dynamique, jamais gnan-gnan. C'est captivant !

Evidemment il est impossible de dire du mal de ce film de Nils Tavernier, tant le sujet abordé reste poignant. Inspiré d’une histoire vraie, ce long-métrage sorti en 2013 évoque la complicité croissante entre un père (Jacques Gamblin) et son fils tétraplégique pour accomplir un incroyable pari : effectuer l’Ironman (un triathlon longue distance). Même si la relation entre ces deux individus s’inscrit dans une trame scénaristique d’une extrême pauvreté, les émotions sont distillées par petites touches évitant l’excès de pathos. Ainsi, tout en devinant dès le début l’issue de cette aventure, on a moins l’impression d’être pris au piège. En outre, la mise en scène honorable évite de tomber dans le simple téléfilm. Bref, une belle leçon d’abnégation et de dépassement de soi-même.

Vous rappelez-vous de cette vidéo-buzz il y a plusieurs années où un père et son fils paraplégique effectuaient un Ironman ? Si oui, vous avez idée de la trame du film.

Mais sur les 90 minutes, seules 30 sont consacrées à la course proprement dite. La première heure pose une situation de départ à la limite du chaos (père secouriste au chômage ignorant son fils paraplégique, mère obligée d'assumer travail et surveillance du garçon). On pourrait craindre de virer vers le pathos, mais on y échappe :
- grâce à une mise en scène ne provoquant aucune émotion gratuite, peignant le comportement humain en mélangeant parfaitement humour, prises de vues magnifiques (en particulier la Clusaz où vit notre famille) et un final magistral provoquant un chassé-croisé du regard de tous les spectateurs pour trouver ou transmettre l'impression momentanée.
-grâce à son casting : Alexandra Lamy, Jacques Gamblin et la révélation Fabien Héraud sont tous trois magistraux, ne surjouant jamais.

A recommander vivement si vous voulez prendre une belle leçon de vie...

Ce film est un très belle réalisation
Une très belle histoire d'un fils handicapé qui veut faire l'iron man avec son père, celui ci cèdera ou non ??
Juste magnifique, préparez les mouchoirs

j'ai aime le film, l'histoire entre le père et fils paraplégique, pratiquer un sport ensemble.

c'est le 2er long-métrage fiction de nils tavernier,
deux acteur(jacques gamblin et alexandra lamy) joue bien,
décor et scene de course c'est super.

au plus de quelque choies dans le film:inspiré de l’histoire vraie de la team Hoyt,le thème du sport et le handicap mental et oui parce qui les autres personne handicap mental et aussi physique il pratiquera faire un sport, et mais le question reste toujours la tété?

comment le handicap pratiquer un sport!

Bien sûr, c'est un film bourré de bons sentiments, mais comment pourrait-il en être autrement avec un tel sujet. Nils Tavernier connaît bien son sujet et il le traite avec tendresse et authenticité...

On sait dès les cinq premières minutes comment l'histoire va évoluer et se terminer. Donc zéro surprise. Un scénario cousu de fil blanc accumulant les poncifs habituels du cinéma français: Le père absent, la mère courage et l'enfant en mal d'amour de son père et qui va bien entendu par son opiniâtreté lui faire retrouver le chemin de la rédemption. Tout est téléphoné avec des bons sentiments en veux-tu en voilà. On a donc l'impression que même avec ce thème du handicap qui aurait pu magnifier l'ensemble, le réalisateur est passé à côté de la plaque, ne nous a pas touché. Je retiendrai la seule image vraiment surprenante, c'est ce départ de l'iron man filmé du ciel où ces milliers de nageurs à bonnets ressemblent à s'y méprendre à des pingouins.

Film sur le handicap à la manière d'Intouchables, il manque au film de Nils Tavernier tout le talent des réalisateurs Toledano/Nakache pour arriver à sublimer cette jolie histoire de dépassement de soi. De Toutes Nos Forces s'apparente juste à un bon téléfilm. En effet, les grosses ficelles scénaristiques sont légion, et cela dégouline de bons sentiments. Jacques Gamblin n'arrive pas à insuffler des nuances dans son jeu, il joue un personnage plutôt froid et distant tout le long du film. Il échoue donc à rendre cette histoire crédible, alors que le jeune Fabien Héraud se donne bien du mal pour pas grand-chose. Reste Alexandra Lamy, épatante, dans un rôle de mère-courage tout en nuances. Le scénario est trop linéaire, sans surprises, et la musique vient appuyer de manière excessive les moments censés nous émouvoir. Malgré tout, tiré d'une histoire vraie, on suit cette épatante épopée sportive avec un certain intérêt, même si le final est convenu.

Un film plein d'énergie, magnifiquement bien filmé, résolument positif et qui ne glisse jamais dans le pathos, bref un film qui fait du bien !

Même si l'histoire n'est pas bien crédible, l'ensemble est plaisant, les images superbes et la musique parfaitement choisie.

un film incroyable et très humain. Encore une très belle interprétation de n. Un tres beau film qui est à voir : un film dans la veine d intouchable.